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EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS

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Edith May Darwell

feat. Blanca Padilla




ID CARD
  • 13 juin 1995
  • Londres, UK
  • vingt trois ans
  • britannique
  • boys
  • Des cendres de cœur
  • très moyenne
  • Harvard Law School
  • sciences politiques
  • aucun
  • boursière
ADMISSION
TON ADMISSION À HARVARD - Pas de SATs, de stress, de déception, de cris de joies, pas de demi sourire du paternel, l'air éternel du “je le savais”. Pas d'essai, de dissertation, d'encre blanche et de page vide, pas de sujet transcendant sur lequel s'évader. Pas d'entretien avec un doyen, pas de questions sur les rêves, les envies, les ambitions. Pas de lettre de confirmation. Rien de tout ça, Edith. Son université a les berges humides des bords de la Tamise entre les chantiers navals et les succursales de banques sans prestige. Harvard et ses briques rouges c'est juste pour un an, Cendrillon en robe étoilée avant de retourner prisonnière dans son royaume (des)uni. Edith, elle a gagné un concours permettant un échange universitaire entre la Thames Valley et Harvard, lui permettant d'obtenir le ticket d'or, une bourse d'échange internationale et un correspondant américain. Lucky girl. Harvard ça ne se refuse pas. Elle se sait en dessous des étudiants de sa promotion. Ce sont tous des génies, aux méthodes implacables et aux techniques sournoises sans similitudes avec son pragmatisme et ses plaidoirie sèches. Les étudiants ici font partie d'un théâtre dans lequel elle n'a pas encore vraiment de rôle. Un an ça passe vite...  



MAISON OU NON ?

Un an pour tester le fantasme de tout étudiant européen qui se respecte. Les confréries. Les soirées grandioses, le sentiment d'appartenance inexplicable, l'envie de savoir ce qui se cache derrière les portes de Cabot ou de la Mather... Les defis, les scandales, la protection ou la mise à nue ? Vivre autre chose intensément, rendre l'expérience inoubliable, oui Edith s'y voit déjà.


On a écrasé ses ambitions comme on écrase les rêves de gosses. Elle se voyait médecin en regardant Grey's Anatomy Edith, on lui a dit qu'elle était pas douée avec les chiffres, les formules... Ça s'est toujours un peu emmêlé dans sa tête, parfois elle voit rouge quand on lui dit blanc. Elle rêve comme une adulte depuis qu'elle est enfant, un à la fois, jamais trop grand et quand elle se laisse submerger elle dérape, elle exagère, elle perd le contrôle et elle quitte tout. Les problèmes elle les résout sauf quand ça la concerne, elle a la maturité d'une ado en colère, c'est une étoile qui clignote sur une fréquence qui deraille. Elle joue de son physique, aime se donner une assurance aussi fragile que ses talons, elle manipule pour mieux se faire manipuler, se cache pour se faire remarquer, c'est un putain de paradoxe Edith. Elle a le prénom d'une lady et l'accent brûlant des rives de la Tamise, ou la vie se languit dans les vagues de fumée grise. C'est une grande gueule addict à la culture qui tue pour une heure au cinéma avant de reprendre un quotidien morne qui lui plaît pas au quart. On lui a toujours dit que la vie c'était mieux avec de l'argent, mais que les riches c'étaient tous des voleurs. Edith elle sait pas qui croire mais elle croit en sa jalousie, un peu matérialiste sur les bords. Harvard c'est la chance de sa vie mais dans sa tête ça vrille, ça brille comme une alarme incendie. Ça va merder...




intelligentecharismatiquevindicativecyniquemanipulatriceaudacieuse


Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Moony. Lola et j'ai vingt ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Bazzart, y'a longtemps, j'ai jamais eu le temps où l'occasion de m'inscrire. Il est beau et j'ai enfin mon idée alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Blanca Padilla comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Balaclava. Je fais environ ultra variable mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9037]☆[/url] ☆ <span class="pris">BLANCA PADILLA</span> ◊ “ Edith Darwell ”[/size]
si scénario:
Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]☆[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]☆[/url] <span class="pris">AVATAR</span> • “ Pseudo ”[/size]
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STORY OF MY LIFE

