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w/@DIMITRI A. M-WILDINGHAM — newed
Les hôpitaux. Je collectionnais les visites depuis quelque temps. Que ce soit pour moi ou pour les groupes de paroles de Valentin. Mais aujourd’hui c’était différent. C’était pour Dimitri que je venais. Pour lui rendre une petite visite. Bon, d’accord, je n’aurais pas dû venir aujourd’hui pour je ne sais quelle autre raison, mais il n’avait pas besoin de savoir tout ça, si ? Non, pas besoin, il allait être assez content de ce que je lui préparais. En arrivant au comptoir je voyais Sarah-Lynne que je connaissais très bien, du coup lui demander un petit service n’allait pas du tout paraître étrange. Elle était de bonne humeur, par chance et acceptait ma petite manigance. Me passant un sac avec ce que j’avais demandée, un grand sourire planté sur mes lèvres et elle me donnait l’étage et le numéro de chambre où trouver selon elle le petit prince charmant. Je lui offrais un clin d’œil avant d’aller vers l’ascenseur, et lorsque j’arrivais au bon étage, je me dirigeais vers les toilettes pour mettre cette tenue horrible de patient. Sortant la petite peluche de prompt rétablissement de mon sac pour être encore plus chou, attachant mes cheveux vers l’arrière. Maintenant, direction sa chambre. Je toquais et ouvrais la porte voyant sa nouvelle condition physique à peine entrée dans la salle. « Heeeey sexy, on arrête de bouder, c’est plus l’heure du thé. » J’étais tel un petit rayon de soleil, souriante et rayonnante malgré que mon boxer était à moitié à l’air dans cette tenue. C’était pour toi ça Dimitri, clairement pour toi.

(Invité)

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feat. @BECCA WINDFORD-STOE

Je viens de balancer mon portable sur la table à côté de ma lit. Je viens juste de me rendre compte que Hope m'a utilisé et m'a prit pour un con. C'est pas particulièrement le fait qu'elle soit en couple qui me dérange, bon peut être un peu que si, mais c'est surtout le fait qu'elle était déjà en couple avec lui quand on a couché ensemble et quand on a apprit à se connaître. Je le vis mal. Je le prends mal, donc clairement j'ai pas envie de la voir. Je lui avais proposé un facetime, mais non, j'ai plus envie. Je suis trop énervé pour le moment. Tellement que j'en oublie que Becca doit venir me voir. Je m'en souviens quand ça toque à la porte et que je vois la jeune femme entrer dans ma chambre. Oui je le reconnais parce qu'elle ressemble quand même à sa photo de profil tinder. Je suis content de la rencontrer. Je pense que ça va me faire penser à autre chose. Je crois que j'en ai bien besoin. Je remarque rapidement qu'elle porte une tenue de patient, histoire qu'on soit à égalité et ça me fait rire. Après tout on aurait pu espérer mieux comme première rencontre. Moi, allongé dans mon lit d'hôpital dans un état affreux. " J'ai le droit de bouder, j'en peux plus de ce lit d'hôpital. " Je n'ai qu'une hâte, c'est de sortir d'ici. Malheureusement je vais devoir m'armer de patience avant de pouvoir sortir et retourner chez moi. " Mais tu joues le jeu de la patiente aussi, c'est cool comme ça on est dans la même tenue. " Après tout je ne pensais pas qu'elle viendrait me rendre visite à l'hôpital. Mais ça me fait vraiment plaisir.

