Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI've missed your stupid face. [PV Rory]
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I've missed your stupid face. [PV Rory]

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Rory & Charlie
(2000 ans plus tard)



Elle avait réorganisé ses vernis en un dégradé de couleurs selon le spectre optique. Il était assez affolant de constater qu’il ne lui avait pas manqué une seule nuance pour le reconstituer véritablement et qu’elle avait même pu le faire deux fois. Elle avait compté les taches, fissures, étrangetés non identifiées, sur les murs. 47. Elle avait fait des dessins. Un d’une petite maison avec un toit rouge entourée de marguerites dans de l’herbe violette. Un d’un ciel avec des oiseaux bleus en V qui allaient vers le soleil pour essayer de freiner Icare afin qu’il ne se brûle pas mais c’était trop tard une partie des ailes était déjà trop près. Le ciel était couleur pêche. « Il faut du pêche. », avait-elle dit un jour à un garçon qui n’en était pas un et qui avait fait un cauchemar. Il faut du pêche, toujours. Un d’un chien-loup rose-framboise qui était terrifiant, il ne faut pas croire. Mais en vrai c’était un chien-loup très gentil, mais tout le monde croyait qu’il était sanguinaire, sauf qu’il avait aidé à enlever le mazout de la plage la nuit sans que personne ne le voie, et en fait toute la ville devait la plage propre à ce chien-loup. Mais comme ils avaient trop peur, jamais personne ne le saurait. C’était triste. Alors Charlie lui avait fait un ami, c’était une coccinelle mais qui était un mâle, elle avait des pois noirs. Et un corps chocolat parce que ça allait bien avec le pelage du chien-loup. Après, elle avait essayé des tenues. Puis elle avait relu de très vieilles lettres auxquelles elle n’avait pas touché depuis des années mais qu’elle emportait toujours avec elle. Les écritures étaient enfantines ou adolescentes, presque matures. Ça l’avait fait sourire, alors pour ne pas pleurer, elle s’était mise devant son miroir, s’était regardée dans les yeux sans expression pendant six secondes puis avait éclaté d’un grand rire très fort. Et elle avait fait des grimaces. Comme ça c’était passé. Et elle s’était entraînée à faire des grimaces pendant dix minutes. Après elle avait regardé autour d’elle, vu le sol, s’y était allongée : elle y fit le bonhomme dans la neige sur le tapis. En se relevant elle s’était assise, s’était précipité sur son tiroir, en avait tout enlevé avec hâte. Seul était resté dans sa main son MP3 dont elle mit le volume à fond. Alors elle dansa. Et quand elle se rendit compte qu’elle dansait, elle s’arrêta. Quinze minutes étaient passées. Elle afficha ses dessins aux murs. Et elle rangea même sa chambre, ce qu’elle ne faisait jamais.
Mais rien n’y faisait. Elle s’ennuyait toujours autant. Sa colocataire était partie, elle se retrouvait toute seule. Elle ne voulait pas déranger Reaghan encore, qu’elle avait appelée il y avait deux heures. La jeune fille devait sûrement travailler. À la rentrée, Cyrla était partie. Cam Callums aussi. Camille, Milicent n’étaient plus là non plus. Beaucoup des personnes avec qui elle était amie avaient quitté Harvard voire Cambridge et en cette quatrième année, il fallait donc qu’elle reconstruise sa vie sociale. Mais la très bonne nouvelle était donc l’arrivée de Reaghan qu’elle connaissait depuis longtemps. Cependant rien n’y faisait, elle était bel et bien toute seule ce soir. Son père avait qui elle vivait jusqu’à son entrée chez les Lowell cette année, n’était sûrement pas à la maison ce soir.

Or, la solitude, Charlie détestait. Et malgré toutes les activités faites jusque là, elle ne parvenait pas à véritablement s’occuper. Il fallait qu’elle soit avec quelqu’un. Aussi décida-t-elle de descendre au foyer, peut-être y aurait-il des gens, même à vingt-deux heures. En pyjama blanc avec des oursons, pas gênée le moins du monde, tout à fait sexy vous vous imaginez, elle sortit de sa chambre pour aller retrouver l’humanitééééé !
Ou plutôt le foyer vide avec l’horloge qui faisait tic-tac. Mais il y avait une télé, au moins. Elle s’installa dans le canapé, posa le thermos de thé qu’elle avait emporté et une tablette de chocolat (elle était trop gourmande) sur la table et mit une série policière qui passait par là. C’était un peu mieux qu’être toute seule dans la chambre, au moins, il y avait des gens qui parlaient. Et elle ne se gênait pas pour commenter, leur tenant la conversation sans retenue comme s’ils lui répondaient. Plus ridicule, c’était possible ?

