La cage thoracique secoué par un ricanement étouffé, il s’étrangle à moitié dans les escaliers. Il n’en connait même pas la cause. Surement l’alcool. Les mélanges. A part ça, rien de mémorable ? Ou peut-être bien ce gars avec son imperméable qui les avait menacés lui et ses potes de son parapluie. Allez savoir. C’est flou dans sa tête. Ses pensées se noient dans l’illogisme. Et ses actions sont brouillons. Effacées. Il a déjà oublié une partie de la soirée. Comme ce numéro de portable qui git inconscient dans sa poche. Aucun sens. Gamin immature qui continue de naviguer dans le déni. La peur. Celle de l’après. Après Harvard. Encore un an à vivre entre ses murs, avant que ça ne se termine. Vont pleuvoir les responsabilités. Devenir plus grosse. Plus etouffante. Alors, il profite. Joue au con. A l’insouciant pour ne rien oublier. Pas lourd. Difficilement, il arrive à l’étage. La tête qui tangue. Pousse une porte qu’il pense être celle de sa chambre. Sur le matelas, il s’échoue. Ignorant totalement la silhouette qui s’y trouve. Là. Blotti dans le noir.

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(tw) sommeil les pensées. Libère l'âme le temps de quelques heures. Pour une fois, ni rêve ni cauchemard. Silence que tu aurais pu trouver pessant. Là, il t appaise. Respiration calme, corps plus souple que d'habitude. Le corps à moitié dénudé enroulé autour de ta couette. Tu n entends même pas la porte s'ouvrir. S'allonge l'ombre, et l inconsistent qui s allerte. La main qui s étend et s écrase sur le haut de son torce. Corps qui se tends. Présence mysterious, sournoise. Appel les souvenirs de ces derniers jours. Inconnu qui te suit sans savoir pourquoi. Le haut de ton corps qui s élève, le dos qui s appuie contre le mur, les pieds qui se positionnent sur le flan, de celui que tu ne penses pas connaitre. Appuie, le corps qui roule pour finalement s écraser à terre. Allume la lumiére, et tu vois son visage. Toujours sur le lit, élevé au dessus de lui " qu est ce que tu fais là ? "   - @Scott Guerin

Voler. C’est presque la sensation qu’il à, mais le choc renverse la tendance. Soubresaut de l’estomac. Il aurait presque envie de gerber. Vrille ses émeraudes. La lumière se fait divine. Est-ce que c’est à ça qu’ressemble un coma ? La tête qui divague. Il ne la voit pas tout de suite. Ollie. C’est sa voix qui le sort de son délire. Grimace sur l’ovale. Il plisse les yeux. “Pioncer.” Timbre pateux. La langue similaire à du plâtre. Sur le sol, il fait le mort. Se frotte les yeux, avant de tenter une œillade dans sa direction.

LE DIMANCHE 5 MAI DANS LA CHAMBRE D OLLIE A LA DUDU
(tw) soulagement. Celui de le voir lui et pas un autre. Grimace l'ovale, les mains qui maintiennent ton corps au dessus de lui. Tu constates. Le regard qui s attarde sur les signes qui ne trompent pas. L'alcool qui chatouille tes narines. Ton tee shirt qui s'élève, révèle les dernieres marques d un tatouage récent. Want you. Le corps qui s abaisse et qui se laisse tomber. Visage qui se plante sur le rebord de ton lit. Les billes qui le fixent. "- tu t es trompé de chambre. " la main qui se tend vers lui. "- t as besoin d aide ? Ou tu sauras la retrouver toute seule ?"    - @Scott Guerin

Les mots restent en suspends. Percent difficilement le brouillard de son crâne. Putain, il comprends rien de ce qu’elle raconte. Il est presque sur de reconnaitre ce sol. “j’suis bien là.” Marmone dans sa barbe. Les doigts qui quitte son visage, il se cache à present les yeux avec son avant bras droit. Reste inerte. L’envie subite de dormir.

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(tw) les cernes apparent, ceux qui se dessinent facilement quand tu n'as pas assez dormi. le menton qui s'appuie sur l'une de tes mains aplatit sur le rebord de ton lit. tu l'observes. sors ses mots. bras qui vient caché ses yeux. tu ne dis rien, observe l'étudiant et délicatement. tu oses appuyer sur son bras, le baisse un peu. ses yeux encore fermés. " tu vas pas dormir par terre... " corps qui se redresse, tu quittes ton lit. une jambe qui passe au dessus de lui, pieds qui encadrent sa taille. encercle son corps. " aide moi, je vais te remettre sur mon lit. " le haut du corps qui se penche en avant, tu viens prendre ses mains pour qu'il puisse s'aider de ta force pour se redresser.       - @Scott Guerin

Secousse. Bruit sourd qui résonne contre ses tympans. Le bras tiré, il ouvre un oeil. Brune qui l’encadre. Cuisse dénudée. Le tanga qui le sort un peu de sa torpeur, mais pas assez. C’est le haut surtout qui l’interpelle. Lui rappel vaguement quelque chose. Tentative veine. De la part d’Ollie. Les mains qui l’attrapent. Tente de le soulever. Gestuelle contradictoire. C’est Scott qui tire d’un coup sec pour qu’elle atterrisse sur lui. “vec’ qui t’as la pute pour ça ?”

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(tw) parenthèse accordée. esprit trop embrumé pour s'y attaquer. accalmie offerte. tu proposes ton aides naturellement. tes doigts qui se saisissent de ses mains pour pouvoir le relever un peu. coups sec qui te pousse à plier genoux. s'affale contre lui, le corps qui perds l'équilibre. mains sur son torse, garde une distance aussi légère soit-elle. pute. insulte passé qui raisonne. le corps qui se redresse instinctivement, prends plus de distance. le corps qui reste assis sur lui. phrase que tu ne comprends pas. " refais là, j'ai pas compris. "       - @Scott Guerin

Poids plume. Pèse sur ses hanches. Elle domine. Il ne la voit pas. La distance dans son regard. Celle causée par ses mots. Il ne la perçoit pas, parce qu’il est trop défoncé pour ça. Main lourde. Se lève difficilement. Tire sur le t-shirt, avant qu’elle ne retombe mollement sur sa cuisse. “ça.” Légèrement engourdie, il tente de bouger. Appuyant contre son intimité à elle. Sans le vouloir. Emeraudes harassées. Posent leur intérêt sur elle.

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(tw) mots qui blessent encore. insulte qui tiraille les blessures interne. les billes qui s'assombrissent un peu plus. tu le regardes avec un peu plus de hauteur. ses doigts qui s'approchent pour tirer sur ton tee-shirt. visage qui s'abaisse. frisson incontrôlée lorsque sa main se pose lourdement sur ta cuise. le regard qui cherche à comprendre. tire toi aussi sur le tissus et là tu comprends. visage qui se redresse en sa direction. le regard qui se plante dans le siens. tu t'apprêtes à lui répondre et là, actionne le feu d'un simple mouvement d'hanche. lèvres que tu mords, tu décides finalement de t'échapper de là. s'appuie sur le genou à l'opposer de ton lit et c'est à ses côtés que tu t'assois. loin de toute tentation. " tu veux le récupérer ? " montre le tee shirt.          - @Scott Guerin