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w/@DIMITRI A. M-WILDINGHAM — newed
J’avais attendu son message toute la journée de dimanche, et quand j’avais finalement eu ce dernier, j’étais soulagée. En partie à cause de cet attentat de merde qui était tombé. Je m’étais inquiété pour lui. Parce que je savais qu’il y allait. Parce qu’il avait l’air adorable, puis que ça m’avait fait peur. Vraiment peur. Alors ouais, j’avais fait une action un peu cucul en demandait à une infirmière cette tenue, mais c’était pour lui montrer que j’avais une parole, puis que ça ne me dérangeait pas si ça pouvait le mettre à l’aise. Du coup ben je prenais sur moi et j’entrais dans cette chambre, un grand sourire sur le visage pour dédramatiser la situation dans laquelle il était. « Non, hors de question de bouder. Un lit d’hôpital ça s’apprivoise. » Je le savais, j’avais eu ma propre expérience dans ce domaine. Pas pour les mêmes raisons, certes, mais tout de même, j'y avais passée énormément de temps. Je m’approchais de lui, et je voyais que la tenue de patiente faisait quand même un minimum d’effet. « Ouais, j’aurais pu garder ma tenue super confortable, mais j’aime bien celle-là, elle laisse passer les courants d’air. » En disant ça, ouais, je lui avais clairement montrée la fente immense que je me tapais pour lui, pour ses beaux yeux. Sauf que je gardais un sourire idiot en faisant ça. Et quand je finissais mes conneries, je lui tendais l’ourson docteur trop cute. « C’est pour toi. Je ne sais pas si ça va te plaire, mais, au moins t’auras un docteur pas trop méchant avec toi. » J’étais gêné. C’était quoi ce cadeau tout pourrit en fait. Waw, fallait que je fasse des efforts pour pas passer pour la gamine de base.

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feat. @BECCA WINDFORD-STOE

On aurait du se rencontrer le dimanche, le lendemain de l'explosion. Malheureusement, j'étais loin de pouvoir le faire. J'étais dans un profond sommeil. Donc quand je me suis réveillé, j'ai pensé à prendre des nouvelles de tout le monde et seulement après j'ai voulu prévenir Becca. Normal. On a plutôt bien parlé sur Tinder, donc oui je veux pouvoir la rencontrer et surtout elle avait le droit de savoir que j'allais bien. Elle savait que j'étais au discours du maire, donc elle s'est douté que j'avais été touché. Donc c'est normal que je lui dise que tout va bien pour moi. Enfin, je suis plutôt très mal en point, mais tout va bien. On fait avec. De toute façon je ne vais pas sortir avant un bon moment. Ils veulent me garder encore un peu en observation. Je comprends, j'ai reçu une balle le poumon. " Ah ouai ? Tu crois ? " Je ne suis pas totalement convaincu. Une chambre et un lit d'hôpital c'est déprimant. Heureusement j'ai reçu quelques cadeaux de mes proches pour tenter d'embellir la chambre. Mais moi tout ce que je veux, c'est retrouver ma chambre à moi et surtout mon lit et la bouffe de l'hôtel. J'en peux plus de celle de l'hôpital. Je comprends comment les hopitaux foutent des gens à la porte. Ils leur donnent de la merde à manger, ça évite les squatteurs. " Fait gaffe de ne pas attraper froid quand même. " Je me mets à rire en la regardant. C'est vrai que la tenue de patient n'est pas la meilleure qu'il soit. Je ne porte pas grand chose en dessous. C'est même plutôt gênant, mais c'est pour ça qu'elle a enfilé la tenue aussi, pour qu'on soit à égalité lors de notre première rencontre. " Oh mais fallait pas, mais merci, cet ourson est bien plus mignon et beau que les infirmières de cet hôpital. " Oui je me plains de la beauté des infirmières. Dans les films elles sont beaucoup mieux. Je pose l'ourson en peluche mes côtés pour qu'il me tienne compagnie. " Bon par contre, je t'offrirais bien quelque chose, mais j'ai que de l'eau à te proposer. " Pas top mais je suis bloqué dans ce lit, donc je ne peux rien faire d'autre. " Jamais j'aurais cru qu'on se rencontrerait de cette façon, au moins on s'en souviendra. " Ca c'est sûr.

