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FABIAN GREENGRASS ► julian morris

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Fabian Lennox Greengrass

  • 01 janvier 1993
  • Melbourne, Australie
  • 26 ans
  • Australienne
  • Hétérosexuelle
  • Célibataire
  • Classe moyenne
  • Libraire

JULIAN MORRIS
Quand bien même il n'a pas les moyens de retourner vivre dans sa ville natale en Australie, rester dans une ville qu'il n'aime pas serait masochiste. Et aux dernières nouvelles, Fabian n'était pas masochiste - à confirmer ceci dit. Boston est sa ville de cœur qu'il apprécie presque tout autant que Melbourne - aucune ville ne décrochera la palme d'or autre que sa ville natale dans son cœur - et il pourrait passer des heures à lister les nombreux petits plaisirs bostoniens qu'il expérimente ici : les promenades le long du Freedom Trail pour atterrir dans le quartier historique de la ville, les animations à la place centrale du quartier de Back Bay ou encore les heures passées sur un banc aux bords du Charles River, les petites trouvailles vintage dans le quartier de South End... Sa venue à Boston il y a sept ans avait été en priorité pour Harvard et le destin a fait qu'il n'y a jamais malheureusement jamais mis les pieds, mais en heureux optimiste, il s'est consolé avec la découverte de Boston et en est effectivement tombé amoureux. Son travail en tant que libraire, un job assez modeste et peu glorieux, est un travail qu'il chérit dans un le quartier historique qu'il adule de la ville. Ainsi, peu sont les choses qu'il n'aime pas à Boston, s'il y reste, c'est pour une bonne raison.
Le peu d'amis de Fabian, en le décrivant, aurait comme premier mot à la bouche : gentil. Vous savez cet adjectif neutre utilisé pour qualifier un être humain sans trop se mouiller, cet adjectif assez banal pour décrire quelqu'un de.. banal. Le mec banal, c'est Fabian. Il est gentil, oui, aussi basique soit-il, la gentillesse est ce qui rythme la vie du jeune australien et ce qui l'a bien souvent mené à sa perte les premières années de sa vie. Fabian a ce don naturel de gentillesse qui le pousse aussi à pardonner toutes les crasses qu'on a pu lui faire et c'est autant une bénédiction qu'une malédiction. Bien souvent, les personnes malsaines ont tendance à profiter de lui et.. il n'y met aucune objection. Fabien a toujours eu du mal à s'affirmer depuis la tragédie de son enfance et adolescence qui l'a poussé à se renfermer sur lui-même et ses livres, il préfère se voiler la face et voir le monde naïvement même au-delà de ses vingt-six ans au lieu d'affronter le monde autour de lui. C'est le petit gars tranquille qui évitera donc tout conflit, quand il y a conflit ou complications, ne comptez pas sur l'australien pour s'impliquer et encore moins prendre parti. Au fond de sa librairie, de son petit appartement douteux dans le quartier historique de Boston, Fabian vit sa vie, presque solitaire à force d'inconsciemment rejeter le monde autour de lui et ne pas s'impliquer et aussi étrange qu'il le soit, il aime sa vie comme elle l'est. Avoir un rythme de vie frénétique l'effraie, l'angoisse, aussi ironiquement que ça l'est lorsqu'on sait qu'il a débarqué aux Etats-Unis pour avoir une carrière dans l'édition et posséder sa propre maison d'édition. Les rêves. C'est aussi une caractéristique spéciale de l'australien, il adore rêver mais ayant une très grande estime de lui-même, une confiance qui en déboussolerait plus d'un - ironie, les rêves s'arrêtent au domaine du rêve. Il s'est fait à l'idée il y a longtemps qu'il était juste quelqu'un de banal dans ce monde, qui ne marquerait pas le monde comme ces étudiants qu'il voyait tous les jours courir au sein de l'université d'Harvard. Ceci dit, ne croyez pas qu'il est désespéré ou dépressif, bien au contraire. Fabian est ce mec insupportablement optimiste qui voit les bons côtés de la vie, qui aime la vie malgré tout ce qu'elle lui a infligé et on a beau le piétiner autant de fois que nécessaire, il continuera d'être ce bon vieux optimiste qui ne pense qu'au beau temps après la tempête. Il peut être agaçant Fabian avec sa philosophie de vie, voire même ennuyant - certains n'ont jamais manqué de lui rappeler - mais il faut de tout pour faire un monde, n'est-ce pas ? Peut-être qu'un jour, il changera, s'affirmera, trouvera cette confiance en lui pour évoluer si l'envie lui prend. Ou peut-être qu'il restera éternellement ce bon vieux libraire du coin, mais en soit, était-ce mal ?
