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It's the most painful time of the YEAR
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@katsumi yamamoto
Temps des festivités, de joie débordante, de grandes attentes, de planification préjudices, de la débordante de couleur, or, vert , rouge et j’en nommerais encore. Toutes ces simagrées des temps des fêtes me rendaient malade. Non, je ne partageais pas cette même allégresse que tout le monde semblaient soudainement attraper durant le mois de décembre. Pire qu’une épidémie. Je n'étais pas pas très enquis cette année à me lancer dans le même train que le monde semblait avoir pris bord. Franchement, en quoi m'exciter ? Je sais déjà ce que ma mère et mon père m’offrira, ils ne sont pas devenus très créatifs ces dernières années. Malgré leurs visages pétillants de satisfaction à l’attente de me voir découvrir leur surprise prévisible, je feins le contentement pour ne pas les décevoir. Cette année-ci , je n’aurais pas besoin de sortir mes lamentables talents d’acteur , car mes parents ont décidé de s’offrir une petite croisière vers les alentours des Bahamas, incluant par de même mon petit frère, car vu leur dernière expérience avec leur premier fils , donc moi, ils préfèrent ne pas prendre la chance de laisser mon frère à son compte à la maison. Alors, il ne restait que moi. Oh non, pas de pitié, s’il vous plaît. Au contraire, ça me convient plus que vous pouvez le croire. Il y a bien longtemps que j’ai perdu l’appréciation de cette fête. Je m’attendais à passer ces derniers jours, tranquille dans mon appartement, bouffer les plats commandés d’hier, jouer sur ma playstation et mater quelques films de marvel. Puis je reçois un texto du frère de Katsumi. Comme il partait chez la famille de sa petite amie et que ses parents aussi voyageait cette année, Kat allait se retrouver toute seule et ne voulant que sa petite sœur passé un temps en solitude, il me demande si je veux bien faire un truc avec elle. J’hésitais un peu avant d’accepter, je veux dire, Katsumi est assez grande et elle n’a pas besoin constamment qu’on la surveille. Sauf que je ne voulais pas que son frère s’inquiète pour elle, surtout qu’elle était encore peu familière avec les environs de Cambridge. Je finis par le rassurer en lui disant que je m’assurais qu’elle ne passerait pas les fêtes seule. De suite, j’envoie un texto à Kat, lui proposant de venir ici. Par de même, j’essaie de nettoyer un peu , pas que mon appartement était une porcherie, mais plutôt désorganisé. En quelques minutes, j’arrive à me débarrasser des quelques truc qui traînaient un peu partout avant d’entendre la sonnette de la porte. Toujours prêt à son poste, Salem miaule devant l’entrée, attendant impatiemment que j’ouvre. Je lève les yeux au ciel à son comportement, et débarre la serrure pour laisser entrer Katsumi. “Tien, tien, comment va la dernière des Yamamoto ?” Comme à son habitude, Salem fait son cirque en allant se frotter contre la jambe de toute présence féminine, ronronnement de contentement. “Pas besoin de présentation pour la boule de poil à tes pieds. Tu connais déjà Salem” dis-je en pointant ce vieux matou.
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