Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEnzo ☆ Prendre soin de son frère comme de ma vraie famille


Enzo ☆ Prendre soin de son frère comme de ma vraie famille

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Tu viens de te réveiller, tu as mal partout, ton corps entier te détruit le crâne et le pire dans tout ça, tu as mal en respirant. Tu ouvres les yeux lentement, découvrant la pièce, si blanche et si parfaite face aux paroles de plusieurs personnes. Alberto est là, tu le reconnais à son costume, sa chemise blanche et ta veste noire. Bref, un homme d'honneur qui a du te sauver la vie plus d'une fois, encore une fois. Et tu gémis légèrement de douleur en voulant essayer de te réveler Merdia lâches-tu parce que la perfusion te fait mal et c'est un homme en blouse blanche qui te parle. Il parle anglais ce con alors que ton cerveau réagit qu'en italien Cosa ? mais bien sur, il te fout une lumière dans les lumières et tu en fermes les yeux pour resombrer dans les ténèbres de la mort. Lentement et paisiblement. Tout va très vite dans ta tête, tu revois ce monde où tu es tombé, ta main sur le crâne et ton hurlement quand Al a essayé de te bouger. Mais bien sur plus rien ensuite, comme le trou noir, tu te rappelles la voix d'Athénaelle qui te hurlait de rester en vie. Celle de ta mère qui te demandait de survivre et de Mia. Ta Emilia. Tu finis par ouvrir les yeux lentement mais cette fois ci Alberto parle avec un homme, un autre homme qui est bien différent du médecin. Tu l'observes, cette silouhette, cet homme, tu grognes, portant ta main faible à ton crâne Putain l'anglais cette fois-ci mais Al te demande de ne pas toucher, tu finis par bouger légèrement Qu'est que .. et la blouse blanche dégueulasse, tu tournes les yeux faibles vers Alberto qui te montre un t-shirt et un caelçon et tu en souris en coin faiblement, il te connait trop bien. Mais quand tu entends le nom de Enzo et si il pouvait l'aider, tu t'arrêtes pour observer cette silouhette avant de froncer les sourcils Ca va, je sais m'habiller .. Qu'est que tu fais là ? demandes-tu à ton frère avant de prendre le caleçon pour le mettre lentement sous la couette. parce que ouais, galère sinon. Et c'est tout ce dont t'es capable de faire parce que t'es déjà crevé .. La honte je vous jure

@Enzo T. Ferrari :heaart:
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La journée est habituelle. Pressante, étouffante, de surplus. Tu passes d'une tâche à l'autre dans une symétrie parfaite. Tu virevoltes, tu alternes les langues et les interlocuteurs et ton corps bat à un rythme effréné. Tu n'es pas de ceux adeptes de la lenteur Enzo. Un appel de ton assistante t'informe d'attentats en cours sur le Boston Common et tes yeux s'assombrissent. Tu sais potentiellement qu'il peut y avoir ta soeur, ton frère mais d'autres également. Les interlocuteurs de ta réunion t'observent mais tu ne laisses rien paraître. Le contrat que tu négocies est trop important et d'une envergure nationale. Tu ne peux pas passer à côté sous peine de passer sous le courroux paternel et de mettre de côté ta fierté. Tout bonnement impossible. La réunion s'achève finalement. Tu tentes de joindre Asia, pas de réponse. Puis Noah, mais l'appel se transfère immédiatement sur Alberto qui t'apprend son hospitalisation. Forcément, ton Sanguin de frère fait partie du lot. Ton corps ne tressaute point mais ton esprit fait face à une agitation machiavélique. Conduire te défoule et permet de remettre tes idées en place lorsque finalement tu pénètres dans la chambre blanche et impeccable de l'établissement. De ces odeurs de matériel médical que tu exècres et les intervalles sonores réguliers qui tintent au rythme de ton propre battant. Pour une fois qu'on est d'accord Noah. Tu échanges rapidement avec Al qui t'informe des blessures de ton Cadet et celui-ci s'éveille. Tu souris malgré toi au retour de l'italien entre ses lèvres. Puis il semble revenir à lui finalement. Il enfile son vêtement sous les draps et ces simples mouvements semblent l'épuiser. Tu te rapproches du lit médicalisé et y découvre ton frère en sale état, il faut l'avouer. Ce bandage incandescent lui donne une allure étrange, presque chétive.“ Faut croire que tu es toujours là.” Que tu lances avec un rictus. Le sarcasme c'est ton meilleur allié depuis toutes ces années mais tu sais ton frère résistant. Et quoi qu'il en pense, tu en es heureux. C'est toujours plus aisé de lui faire croire l'inverse, tu sais que ça nourrira sa force. “ J'ai appris pour les attentats, et je suis tombé sur Alberto en t'appelant.” Oui je me suis inquiété pour toi Enzo, bien que cela puisse te surprendre. Je suis moi-même le premier étonné. “ Tu ressembles à un œuf de Pâques.” De cette douceur et tendresse toute fraternelle. Tu lui donnes finalement le tee-shirt alors que tu délies rapidement les nœuds de sa blouse dans son dos. “Comment tu te sens?” Tu vas vite le savoir si il est en forme ou non de toute façon. Tes billes océanes se posent sur les fraternelles alors que tu sondes son visage pour te préparer à accueillir la déferlante. Mieux vaut une vague que son absence.
