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Après une journée de skate tu t'étais retranché dans des bars de la ville. Ici et là, t'avais enchaîné les verres, puis quelques shots. T'avais pas les idées clairs et surtout la tête à l'envers. Le goût de la bière sur les lèvres, t'avais attrapé les siennes. Elles étaient sucrées les lippes de l'inconnue, et tu prenais un malin plaisir à les mordiller. Vous partiez comme deux grands fous, à rire dans la rue, à se courir après comme des adolescents. Putain qu'elle était belle, tu l'attrapais sauvagement lorsque ses doigts s'accrochaient aux tiens. Tu la plaquais contre le mur, t'attrapais ses poignets, t'enivrais de son cou, t'humais ses cheveux, t'embrasais sa peau. Chaque souffle qui s'écrasait contre elle te donnait envie de la sentir sur toi. Vous étiez en bas de ton immeuble, tous les deux prêts à rejoindre les murs qui allaient couvrir votre plaisir. Et le désir explosait, au fond de toi, au coeur de cet appartement peu luxueux. Tu posais tes lèvres une dernière fois sur ses seins, tu te fumais ton joint et le sommeil t'attrapais jusqu'au lendemain matin. T'ouvrais les yeux, le soleil t'agressais à travers la fenêtre. L'inconnue était contre toi, corps nus, entrelacés. Putain, comment elle s'appelait ?

hj: une femme, rp court, un lendemain de one night. je promets pas des pages de rps, ça sera peut-être que 2/3 posts. on laissera le feeling prendre place you're losing your mind // MILA&NIELS 2109348208

#rplibre
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la nuit, son monde, ses caprices, ses supplices et ses ivresses. tous comblent l’ennuie. mais toi, ce soir, c’est ma solitude sur laquelle tu viens souffler. tu combles mon manque de tout. et mes yeux ne parviennent plus à se détacher de toi, ton reflet qui brille à l’intérieur ou est-ce juste le surplus d’éthanol qui les rends aussi scintillants. et ces rires aux éclats qui en feraient presque trembler tout les murs de cette ruelle. comme si on se connaissait depuis toujours, comme si c’était une habitude qu’ont finissent dans cet état toi et moi. probablement qu’on se ressemble un peu au fond, qu’on a les mêmes manques à chasser. les fous rires laissent place à la passion, l’inconscience qui embrase nos corps et les consument à petit feu. ce soir, c’est toi et personne d’autres. c’est nous contre le monde. mes lèvres qui se laissent capturer par les tiennes, mes formes qui ne cessent de t’aguicher encore un peu plus. mon corps qui ne demande qu’à ce que tu le possèdes. au moins pour cette nuit, juste pour s’abandonner un peu quand on devient trop lourds à porter. on grimpe jusqu’à ton appartement miteux, pas ceux dont j’ai l’habitude de côtoyer. mais là, l’esprit est beaucoup trop loin pour m’en apercevoir. et puis c’est l’extase, les derniers cris de pure jouissance qui s’échappent d’entre mes lèvres avant de tomber contre ton torse. le souffle court, le coeur qui tente de reprendre le rythme après l’effort intense. les yeux qui se ferment doucement, laissant comme dernier souvenir que tes lipes qui s’échouent une dernière fois sur ma peau. je fronce les sourcils, ta silhouette qui s’agite sous mon corps et me force à ouvrir lentement les yeux. plissés, l’agression des rayons du soleil est douloureuse. je relève rapidement la tête, ton visage qui s’habille d’incompréhension lui aussi. - et merde.. que j’abandonne dans un soupir. j’ai pas l’habitude de dormir chez les mecs avec qui j’baise, j’ai pas envie qui s’rappelle et j’veux pas me rappeler non plus. maintenant je vais avoir ton visage enregistré dans mes putains de souvenirs déjà trop sombres.
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La tête cogne, ça fait mal là-haut. Tu te passais une main sur le crâne, t'espérais que cela bousculerait ta mémoire. Bon dieu Niels, t'aurais simplement pu tirer ton coup dans les toilettes d'un bar. Mais non, c'était trop simple, fallait toujours que tu te mettes dans un merdier sans nom. Tu soupirais, tu te rappelais qu'à moitié, au moins la jouissance avait été bonne. Ses cheveux ébènes te chatouillaient le visage, tu la tirais loin de toi, loin de ton corps. C'était quoi ça encore, cette image d'un tableau raté, celui de deux corps entrelacés. Tu sortais du lit, le corps dénudé, le corps marqué, le corps tatoué, le corps glacé. T'enfilais le premier jogging que tu trouvais, tu la regardais, du coin de l'oeil. Tu te prenais une cigarette, tu t'allumais sans attendre, puis tu tirais dessus comme un malade. Tu t'assumais Niels, seulement tu savais jamais comment te tirer d'un tel merdier. "T'en veux une ?" que tu proposais en tendant le paquet, plus par politesse et pour combler le vide. T'espérais qu'elle refuse, tu voulais simplement qu'elle se tire de chez toi. Putain, t'avais trop mal au crâne pour réfléchir correctement Niels. Puis tes yeux se posaient sur son corps, sur sa peau dévoilée. Elle était bonne, ça ouais, l'alcool t'avais pas eu hier soir.
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les lendemains de soirées sont toujours douloureux. affreusement. j’ai ce bruit sourd qui fait vriller mon cerveau, ces coups de marteaux qui cognent contre les quatre coins de mon crâne. et les lendemains de soirées peuvent aussi être surprenants. comme là, où je suis dénudée de tout textile dans tes draps froissés, probablement par la seule force de nos corps qui s’amusaient à redécouvrir chaque parcelle de ce lit. moi, à qui cette soirée n’a été que perte de temps. à en voir ton appartement, j’ai pas grand chose à gagner sur ton compte mise à part ta muette compagnie. et puis c’est pas plus mal, j’ai pas la force à jouer l’intéressée. j’ai envie de déguerpir, c’est certainement ce que je comptais faire quand mes yeux cherchaient dans la pièce mes vêtements éparpillés avant que tu m’proposes cette clope. j’enroule le drap autour de mon corps, descend du lit et n’accorde aucune importance au paquet que tu m’tends. je préférais piquer la tienne, déjà allumée, déjà entamée et que je venais porter délicatement à mes lèvres. - merci.. je butais sur la fin de ma phrase, réalisant que j’connaissais même pas ton prénom. je veux pas le savoir. tu me servirais à rien avec tes poches vides de toute façon. dommage, t’es trop beau pour ne pas être regardé. dévorer. - t’as pas vu mon soutif’ ? que j’demande en cherchant dans la pièce. tu m’as bien déshabillé, aide-moi à m’rhabiller maintenant.
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