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A 221B Baker Street story

Les paquets de Malboro light délavés décorant les pavés inégaux de Leeford Street, c'est ce qu'elle a toujours connu Edith. On s'enfume les poumons comme tout le monde en espérant que la clope prendra trop de place dans la poitrine pour en laisser à la fumée des usines d'à côté. Les gens puent la classe moyenne déclassée, la peinture sur les volets s'écaille, la nuit c'est le bruit des femmes qui hurlent contre leurs maris. Leeford Street c'est sa vie depuis le début, un film en noir et blanc qui défile sur une pellicule usée et trop souvent visionnée. Son histoire elle se répète derrière chaque porte de cette putain de rue.

Edith, son père il est ouvrier, petit cadre comme il aime le rappeler dans la grande usine d'en face. Il tire sur la bouteille pour exprimer une autorité fictive en administrant  deux trois baffes à l'aîné. Sa mère c’est une princesse de contes de fées, un peu abîmée, le visage tiré et les yeux caves d'une journaliste de bas étage payée à la ligne. Le seul qui la faisait un peu s'échapper de cette prison à ciel ouvert, c'était Harry. Mais Harry s'est barré à ses dix huits ans. Il a craché sur la réalité pour s'enfoncer des aiguilles dans l'avant bras et rêver un peu plus fort d'un monde teintes technicolor. Il pourrait être mort aujourd'hui qu'elle le saurait pas Edith. Harry il a juste disparu, ses bouclettes claires et ses yeux bleus encore vivants dans sa seule tête. Ça a toujours fait parler cette histoires d'yeux. Tous couleur d'océan agité sauf les siens à elle, d'un gris anthracite aux étincelles verdâtres. Et les cheveux, le nez, la taille… Edith elle est jolie mais physiquement, sur Leeford Street elle a toujours dérangé, des grésillements sur un bruit de fond sourd, pas grand chose et surtout pas assez fort pour qu'on ose douter de quoique ce soit mais la rumeur c'est comme la poussière, elle revient toujours.

Gamine intelligente, elle s'imaginait des histoires et noircissait des dizaines de pages d'illustrations abstraites et d'idées de personnages. Elle tâchait ses mains à l'encre indélébile de l'ambition et pensait voir plus loin que tout le monde. Amoureuse des mots, elle tissait sa toile et jouait sur les textes, n'importe lesquels, qu'elle bouffait comme si sa vie en dépendait. La notice des céréales du matin, Shakespeare, les ingrédients dans son shampooing, le journal de son frère, l'avenir dans les étoiles… Elle se voyait médecin Edith, riche et renommée, débarrassée de la crasse du quartier avec une résidence sur les hauteurs de Londres, loin de cette foutue Tamise qui hantait même ses rêves la nuit, cette eau grasse et grise qui charrie la mort, parfois des objets insolites.

La logique des chiffres pourtant, ça lui a toujours échappé, la complexité des équations ne l'ont jamais captivée, ces putains d'histoires de signes ça l'a toujours perturbée. Elle a abandonné l'idée après une épreuve de A-levels sanglante, et des mots qu'elle préfère oublier. Elle a jamais perdu cette idée de faire quelque chose de prestigieux Edith, alors elle s'est rattrapée sur le droit. Ça claque et les notes étaient excellentes. La fac était une évidence, s'éloigner, un besoin vital.


Romeo+Juliette

Il lui avait tout de suite plu, grand, sombre, les prunelles azuréennes, la voix grave et posée. Il l'avait captivée d'office, lui faisant oublier la médiocrité de l'institution, ses rêves brouillés par la pluie et sa vie, linéaire. Ils auraient été parfaits ensemble, des dieux de la misère. Il était prof, Edith, elle était son élève. Ses lèvres, c'était l'interdit, s'y suspendre, elle n'y avait le droit que du lundi au vendredi, à l'écouter parler au fond d'un amphi décrépit. Il était beau dans sa quarantaine, hypnotique, cachant sa violence, celle qu'on apprend quand on est gosse, lorsqu'on grandit ici. Le faire succomber, ça avait été le plus simple. Des sourires en coins et des oeillades, une fascination à peine niée et ses avances d'étudiante qui n'y connait rien, séduisante en diable dans sa jeunesse (pas) dorée.