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Tu n'es pas trop bien depuis que tu t'es réveillé. Tu es légèrement faible encore de cet attentat. Sérieusement c'est quoi ce délire et c'est quoi cette merde. Alberto t'aide à te relever alors que tu gémis légèrement de douleur. Ton coeur a envie de se barrer, tu le sens tambouriner dans ta poitrine. Quand ton frère commence à te taquiner, tu ne peux pas t'empêcher d'être sur la défensive mais il est au courant, t'es pas du réveil Ca va, la ramène pas Enzo Parce que tu as mal au crâne et même Al fait gaffe en te manipulant de peu de se prendre un coup. Tes mains se posent sur ta tête avec ce bandage débile que tu sens et Alberto te tend un bonnet noir, petit rictus pour toi finalement Merci Al Faible mais il sait que ça compte pour toi, il sait comment tu es, comment tu déteste les hôpitaux donc il sait que moins tu en vois, mieux c'est. Mais voilà quand ton frère t'avoue ce qu'il fait là, ton regard se pose sur l'italien face à toi et tu fronces les sourcils, sauf qu'il continue. Arrête, j'ai mal au crâne, j'ai du me prendre le sol ou une pierre, ça me brûle tu n'as pas relevé sa première réponse parce qu'il le sait, tu ne parleras pas de ça en présence de ton homme de main mais aussi de ton plus fidèle bras droit. Et honnêtement, tu n'as pas envie d'être niant niant avec lui. Alberto te fait asseoir et tu fixes le mur en grimaçant quand tu sens les mains de ton frère t'aider à défaire les liens. Fais chier, t'as mal partout mais tu te retiens de lui dire Ca va, je vais bien .. Sauf que ton dos dit autre chose, noir de bleu et le torse doit être pire. Tu enlèves cette blouse pour observer ton torse puis tu soupires en levant les yeux ensuite vers Enzo Ca va, c'est rien, ça va partir Disons que ton torse est rempli d'ecchymoses rouges mais bon, tu prends le t-shirt à manches longues pour l'enfiler avec les fils. C'est pas terrible mais ça fera l'affaire. Tu remontes comme toujours en manche trois quarts pour souffler et tu fixes un instant Al puis Enzo Je peux sortir dans 1 heure ? Quoi ? T'aimes pas les hôpitaux, tu vas pas cracher sur le fait de sortir tout de suite non ?
