LOWELL TAUCHIN ► Douglas Booth

C'est le 27 novembre 1990 à Londres, que les membres de la famille Tauchin m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Lowell. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Arts visuels depuis 4 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Winthrop House.

fils d'une prostitué ▲ Nul en mathématiques ▲ Artiste ▲ Polygame ▲ Confiant ▲ Sarcastique ▲ Mère biologique inconnue ▲ Déteste sa belle mère ▲ Flemmard par excellence ▲ méprise les enfants gâtés

▲ En tant que membre de la gent masculine, nous avons certaines pulsions sexuelles lors de notre puberté qui nous poussent à aller sur des territoires inconnus. Certains d’entre nous parviennent à les assouvir en entrainant des relations avec le sexe féminin. Quelques adolescents, dont je faisais partie, n’ont toutefois pas l’aisance nécessaire pour parler aux filles. Ils tentent donc d’assouvir leur appétit sexuel par d’autres moyens, tels que par l'intermédiaire de sites internet ; un jour je n’avais plus de batteries sur ma souris sans fil, j’étais sur un site pornographique et quelques-unes de mes amies de la pension sont entrées dans ma chambre. Le tout fut parfaitement synchronisé à mon plus grand regret. Bref, disons que les filles de la pension ne m'ont plus jamais regardé de la même manière et je m’abstiens à toute activité de ce genre depuis cette mésaventure.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Zoella et j'ai 18 ans. Je suis Cannadienne et j'ai connu le forum grâce à top-site. Le forum est actif et l'ambiance à l'air génial alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Douglas Booth comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par SPACEORPHAN. Je fais environ un trop grande nombre de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲

La vie d’un Tauchin me demandez-vous? C’est tout simplement celle d’un enfant qui tente avec plus de peine que de mal à gravir les échelons de la vie quotidienne, vous répondrai-je. Pour être plus précis, je suis le bâtard de Marcus Tauchin. Ce cher bureaucrate avait la fâcheuse habitude de passer la nuit dans un bordel plutôt qu’avec la vieille chouette qui lui sert de femme. Elle n’a jamais cru que son mari était un coureur de jupons, malgré le fait que l’une des donzelles de ce dernier s'était présentée au pied sa porte, ronde comme un ballon. Madame Tauchin a néanmoins réussi à se débarrasser de ce vilain désagrément par l’intermédiaire de son compte en banque. Quelques mois plus tard, la cigogne avait déposé la boîte de Pandore sur le porche de la famille Tauchin. Elle contenait tous les maux de celle-ci : moi en l’occurrence.


« Une seule enfance est supportable : la nôtre. »
de Louise Maheux-Forcier


Quand j’étais un jeunot, je préférais utiliser mes doigts plutôt qu’une cuillère en argent pour manger ma soupe. J’étais trop paresseux pour avoir une posture qui favorisait un bon maintien. Au moindre son provenant de ma gueule, la populace me demandait si j’avais un cheveu ou bien encore un fil sur la langue. Les enfants de la bourgeoisie ne m’appréciaient guère. Ils me considéraient comme un enfant dégoûtant, qui ressemblait à Quasimodo due à mes problèmes de dos. Ces petits bourgeois s’amusaient à me traiter de tous les noms, tels que Lowell le bâtard. Le proverbe « la vérité sort de la bouche des enfants » prend alors tout son sens, même si certains de ces bien-fondés sont des choses que nous aurions préférées taire ou ne pas entendre. Bien que je voulais me défendre, le fait de zozoter auprès de mesdames et messieurs ne faisait qu’amplifier leurs moqueries et leurs éclats de rire. Bref, les enfants de bourgeois m’avaient fait comprendre que je n’étais pas des leurs. Je ne me considérais même pas comme un Tauchin. La maîtresse de maison me l’avait clairement fait comprendre. D’une part, le nom Lowell signifie loup. Je ne crois pas qu’elle m’ait prénommé ainsi pour ma tignasse épaisse. C’est plutôt pour souligner mon côté « loup solitaire ». En effet, j’ai toujours trouvé qu’un individu n’est mieux servi que par lui-même. D’autre part, la femme de mon père biologique ne m’a jamais donné l’autorisation de l’appeler « maman » ou par toute autre appellation familière à ce mot défendu. Elle a peur que ce terme trahisse son âge avancé. Je lui ai plutôt fait savoir que l’usage du Botox faisait déjà tout le travail. Je pense que cette vieille chouette n’a guère apprécié, car le lendemain j’ai été envoyé en pension.


