Vivante vraiment? (libre)

Je suis libre? je suis vraiment libre? on m'a vraiment retrouver? ou est ce encore les effets d'une des injections de drogue? d'ailleurs je commence à avoir des fourmilles partout,j'ai un manque de quelques choses,parfois des "crises" de tremblements d'après une des infirmières sait du à la drogue qu'on m'a injecter de trop nombreuses fois,elle n'a pas été par 4 chemins et ma parler qu'une dépendances pouvait arriver. Je l'ai regarder incrédules,je n'y est jamais toucher,je n'ai jamais voulue être une junkies qui ne vivra plus sauf pour avoir sa dose,je veux être saine de corps et d'esprit pour voir la vie défilé devant mes yeux. Mais avec ce qui vient de m'arriver est ce que je suis vraiment encore saine? Depuis que les flics on débarquent sa aller trop vite dans ma tête pour que j'ai le temps de réfléchirs,on nous a embarquer dans des fourgons puis mis dans un avion ou on nous a encore dispaché entre toutes les destinations,je sais plus si quelqu'un avait été du même trajet que moi pour Boston,sait floue,j'ai dormie je crois.
Quand je me suis réveilier dans cette chambre,j'ai eu l'impression d'être de nouveau enfermer puis il y a eu tout ses gens,les diverses examens fait pour dépister des maladies contagieuses,la mise en quarantaine le temps des résultats,les radios,les piqueres,les produits,le bruits! STOP!!
Sait ce que crie mon moi intérieur,il se recroqueville vers les tréfonds de moi pour se sentir en sécurité et couper du monde mais de l'extérieur TU parait une gentille petite fille,tu reste neutre et concilliante,tu fait signe à tes parents à travers la vitre de ta chambre qui vous sépare et les prends dans tes bras,sa te fait du bien,je le sens parce que je suis toi mais le toi d'apparence,celui qui est fort. Tu apprend à l'heure du midi que tu n'est pas contagieuse,voila que on ne vient de nouveau t'examiner encore une fois....... on te laisse souffler pour cette journée mais on te parle des autres rdv,hoche la tête,sait ça brave fille,sourie quand il te sourie. Plus personne,le vide,les bruits de l'hopital viennent trainer dans ta tête,tu n'a jamais été hospitaliser,tu espère que tu sortira vite......mais tu te demande ce que tu verra,je sais! Tu verra comme ci rien ne s'était passer enfin pas trop quand même pour ne pas te faire prendre alors que ta envie de.......en faite tu ne sais pas,t'a l'impression de planer,ta juste envie de faire pause et que le monde autour de toi continue de vivre sans toi,ta porte de chambre s'ouvre,tu regarde l'infirmier qui s'était tromper de chambre et ne prend pas la peine de la refermer,alors tu te tourne sur ton lit,coucher sur le côtes gauche et te remet en off,laissant tes yeux voir le monde vivre sans toi

© Alÿnea

#rplibre

Tu avais senti que quelque chose n'allait pas n'est-ce pas ? Puis merde, Tania était le genre à répondre à un texto plutôt deux fois qu'une. Tu sais le genre de nana qui tellement enthousiaste devait certainement écrire deux textos en un. Rien qu'à penser à cette métaphore tu ne t'empêchais d'en rire quelques peu. Toi, étudiant en médecine, option psychologie, tu t'apprêtais aujourd'hui à accompagner un psychologue avec des patients ayant vécu des traumatismes récents. Une consultation psy durant leurs hospitalisations. Planning en main juste avant la pause déjeuner tu avais découvert le nom de ton amie. Hasard incongru tu recevais un texto de ses parents dans le quart d'heure. Impossible d'attendre la visite psy, impossible d'effectuer la visite psy, tu te décidais à passer la pause déjeuner dans la chambre de la blondie. Frappant deux coups à la porte de sa chambre alors que quelqu'un en sortait après s'être trompé, tu fermais derrière toi. « Tania, c'est Gíacobe. » Dos tourné, tu espérais qu'elle ne dormait pas.

Tu laisse aller ton corps contre ce matelas qui en temps ordinaire serait trop moue pour toi mais la de suite tut'en fou,il peut y avoir météorite qui s'écrase que tu la regarderais tomber,tu n'est pas bien,ta envie d'être triste mais ce sentiment n'arrive pas à ce manifester dû au barrage que tu a ériger pour ne pas devenir hystérique et de supporter les conditions de captivités.
C'était pas juste des trafiquants de drogue mais aussi d'humain et ils aiment tester la marchandise,une sorte de frisson te parcouru le corps alors qu'on toqua avant de refermer la porte et ce présenter,tu te retourne doucement car tes côtes on encore les traces des coups de pieds qu'on t'avait donner quand tu te débattais. Sourie! Voila non pas si petit,un peu plus sait bon ça passera.