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Ton frère pour toi, c'est ce petit con qui la ramène toujours trop. Il hurle tout ce que tu tais. Il provoque et affronte là où tu te mets en retrait. Tes billes froides observent le corps abîmé entre les draps blancs. Et ça te fait quelque chose de le voir comme ça. T'as beau le détester, tu voudrais pas qu'il parte. Pourtant, tu le sais. Il sera le responsable de ta chute. Si tant est que tu le permettes un jour. Toute l'ambivalence fraternelle se déploie là, entre vous deux. Trop maladroits, trop fiers, trop différents. Jamais vous n'exposerez vos failles, quand bien même son corps sera couvert d’ecchymoses. Tu l'aides néanmoins à changer de vêtement parce que c'est ton rôle Enzo, bien qu'Alberto veille sur ton Sang comme son ombre. “Quelle idée d'aller à une fête foraine... vraiment.” Le discours du maire encore, tu aurais pu comprendre. Un verre passe encore. Mais la fête foraine c'est absurde, idiot, enfantin et sans intérêt. Et dire que ça aurait pu lui coûter la vie, cela aurait été un drôle d'affront à l'existence luxueuse que vous vous efforcez de poursuivre. Tu observes les contusions encore rougeâtres qui bientôt passeront au bleu sombre, tu t'interroges sur la maltraitance que son corps a subi. Tes yeux se relèvent vers Al. “Ils lui ont passé une IRM?” Parce que là, tu veux être certain qu'il n'y ait pas plus de dommages. Tu te recules une fois la chose faite et entend Noah demander si il pourra sortir dans une heure.  Ton visage se referme. “ N'y pense même pas, tu dois rester au moins vingt quatre heures en observation. Crois-moi je préfèrerai tout autant me débarrasser de toi, mais ce n'est pas prudent.” Tu observes ta montre machinalement, tes yeux passant au dehors de la fenêtre. Vous n'êtes pas de ceux qui expriment le positif. Vous êtes bien plus doués pour la haine et le ressentiment. Tu repenses à vos jeunes années, à celles où Noah n'était encore qu'un tout petit garçon, ce même feu vous animait et il voyait alors en toi ce modèle à incarner. Tu étais bien plus tempétueux Enzo, incontrôlable mais plus authentique. Et puis tout a changé, il ne reste plus que cette froide rivalité et cette haine malsaine entre vous. Tes lèvres s'ourlent d'un rictus alors que tes prunelles océanes se reportent aux fraternelles. “Je veux un combat à la loyale.” Cette maladresse exprimée par les mots qui l'incite à prendre soin de lui, à ménager ce corps meurtri pour mieux t'affronter, à l'accepter dans ce cercle choyé de tes ennemis. Tu lui fais une place et bien qu'elle soit destructrice, elle existe et se fait désormais légitime.
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Tu fixes ton frère pour froncer les sourcils. Il devient gentil et agréable presque mais t'en sais rien, t'es crevé et tu veux crever tellement tu as mal partout en fait. Tu finis par enlever ta blouse et mettre ton t-shirt noir, la taille des bleus ne t'inspirent pas confiance mais tu t'en fous. Tu fixes un instant Alberto puis ton frère et tu soupires doucement Mylis voulait aller à la fête foraine okay ? Et bien sur que c'est de la merde la fête foraine, merci, je lui ai déjà dis des centaines de fois bordel lâches-tu avant de soupirer. Ouais t'es un peu énervé et Alberto dépose sa main sur ton épaule pour appuyer. Tu sens sa force dans les entrailles de ton corps avant de le pousser. Enfoiré de merde, t'as mal et il le sait. Mais tu te rallonges légèrement en soupirant alors que tu entends la question de Enzo vers Al. Et quand il s'apprête à répondre tu ajoutes Je suis là sinon les gars .. Et oui ils m'ont fait un IRM, des examens poussés et tout ce qui va avec, je vais bien Mais bien sur Alberto te regarde avant de regarder Enzo. Bah quoi t'es là les gars hein. C'est bon. Et rapidement tu proposes de partir, parce que tu vas pas rester là toute ta vie. Tu fixes ton frère qui essaye de te rallonger, malgré le fait que tu sois assis et tu fronces les sourcils Non mais je suis là depuis 4 jours, je peux quand même rentrer chez moi là ? Ca fait assez longtemps que je suis là non ? tu as horreur des hôpitaux depuis que Olivia t'a viré de sa vie aussi rapidement et aussi dégueulassement que possible. Autant dire que tu ne veux pas rester une minute de plus ici et même si Alberto est de ton côté, tu vois qu'il ne bouge pas pour éviter de mettre en colère ton frère. Tu soupires, pour relever