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w/@DIMITRI A. M-WILDINGHAM — newed
Non, je ne croyais pas que tout le monde pouvait accepter de vivre dans une chambre d’hôpital, parce que c’était spécial, et à son questionnement, je comprenais qu’il faisait partie de ceux qui n’y arriveraient jamais, ce qui me faisait sourire discrètement. « Oh tu sais, ça ne vaut pas de l’or, mais c’est déjà ça. » J’y avais vécu pendant presque la moitié d’une année et je me portais comme un cœur, du coup même s’il allait devoir attendre plus que prévu, il n’y resterait jamais aussi longtemps, du coup ça devrait aller. Je lui montrais l’horrible ouverture de ma splendide tenue de patiente pour le faire rire, ce qui marchait assez vite. « Promis je vais essayer. » Ben ouais, ça serait triste de chopper la grippe à cause de ça, mais il faut avouer que ça serait aussi très drôle. Je lui tendais l’ourson et j’étais contente de voir que malgré que ce ne soit pas vraiment le cadeau qu’on s’attendrait d’une fille de vingt-et-un ans, ça lui faisait tout de même plaisir. Il le plaçait même à ses côtés ce qui me faisait rire. « [color=#b8699d]Ah ouais, t’es infirmière sont si terribles que ça ? » Bon, il ne fallait pas mentir, elles n’étaient pas toute canon, mais certaines étaient vite fait jolie quand on s’attardait bien sur elle. Encore fallait-il qu’elles soient souriantes et accueillantes, ça c’était autre chose. « L’eau c’est très bien, j’ai un entraînement ce soir. » Sportif à la vie à la mort. J’allais me tuer à la tâche un jour. Commençant ma marche vers les gobelets et la carafe, je l’écoutais parler tout en servant deux verres d’eau, déposant son verre sur sa table movible. Pour finalement prendre un fauteuil et m’asseoir à côté de lui pour mieux commencer la discussion. « Effectivement, je pense que ça peut-être quelque chose de mémorable. » Il avait un joli sourire, tout comme un joli regard. Je m’attardais sur ses blessures, grimaçant ironiquement. « Va falloir attendre pour le voyage avec tes bêtises. » Je rigolais à la fin de la phrase pour bien accentuer le fait que c’était une blague. Il prendrait le temps qu’il faut pour guérir, mais j’allais forcément l’emmener quelque part comme je lui avais promis si jamais ça l’intéressait. « Mais je suis contente que tu ailles quand même bien. » C’était sincère, comme toujours.

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feat. @BECCA WINDFORD-STOE

J'aime pas être ici, mais je n'ai pas le choix. Je suis obligé d'y rester pour qu'ils gardent un oeil sur moi. Je peux rechuter, retomber dans le coma ou je ne sais quoi. J'ai quand même failli crever deux fois sur la table d'opération. Ca fout un coup de se dire que notre coeur s'est arrêté de battre deux fois. Mais bon j'ai été grièvement touché en voulant aider une amie. Au final je me suis retrouvé au sol et c'est elle qui a voulu m'aider et elle s'est aussi faite tiré dessus. Une catastrophe. DOnc oui j'ai hâte de partir d'ici. Ok je vois du monde, les gens viennent me voir, ma mère est venue faire le tour de ses deux enfants à l'hôpital. Mais bon ce n'est pas pareil. Je ne peux même pas travailler. Comment je suis censé faire hein ? Ils sont quand même au courant que je gère des milliers d'hôtel. Je vais revenir au bureau, ça sera une catastrophe et je vais devoir travailler nuits et jours pour rattraper leur bordel. " C'est un mythe les infirmières sexys. " Je rigole alors que je le savais déjà. J'ai fais un petit sejour ici il n'y a pas si longtemps que ça. J'ai eu un grave accident de voiture à cause de la drogue que j'avais dans le système. Drogue que j'ai commencé à prendre suite à la mort de mon père. Mais maintenant ça va beaucoup mieux. " Entrainement de quoi ? " Je me serais bien occupé de lui servir son verre, sauf je suis incapable de le faire. C'est impossible pour moi de bouger. Je prends le verre d'eau qu'elle me tend tout en la remerciant évidemment. " Attendre un moment oui, parce que quand je vais enfin pouvoir sortir de là, je vais avoir un boulot monstre à rattraper, mais je ne t'oublie pas. " Non je lui ai dis qu'on le ferait et bien on le fera, sauf imprévu évidemment. Sait-on jamais qu'on découvrir qu'en vrai le feeling ne passe pas. Pour l'instant ça va. " C'est gentil... Tu connais d'autres personnes qui se retrouvent à l'hôpital ? "

