Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityFried&Vik > I'm stuck, I'm stuck, I'm stuck with you. (18+)
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Fried&Vik > I'm stuck, I'm stuck, I'm stuck with you. (18+)

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Je corrige demain.  Fried&Vik >  I'm stuck, I'm stuck, I'm stuck with you. (18+) 1001568715


 

 
Oh tell me it gets easier, that I'll figure it out

 
feat. Friedrich Hohenzöllern - Viktoria Hohenzöllern


robe

Cette soirée me reste en mémoire. Je ne cesse de revoir jour après jour,mes gestes, nos gestes. Nous n'avons été irrespectueux des gens qui nous entourent. Nous n'aurions jamais dû franchir cet aspect de notre vie.  Il n'aurait jamais fallu que sa voix me parvienne à l'oreille. Il avait pourtant été surprenant. Je me sentais pourtant si honteuse. J'ai beau vouloir tout oublier, mais je ne peux. Sa voix qui me hante lorsque la péninsule de mes rêves se présente à moi. Je sens encore sa respiration chaude contre mon cou alors que sa voix me rend folle. Ses larges me caresser ma cuisse en descendant contre mon intimité. Ses gestes d'expert me faisant grimper vers un niveau que je n'avais pas franchis. Son regard de dominance qui m'observait. Je ne cessais de m'imaginer sa présence. Il n'était plus là. Je ne voulais pas répondre à ses messages sur tinder ni sur mon téléphone. Le soir qu'il a posé la main sur moi était la dernière. Elle devait être l'unique fois. Cet homme avait découvert ma faiblesse. Il suffisait qu'il se présente devant moi alors que ses yeux se déposent dans les miens que je ne suis plus moi-même. Je deviens une marionnette prête à être animé. Une esclave prête à mourir pour son mettre. Je n'avis jamais rencontrer une personne ayant ce genre d'énergie. Sa puissance, sa force, sa droiture, sa dominance tout son corps laissait cette aura venir à notre rencontre. Il était la source de malheur, qui n'aurait pas fallu que je croise. Cependant, les évènements devaient devenir chose du passé. Je devais fuir cet homme à tout prix ! Il est source de malheur. Une malédiction qui m’a enchainée par une force invisible. Les mots, les écris tout devait disparaitre. Pourtant, au fond de moi, je ne voulais. Je rêvais de l'apercevoir au pied de mon lit, j'avancerais vers lui doucement pour l'inviter à monter. Il embarquerait doucement sur moi en ne me quittant pas des yeux. Il caressera ma joue de sa paume de sa main avant de capturer mes lèvres. Les mouvements doux deviendront bestiaux. Ils les délaisseraient pour descendre le long de ma nuque, ma poitrine, mon ventre, mes hanches pour rejoindre cette partie. Il me regardera avant de joueur de moi. Il glissera doucement un doigt dans ce petit espace serrer avant d'y déposer ses lèvres pour me goûter...  Un bruit me fit retirer les mains d'entre mes cuisses. Je m'assois rapidement dans le bain en fixant la porte.  Aurais-je imaginé du bruit ? Le bruit recommença. Je détourne le regard et aperçus l'écran de mon téléphone s'allumer. Idiote ! La vibration avait fait tomber ton portable sur le sol. Je soupirais pour me laisser glisser sous l'eau. Je devrais mourir. Je me hais ! Une idiote ! Voilà ! Viktoria tu n'ai qu'une pauvre cruche idiote sans avenir ! Je remonte rapidement lorsque ma respiration retenue diminue.  C'était stupide de m'avoir laissé devenir un vulgaire déchet. Il faut que j'aille signer un pacte avec l'église pour redevenir pure. Ne plus avoir les mains lier à cette chose ignoble appelée homme.