« L'adolescence est une emphase : elle est sensible à la bassesse, plus encore qu'à l'erreur. »
de Jean-Michel Michelena


La grande partie de mon adolescence fut consacrée à parvenir à plaire à ma famille en me conformant à leurs champs d'intérêt. Je passais mes soirées à noyer mes aspirations, à abrutir mon être dans des sujets qui ne m’intéressaient absolument pas. J’ai tout d’abord commencé par les mathématiques : un, deux, trois, bordel que je m’emmerde, cinq, six, sept, à quoi sa rime tous ces chiffres ? Ensuite, je me suis attaqué aux sciences, mais les trucs dans le genre E=mc2 ou toute autre formule d’Albert Einstein ne sont point ma tasse de thé. Ne vous fiez toutefois pas aux apparences. J’adore bouquiner, mémoriser ainsi qu’apprendre pour alimenter ma soif de connaissances. Je ne veux tout simplement pas devenir médecin, scientifique ou toute autre noble profession au quelle ma tendre famille (dit-il sur un ton sarcastique) aspire à ce que je devienne.


Je vous arrête tout de suite les donzelles ! Il ne faut pas prendre cette expression au sens propre du terme. On ne devient pas un gigolo à l’âge de seize ans tout de même… C’est plutôt le moment où j’ai réalisé que la vie d’intello ne mettait nullement destiné. En effet, je déteste jouer les rats de bibliothèque, je déteste le café et je déteste encore plus faire des travaux scolaires jusqu’à l’aurore. Je suis tout simplement un cancre dénué de tout bon sens... Un individu dont une partie de son existence a été gaspillée afin d’atteindre le piédestal inatteignable de sa famille d'accueil. Je me suis donc résigné à mener cette vie. Maintenant, pourquoi ne pas expérimenter la fatalité de la jeunesse éternelle ?

Bon aller ma prose est médiocre, allons directement aux faits : j’ai connu mon heure de gloire avec une certaine Germaine à l’âge de dix-sept ans. Pour connaître le nombre de mes conquêtes, on doit appliquer la règle de trois. Si je vous dis le chiffre douze, on le divise par trois, ce qui veut dire que quatre demoiselles ont eu la chance de passer une nuit sous ma couette. Néanmoins, je ne suis pas du type monogame. Ensuite, j’ai consommé ma première boisson alcoolisée à un âge tardif, à savoir à l’âge de dix-huit ans. La consommation de substances illicites fait aussi partie de mes expériences de vie, mais que j’ai par la suite grandement regrettée… Fiesta, amusement, bulletin de notes qui dégringolent, mal de cœur, vomissement, la vieille chouette l’apprend, quelle horreur !


« Un adulte c’est un enfant qui a réalisé ses rêves. »
de Michel Boujenah


L’avènement de mes dix-huit ans signifiait le retour au bercail. Je constatais que rien n’avait vraiment changé dans le paysage tristounet de Londres le jour de mon arrivée. En effet, l’épouse de mon père avait la même expression qu’à mon départ. Cette mégère ressemblait dorénavant à une véritable poupée de cire. Bref, j’ai entamé mon entrée dans la demeure des Tauchin, le cœur serré. La tension était palpable dans la maison en ce jour du jugement dernier.

J’avais l’impression d’avoir mon premier sex talk avec ma belle mère, chose que je n’ai jamais eue d’ailleurs. Elle me parlait de tous les sujets de la vie adulte : la sexualité, la consommation de substances illicites, de la bible, du mariage… Un peu plus et cette folle organisait mon mariage avec une religieuse ! Mon entrée à l’université sonnait les cloches de la débauche dans sa tête. Après avoir pris conscience de mes ébats des derniers mois, elle ne voulait pas que le nom de sa famille soit terni davantage. Donc, elle a décidé de m’envoyer étudier le plus loin possible, à savoir aux États-Unis. Je pouvais étudié n’importe qu’elle matière qui me plaisait, il fallait tout simplement que je lui jure de ne jamais revenir à Londres. Ça ne me dérangeait pas le moins du monde, car rien ne retenait dans cet asile de fou. De plus, on dirait que les Américaines ont un faible pour l'accent britannique. Même en Europe en peuvent entendre les cris d'admiration pour le groupe que se nomme One Direction. Alors, pourquoi ne pas à mon tour tenter ma chance ?

Je suis maintenant âgée de vingt-deux ans. J’étudie à l’Université d’Harvard et j’entame ma quatrième année en Arts visuels. Je suis le bâtard des rues de Londres : Lowell le magnifique. Es-tu prêt à te joindre à moi pour vivre des aventures inoubliables?

Buzz lightyear, personnage dans le long métrage Toy Story.

J’espère que tu ne me prends pas trop au sérieux quand même? :P