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w/@DIMITRI A. M-WILDINGHAM — newed
Je le voyais en vie et la seule chose que je me disais c’était qu’il était chanceux. Il avait l’air d’aller bien, mais je comprenais son désarroi face à cette chambre, même si j’essayais de le faire la voir autrement. Les infirmières sexy sont des mythes selon lui, et ça me faisait rire doucement, parce qu’en vrai, il avait raison. « Elles sont chimères, c’est la vie. » Ben ouais, la seule vraiment sexy qu’il pourrait espérer ne se trouverait jamais dans un endroit aussi peu reluisant et vivant que l’hôpital. C’était bien trop étrange que d’apprécier ceci. Je lui parlais de mon entraînement vite fait, en pensant que ça ne l’interpellerait pas, sauf que j’avais tort, et j’étais agréablement surprise pour une fois. « Oh ben… Je dois aller courir trois kilomètres. Ce n’est rien de bien important mais, j’essaye de le faire tous les jours. » Ce n’est que ma passion, qu’un besoin sanglant de courir toujours plus vite sans s’arrêter. De plus, c’était une bonne fatigue qui suivrait. Je lui donnais son verre, tout en le regardant. Parlant du voyage promis qui serait à remettre à plus tard. « Ne t’inquiète pas, prends ton temps pour te remettre en forme. » Je rigolais après tout, je n’allais pas l’emmener tout fracasser ailleurs pour qu’il lui arrive peut-être autre chose et que je me sente mal, ah non. Il fallait qu’il se repose, qu’il attende de mieux se sentir, puis là on parlerait peut-être de ce fameux voyage. Il venait à me demander si je connaissais d’autres personnes ici, et je baissais la tête. « Disous que j’en connais quelques-unes, et une autre qui a carrément décidé de se faire soigner chez lui. Mais ouais, et toi ? Tu as des amis ici suite à l’incident ? » Revenant face à lui, je souriais. Je n’étais pas à l’aise dans cette pièce comme je l’aurais cru, mais j’essayais de tout mon cœur. « Dis-moi, c’était comment là-bas ? » Je ne savais même pas pourquoi je voulais savoir. C’était apeurant.

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feat. @BECCA WINDFORD-STOE

Ok donc après être venu me voir, elle va partir pour aller courir trois kilomètres. Je sais qu'elle est en étude de sport, mais c'est plutôt pas mal, surtout si elle fait ça tous les jours. Je suis loin de courir trois kilomètres par jour. Je suis sportif, mais plutôt en salle je dirais. Pas trop courir. J'aime pas trop ça. Mais après chacun son truc pour évacuer et faire du sport. Elle est en étude de sport, donc je suppose qu'ils doivent tous avoir une bonne condition physique. " Ok pas mal, pas mal. Si t'arrives à tenir de le faire tous les jours c'est bien, parce que je ne tiendrais jamais. " Et puis autant dire tout de suite, je ne suis pas prêt de remettre le pied dans une salle de sport. J'ai l'épaule complètement bandé et défoncé de l'intérieur à cause de la balle, et j'ai une jambe cassée. Donc il va falloir du temps pour que je puisse retourner en salle de sport afin de soulever quelques kilos. Mais bon ce n'est pas si dérangeant que ça. " T'inquiète pas, ça va aller, je vais essayer de m'en remettre vite. " Je sais que je dois me reposer, mais je ne fais que ça. Quand je n'ai pas de visite, je passe ma journée à dormir. C'est juste que je n'en peux plus de dormir. Mais bon je ne suis pas le seul dans cette situation, donc on va patienter. D'autres personnes n'ont même pas réussis à s'en sortir ou sont dans un pire état que moi. " Si y a rien de grave, tant mieux. Oui quelques amis et ma soeur, mais ils vont bien. " Inutile de préciser que j'étais avec Hope. Je n'ai clairement pas envie de m'éterniser là dessus. " C'était horrible... Ils ont à peine eu le temps de lancer l'évacuation, que la bombe explosait. C'était un massacre. Tout le monde voulait sauver sa peau et les tirs ont commencé. J'ai vu les corps tomber, le mien aussi... J'ai vraiment cru que j'allais y rester mais y a une femme qui est venu pour faire un point de compression en attendant les secours... Mais même si je fais le dur, c'est traumatisant. " J'avais déjà vu des images d'une attaque pareille à la tété. C'est déjà horrible, mais là c'est encore pire.