"Giacobe comment tu va? et les fêtes de noël? "

Tu sais que je sais pas si j'ai eu la bonne idée de te faire dire ça,faut combler les meubles ou faire quelques choses,bon déjà redresse toi sur ton matelas,replie bien le bord de couverture et regarde le tranquillement comme avant tout ça

"Oui heu ça doit être bizarre comme questions premières ahah" mieux montre un peu enthousiasme et parle de lui pour ne pas lui laisser le temps de parler de toi "Voici donc devant moi le Docteur Wilkins sa rend bien l'intégrale du médecin,j'aurais penser au stestoscope autour du coup comme dans Urgences"

@GÍACOBE E. WILKINS

C'était une blague ? Cette nana, tu n'en avais jamais connu de pareil. Elle était sur un lit d'hôpital, probablement en plein choc post-traumatique, et la seule chose qu'elle avait à te dire en te voyant débarquer dans cette bulle inconfortable qu'on lui imposait c'était : comment se sont passées tes fêtes de fin d'année !? Oui c'était bizarre, et elle le savait apparemment. « Oui, peut-être mais c'est du Tania tout craché. » As-tu dit souriant quelque peu. Oui, ton tort avait été de t'étonner d'une telle remarque. Si tu avais pris psychologie en option mineur ce n'était un hasard. Tu savais que de manière pragmatique tu étais doué. Enrichir tes connaissances, avaler tes bouquins d'anatomie et autres, c'était largement à ta portée. Emettre des hypothèses, les vérifier tu savais faire. Mais juger et appréhender du psychique de chacun, ça restait difficile. Alors Tania déjà en plein déni, ou incontestablement le genre à voir le verre à moitié plein ? Non parce que en l'entendant tu avais l'impression que le verre débordait. « Quoi c'est ça que tu cherches ? » Sortant le fameux stéthoscope de la poche de ta blouse tu t'approchais un peu plus de ton lit. Bon okay, elle t'amusait toujours autant, et elle était forte parce que ce n'était clairement pas le moment. Ce n'était pas ton état d'esprit en arrivant. Inquiet, oui tu l'avais été, tu l'étais toujours. Alors plutôt que de la question de but en blanc tu as simplement dit, en t'installant près de ses pieds sans vraiment prendre de place. « Je me doutais pas qu'il n'y avait rien de normal à ne pas avoir de réponses à mes textos. » Oui un soir tu l'avais attendu pour une soirée chez toi mais rien. Elle n'était pas le genre qui ne répondait pas c'était indéniable.

Texto? de quoi parle t'il? La de suite ton cerveau ne retrouve pas les informations mais tu fais mine de rien avec encore un petit sourire.
"Je suis désolée,on s'en reverra une un de ces jours" parce que la tout de suite,tu ne vois même plus le futur,tu n'a pas envie de voir demain,ta juste envie de ne pas fermer les yeux de peur que tout ça n'est qu'un rêve. "Je déteste ne pas donner de réponses rapides aux gens sait vraie,alors ton chef de servir est pas trop dur avec toi?" Tu change de sujet encore une fois parce que ta pas envie d'avoir de blanc,ta pas envie qu'il part tout de suite,tout de suite ta un sentiment de solitude qui a envie de t'envahir pourtant il se tient a tes côtes,tu n'est pas seule dans cette chambre et sait ça qui te permet de refouler les larmes qui montent d'ailleurs tu avait baisser la tête un peu pour remettre ta couverture mieux sur toi et te déplacer un peu pour laisser Coco s'asseoir à son aise sur le lit.
"Ce n'était pas fait expret que je vous inquiéte comme ça"

@GÍACOBE E. WILKINS

Elle s'excusait, et elle n'avait nullement à le faire. Tu ne la reprenais même pas. Elle avait disparu subitement. « Ça se passe bien. Ne compte pas sur moi pour casser du sucre sur le dos du système. Je suis pas là pour ça, très chère. » Oui clairement. Toi, tu étais là pour elle. Comme tout bon ami qui se respecte. Parce que oui, tu considérais véritablement cette demoiselle comme une amie. Elle s'était faite une place dans ta vie de manière assez inattendue. Assis sur son lit sans trop prendre de place, tu fronçais presque les sourcils à sa réplique. « J'espère bien que ce n'était pas fait exprès. » Tu as sourit parce que oui finalement vous n'étiez jamais sérieux ensemble et finalement tu reprenais. « Tu devrais pas avoir à te sentir désolée de quoique ce soit, tu sais. » Oui la culpabilité d'avoir inquiété le monde c'était clairement pas sain pour elle, tu le savais. Pas besoins de minables heures de psychologie à ton actif pour savoir ça.

Ne pas te sentir coupable? si tu l'étais parce que si tu avait fait plus attention,tu aurait peut être éviter ce genre de truc,le flic avait bien dit qu'il avait du te repéré mais tu ne comprenais pas pourquoi toi qui n'était pas dans le top 10 des plus belles femmes,il y a toujours pire que soit comme dirait les gens mais là tu douter presque de ce dicton pour ta personne. 


"Si je le doit...." tu laisse un petit blanc surprise par tes propres paroles dit tout haut "je...heu...parlons d'autres choses si tu veux bien" Tu cherche un autre sujet de discussions mais tu met à trembler sans pouvoir te contrôler,tu essaye de cacher ton corps qui réclame sa dose de drogue en remontant la couverture jusqu’à ton cou l'empoignant de peur qu'elle glisse. Tu cache ton bras gauche sous la couverture. Tu ferme les yeux pour essaye de contrôler ton corps mais rien a faire. Tu te sens obliger de justifier "C'est rien de grave" encore un blanc "on m'a dit que sa passera" Surement que c'était noté quelques parts sur leurs fichiers patients que ton corps avait développer un addiction à certaines substances. Tu te sentais mal de passer pour une junkie en manque même si ce n'était pas intentionnellement que tu te retrouve dans cette état.

@GÍACOBE E. WILKINS