Ce n'était pas par choix que Fabian a débarqué à Boston, aux Etats-Unis il y a sept ans, à ses dix-neuf ans. Ou plutôt si, il avait choisi, rêvé d'intégrer Harvard qui se trouve à Boston mais c'était l'université qui l'avait attiré, pas la ville. Fraîchement sorti du lycée, les rêves pleins la tête, il a salué son pays natal pour s'envoler à l'autre bout du monde et passer les examens nécessaires pour intégrer Harvard. Malheureusement sur liste d'attente d'une bourse qui n'arriva jamais, Fabian a vu son rêve s'envoler aussi vite que ses économies et pour subvenir à ses besoins, il postula à un poste de libraire dans cette librairie qu'il fréquentait régulièrement pour oublier ses peines. Sept ans après, toujours pas de place à Harvard en vue, toujours ce poste de libraire qui arrondissait tout juste ses fins de mois, toujours des économies inexistantes mais toujours optimiste et tout sourire. Il finit par tomber amoureux de Boston et de ce qui l'entoure, c'est ce le fait rester dans le coin et le fera sûrement rester dans les années à venir.
Quand il était plus jeune, Fabian s'était imaginé du grandiose dans sa vie, imaginé une vie future réussite et pleine de gloire. Si vous lui avez posé cette question à son arrivée ici, à ses dix-neuf ans, il aurait du coup sûrement répondu : "je dirigerai ma propre maison d'édition de livres". Puis depuis quelques années, il a très vite compris que rien n'allait le mener dans cette vision paradisiaque de la vie et il l'a accepté. Dorénavant, conscient de son quotidien modeste et sans surprise, il peut facilement répondre et se voir encore libraire dans une dizaine d'années. Manque d'ambition ? Non, juste réaliste. Peut-être qu'il aura publié un deuxième livre aussi vite oublié que le premier d'ici là mais rien de plus grandiose. Mais ne vous méprenez pas, sa petite vie, il l'aime et s'en contente très bien. Continuer dans cette lancée pour les dix ans à venir, honnêtement, ce n'est pas son plus grand cauchemar et il pouvait largement faire avec.
MALFOYMEDS / ANYA
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pets ambulants apparemment et j'ai 245 ans. Je suis moche et j'ai connu le forum grâce à aucun souvenir. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de nora/miles. J'utilise julian morris comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par neon cathedral (avatar) et lj (icon). Je fais environ aléatoire mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite
[/font] je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9047]☆[/url] ☆ <span class="pris">JULIAN MORRIS</span> ◊ “ Fabian Greengrass”[/size]
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Le premier coup arriva. Une claque. Sur le doux visage du petit garçon de sept ans, encore impeccable mais bientôt fissuré par une blessure à la lèvre. « S'il te plaît, papa ! » Puis sans qu’il n’eut le temps de réagir plus, d’en dire plus, le deuxième coup s’était enchaîné. Puis le troisième. Troisième coup qui l’avait pratiquement levé du sol tellement qu’il fut violent. Puis pour le quatrième coup, le paternel avait usé de son pied, et avait visé le ventre du bonhomme, dorénavant en pleurs et qui essayait tant bien que mal de se relever pour contrer les coups. Mais son bourreau était plus fort, beaucoup plus fort. Surtout alcoolisé. Les coups défilaient sous le regard implorant et impuissant de la mère, recalée au second plan. Cachée. Les coups cessèrent soudainement tout comme les pleurs du petit, dorénavant préoccupé par sa respiration, saccadée, cette impression d’étouffer, de manquer d’air. Il toussa, recracha du sang, gigota pour ressentir une brèche d’air frais n’importe où, n’importe comment – en vain. Il était fatigué, épuisé, ne se battait plus contre ses yeux qui se fermaient, il ne ressentait plus aucune douleur, ne ressentait plus rien.