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w/@DIMITRI A. M-WILDINGHAM — newed
Il ne tiendrait jamais selon lui à un tel régime que celui que je me forçais à assumer tous les jours et ça me faisait doucement sourire parce que je voyais un certain respect à travers ses mots. Je ne sais pas, c’était étrange. Mais ça me faisait plaisir de voir que ça pouvait être impressionnant. « Ça fait déjà un moment que je tiens, donc on va essayer de pas perdre la main. » Je souriais malicieusement. « Après je comprends que ce n’est pas pour tout le monde. » Vraiment pas. Beaucoup de gens n’aimaient pas courir sans cesse, mais c’était une libération physique et mentale pour moi. Je le prenais comme une espèce de cure sportive. Il était cassé pour le moment, donc c’était sûr qu’il ne retournerait pas de sitôt à une attitude sportive comme il devait en avoir auparavant. Il devrait aller à petite foulée jusqu’à une totale récupération de ses muscles. « Oh ben j’ai confiance, je suis sûr que tu vas t’en remettre plus vite qu’on ne pourrait le croire. » Je rigolais à la fin de ma phrase, mais c’était plus parce que j’y croyais à ce que je disais. Il avait une bonne mentalité, du coup il s’en sortirait rapidement de cette passade de sa vie. Je lui demandais s’il avait d’autres personnes aux alentours, voir même à l’hôpital et il me répondait positivement. C’était frustrant n’empêche de le savoir. « S’ils vont bien c’est parfait alors. » Je l’écoutais conter cette histoire, son histoire, son point de vue sur l’attaque et ça me travaillait. C’était horrible. Voir des corps tomber, tout comme le sien et ne rien pouvoir y faire. « Je suis désolée. » Je ne savais pas trop quoi dire d’autres sur le moment, et de plus, c’était sorti tout seul. « Tout le monde aurait été traumatisé devant un tel spectacle. Rare seront ceux qui pourraient le nier. » Après tout, quand tu assistes à une telle action, tu ne peux pas faire comme si tout était rose et agréable.

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feat. @BECCA WINDFORD-STOE

C'est sûr que ça serait bête de perdre la main maintenant. Si elle a prit le rythme, autant ne pas le perdre. Je sais que je ne pourrais pas, parce que je n'aime pas courir. Je préfère alors aller dans une salle et me muscler un peu. Après ce que j'ai fais après ma rupture avec Carter, je me suis mis un peu à la boxe. Enfin j'avais besoin de me défouler donc j'ai commencé à frapper dans des sacs et ça libère. Sauf que dans mon état, je ne peux malheureusement pas le faire. " Oui je t'avoue que je suis plus du genre à aller en salle ou à taper dans des sacs de boxe, enfin je vais devoir attendre avant de pouvoir recommencer. " Bah c'est surtout que là je vais rester immobilisé pour un moi. Je vais devoir remuscler tout ça, surtout mon bras où mon épaule a été touché et ma jambe plâtre. Quoi que même l'autre parce qu'elle reste inactive. Enfin c'est l'horreur d'être bloqué comme ça. " Je vais tout faire pour. " J'ai hâte de pouvoir remarcher, de pouvoir courir sur mes deux jambes. Enfin j'ai hâte que tout aille mieux et puis de partir loin d'ici. Certes avec une fille que je connais à peine mais pourquoi pas ? Je lui raconte ce qui s'est passé ce fameux samedi où ma vie a failli basculer, où j'ai failli mourir, deux fois, étant donné que j'ai fais deux crises cardiaques pendant l'intervention des médecins. " J'essaye de faire le dur, mais quand je ferme les yeux, je vois tout ce sang, les morts et les blessés... Pour l'instant je dors parce que je prends des médicaments pour m'aider... "

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