feat. michael dean
- 7 octobre 1999
- New-York
- 19 ans
- Américaine
- Bisexuel
- Célibataire
- Famille blindée de tune
- économie
- POLITIQUE
- Fitness model et influenceur
- Non boursier
J'ai toujours eu pour désir de rentrer dans une sonorité. Ne pas profiter de cette chance, serait comme passer totalement à côté d'une bonne partie de ma scolarité, tellement elles offrent de possibilités et fédèrent les âmes. Mais attention, en intégrer une, ne veut pas dire, se jeter sur la première qui puisse m'accepter. Comme dirait mon illustre père, il y les maisons des ambitieux et les maisons de ceux qui ne sont rien. Hors moi, je veux devenir quelque chose, même si, mon fort intérieur me crie de rejoindre les Mather et de faire la fête jusqu'à en perdre la tête. Cependant, en intégrant Harvard, j'ai décidé de penser à mon avenir sur le long terme et de toute façon, mon cher papa, ne me laisserait jamais rejoindre une telle confrérie. Alors, j'ai vaguement pensé à intégrer les Eliot, mais je ne me sens peut-être pas assez élitiste pour l'intégrer, le fêtard en moi, pseudo anti-conformiste, n'a pas encore été totalement annihilé. Et qui sait. Ai-je assez de zéro sur le compte en banque de mon père ? Après tout, je préfère être le plus puissant des "pauvres" que le plus faible des "riches". La Dunster House qui forme les élites de demain semble être donc une excellente opportunité. En m'engageant aussi dans des études de politique, ne voudrais-je pas changer le monde ? Une autre confrérie s'impose cependant dans mon esprit. La Winthrop House, éternelle rivale des Cabot House, sonorité de "bro" où l'entraide est maître. Les personnes qui plaisent le plus aux filles sont là. Devrais-je donc logiquement y avoir ma place ? D'autant plus que je reste quelqu'un de sympathique, solidaire envers les personnes que j'apprécie et que je respecte.
ArrogantDrôleImpulsifFonceurSolidaireBosseur
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u9013]☆[/url] ☆ <span class="pris">MICHEAL DEAN</span> ◊ “ Matthew Sanders ”[/size]
please tell us more
Je suis donc le dernier, l'élu, le cador de la famille, le digne représentant de deux parents brillantissime. Mon père , après des études couronnées de succès au sein de Harvard, fut longtemps un tradeur très prolifique chez Goldman Sachs jusqu'à devenir CEO de celle-ci. Additionnant ainsi plusieurs millions à son compte en banque déjà bien rempli. Le monde appartient après tout, à ceux qui se lèvent tôt. Ma mère, n'est évidemment pas en reste. Diplômée de Harvard, en neurochirurgie et travaillant dans une grande clinique privée de New-York. Petite anecdote - c'est d'ailleurs sur les bancs de cette école qu'ils se sont rencontrés. Si vous voulez mon avis, vu le nombre de personnes avec qui s'amuser au sein de l'université, ils ont gâché leur jeunesse.
Quant à moi, je n'ai donc été privé de rien. Bien que mes parents n'étaient pas toujours présents, de part leurs travail respectifs très prenants, j'avais toute l'attention des meilleures nourrices et de ma grande sœur (de dix ans mon aîné) qui malgré son manque total d'ambition, a au moins eu le mérite de jouer le rôle d'une seconde mère. Tout s'est bien passé, sans grand incident. J'étais plutôt bon à l'école, chahuteur, aimé par les professeurs, populaire... Jusqu'à, que le jour de mes quinze ans, à la suite d'une soirée très arrosée, ayant fêté avec énergie mon anniversaire et un pas de plus dans l'adolescence, une voiture me renverse. Je ne garde que très peu de souvenir de l'accident. Parfois en me concentrant un peu, j'arrive à percevoir des flashs : les phares qui m'aveuglent, le crissement des pneus sur le bitume humide puis les rares images laissent place au noir le plus opaque. Tous les spécialistes se sont accordés sur le fait que j'ai eu énormément de chance dans mon malheur. J'aurai pu mourir, j'aurai même dû mourir. Près de deux mois de comas après, j'ouvrai les yeux sur le monde. Contemplant hébété le plafond blanc de l'hôpital et les larmes de joies de ma mère qui se penchait vers moi. "Pourquoi je suis dans une blouse super moche, enveloppé dans des draps qui piquent ?", furent mes premiers mots. Visiblement, l'accident, ne m'avait pas fait devenir moins loquace. Deuxième miracle, je ne garda aucune séquelle cérébrale. Mon accident était tombé en pleine période scolaire, durant ma "freshman year" et ayant loupé énormément de cours, je redoubla. Un premier échec notable, mais vite distancé par le fait que je sois toujours en vie.