L’amnésie dissociative. L’amnésie dissociative affecte des épisodes concrets qui sont vécus comme traumatiques et qui ont pu gravement affecter la personne.

Dix-neuf ans plus tard. Fabian se réveilla, haletant, de ce rêve qui ne cessait de le hanter sans qu’il n’en connaisse la raison. Ce petit, cette scène, cet ombre imposante qui infligeait les coups, ce salon, tout lui était familier dorénavant vu qu’il ressassait ce rêve encore et encore, tous les jours depuis ces dernières semaines. Il ne voulait pas, pourtant dès qu’il fermait les yeux, il fit plongé dans cette maison modeste, voire grotesque et pauvre des  petits quartiers de Melbourne et le cauchemar commença. Tous les jours. Depuis treize jours exactement. Il devrait sans doute considérer consulter ou même juste partager avec quelqu’un – mais difficile quand ce quelqu’un n’existait pas. Fabian était seul ou plutôt solitaire, cela sous-entendait plus que c’est par choix et non par contrainte même si cela menait à la même sensation : la solitude. Il était seul et en proie d’un cauchemar sans signification. Tout était parfait dans sa vie pour ses vingt-six ans, n’est-ce pas ?

FABIAN GREENGRASS ► Né en Australie, vingt-six ans auparavant d’une mère soumise à un père alcoolique et violent. Un classique. Autre classique, dès ses cinq ans jusqu’à ses dix ans, il fut le martyr de son dit géniteur, punching ball officiel du vieux Morton, passe-temps préféré du patriarche. Nombreuses furent les fois où le petit faillit succomber à la vie. – La gentillesse incarnée, un tantinet naïf  et maladroit, petit Fabian apporte tout de même tout l’amour qu’un fils pourrait porter à son père, en recherche constante d’affection, d’une vie normale. C’est auprès de sa petite sœur ceci dit qu’il trouvait toute cette affection nécessaire recherchée. Sans elle, il ne serait rien. – Plus avancé que son âge, Fabian découvrit la lecture à ses cinq ans, après un séjour bref à l’hôpital sous les coups de son père qu’il oublia vite une fois plongé dans le monde magique du Petit Prince. Ses yeux s’étaient écarquillés, son petit cœur réchauffé et sa tête envolée ; Fabian tomba amoureux des mots. – Jusqu’à ses treize ans, se sentant plus en sécurité à l’école que sous son propre toit, Fabian se réfugia dans le bureau de sa maîtresse préférée, son 252e livre à la main. Cette maîtresse même fut la sauveuse du petit garçon, la bonne fée de son conte à lui, l’héroïne faussement inattendue de l’histoire tragique du protagoniste déchu. Remarquant la présence abondante de bleus sur son corps, elle fut celle qui força les services sociaux à enquêter sur les Mortons, qui ne se firent pas prier une deuxième fois avant d’avouer tous leurs délits sur leurs enfants. De toute façon, ils n’en voulaient même pas d’ces gosses. Juste inutiles et deux bouches de trop à nourrir, trop de boulot. Fabian fut emporté par ces services, naturellement attristé pour son âge, voire dévasté de se séparer de ses parents, sa maman, son papa qu’il aimait plus que tout, malgré tout. Il lui fallut deux années à sauter de famille d’accueil en famille d’accueil pour être totalement reconnaissant envers cette maîtresse toujours présente dans sa vie tel un ange gardien, deux ans après. Mme Greengrass qu’elle s’appelait. – Son adolescence fut beaucoup moins chaotique, Fabian se développa, sans surprise, comme le garçon discret mais majoritairement apprécié de ses camarades de classe au lycée. Ceci dit, les amis, ce n’est pas ce qui l’intéressait. Son passe-temps favoris ? Gribouiller sur ces pages blanches des mots, des phrases, une histoire. Construire une histoire, vendre une vie de conte de fée que personne n’aura jamais si ce n’est ces personnages fantastiques et guerriers qu’il décrivait avec précision et passion. Il avait dix-sept ans. – Fabian Greengrass fut officiellement reconnu Greengrass cette même année alors qu’il se plongea de plus en plus dans son univers parallèle, virtuel au lieu de la réalité. Il ne mit aucune opposition à cette adoption mais n’y montra non plus