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1er café.... 7h. Hélas ce ne fut pas le seul, il fallait qu'il se lève tot pour pouvoir travailler, surtout que sa prof d'art etait une personne tyrannique au sang de bulbe de facochère putéfrié à l'acide chlorydrique. Sur ses mots un peu lourd à encaiser tel un pudding. Rory se metta au travail, il rentra dans son atelier se trouver boulevard Awkward à Cambridge c'est un atelier qu'il loua au pret d'un vieux crouton boiteux pour pouvoir entretenir son exposition d'art qui se trouve à New York. Rory semblait pertubé par le bordel qu'il avait foutu la veille... Il se demandait comment il pouvait entasser autant d'ordure en si peu de temps! C'est pas que Rory était bordélique ça non! -o- enfin il avait son bordel organisé comme on dit! 6 ème café et il est 12h! Un peu sur les nerfs Rory se tue à la tache sur une toile sans queue ni tête. Il essayais de reproduire un Van Gogh sans utiliser aucun Peinture! Mondieu... Entre le sang de porc et le curry il avait de forte nausé, il cherchait un moyen de faire du vert! mais pas n'importe quel vert Le Vert! qui fera trembler les murs! Il partit dans la maison des Lowells pour emprunté la cuisine, Il c'est habiller en conséquence tel un physicien fou, il avait le tablier ainsi que les lunettes de protection... Il mélangea tous ce qu'il venait de piquer chez les Dunster pour faire un mélange de couleur... On l'aurais prit pour Mr Jack dans le film de Burton... Ecrasant insecte et autre bricoles... Il n'arrivait pas a trouver se qu'il cherchait. C'est alors qu'il lui vaint une idée... La Poudre de Sauterelle qu'on utilisait dans le colorant alimentaire pour faire LE Vert! Il chercha partout une sauterelle, mais en Hiver c'est super chaud d'en trouver... 15 ème café il est 19h, la nuit est tombé sur harvard après la troisieme explosion en cuisine parce que oui Rory était vraiment nul en physique il décida de lacher l'affaire... Il trouva un vert mais pas comme celui qu'il voudrait. Il prit le recipiant qui expirait une fumé douteuse jaunâtre mais la potion était fin prête. Il partit pour son atelier, mais en marchant des bulles apparraissait... Il se mit à courir sortant de la cuisine en poussant femme et enfant en hurlant: " CA VA EXPLOSEEEEER!!! " Il rentra dans le foyer où se trouver Charlie, hurlant a la mort il ouvrit une fenetre par la précipitation et jeta le recipiant qui explosa comme un gros pétard en fermant la fênetre faisant tout pour pas qu'elle s'ouvre il se retourna l'air de rien et vis Charlie. Il leva les sourcils l'air de dire " Qu'est ce que tu me veux? J'ai rien fait c'est pas moi" La nerveusité dù à l'éxcès flagrant de cafeïne l'avait rendu intentiné parano et il lui dit: « Tu ... n'as... rien... Vu... » Et il s'enfui en courant dans une démarche un peu bizarre quand même, il retourna dans sa chambre retirant son tablier et ses lunettes et redescendit aussi avec une lampe torche. Il revit Charlie mais ne fit pas attention à elle il ouvrir la fênetre un courant d'air froid et glacial emprisona la pièce et il éclaira la ou ses doutes le menait à l'explosion pour voir les dégats il vit le trou que cela avait causé et il vient a devenir blanc comme un linge il se retourna fermant les fenetre faisant tomber la lampe torche à terre et vit toujours Charlie, il arqua un sourcil: « Charlie? Euh ... » Il ne savais pas quoi dire un peu honteux de son attitude, il décida alors de faire le fière et s'asseoir sur un fauteuil comme si de rien n'était...

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Elle était installée depuis peu quand quelqu’un entra. En hurlant. Avec un truc bizarre, fumant, qui faisait des bubulles à la main. Charlie ouvrit ses grands yeux et fit de très très gros yeux. Mais qu’est-ce que c’était que ce truc par tous les Dieux ?!
L’étudiant se précipita à la fenêtre et jeta la fiole. Ça fit « cliiiiiiiing ». En très fort. Et « PRRROUUU » aussi. Un peu « boum », également. Elle arqua ses sourcils plus fortement encore et ses yeux s’élargirent d’autant plus – le regard de Charlie était vraiment très expressif. Madoue mais il avait fait quoi, là ? Le pire… C’est qu’il semblait ne même pas se rendre compte de ce qui l’entourait. Ah ! si, quand même, il la remarqua. Rien vu ? D’accord… On allait dire ça comme ça… Elle n’avait rien vu… Hum. Et il fila quatre à quatre dans les escaliers. Ça, c’était une entrée fracassante ! Pour un peu, elle aurait pu croire avoir rêvé tant il était parti vite. Mais le jeune homme revint, débarrassé de son tablier et de ses lunettes, lampe torche en main. Ainsi, la rousse le reconnut. Il était bien un Lowell et si elle ne se trompait pas… Il s’appelait Rory. Elle n’avait eu aucun mal à retenir son nom, parce qu’elle avait connu un Rory. Mais ce n’est pas le sujet et vous n’avez pas à en savoir plus sur cette vieille histoire. C’était loin derrière elle, là-bas en terre d’émeraude. Et surtout, elle avait un autre… Problème ? Le Lowell retourna à la fenêtre sans lui adresser un seul regard et de sa lampe torche, il éclaira semblait-il le sol. Charlie frissonna, un courant d’air glacial s’engouffra dans le foyer. Un pyjama à nounours, c’est mignon, ça tient généralement chaud, mais ça ne résiste tout de même pas à une subite attaque d’un vent froid. Cependant elle l’observait, sa curiosité définitivement piquée. Qu’est-ce qu’il avait pu vouloir faire avec ce truc ? Et surtout, c’était quoi ?
Le jeune homme ferma la fenêtre et se retourna, son visage paraissait bien plus pâle que lorsqu’il était redescendu. Leur regard se croisèrent tandis que la lampe torche tombait sur le sol. « Tuntun » fit-elle. D’abord gêné comme le prouvait sa voix, il changea radicalement d’attitude en moins d’une seconde et s’assit fièrement sur un fauteuil.