En sortant de la baignoire, je regardais mon écran de téléphone. Je suis en vacance. Je ne veux pas parler à personne. Depuis une semaine, je travaille pour oublier. Je pouvais afin respirer pour une nouvelle semaine. J'allais être sur la prochaine couverture du magazine Maxim pour le mois de février. Ce contrat m’a permis de trouver une ration valable pour venir ici. Pour vivre parmi la luxure. L'hôtel avait été payé pour la première semaine. J'ai dû débourser pour la deuxième. L'hôtel Como Parrot Cay est un charme. Je ne pouvais pas passer à coter de cette chance incroyable. Je voulais allonger ce séjour pour vivre sur l'île Turques et caïques.  Cependant, il s'agit d'une excuse pour fuir. M'éloigner de la réalité. Je devais me calmer. Il faut plus que je pense à lui. Pourtant, nous ne sommes rien ! Nous n’avons rien fait ! Il a seulement été plus loin qu'aucune autre personne.

J'enroule rapidement une serviette autour de ma taille pour marcher vers la large fenêtre de ma chambre. Ce paysage. Cet horizon que j'observe depuis plusieurs jours n'a pas changé. Le ciel orangé reste magnifique voir magique. Je restais la profitant de la fraicheur de la chambre pour admirer le coucher du soleil qui se présentait à moi. Je serrais ma serviette plus fermement en me réprimandant intérieurement. Je voulais me libérer de cette sensation de culpabilité qui me ronge les entrailles. Je laisse alors la serviette tomber au sol.

J'adorais cet hôtel. Il s'agissait de petite maison privée sur une île disponible aux gens possédant une certaine fortune. Après tout qui débourseraient plus de deux mille us par nuit ? Moi ! J'avais une piscine privée, une cuisine, un salon. J'ai l'impression d'être dans mon appartement. Je me sentais chez moi. Je regardais le placard que je venais d'ouvrir en passant les robes suspendues en revue. Que puis-je mettre ? Je ne voulais pas m'habiller élégamment. Les vacances sont une raison de se laisser aller. Je choisis donc un costume deux pièces blanches et une robe en dentelle de la même couleur. Je profitais de cette tenue légère pour monter mes cheveux en chignon. Je m'observais dans le miroir. Mon large sourire se reflétait en lui. Adieu soutif de la mort ! Il n'a rien de plus inconfortable que ce truc de femme. Il apporte certes un soutien, mais une douleur au dos aussi.

Ne voulant perdre aucun instant de mes vacances, j'attrape rapidement mon sac à main pour sortir de ma chambre. Un employé m'avait conseillé un petit restaurant près de la plage. Il était parfait pour un repas seul. Pourquoi ne pas essayer !

Plus de deux heures avaient passé. Deux longues heures seules assises près de la blanche en observant le coucher du soleil. Cette tranquillité. Ce calme est si apaisant. J'ai profité de ce moment de solitude pour compléter ma lecture. Depuis un mois, je voulais terminer les six chapitres qu'il me restait de mon roman. Alors, l'instant avait été saisi. Je n'ai pas été d’écus. Le personnage terminait par découvrir la liaison de son mari et termina au bras de ce motard de seconde zone. Un livre aux écrits fluide. Qui nous réserve quelques surprises. Je suis heureuse d'avoir enfin pu le finir. Il aurait surement fini sur une tablette de ma bibliothèque sinon. Je l'aurais observé pendant quelques jours pour l'oublier.

Je me lève de ma chaise en payant ma note au passage. C'était bien ! Je devrais remercier l'employé de l'hôtel. Il avait raison. La nourriture est simple, le service fantastique et personne ne vous dérange. Dieu merci !

En sortant du restaurant, je profite de la nuit pour marcher tranquillement en observant les commerces. Je gardais en note certains noms. Il y a deux ou trois boutiques de vêtement intéressantes sans oublier deux de soulier.Je souriais en sachant déjà ce que j'allais faire demain. Dépenser ! Il faut entretenir la petite dame que je suis...non ? Je me fais sortir de mes pensées par une alarme. Je m'arrête pour chercher dans mon sac en main. En le trouvant, je soupire de découragement. J'aperçois le pseudonyme de ''Bête'' apparaitre. Friedrich, l'homme au coeur de dieu. Je sers rapidement téléphone et continue ma route. Moi qui tente de l'oublier ! Cet idiot trouve le moyen de me faire signe de son existence. J'avance plus rapidement pour me rendre à ma chambre. Quelques minutes passèrent, je voyais presque l'hôtel lorsque je m'arrêtais. Mon corps se figea sur place. Non ! Non ! Je rêve !