aucune excitation. Pour certains, c’est le synonyme d’un renouveau, d’un soulagement, pour Fabian, c’était juste un détail de la vie réelle qu’il aimerait oublier. Se concentrer sur ses propres protagonistes de son propre monde, c’était sa priorité. – Harvard. La première fois qu’il eut entendu parler de cette université fut à travers son livre, ses proches recherches et instantanément, tout comme il tomba dans le piège des livres à ses cinq ans, il tomba dans la folie harvardienne. Aux Etats-Unis. Détail mineur étant donné qu’il était certain que ses parents le soutiendraient, quoi qu’il arrive. Il trouva une autre passion en plus de son livre et lorsqu’une passion s’imposait à lui, Fabian n’y allait jamais de mains mortes. Un an après, diplômé de son lycée, le voici le voilà sur les terres américains, les rêves pleins la tête, Harvard l’appelant et lui ouvrant grand les bras. Ou presque. La chute fut assez brutale. Malgré ses examens tout justes réussis, la pauvreté ne semblait pas adhérer à Harvard qui n’eut pas de bourse pour le petit australien. Des figures et des têtes plus imposantes, plus marquantes que lui ont droit à la clé d’or d’entrée à cette université, mais pas lui. Un simple étudiant, tout juste au-dessus de la moyenne qui n’avait rien d’autre à apporter que sa passion pour l’écriture ? Merci mais non merci. – La suite des événements est connue : Fabian s’installa à Boston, suite à ce job de libraire dans un coin dans le centre de la ville. Ce qui n’est pas connue en revanche, c’est son livre. Ce livre qu’il traînait depuis son adolescence et qui fut publiée par une minuscule maison d’édition bostonienne. Seulement, le succès n’est pas au rendez-vous et malgré les quelques livres publiés, Fabian devra se contenter de son modeste travail en librairie. Ce n’est pas ce qui l’achèvera ceci dit, bien au contraire. Fabian reste optimiste et sourire à la vie, il préfère regarder dans le futur plutôt dans le passé qui, de toute façon, était tout oublié. Au sens propre et figuré.
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juju FABIAN GREENGRASS ► julian morris 152426858 choix divin !!
welcome back, amuse-toi bien FABIAN GREENGRASS ► julian morris 1629572796 FABIAN GREENGRASS ► julian morris 2109348208
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anya et un tc :ôô: FABIAN GREENGRASS ► julian morris 27820337 FABIAN GREENGRASS ► julian morris 659925797
rebienvenue ma belle FABIAN GREENGRASS ► julian morris 152426858

réserve-moi un lien avec laszlo :

FABIAN GREENGRASS ► julian morris Z
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Re Bienvenue parmi nous FABIAN GREENGRASS ► julian morris 2511619667
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re bb :heaart:
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(re) bienvenue ici FABIAN GREENGRASS ► julian morris 73120010
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Kaze Faulkner

Âge : 34
Lieu de naissance : chicago, illinois
Quartier d'habitation / Colocation : south boston
Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : dreamrutine@tumblr
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department

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FABIAN GREENGRASS ► julian morris Kaze

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00 RPs › 20/10 → 27/10
00 RPs › 27/10 → 03/11
01 RPs › 03/11 → 10/11

OCTOBRE : 19
NOVEMBRE : 01
Warnings : viol, suicide, dépendance à l'alcool, violence, sexe
RPS : 136
Messages : 38508
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Kaze Faulkner
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modération & codage | WRECKED SOULS › waiting for a moment
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t158203-kaze-faulkner-max-ironsRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t158517-meetsachussets-fkaze
RE-BIENVENUUUUUUUE FABIAN GREENGRASS ► julian morris 152426858
(Kaze Faulkner)




“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”


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