Elle le fixa avec ses yeux grands ouverts, le dévisageant sans discrétion. Alors là, il était vraiment dingue et bizarre, cet énergumène. D’accord. Elle était très mal placée pour parler de cette façon. Mais quand même. Son comportement et ses faits étaient pour le moins extrêmement étranges.
Charlie n’y tenait plus. Elle cessa de se mordre les lèvres et fit résonner son rire de cristal dans le foyer. Son visage n’était pas moqueur, simplement tout de joie. Ce Rory était terriblement intrigant, et il connaissait même son prénom, à elle. … Okay. Elle n’était pas la fille la plus discrète du campus et vu qu’elle passait son temps à s’entraîner dehors pour en théâtre en inventant des tas de trucs, la moitié d’Harvard devait le connaître à force. En plus, ils étaient dans la même maison, et ils connaissaient tous un peu le prénom de tout le monde grâce à ça. C’était une des choses qu’elle aimait dans ce principe. Les premières années elle avait dénigré les maisons parce qu’elle ne voulait pas être cataloguée mais la Lowell House, c’était différent. La seule chose que ça disait de vous était que vous pratiquiez un art. Lequel ? Aucune idée. Et ça ne disait pas le caractère non plus. Il y avait des artistes passionnés, des inventeurs, des acharnés, des travailleurs, des je m’en foutiste, des déterminés, des doués naturellement, des gentils, des ambitieux, des calme, des dingues. On ne pouvait pas savoir. La Lowell House, c’était un peu comme une boîte surprise. On ne savait jamais sur quoi on allait tomber, mais c’était toujours intéressant car chacun de ses membres avait une personnalité propre et quelque chose à révéler, dévoiler, offrir. Pas le temps pour la monotonie chez les violets, on était toujours surpris. C’est pour ça qu’elle avait décidé d’y entrer.

Violet Lestwood (et en plus, son prénom était la couleur de sa maison, c’était pas un signe ça ?) se calma enfin et reporta son attention sur… L’alchimiste en herbe ?

« Hum, pardon. Désolée. »

Elle le dit en se mordant les lèvres de nouveau. Le vit si fier et transpirant de sa maladresse en même temps. Céda. Elle éclata de rire de nouveau.
Charlie aurait rêvé d’entrer dans la tête du jeune Rory à cet instant précis. Lui, si faussement fier. Assis là dans une attitude de dignité qui peinait clairement à masquer sa honte. Si on y réfléchissait bien, c’était adorable. Elle ne comprenait pas cependant ce qui l’avait poussé à s’asseoir en face d’elle, qui avait tout vu. Ou bien c’était un ultime acte de courage, le valeureux guerrier qui fait face dans son dernier combat ? D’accord. Elle délirait complètement, elle le reconnaissait pour une fois. Mais à sa place, elle aurait fait un grand sourire toute fière certes, mais serait partie. Lui restait là. Tant mieux : elle allait pouvoir en savoir plus ! Et ne plus être toute seule. Voyez, elle ne s’ennuyait déjà plus depuis que cet étudiant avait débarqué dans la pièce ! Rien de mieux que la compagnie.
Se rendant compte qu’elle avait peut-être exagéré en riant elle le regarda avec un petit air contrit, se pinça un peu les lèvres en une moue d’excuse et cligna des yeux en détournant le regard. Puis ses yeux se reportèrent sur Rory mais sans le détailler cette fois. Elle avait cessé d’écarquiller les yeux et ils clignaient de nouveau, battant des cils comme tout un chacun, délivrés de l’étirement forcé que Charlie leur avait subir dans son étonnement.

« Oh lala, désolée. C’est que… Tu… C’était quoi ça ? Le prototype raté de création d’un canari intelligent ? »

Oui, c’était bien la première chose qui lui était venue en tête quand elle avait tenté de comprendre pourquoi il y avait un truc jaunâtre qui avait fait boum dont Rory tenait absolument à se débarrasser.
C’était une scène digne d’un film. Le chimiste fou. En plus, il avait des taches de couleur un peu partout sur sa blouse tout à l’heure. Comme s’il avait reçu des projections de peinture, mais ça ne ressemblait pas à de la peinture

« En tout cas… C’était chouette à voir ! » s’exclama-t-elle avec malice, retenant son rire cette fois.