À l'instant, l'homme qui venait de passer à mes côtés n'était pas lui ? Dites-moi que je rêve ? Il n'est pas blond ! Il n’est pas grand ! Je reste figer sur place en trouvant toutes les excuses du monde pour me convaincre. D'un moment lent, ma tête se tourne vers le côté. Je l'observais. Merde ! Un grand blond aux larges épaules marchait au loin. Ce dos ! Je le reconnaîtrais par un simple toucher. J'hésite à aller le voir ou continuer. Je choisis la deuxième option. Hors de question que je choisis la première. Je continue ma route vers l'hôtel en me maudissant.

Calme-toi ! Respire ! Me dis-je. Il faut être calme. Il y a une forte chance que l'homme que j'ai croisé plutôt ne soit pas lui. Merde ! Il faut que j'arrête de me mentir. Il s'agissait de lui. Il n'y a pas deux hommes comme Friedrich. En rentrant dans la chambre, je réalise l'erreur. Il me faut un verre. Quelques choses de fort qui me tuera presque. J'ouvris la porte en la referment derrière moi. En me retournant, je l'aperçus sur le trottoir. Il n'a pas pris le même hôtel ? Seigneur dieu. Je laisse tomber l'idée du verre. J'ouvre rapidement la porte de ma chambre en le renfermement. Je laissais mon dos s'accoter contre la porte de moi. Dit moi seigneur qu'il ne m'a pas aperçue. ''Bordel de merde'' dis-je à voix haute.






 
©️charney for ilh

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Ich will dich, du bist mein !

 
feat. Friedrich Hohenzöllern - Viktoria Hohenzöllern
Tenue

Cette femme était toujours là dans un coin de sa tête, même durant des rencontres que son oncle organisé pour lui faire rencontrer des personnes importantes, mais rien ni fessait elle était toujours là. Il a même fait ce qu'il n'avait jamais fait pour une femme, envoyer des messages ou l'appeler pour avoir de ses nouvelles, mais seul le silence ou le son du répondeur lui parvenait. En temps normal, il ne perd jamais son temps dans ce cas de figure préférant passer à autre chose. Mais cette fois-ci, ont dirait bien que cette femme a chamboulé ses habitudes, même après avoir passé toute une soirée avec elle il rester toujours aussi intriguer. Le jeune prince a-t-il fait peur à la jeune femme ? Si c'est le cas alors heureusement qu'elle n'a pas vu tous ses mauvais côtés durant cette soirée, après tout peut-être qu'elle n'est pas fait pour lui et ses jeux. C'est peut-être mieux ainsi conclu t-il finalement après des jours à essayer de la joindre, après tout est-ce que cette femme en vaut la peine ? Totalement ! Malgré les risques, elle pourrait porter plainte ce qui pourrait nuire énormément à son image qu'il est en train de construire avant que le monde connaisse son visage et sont statues mais il y a toujours ce petit truc qui le pousse à prendre ce risque.

Après plusieurs jours à essayer de la joindre sans succès, il demande à un ami hacker par téléphone en Allemagne s'il pouvait géolocaliser le portable d'une personne. Oui, pas très commode pour revoir quelqu'un qui chercher à vous fuir, mais pour lui dans certains cas il faut forcer le destin pour réunir à nouveau deux personnes. Leur première rencontre était un parfait coup du hasard, et malgré tous les signes que cette femme qu'il avait rencontre ne voulait plus le revoir, il était persuadé qu'au fond elle se refuser d'assouvir ses envies pour des raisons qu'il lui échappe, et aussi surprenant que cela puisse paraître il était prêt à mettre en danger sa future image de prince-modèle pour une femme qu'il ne connaît pas. Quelques heures plus tard son ami lui transmet les coordonnées de l'endroit où se trouvait Viktoria, en Amérique du Sud sur une île assez connue pour passer des vacances en toute discrétion, si vous aviez toutefois les moyens pour vous le payer. Il ne perdit pas de temps pour monter dans un avion pour rejoindre l'île alors que le soir même il devait être présent à une réception organiser par son oncle, il sera très certainement mécontent quand il reviendra mais peu important pour le moment il voulait la revoir et assouvir ses désirs.

