Le seul échappatoire (pv aaron)

J'étais fatigué, très fatigué, j'étais devant mon ordinateur dans mon petit bureau dans mon appartement, je pensais à ma rupture avec mon ex petite amie Talya, ça me travaillais encore beaucoup ce qui était normal, mais je pensais aussi à autre chose. En effet, j'avais des sentiments pour une autre femme, c'est assez compliqué, on peut penser que c'est un transfert d'une personne à une autre, mais non pas du tout, les sentiments, c'est très dur à gérer c'est mystérieux, mais c'est également tellement génial… Cette fille en question, c'est mon amie Tania, nous sommes assez proches, notre relation est unique depuis le début de notre rencontre. Alors, que j'étais en train de terminer une phrase sur mon pc, mes yeux se ferme automatiquement, c'est simple, je tombe de sommeil, on dit souvent qu'il ne faut pas se forcer à rester éveiller quand on a envie de dormir, alors, je n'ai pas lutté contre le sommeil pour une fois je me suis tout simplement aller pour faire un merveilleux rêve. Je me retrouve soudainement sur une plage, je regarde au tour de moi, pour profiter du paysage, même si c'est un rêve autant en profiter, au loin, j'aperçois une silhouette que je connais bien, en effet, il s'agit de mon amie Tania, tiens bizarrement, alors, que je venais de penser à elle … Salut toi...

Pour me vider la tête généralement, je ne pense pas à directement à la plage, mais ce soir, j'avais envie de changer d'air de ne pas prendre la routine quotidienne, de plus le temps est bon ce soir, c'est l'idéal pour se balader sur la plage main dans les poches avec pourquoi pas si j'ai un peu de chance un magnifique coucher de soleil. Oui, je sais que c'est assez surprenant de me trouver sur plage, mais j'ai bien fait, car j'ai la chance de
croiser ton chemin pour passer une bonne fin de soirée, dis-je en souriant.
Oh tu sais, vu ma musculature, je pense que je n'ai plus besoin d'entretenir mon corps, dis-je pour plaisanter bien évidemment. Je la regarde, toujours sur le ton de la plaisanterie avant de rappliquer, tu penses que je pourrais être à la hauteur pour le jouer ? Dis-je en rigolant, si seulement tu joues la nouvelle Pamela, la, je dis oui, si c'est pour te voir dans ce fameux maillot de bain rouge. Je me mords la lèvre en disant cela, je pense qu'avec le physique qu'elle à elle serais capable de le porter sans soucis, mais c'est vrai que je mettrais ma main à coupé pour la voir dans cette tenue…

Alors quoi de neuf puce ? Ça te dis qu'on se balade tranquillement sur la plage pour profiter de cette superbe vue ?

Qu'est-ce que j'ai fait de plus dingue dernièrement ? Pour être honnête pas grand-chose, je ne suis plus ce jeune homme qui prend des risques, l'homme qui relevais tous les défis qu'on me proposait, oui, je l'avoue avec le temps, j'ai perdu cette folie. Peut-être parce que je vieillis ? Il faut dire que la quarante-aine approche à grand pas, c'est un âge que je redoute de plus en plus, mais plus j'y pense plus je regrette le Aaron foufou de l'époque.
Alors, je me dis pourquoi pas faire un bain de minuit avec la jeune femme ? Je pense que ça pourrais être drôle, bon la soirée ne fais que commencer alors, j'ai le temps de lui faire la proposition, puis bon pour le moment, il fait bon, alors autant en profiter avant qu'il ne fasse froid, surtout que je suis un cul geler moi, je ne supporte pas le froid, de plus, je ne suis pas le genre de mec à ne pas m'en plaindre. La balade avec Tania, est tout simplement sublime, je sais que nous sommes amis, mais je peux m'empêcher de penser à cet angle romantique avec un coucher de soleil à coupé le souffle, il y a toujours eu cette attirance que j'ai toujours ressenti depuis le début de notre rencontre, ça fait tout de même un an qu'on se connaît, je ne me suis jamais aussi retenu avec une fille, c'est parce que Tania me plaît vraiment, j'aime prendre mon temps, quand une fille me plait avant de lui dire, car avant d'être un séducteur, je suis un garçon très timide. Toi avec le maillot de bain rouge bien évidemment, Pamela ne t'arrive pas à la hauteur puce, dis-je en souriant. Tu porterais n'importe quoi tu serais toujours aussi belle, c'est l'une des premières fois où je lui fais ce genre de compliment, mais je ne le regrette pas, car c'est une chose que je pense sincèrement. Pas besoin de forte poitrine pour être parfaite, puis pour te dire la vérité, ça n'a jamais était mon délire. Ça peux surprendre, mais c'est vrai, j'aime les femmes naturelles et simple, les femmes bimbos, je trouve sa surfait, temps mieux si certain aime les filles avec de gros seins, mais moi, ça n'a jamais était ma came. Oh d'accord, mais je t'avoue que ça serais cool qu'on se voit un peu plus souvent, nos conversations me manquent beaucoup, dis-je en souriant. Et bien, je ne sais pas encore ce que j'ai prévu pour Noël, ni pour le 31, c'est encore un mystère, je restais à nouveau silencieux quand la belle blonde me parle de ma famille, puis, je lui réponds sans trop la faire attendre. Ils ne sont pas dans le coin, ils sont tous à New-York, dis-je en soupirant légèrement, je ne sais pas encore si je vais faire un saut à New-York, je suis en train d'hésiter.
T'en fais pas ça ne me dérange pas, mais je te remercie de m'en laisser le choix, je déteste le genre de personne qui veux à tout prix tout savoir, alors que c'est tout le contraire de la jeune femme, c'est une autre qualité quej'aime chez elle. Un rangement de dossier, j'avoue que ce n'est pas une si mauvaise idée, c'est toujours le foutoir dans mon bureau, faudrait que j'y pense, dis-je en souriant, et toi alors ? Je continue de marcher sur la plage
tranquillement en écoutant attentivement la belle blonde.