Elle voulait de la compagnie, elle en avait enfin, il valait mieux qu’elle ne lui fasse pas prendre la fuite, hein ?
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Je dois dire que je ne me serais pas attendu a un tel résultat. Une belle explosion, je me sentais fiere d'avoir reussit un exploit que je n'avais jamais réussit en cours de physique au collège... Je me souviens encore d'un cours de physique j'avais 13 ans, j'étais avait une très bonne amie enfin mon première amour elle s'apellait Violet je ne me souvennais plus de son nom de famille. Je doit dire que son père ne m'aimait pas me traitant de Rookie. Lors de l'experience on a du faire un reaction chimique avec du sulfate de cuivre hélas j'avais eu toujours la poisse Ca a fait une explosion... Toutes la classe c'était foutu de ma gueule mais pas violet... Elle etait la seule a me comprendre et a être si gentille avec moi... Je dois dire que c'étais la seule qui comptait pour moi plus que tout... J'étais mélancolique rien de repenser à ses souvenirs qui me plaisait comme tout. Mais mes pensées fut chassé par les mots de la jeune femme. « Hum, pardon. Désolée. » J'eus un sourire tant dis qu'elle riais aux éclats, je dois dire que c'était normal j'étais si fièr pour éviter de cacher ma maladresse naturel en m'asseyant sur le fauteuil je lui répondit: « Ce n'est pas grave... » et elle me posa une question qui m'intriguait tout au plus! « Oh lala, désolée. C’est que… Tu… C’était quoi ça ? Le prototype raté de création d’un canari intelligent ? » Un Canari intelligent? Elle m'a prit pour un Dunster où quoi? Je riais si elle savait se que je faisait elle m'aurait surtout pour un taré ou un carrement pire un suicidaire de l'art ! Qui pouvait croire en une tel imagination elle me faisait penser a Alice aux pays des merveilles toujours à imaginer des choses improbable tel qu'un Ver de Soie fumeur de Narguiler ou bien d'un Chapelier dansant à s'en démembrer le corps entier... Je lui répondit: « C'était de la peinture expérimentale si je suis puis dire... »J'étais pas convaincu par mes mots n'empêche j'arquillais un sourcil comme vraiment pas convaincu du tout et je respirai d'un grand coup et je m'affala sur le fauteuil en disant: « Enfaite c'est comme si je faisait de la cuisine chimique sauf que la c'est la peinture... J'essaye de peindre le champs des corbeaux de Van-Gogh, mais j'avais besoin de vert enfin bref délire de peintre abjecte! » Je dois dire que j'étais content qu'elle me coupe la parole avec ses mots « En tout cas… C’était chouette à voir ! » J'eus un sourire pour la jeune femme, elle etait aussi chaleureuse que la cou;leur cendrée de sa chevelure j'avais un faible pour les rousses, on les craint mais pourtant j'adorais tellement la couleur qu'émanait leur âme et surtout leurs visage... Un mélange de cuivre et d'or seul un artiste pouvait comprendre mes état d'âmes mais je lui dit: « Je te remercie Charlie... Ca te dérange si je reste avec toi? Je crois que je ne vais plus retoucher a la cuisine des Lowells avant un très long moment je le craint! » Je me suis mis a rire afin d'éviter un autre échec ou tenter de faire exploser encore une fois le gazon des Lowells! je jeta un oeil sur la télé une série télévisés... Mon dieu elle regardait une série vide de sens, j'essayais de réfléchir a ce qu'il y avait a regarder mais je ne savais pas quoi finalement j'avais envie de jouer a un jeu serait t'elle pret a jouer avec moi?

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Bon, okay. Exit le canari intelligent. Elle était allée un peu loin, là. Mais de la peinture expérimentale, c'était original aussi comme concept ! Non ? En tout cas, elle n'en avait jamais entendu parler et ça l'intriguait ! Van Gogh. Van Gogh ! Elle adorait ce peintre. Du moins ses peintures, ne l'ayant jamais rencontré. Elle aurait adoré. Charlie aimait beaucoup sa technique de peinture, elle avait l'impression de ressentir les couleurs et les éléments peints. Comme si les toiles respiraient et parlaient. Elle avait vu quelques unes de ses toiles à New York -un des bons points de son habitation à Cambridge, c'était que maintenant New York, c'était plus si loin, c'était plus aussi cher. Elle se demandait ce que ça pouvait donner de la peinture culinaire en Van Gogh -ou l'inverse.

« Et tu as fait quoi pour essayer d'obtenir ce vert, "peintre abject" ? Tu y vas un peu fort d'ailleurs, je n'ai pas l'impression que tu sois aussi abject ! D'ailleurs... Du Van Gogh fait avec de la peinture culinaire, j'aimerais bien voir ça ! Tu fais toujours des expériences de ce genre quand tu peins ? » demanda-t-elle, souriant un peu malicieusement, mais réellement vivement intéressée.

Alors ça, bien sûr que non ça ne la dérangeait pas ! Elle préférait largement être en compagnie. Les séries, ça lui plaisait bien... Mais c'était vraiment quand elle était toute seule et qu'elle s'ennuyait. Elle ferait tout pour passer du temps avec des gens qu'elle appréciait, elle ne donnerait rien pour payer une télévision si elle avait à choisir.

« Bien sûr que non ça ne me dérange pas, au contraire, je m'ennuyais ! J'espérais justement trouver quelqu'un en descendant au foyer. Et je crois qu'il est effectivement mieux que tu restes ici, alors je vais te séquestrer par bavardage ! »

Elle le dit avec un sourire amusé, malgré son humour assez douteux.

« À moins que tu aies une meilleure idée pour nous occuper ? » dit-elle les yeux brillants, toujours avide d'occupation, de mouvements, d'activité.