Son jet privé atterrie sur la piste du petit aéroport de l'île, les paysages étaient tout simplement somptueux mais ne s'attardent pas trop sur son environnement qui l'entouré, bien trop occuper à préparer ce qui allait suivre. Il change de vêtements dans sa cabine d'essayage dans son jet privé en laissant de côté ses tenues très chics pour une simple veste blanche et un pantalon léger bleu ciel pour supporter la chaleur écrasante du climat d'ici bien différente des États-Unis ou d'Allemagne. Pendant qu'il était occupé à se changer son garde du corps fait quelque recherche pour savoir où Viktoria avait élu domicile, par chance l'île était petite et les hôtels peu nombreux, il lui a fallu à peine une heure avant d'apercevoir Viktoria sortant de sa petite maison pour aller au restaurant. Après avoir vu l'emplacement du domicile de la jeune femme le garde du corps s'empressa de rapporter le lieu à son employeur. Le prince laisse son garde du corps prendre commande pour réserver une maison, au départ la maison à côté de celle de Viktoria était en cours de réservation par des touristes anglais. Mais la détermination du prince était telle qu'il donna son accord par téléphone à son garde du corps faire une proposition de quatre mille dollars, offre accepté aussitôt par la direction de l'hôtel, qui était le double du tarif habituel déjà très onéreux. Pendant ce temps Friedrich était déjà en train d'arpenter l'île cherchant des yeux la femme de ses désirs. Après tant de jours à essayer de la revoir, ses yeux bleus se figent subitement en voyant Viktoria sur la petite terrasse d'un restaurant lisant sont livre en attendant le reste de son repas. C'était une autre Viktoria qui se trouver devant lui, vêtue simplement sans se préoccuper des autres, et ses traits de son visage était chaleureux, comment pouvait-il être autrement dans un cadre si paradisiaque ?

Il décide de partir de nouveau vers le quartier où étaient les maisons de l'hôtel pour attendre Viktoria là-bas, enfin l'idée était ça à la base. Sauf qu'après quelques minutes d'attente devant sa maison, l'allemand n'était pas vraiment patient concernant les femmes, il décide donc dans un premier temps de l'appeler mais comme il se doutait elle ne répondit pas à son appel. Il se dirige donc vers le centre-ville pour voir ce qu'elle fessait, mais son impatience le met dans une situation qu'il n'avait pas prévue, il marcher droit vers elle sur le même trottoir. Pris au dépourvue il ne voulait pas la rencontrer de nouveau dans ce genre d'endroit, mais il ne pouvait pas reculer pour autant et décida donc de continuer sa route et voir la réaction de Viktoria. Elle qui était en train de regarder les commerces de l'autre côté du trottoir, elle aperçut au dernier moment un homme passer à côté d'elle et se retourne pour l'observer, bien entendu Friedrich ne voulait pas se retourner et continue sa route, mais ce doux parfum en passant près d'elle lui fit rappeler certains moments de cette soirée passer ensemble. Elle se précipite vers sa maison avant de regarder cette même rue où elle venait de croiser Friedrich qui s'était finalement retourné pour la regarder. Leurs regards se croisent pendant quelques secondes avant qu'elle ferme la porte pour ensuite s'adosser dessus pour récupérer, elle ne s'attendait pas à le voir ici. Maintenant qu'elle était au courant qu'il était la il fallait qu'il se lance, il s'avança vers la maison de Viktoria pour arriver devant cette même porte qui s'était refermé quelques minutes plus tôt. Lui se trouver devant la porte prêt à toquer celle-ci pour entrer, tandis que Viktoria elle était derrière à se demander si tout ceci était bien réelle.