Quant à la rééducation physique que je dus subir, elle fut difficile. Mais c'est à ce moment là que commença ma passion pour le fitness. J'avais toujours été athlétique, pratiquant de la natation depuis mes six ans. Pour autant, mon corps était loin d'être exploité au maximum de ses capacités. La rééducation fut un moyen pour moi de commencer un semblant de musculation. Et les séances terminées, je me dirigea vers la salle de sport la plus proche de chez moi. Des ambitions plein la tête. Celles de devenir le plus "fit" possible, celle d'avoir un corps tellement tracé qu'il ferait tomber les anges du ciel. Je me tua à la tâche, manquant plusieurs fois d'abandonner, souhaitant plusieurs fois tuer le temps avec des jeux en lignes que de m'astreindre à faire des "curl, push-up, pull-up" à n'en plus finir. Mais au fond de moi, j'avais cette flamme, qui me poussa à ne rien lâcher. Tout résultat vient à point nommé et à peine six mois plus tard, mon corps commença à se métamorphoser. J'avais trouvé ma voie. Ma deuxième raison de vivre.
Les changements ne furent pas que physique. Ma personnalité évolua. Je ne nourrissais à l'époque aucune ambition. Je me laissais simplement porter -comme beaucoup de jeunes issus d'une famille élitiste- par les succès de mes pairs, vivant au jour le jour, attendant que tout me soit offert. Quand je compris à quel point la vie était un bien fragile, je me décida de me bouger. Il était impensable pour moi, que sur mon lit de mort, j'emporte des remords. Que je trépasse en n'ayant pas saisi toutes les opportunités qui m'étaient données d'avoir. Et étant gosse de riche, elles sont nombreuses. Harvard fut plus qu'un objectif à ce moment là. Désormais, je voulais suivre les traces de mon père, honorer la famille.
Oui, l'honorer bien plus que ma sœur aînée qui bien qu'avocate, préfère travailler pour des prolos (la fameuse justice pour tous), plutôt que de s'enrichir en occupant la place -trouvée évidemment par mon père- qui lui est dignement réservée dans l'un des plus prestigieux cabinet de New York. Bien plus, que la deuxième qui à vingt-deux ans, ne sait toujours que faire de sa vie et méprise la richesse familiale. Richesse, qui lui paye quand même, précisons-le son appartement en plein Manhattan pendant qu'elle ne fait rien dans une université sous classée.
Je devins le meilleur dans la plupart des domaines. Élitiste à l'extrême, avoir ne serait-ce qu'une seule note en dessous de la moyenne m'arrachait presque des larmes aux yeux. Quant à la musculation... j'avais fini, après un an et demi de pratique acharnée, par atteindre mes limites en étant "natty". Deux choix s'offraient alors à moi. M'arrêter là, avec un corps qui ne me convenait pas. Ou, franchir les limites du naturel et passer du côté obscur de la musculation. Du côté de ce qu'on appelle stéroïde anabolisant. Le choix fut court. J'avais noué de bonnes relations avec un pratiquant de musculation, qui à son actif, avait, un haut palmarès dans plusieurs grosses compétitions de fitness. Il m'initia à ces substances. Chose assez ironique, lui-même était médecin et en prenait malgré la potentielle dangerosité connue de ces produits. Il eut au moins le mérite de me conseiller sur les doses, la prise et d'ainsi m'éviter les plus gros travers.
Cela fait, presque deux ans, que j'en consomme. Et je ne suis pas près d'arrêter. Maintenant que Harvard est ma maison, je dois cependant composer avec une pseudo double vie. Les stéroïdes sont vus comme des drogues et en prendre quand on est étudiant au sein de cette université est passible d'un renvoi. M'enfin, je ne serai pas le seul à se contrefoutre de cette règle. La musculation m'a tellement apporté : confiance en moi, succès auprès des filles (et des hommes), que je ne l'arrêterai pour rien au monde. J'ai même réussi à me faire un semblant de "nom" en devenant sponsorisé par une grande marque de workwear.
Quant à mes études, depuis la rentrée, je suis un cursus d'économie en majeur et de politique en mineur. J'ai pour ambition de poursuivre le même parcours que mon père et pourquoi pas, un jour, de dépasser tout ça et de ma lancer dans la politique. Après tout, mon idole, Schwarzenegger, 135 de QI, Mister Univers, Monsieur Olympia, est bien devenu gouverneur de l'état de Californie. Les seules limites sont celles qu'on s'impose. J'essai d'y être l'élève le plus modèle qui soit, mais Harvard, a bien des aspects, avec ses sonorités, ses soirées prestigieuses, son environnement élitiste... et parfois tellement décadent, qu'il m'arrive d'avoir l'impression de perdre pied. De m'égarer dans ces fêtes, encore enivré de Grey Goose, jusqu'à qu'à l'aurore, le chant des oiseaux résonne.
bienvenue chez toi
widower · heterosexual ·
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NOVEMBRE : 01
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