- On peut pas. Faut arrêter Di’
- Tu dis toujours ça.
- J'suis serieux p'tain. Je risque mon travail.
- Moi j'risque rien.
- Tu peux être renvoyée.
- De cette université d'merde ? Thanks God.

- Tu veux pas arrêter.
- Non j'veux pas. Je dois.

Des inconscients. Ils marquaient au fer brûlant les lits d'hôtel de leurs nuits d'amour. De leurs jours souvents. S'enfermer un weekend end entier pour jouir de leurs corps s'entremêlant, elle vivait pour ça. L'enseignant et son élève. Alistair et Edith. Elle en est tombée amoureuse. Trop conne. Accro’ à son corps, à son esprit tortueux, à ses manières sèches, à ses iris assassins. Amoureuse pour une fois. Et du Diable en personne.

Flirter avec le danger, toujours un peu plus, toujours un peu plus longtemps. L'aimer passionnément c'était devenu son quotidien, le défier, le rendre fou, un peu jaloux, son unique distraction. Il l'avait inscrite au concours d'éloquence inter universitaire de l'année, l'événement dont tout le monde parfait. La récompense c'était l'saint Graal, une putain de bourse pour Harvard.

- Je savais que tu gagnerais.
- Tu savais rien.
- T'as du talent Edith. Regarde moi, s'il te plaît.
-  Tu te débarrasses de moi Alistair. Tu m'envoies aux USA parce que t'as peur de nous. T'as peur des foutues conséquences si ça s'apprenait.
- Arrêt…
- Arrête toi. Arrête de mentir, d'avoir peur pour ta réputation, j'voulais qu'on parte ensemble Alistair !
- Je peux pas, tu le sais.
- Tu peux jamais ! Je suis rien à tes yeux ? Me touche pas. Me touche plus jamais.
-  Edith.
- Au revoir, professeur.



Touch down

Dans ses draps elle l'aime encore. Dans l'avion qui quitte l'Angleterre elle l'aime encore. Dans son sommeil elle l'aime encore. Ses lèvres hantent ses rêves. Sa fragrance ne la quitte plus. Elle le veut mais elle l'a perdu. La vérité c'est qu'Harvard, ça la terrifie. Le luxe suitant et l'intelligence synthétique... C'est pas son monde. Elle se sent comme une anguille entourée de requins, s'imagine mal refaire le monde désormais. Cette année d'échange c'est presque un cadeau empoisonné, à des milliers de miles de ce qu'elle connait. La danse est mortelle, Edith, apprends les pas putain.

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blanca! EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS 4205929361
bienvenue et bon courage pour ta fiche! EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS 2511619667
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welcoooooooome parmi nous ma belle. EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS 1365124802 :heaart:
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Kaze Faulkner

Âge : 34
Lieu de naissance : chicago (IL)
Quartier d'habitation / Colocation : south boston
Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : dreamrutine@tumblr
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department

EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS MxYCaQhr_o

EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS Kaze

RPS en cours :
00 RPs › 20/10 → 27/10
00 RPs › 27/10 → 03/11
01 RPs › 03/11 → 10/11

OCTOBRE : 19
NOVEMBRE : 01
Warnings : viol, suicide, dépendance à l'alcool, violence, sexe
RPS : 136
Messages : 38307
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Kaze Faulkner
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modération & codage | WRECKED SOULS › waiting for a moment
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t158203-kaze-faulkner-max-ironsRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t158517-meetsachussets-fkaze
BIENVENUUUUUUUUE EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS 1365124802
(Kaze Faulkner)




“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”

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bienvenue :heaart:
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bienvenue ici avec ta belle EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS 73120010
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Te voilà donc parmi nous.EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS 1f60d

Bienvenue chez toi & bon jeu! EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS 1f618
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bienvenuuuuuuue :heaart:
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Bienvenue EDITH HOHENSTAUFEN ► CHARLEEN WEISS 152426858
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