la couverture du lit jusqu'à te mettre assis sur le bord du lit. Mais les paroles de ton frère t'arrête tout de suite et tu tournes les yeux lentement vers lui avant de soupirer Et tu penses que j'ai la force de me battre avec toi maintenant ? Tu fixes par le regarder dans les yeux alors qu'Alberto prend les choses en main et tu rallonges. L'italien aux bouts de ses lèvres, tu l'entends s'excuser avant qu'il se recule pour vous laisser, ton frère et toi. Et tu as bien entendu les paroles de ton homme de main si le fait de ne pas t'énerver et d'être courtois avec lui et aussi gentil. Tu regardes Al quitter la pièce et tu fixes ton frère T'as vu le message d'Asia je suppose ? Elle a un rein qui merde donc vous pouvez en parler même si la tristesse et la faiblesse ne fait pas partit de ton vocabulaire
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C'est par égard pour son amie qu'il s'est rendu à cet endroit. Tu comprends mieux, parce que tu pensais pas que Noah puisse fréquenter un endroit pareil. C'est la honte franchement. “Tu t'abaisse sa bien bas pour cette Mylis.” Que tu rétorques avec un sourire aux lèvres néanmoins. Les femmes vous poussent parfois à faire n'importe quoi. Enfin pas toi Enzo. Tu n'as pas de temps à perdre avec des choses pareilles mais lui c'est de son âge. T'as questionné Alberto sur l'IRM parce que tu veux être certain qu'il ne subisse pas de dommages internes, suffit de voir son corps pour se le demander et c'est lui qui te dit que tout est ok. T'es rassuré mais tu n'es tout simplement pas du genre à le montrer. Tu commences à marcher dans la chambre, te rend vers la fenêtre ou machinalement tu regardes vers l'extérieur. T'es pas à l'aise, t'es plutôt habitué à te battre verbalement avec ton frère, le physique tu t'en abstiens. Mais là c'est différent. C'est pas le temps de la guerre mais encore moins de la réconciliation. “Tu sortiras quand les médecins le voudront, ou alors je détache un médecin pour chez toi mais tu rentres pas comme ça parce que ça te chante.” Et il sait très bien que c'est pas tes paroles que tu rapportes mais bel et bien celles de ton père. Ses consignes étaient claires sur ce point. Et toi, tu obéis. Tu lui laisses entendre d'ailleurs que tu veux qu'il récupère pour être un adversaire à ta hauteur. Et tu peux pas empêcher un mince sourire à sa question. Non, il n'est pas vraiment en état maintenant. “ Et tu le seras encore moins si tu fais n'importe quoi.” C'est pas rien ce qu'il a subi quand même, il a juste faillit y passer, au cas où il aurait oublié. Tu poses ton regard sur lui alors qu'il te questionne sur Asia. “Oui, je vais y aller de suite après.” Elle a un problème au rein et tu dois effectuer ces tests. Tu n'aimes pas ça, ça te met en danger mais tu n'as pas le choix. “Y'a que moi qui peut le faire de toute façon.” Lui autant dire ce qui est, il est pas en état, les médecins ne voudront jamais. Sans parler de son mode de vie peu recommandable. T'es pas certain que le tien le soit davantage de toute façon, mais tu maintiens les apparences comme tu peux.
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T'es pas non plus super bien, autant le dire, ce ne sont que des conneries que tu sors toujours. Tu dis que tout va bien alors que tu es mal et que tu vas mourir, c'est obligé. T'es pas bien, tu souffres partout et les bleus sont encore présents sur ton corps à de trop nombreuses fois. C'est horrible d'être vu si faible même devant son frère, alors tu tiens bon, il va se casser de toute manière, il se casse toujours. Ou pas. Tu le regardes, tu humectes tes lèvres avant de pencher la tête sur le côté Contrairement à toi j'ai des amis, donc je les emmène à des trucs nazes pour leur faire plaisir Parce que Mylis t'avait aussi un peu menacer la garce mais bon, bitch un jour, bitch toujours non ? Tu finis par fixer un point alors qu'ils parlaient, lui et Alberto tranquillement comme si de rien était, tu étais toujours pas mort hein, ils pouvaient pas s'empêcher de le faire. Un soupir et tu viens rajuster la chose. Au moins c'est clair et net. Al te dépose même un cousin dans ton dos alors que Enzo menace encore le monde entier pour t'éviter de bouger. Non mais c'est comme enfermer un Lion, au bout d'un moment, il pète un câble Mon frère, bien que je ne t'aime pas. J'ai pas envie de finir comme un fou ici, donc je partirais quand j'en aurais envie, si je le