Charlie détestait dormir, elle détestait ne rien faire. Pour elle, c'était une perte de temps. Mais elle se devait bien d'obéir aux impératifs vitaux de son corps et elle cédait au sommeil malgré tout. Cependant, là, elle était parfaitement partante pour faire n'importe quoi qui fût autre chose que regarder dans le vide une télé.
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[quote="E. Rory McGillian"]
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« Et tu as fait quoi pour essayer d'obtenir ce vert, "peintre abject" ? Tu y vas un peu fort d'ailleurs, je n'ai pas l'impression que tu sois aussi abject ! D'ailleurs... Du Van Gogh fait avec de la peinture culinaire, j'aimerais bien voir ça ! Tu fais toujours des expériences de ce genre quand tu peins ? »
Je me suis mis a rire quand elle parla, je dois dire que c'était adorable la façon qu'elle essaye de me défendre de mes propre propos. Ce n'était pas souvent qu'on le faisait enfin j'étais quelque de défaitiste à mort il m'arrivais de ne pas aimer mon travail au point de bruler ma toile a coup de Kerosène. J'étais un peu comme un maniaque de mes oeuvres. Il fallait que je fasse ça bien sinon ca finit en fumé! Je ne savais pas quoi lui répondre d'un coup, j'étais comme hypnotisais par la couleur de ses cheveux... le feu de cheminé qui flamboyait faisait de ses cheveux des flammes qui dansait je voyais soudain une inspiration pour un portrait plutot amblématique de ma culture Irlandaise... Une princesse d'un monde fantastique au cheveux flamboyant et qui controlerai le feu. Je pouvais partir dans un délire tel que tout ceci ne viendrais même pas convaincre que je n'étais qu'un Artiste mineur face à la nature... Belle était la nature que je subjegais de mes peinture... Je lui répondit n'empeche: « Bah enfait j'ai piquer pas mal de produit chimique aux Dunsters... Hélas je suis tellement nul en physique bah que ca faisait bizarre j'ai obtenu le vert que je voulais mais comme tu pouvais le voir ca a fait un jolie feu d'artifice dehors.... Si tu veux jt'emmenerai a mon atelier que j'ai en ville tu pourras voir ça. Expérience de ce genre? Culinaire premiere fois. Sinon on me demande beaucoup d'être originale dernière fois que j'ai peint une toile avec un Parapluie dansant sur Umbrella de Rihanna je dois dire que sa rend pas mal on dirait une peinture Marine avec la Houle qui emporte les naufragés. Très symbolique...» Je dois dire que je n'étais pas le genre d'artiste a ne penser qu'à l'Argent, biensur se serait hypocrite de dire que je ne pense pas au ventes que je peut faire c'est se qui me permet de manger après tout. Je lui demanda alors si je pouvais resté a ses cotés... Elle m'intriguait je voulais dessiner... Je voulais la dessiner... Elle me rendait comment dire je ne sais pas comme expliqué ça mais j'ai l'impression de la connaitre, l'impression de l'avoir déjà vu ses cheveux. Je crois que ses cheveux me donne envie de plonger mes doigts dans cette chevelure... Rory ressaisie toi ! « Bien sûr que non ça ne me dérange pas, au contraire, je m'ennuyais ! J'espérais justement trouver quelqu'un en descendant au foyer. Et je crois qu'il est effectivement mieux que tu restes ici, alors je vais te séquestrer par bavardage ! » Sequestrer par bavardage? Je me mis à rire soudainement je doit dire que je ne m'attendais pas à ça vraiment! Mais pourquoi faire? Je n'osais pas lui demande si elle pouvait etre mon modele si je pouvais la dessiner. Je voyais déjà mes tracés dans la tête cela faisait longtemps que ca ne m'était pas arrivé d'avoir une envie soudaine de déssiné. Je dois dire que cela m'arrive souvent avec Cheyenne ou bien Alek quand il est bourré on dirait un Danseur Fou coimme ça très drôle en tout cas « À moins que tu aies une meilleure idée pour nous occuper ? » Effectivement une idée me trotta dans la tête alors je lui : « Si tu me permet ma ravisseuse d'aller chercher mon carnet à dessin et un fusain je te tirerai bien le portrait mais d'une façon particulière... Je ne te montrerai pas l'étendu de mon dessin... Pour le voir tu devras répondre à mes questions et tu pourras toujours me poser des Questions... Le jeu durera le temps de mon dessin qu'en dit... J'estimes le temps a 45 minutes pour le dessin et 30 minutes pour l'Aquarelle donc ca viendrais a plus d'une heure environ est tu inspiré pour se jeu improviser Ravisseuse? » Je savais forcement qu'elle allait dire oui, alors je prit mon courage à deux mains pour me sauver sautant deux par deux les marchent menant à ma chambrette. En Ouvrant je voyait des fils de cordes a linges fixer un peut partout traversant la chambre en diagonales d'une façon: Toile d'araigné unijambiste. Je fouillais dans mon bazzart sur mon lit truvant ma boite de fusain roh le con un etait ecrasé reduisant mon drap house d'un vulgaire drap de mineu, je décida en une minute de refaire mon lit et ranger tous ce qu'il y avais. Trouvant mes papiers que je rangis dans ma poche arrière au cas où et de mon carnet de dessin ainsi que de mes fusain. Ma boite de crayon d'Aquarelle ainsi que fiole d'eau et d'un pinceau. J'allais faire de se dessin l'un des plus beau de ma collection. Je dois dire que le modele me plaisait enormement. J'ai toujours cette sensation nostalgique de la connaitre... Peut être que ja la connais d'une vie anterieur je doit dire que je n'y croyait pas a cette fantasmagorie tel que les petites boites bleu plus grande à l'intérieur.... Je revenais dans la pièce elle était toujours la je m'asseya sur mon fauteuil je me mis en tailleur, j'étais toujours dans un Jeans un peu déparaillé dechiré sur les genoux, un Tshirt ainsi que sur mon bras droit une mitaine qui remontait le long de mon bras de l'autre on pouvait voir le tatouage que j'avais. J'ouvris mon carnet à dessin et dit d'une voix grave: « Prête mademoiselle la ravisseuse? La prémière question est pour toi! »