New-York est une ville magnifique, elle est pour moi la plus belle ville au monde, c'est simple à cette ville, il y a toujours quelque chose à faire, on ne s'ennuie jamais. La statue de la liberté, bien entendu que je l'ai déjà visité, la première fois que je l'ai vu, c'était avec ma mère, j'avais environ sept ans, je crois que je m'en souviendrais toute ma vie de cette merveilleuse journée, nous étions que tous les deux avec ma mère, elle m'en avais souvent parler de la statue de la liberté, à chaque fois, elle me disait, mon fils, il faut que je t'y emmène, tu ne vas pas le regretter, bon moi à cet âge, je m'en fichais, ce qui me préoccupait le plus c'était mes jeux de cartes de manga et rien d'autre, puis un jour, je voulais faire ce plaisir à ma mère. à chaque fois que je me rends à New-York, je visite la statue de la liberté, tiens peut-être qu'un jour, j'embarquerais Tania avec moi, je pense que ça serais vraiment génial. Je la regarde en souriant, avant de lui répondre. Bien sûr, c'est absolument magique, si tu veux un jour, je te ferais visiter New-York, dis-je en gardant le sourire. Oh, je vois que tu seras gâté alors. Puis un chien arrive vers nous, quelque chose me dit que celui-ci a envie de jouer avec nous, je pense qu'on va bien rigoler, avec Tania, tout d'abord, il s'amuse avec la jolie blonde en jouant au freezbee je me tourne vers elle en lui disant. C'est pas mal dis donc tu as déjà eu un chien avec qui tu joué ainsi ? Dis-je en continuant la jolie balade avec elle, puis je lui dis en rougissant légèrement. Tu sais Tania, depuis que je suis arrivé sur la plage, j'avais … J'étais gêné de lui dire, même si nous sommes dans un rêve, j'ai tout de même le trac, mais je me lance puis j'arrête de trop réfléchir. Voilà, on se connaît depuis pas mal de
temps toi et moi, j'ai toujours ressenti quelque chose pour toi, je ne te l'ai jamais dit, mais j'ai toujours eu envie de t'embrasser et ça depuis notre première rencontre Tania… Dis-je en la regardant timidement en attendant une réaction de sa part puis je décide de prendre mon courage à deux mains, avant d'attirer doucement Tania vers moi, puis je pose délicatement mes lèvres sur les siennes en lui volant un doux baiser sous ce coucher de soleil magnifique, je n'avais tout simplement pleins les yeux, tout ce que j'espère, c'est que Tania, ne me repousse pas, même si je sais que ça sera surprenant pour elle...

En retournant à New-York, je pourrais retrouver mon grand-père, c'est une personne que j'aime énormément, c'est simple, mon grand-père, c'est pour moi un exemple, c'est pour moi un grand homme un modèle, qui m'a beaucoup inspiré, mon grand-père m'a beaucoup conseillé sur mes choix personnels, je lui dois absolument tout. Mon grand-père, quand je lui rends visite à chaque fois, il me demande de le rejoindre pour l'aider dans son entreprise, à chaque fois, je refuse, car il sait très bien que je ne laisserais jamais mon métier de professeur de sport, mais je sais qu'il fait cela pour me taquiner, car les hommes de la famille font tous partie de l'entreprise familiale, sauf moi, j'ai préféré suivre mon propre chemin. Quand, j'ai parlé de New-York à Tania, elle était toute émerveillée, c'est normal en même temps, cette ville fait rêver absolument tout le monde, moi le premier, même si je connais New-York comme ma poche. Je sens que quand je vais venir accompagner de la jeune femme, ça va faire beaucoup de bruit enfin surtout du côté de ma mère, elle n'arrêtera pas de me taquiner avec ça, car depuis le temps qu'elle cherche à me caser. Bien entendu, on ira en ami… Je ne me fais pas de fausse idée, je la regarde en souriant avant de lui répondre. Bas, oui, je comprends, c'est normal, tu as une
race de chien préféré dis moi ? Dis-je en marchant avec elle, en poursuivant. Moi, j'avoue que j'adore les chiens quand ils sont tous petits, ils me font rire avec leur petite patte. Dis-je en continuant de me balader avec elle, avant d'avoir eu le courage de lui dire tout ce que j'avais sur le cœur, c'est pour moi très compliqué, je n'ai pas confiance en moi, parfois, je fais le clown ou l'idiot avec les filles, mais c'est pour me cacher derrière un masque, je suis
ainsi depuis tout petit, on m'a toujours dit que c'était lié avec ma mère, mais je n'ai jamais résolu le problème, durant toute ma vie, je n'ai jamais eu le courage de m'ouvrir à quelqu'un que j'aime vraiment, mais quelque chose me dis que Tania est une femme que je ne dois pas laisser m'échapper surtout que ça fait un petit moment que j'avais envie de l'embrassé.
Disons que ce n'était peut-être pas encore le moment parfait pour notre premier baiser, dis-je en souriant, en coup cas, je suis très heureux de t'avoir tout dis de ce que j'avais sur le cœur Tania, dis-je de nouveau en souriant en la gardant dans mes bras pour la serrer fort contre moi. Elle était toute bloqué quand j'avais posé mes lèvres sur les siennes, mais une fois le baisé fait, je la sens subitement plus légère, plus à l'aise avec moi, enfin, c'est ce que je ressens de mon côté...