voulais, tout de suite même. Bon dans une minute parce que j'ai mal partout mais bon juste dans deux minutes et tu te casses quoi. Mais t'as pas envie de te prendre la tête à l'heure actuelle avec ton frère, même si monsieur te cherche encore et encore, tu fais l'effort déjà de l'accepter dans ta jambe alors sérieusement tu peux pas faire d'autre effort quoi. Tu finis par soupirer à sa remarque avant de passer ta main dans tes cheveux libre T'as décidé de me donner des cours où tu fais semblant de porter tes couilles ? Parce que pour l'instant, depuis ton arrivée, tu fais le soumis à père et c'est presque insupportable lâches-tu. Tu connais Enzo depuis bien trop longtemps en fait, ton frère a toujours suivi les règles et c'est insupportable de voir cette manie encore présente chez lui des années après. Finalement tu poses la question pour Asia, tu hausses les sourcils avant de souffler T'as qu'à y aller tout de suite en fait non ? Prononces-tu avant d'entendre sa remarque. Tes yeux se lèvent au ciel Je peux y aller aussi t'inquiète donc pas Oui quand tu voulais, mais bon, à combien de kilomètres par heure, ça ... C'était carrement autre chose oups
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Tu vois ton frère qui récupère de sa hargne. Franchement, c'est un peu idiot mais ça te rassure. T'es trop égoïste Enzo pour te soucier de lui. Tu ne souhaites juste pas que ta propre existence soit malmenée. Et dans ces repères stables, il y a la haine qu'il nourrit à ton égard. L'ébauche d'un rictus vient ombrager ton visage parfait face au sien ravagé, étrange bonnet qui habille ses traits. La provocation n'en est que moins affutée, mais passons. “ Contrairement à toi, je prends soin de bien choisir mes amis plutôt.” L'idée ne me viendrait pas de m'abaisser à de pareils loisirs par égard de loyauté. Mais tu es plus faible Noah, bien que plus vivant. Il t'indique d'ailleurs que ton souhait lui est égal et qu'il partira de toute façon. “Tu partiras avec une surveillance médicale que tu le souhaites ou non.” Parce que tu sais que Alberto sera un allié sur ce point. Sa santé prévaut. Il trouvera les excuses nécessaires à ta conduite et cela t'importe peu finalement. Tu ne cherches pas à analyser le pourquoi du comment. Tu te diriges vers la porte finalement, rassuré sur son état de santé. Puisqu'il te balance sa haine au visage, retrouvant ses vieilles habitudes. “Je vois que tu vas déjà mieux.” Et toi tu as diablement envie d'une cigarette. T'as jamais particulièrement aimé ces atmosphères aseptisées pour les gens trop faibles. La maladie. Tu redoutes quelque part et c'est insensé mais c'est ainsi. “ J'irai en temps voulu et les médecins décideront pour toi.” Ce sont eux qui jugeront de la qualité de son état général et tu doutes grandement qu'il soit habilité pour un greffe. Tu lui lances un dernier regard avant de le porter rapidement à son  homme de l'ombre. Lui sait sans doute ce que tu portes comme message quand l Cadet s'obstine dans le Rouge de son existence. Tu quittes la pièce, sans même un au revoir. Parce que ce n'est pas un Adieu mais que tu ne souhaites pas subir de nouveau ses frasques d'ici peu.
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Tu finis par soupirer à sa petite réponse de gamin et tu humectes tes lèvres lentement pour ajouter Moi aussi, elle avait besoin de sortir, donc je prends soin d'eux. Et puis déjà, t'as pas de pote donc ça va plus vite et un petit sourire de bâtard sur le visage. Tu finis par regarder Alberto quand il dit ça, tu jures à l'intérieur de tes dents que si ton garde du corps dis quelque chose tu vas le tuer, mais tu vois que non et tu tournes les yeux en soupirant. Surveillance pour quoi faire ? Tu vas plutôt mourir qu'autre chose en fait. Et tu te laisses tomber dans ton lit en entendant ses paroles Tu commences à te faire vieux et tu radottes Enzo, bientôt la maison de retraire mon frère fait donc attention prononces-tu délicatement. Tu finis par observer Al qui te lance un regard noir et Enzo pour la remarque. Et à peine part-il que ton doigt d'honneur se fait visible aux yeux du monde. Ouais t'es une pute mais bon c'est pas nouveau. Tu souffles fortement, prenant le temps de passer ta main dans tes cheveux en enlevant ton bonnet. C'est insupportable et fatiguant d'être doué pour rembarrer les gens contrement à lui.

the end
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