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Ce qu’elle avait dit fit rire Rory et même si elle ne comprenait pas pourquoi, elle sourit, contente. Elle aimait quand les gens riaient. Elle aimait entendre des rires, c’était un son clair, qui sonnait sans hésitation, sans trouble. C’était sincère, naturel.
Sa réponse, d’ailleurs, la fit rire également. Il avait été piquer des produits aux Dunster ? S’ils s’en apercevaient, Rory devrait sûrement se terrer dans son atelier jusqu’à la fin de l’année scolaire… Bien qu’ils n’aient pas une réputation belliqueuse, on ne savait jamais, quand ça touchait aux passions. Elle fit les yeux ronds quand il lui expliqua sa peinture avec un parapluie sur Umbrella. Elle aurait bien aimé le voir, tenez ! Et le résultat, aussi. La façon dont il en parlait donnait envie. Par ailleurs, il semblait avoir une conception de l’art propre à lui-même, et elle appréciait sa façon d’en débattre. Il n’était pas difficile de sentir qu’il ressentait son art. C’était l’une des grandes qualités que Violet tenait pour nécessaire chez un « artiste ».

« Je tâcherai de me taire si les Dunster viennent me torturer pour savoir si je sais quelque chose alors ! » dit-elle en souriant, amusée par Rory. « Hum, oui, j’ai vu… Tu n’as pas essayé un truc moins dangereux du genre… Écraser de la mâche, ou une salade du genre ? Ou de l’herbe ? En les mélangeant, ça peut peut-être faire le vert que tu voulais… »

En fait, l’expérience de Rory, ça l’amusait bien. Elle essaierait un jour ! Même si elle était très, très, très, loin d’être une bonne dessinatrice.
La toile faite avec le parapluie l’intriguait, et elle essayait de s’imaginer le Lowell la réalisant. Ce devait être assez spécial à voir ! Mais beau, peut-être aussi.

« J’aurais aimé te voir ! Et j’espère bien que tu m’amèneras à ton atelier, hein ! D’ailleurs, si tu fais d’autres trucs comme ça et que tu as besoin d’une assistante, je suis toujours partante pour de nouvelles aventures ! » finit-elle en souriant, riant presque.

Elle ne s’attendait absolument pas à ce qu’il propose une telle activité. Elle eut à peine le temps de lui répondre qu’il était déjà parti. Lui tirer le portrait ? Ce serait une première ! Et maintenant qu’elle y pensait, elle réalisa qu’il avait une étrange façon de la regarder. Comme s’il voyait quelque chose en elle. Quelque chose d’autre qu’elle-même. Une dimension plus fantasmagorique, inspirée sûrement par son âme de peintre, qui devait voir, sentir, des formes et des visages, là où d’autres ne voyaient qu’une seule réalité. Il avait, en outre, un regard perçant. Profond. Comme habité par un feu joyeux, prêt à saisir n’importe quel bois pour l’élever en puissance illuminatrice, flamboyante. Il était vif, absolument vif, énergique, mais de l’intérieur. C’était une belle force, qu’une telle énergie intérieure. Ça poussait au loin.
Fugitivement, elle eut l’impression de se souvenir de ses yeux. Ils lui rappelaient quelque chose. Quelqu’un, peut-être. Plutôt. Mais elle ne savait plus, et peut-être inventait-elle, ça lui arrivait souvent de croire connaître alors que tout n’était qu’invention de son esprit.

Rory revint, s’assit de nouveau sur le fauteuil. Elle n’avait pas remarqué son tatouage tout à l’heure, mais il faisait presque tout son bras gauche. Elle n’aurait jamais le courage de s’en faire – en plus, sur sa peau de lait, ça risquerait de ressortir tellement que ça jurerait. Ce serait plus laid qu’autre chose. Mais elle le voyait bien, lui, ancrer sa peau d’un dessin. Comme si un peu de son esprit venait onduler sur son corps, trace de son âme de dessinateur.
Il la qualifia de nouveau de ravisseuse ce qui la fit sourire, et en maître du jeu il lui intima de commencer. Il lui laissait l’honneur de la première question. Mais avant de réfléchir, elle se permit une remarque :

« Je dois être une bien piètre ravisseuse pour que tu sois parti sans ma réponse ! Cela dit, cette activité est tout ce qu’il y a d’attrayant, alors, allons-y ! Mais… Juste le portrait, hein ? Pas plus bas ? Parce que, c’est pas qu’un pyjama à nounours c’est pas sexy, mais j’ai mieux comme tenue, quand même… » demanda-t-elle, légèrement désireuse de ne pas être reproduite vêtue comme ça. Elle n’était pas du genre à avoir honte, mais se faire tirer le portrait en pyjama, c’était pas top non plus, il faut l’avouer !