À ce moment précis, il ne désire qu'une seule chose la rejoindre dans cette maison, il en crever d'envie. Mais la petite voix de son oncle résonner dans sa tête, lui disant s'il était sérieux de prendre tous ses risques pour une femme ? Qu'un seul faux pas pourrait être utilisé par la branche secondaire contre lui et son ascension aux prétentions au trône de son pays. Est-ce que ton désiré pour les femmes est plus fort que ton devoir envers ton pays ? Toutes ses questions tournèrent en boucle dans sa tête, et la seule chose qui pourrait être aussi forte que sont désirés pour les femmes été bien entendu son devoir envers sa famille et son pays, après toutes ses années à faire un travail sur lui-même et être le parfait prince aux yeux des autres. Deux choses qui rentrent en contradiction et qui le font subitement douter alors que seule une simple porte en bois le séparé de la femme qui désire. Mais la voix de son oncle était plus forte, il fait brusquement demi-tour ne cachant pas sa déception de ne pas pouvoir la rejoindre dans cette maison et devoir laisser filer une telle personne dans sa vie, non pas qu'on parle de sentiment, mais uniquement d'une attirance physique très intenses.

Il était vingt-une heure passée, les autorisations pour décoller de l'aéroport étaient interdites à cette heure obligent l'Allemand à rester sur l'île dans la maison qui a loué juste à côté de celle de Viktoria. La nuit n'allait pas pointer le bout de son nez avant vingt-trois heures, il décide donc de se poser sur un transat pour profiter des derniers rayons de soleil de la journée, après tout il fessait encore un bon trente degrés. Contrairement à tous ses beaux garçon sur les couvertures de magazine, il n'était pas le genre d'homme à vouloir absolument bronzer, préfèrent seulement se poser sur un transat comme ce soir et profiter du peu de vent qu'il y a et des rayons du soleil moins brutal qu'en journée que cramer sur la plage en pleine après-midi. Bizarre dites-vous ? S'il n'y avait seulement que ça de bizarre chez lui ! Il prit son portable pour commencer à écrire un message, le destinateur est l'une des rares personnes à bien le connaître, Ursula sa cousine et aussi la fille de son oncle qui est avec lui à New-York, depuis sont arrivées dans la famille principale, Ursula était la première à venir vers lui et sont devenue très proche depuis, pour dire elle connaît même son mauvais côté. Le message dit " Coucou Ursula, dis-moi que ferais tu dans la situation où tu désires quelqu'un où quelque chose mais que ça pourrait mettre en péril ta statue ? " Son portable vibrent quelques minutes après avoir envoyé son message. " Dit moi cousin, ce quelque chose n'aurait pas une poitrine par hasard ? Lol Alors comme ça mon cousin adoré aurait trouvé une femme qui le ferait hésiter ? Ça sait quelque chose dit donc ! D'habitude elle passe à peine la nuit avec toi et là tu hésites. " "Ursula..." " Ok Ok j'arrête de te charrier Lol Je n'ai pas à te rappeler qu'on fait partie d'une famille royale, donc je te conseille d'abandonner se désire passager pour ton bien et celui de la famille. Mais je te connais, je sais que tu ne lâcheras pas si facilement hein alors tu sais quoi faire ! PS: Qui sait tes peut-être tombé sur la femme de ta vie ;) Essaye de ne pas lui faire peur au moins ! Bisous" Il lâche un grand soupire en voyant la dernière phrase de sa cousine, elle peut parfois avoir une imagination débordante. Bon allezzz >> Lança t-il subitement après quelques minutes à réfléchir il finit par se lever et se diriger vers la palissade qui n'était pas très haute à vrai dire et saute par-dessus.

Il traverse la cour sans aucune hésitation ni l'air gêner et aperçoit qu'une des deux baies vitrée été ouverte, il entre une fois encore sans aucune hésitation et se retrouve dans le salon en constatent qu'il n'y avait personne, mais très vite il entend l'eau coulée à l'étage. Dans un premier temps il attends dans le salon mais en voyant les minutes passé il commencer à perdre patience, et pour enfoncer le clous il entendit même Viktoria chanter ou siffler en mettant de la musique dans la salle de bain. Il monte à l'étage en prenant bien soin de ne faire aucun bruit, il hésite quelques secondes avant d'ouvrir la porte et d'entrée dans la salle de bain où était Viktoria, cette femme qui refuser de répondre à ses appels et qui avait remué ciel et terre pour se retrouver devant elle. Et c'était tout lui, faire des choses imaginables uniquement par curiosité ou guider par ses désirs.

 
©️charney for ilh

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