À présent, elle se devait de trouver une question. Elle savait qu’il s’appelait Rory. Qu’il était un Lowell, et peintre. Il devait donc étudier les arts. Il semblait un peu plus vieux qu’elle, il étudiait à Harvard depuis au moins quatre ans, donc. Il était passionné. Sûrement un peu fou sur les bords. Il devait avoir des idées à la seconde quand il était inspiré, et il s’investissait certainement beaucoup dans ses œuvres. Il avait plutôt l’air de vouloir s’amuser en les faisant, non pas se lamenter, vu ses expériences. Donc il devait être optimiste comme personne, non ? Du moins, enjoué, positif ? Et c’était à peu près tout ce qu’elle savait sur lui. Il avait des attitudes décontractées, à l’aise – même s’il avait masqué sa honte sous un air fier tout à l’heure, presque comme un enfant (c’était tout mignooon)– et ne semblait pas être du genre à se plier à des formalités. Si elle faisait le point, elle ignorait donc son nom de famille, ses origines, son âge, depuis quand il était vraiment à Harvard, s’il avait de la famille, ses goûts, et tout un tas de choses basiques de ce genre. Elle n’avait pas envie de les connaître maintenant. Charlie, elle aimait bien quand elle découvrait l’identité des gens un peu après les avoir rencontrés. Pas trop immédiatement. Laisser simplement une conversation s’installer, entre deux anonymes, ce qui était parfois beaucoup plus léger. Alors. Une question. Une question pour un début.

« Quand tu regardes, comment tu vois ? »

Avant que sa bouche ne dise, elle ne savait pas quelle question serait posée. Elle s’était lancée, en se concentrant sur autre chose que les banalités, et c’était né. Sûrement parce qu'elle avait été troublée par sa façon de regarder, tout à l'heure aintenant, à Rory de répondre. Et ce n’était pas une question compliquée, après tout. C’était une question qu’un enfant aurait pu poser. Ce sont les adultes qui compliquent les réponses en cherchant des mots. Dans ces cas-là, il ne faut pas chercher les mots, il faut les laisser venir. Au peintre de jouer.


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Rory & Charlie
(2000 ans plus tard)




« Je tâcherai de me taire si les Dunster viennent me torturer pour savoir si je sais quelque chose alors ! » disait elle amusée par mes dire et soudain je lui répondit: « Mais il y a surtout interet si tu veux pas te retrouver sur un Starship U.K » mais elle parla soudain de ma couleur chimique, qui a faillit tout faire peter chez les Lowells: « Hum, oui, j’ai vu… Tu n’as pas essayé un truc moins dangereux du genre… Écraser de la mâche, ou une salade du genre ? Ou de l’herbe ? En les mélangeant, ça peut peut-être faire le vert que tu voulais… »... Je lui répondis ayant trop peur de ramener un trop ma science, quoi que je n'étais pas du genre à dire que j'étais quelqu'un de très intelligent mais voila je lui répondit alors: « Bah enfait les plantes si elles sont écrasé ne feront pas un vert mais plus un jaune pisse... pour faire un vert m'aurait fallu des sauterelles séché mais le quartier chinois a été fermer donc pas de sauterelles » dis-je d'un ton assez blasé effectivement ca aurait été plus simple effectivement d'avoir utilisé des insecte écrasé comme font ceux qui fabriquent les colorant alimentaires... Et puis je lui racontais alors mopn aventure avec un parapluie ce qui l'intrigua et lui fit dire: « J’aurais aimé te voir ! Et j’espère bien que tu m’amèneras à ton atelier, hein ! D’ailleurs, si tu fais d’autres trucs comme ça et que tu as besoin d’une assistante, je suis toujours partante pour de nouvelles aventures ! » J'eus un sourire a cette phrase, cette envie de nouvelle aventures j'en étais ravis! Je lui dit alors: « Mais se serait avec plaisir de t'emmener a mon atelier... » [...] Je suis revenu avec mon carnet à dessin et elle me dit : « Je dois être une bien piètre ravisseuse pour que tu sois parti sans ma réponse ! Cela dit, cette activité est tout ce qu’il y a d’attrayant, alors, allons-y ! Mais… Juste le portrait, hein ? Pas plus bas ? Parce que, c’est pas qu’un pyjama à nounours c’est pas sexy, mais j’ai mieux comme tenue, quand même… » je me suis mis a rire alors que je tournais les pages de mon carnet de croquis comment a griffoner quelque trais en lui disant: « Oh c'est bien dommage je te trouve adorable avec ton pyjama se serait dommage de ne pas immortaliser ceci, mais comme tu veux. » Je me souvenais alors du pourquoi la ravisseuse et cela me faisait rire alors tant dis que je commençais à la dessiner elle reflechissa alors a une question je me suis mis a sourire tout seul en dessinant c'est alors que j'entendis ça question: « Quand tu regardes, comment tu vois ? » Je releva la tête arquant un sourcil c'était tellement phylosophique cette question, je posa le bout de mon crayon sur mon menton faisant mime de réfléchir et je lui dit: « Comment je vois.... Je vois comme une personne normal, mais quand je tombe sur une scene ou un paysage qui me plait je l'imagine sur une toile, je la vois comment la peindre, quel genre de pinceaux utilisé et quel peinture utilisé... Pour une marine je prendrais de la peinture à l'huile pour un paysage forestier j'irais a l'acrylique, pour une prairie j'irais à la pastel... C'est assez compliqué d'expliquer. » Après avoir répondu sa question, je lui montra mon dessin, on pouvais voir que les traits du contour du visage, le dessin n'était pas finit effectivement alors bon voici le dessin finit sans Matt Smith :P Après qu'elle l'es vu je me remis au travail en cherchant une question interessante: « Dit moi qu'est ce qui ta poussé a vouloir rester avec moi se soir? »


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Rory & Charlie
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Se retrouver sur un Starship UK ? Il avait de bonnes références ! Charlie ne put s'empêcher d'éclater de rire. Puis le jeune homme lui expliqua pourquoi il n'avait pas pu utiliser des plantes et, non loin de passer pour un intello vantard, la rousse était vivement intéressée par ses explications. Elle avait ses yeux agrandis par l'intérêt, comme un enfant émerveillé quand il apprend quelque chose. Elle hocha la tête, acquiesçant d'un silence révérencieux.
Rory termina son explication et lui dit qu'il qu'il l'amènerait avec plaisir à son atelier, ce qui fit pétiller les yeux de Charlie. Elle ne manquerait pas de le lui rappeler ! Car sans savoir pourquoi, ce jeune homme l'intriguait, il lui paraissait avoir une personnalité tellement incroyable et fantasque qu'elle rêvait de voir ses peintures. Comme un enfant piétinant d'impatience pour aller dans un parc d'attraction. Sauf que Charlie avait vingt-deux ans et souhaitait voir les œuvres d'un peintre expérimentaliste. Tant est que cela se qualifiait. Le Lowell s'était levé pour aller chercher son carnet et revint, commentant son pyjama. L'Irlandaise sourit à sa remarque.

« On va dire que mon adorabilité pyjamesque restera juste entre toi et moi... Une exclusivité réservée au peintre Rory ! Du genre, tu as le monopole de me voir dans ma tenue la plus sexy, tu vois ? Privilège de l'artiste ! » répliqua-t-elle, le regard faussement intime, rieur.

C'est alors qu'il répondit à sa question. Charlie ne la trouvait pas philosophique, réellement. Pour elle, c'était une question simple. Presque banale. La réponse de Rory lui soutira un sourire comme timide, presque déférent. Elle ne pouvait comprendre réellement la façon de procéder du peintre, mais elle comprenait qu'il le ressente de cette façon. C'était difficile à rapprocher du théâtre ou de la danse, mais elle s'imaginait que c'était comme en musique : selon les émotion s, elle produirait telle ou telle note. Lui, peignait avec tel outil pour tel ressenti face à ce qu'il devait réaliser. La rousse hocha la tête pour signifier qu'elle approuvait.
Et elle eut donc le droit de regarder les débuts du jeune homme. Ce n'étaient que les premiers traits, mais d'une part, elle n'aurait jamais été capable de faire ça (Charlie et le dessin...), d'autre part, on sentait déjà le coup du peintre. Son style, si vous préférez. Il lui semblait, rien que dans cette esquisse, apercevoir, sentir, le style du Lowell. Elle le regarda, admirative. Ne dit rien d'autre que ce que son regard disait, pour une fois.
En outre, Rory avait déjà posé sa question. Elle entrouvrit légèrement les lèvres, eut un sourire léger tandis que ses yeux se baissaient, détourna le regard vers la droite, se mordilla la lèvre inférieur ; réfléchit. C'était une bonne question. Vraiment, elle trouvait qu'il avait posé une bonne question.

Pourquoi restait-elle avec lui ce soir ? Certes, elle avait besoin de compagnie. Mais il ne s'agissait pas que de ça. Chaque personne attirait pour une raison ou pour une autre.
Elle ne savait pas trop. Tentait de le définir. En attendant, lui dit :

« C'est votre regard mon très cher Rory, mon cœur en a aussitôt été transpercé, et vous m'avez charmé, je suis soumise à vos maléfices, ne puis m'y soustraire et, ah ! Dieu ! Vous m'avez séduite et perdue dans le même temps ! C'en est fait de mon âme par votre regard ! Et puis, enfumé, précipité, affolé par votre expérience... C'était une attitude terriblement envoûtante que vous aviez, vous imaginez bien. »

Elle le regarda, se pinça les lèvres en pouffant doucement de rire, consciente de son propre ridicule. Mais c'était le temps de trouver une vraie raison... Cela dit, oui, oui, Rory avait de beaux yeux.

« Plus sérieusement, tu m'es apparu comme quelqu'un de totalement fou, et de tout à fait adorable. Les deux en même temps. Alors déjà, ça intrigue comprends-tu ! Et puis, tu as quelque chose de sympathique. Tu as l'air d'être quelqu'un qui n'a pas peur de vivre, d'oser, d'expérimenter, de tester. Et comment refuser la compagnie de quelqu'un comme ça, hein ? Puis, non, vraiment, je ne sais pas. Il y a quelque chose chez toi qui fait que tu es attachant, d'emblée. J'ai l'impression qu'on pourrait vraiment bien s'entendre, ce qui, je l'avoue, est prématuré parce qu'on vient juste de se parler. Mais j'ai tendance à exagérer mes rencontres très rapidement. » répondit-elle, sincère.

Elle avait l'impression de s'être encore empêtrée dans ses explications, mais elle avait toujours du mal à exprimer par des mots ce qu'elle ressentait. Avec de la musique, de la danse, du théâtre, c'était bien plus compréhensible. Mais elle se voyait mal danser pour expliquer à Rory pourquoi elle voulait rester, c'était un peu exagéré, toute Charlie qu'elle soit.
Et c'était donc à elle de lui poser une question. Elle aurait été curieuse de savoir pourquoi lui aussi restait avec elle. Mais une autre question s'imposa à elle, et elle ne put que s'y soumettre :

« Alors... Dis-moi... Quel est ton meilleur souvenir ? »
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