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Pluton il a les yeux revolver le regard qui tue. On peut pas rester de marbre face à ce type. Louison peut pas. Elle fond. Elle est complètement dégivrée, pas besoin du chauffage. « Noooon, je veux les deux s’il te plaît, s’il te plaît ! À moins que tu veuilles les offrir à ta maîtresse » Je te vois très bien sourire, espèce de bourreau des coeurs. J’me demande tellement ce que t’as pu trouver. Je peux pas deviner, je vais devoir être patiente, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. « Beurk, non, enfin, je veux connaître que nos péchés, uniquement les nôtres » Et pour y avoir participer, pas besoin d’un instant confession à les citer un par un. Je les ai vécus et si c’était à refaire, je le referais sans hésiter. Tout. Du début jusqu’à la fin. De notre partie en trois rounds au fond des bois à notre coup de téléphone rose en septembre. Aucun regret. Les regrets, je les aurais eus en te repoussant. Alors effectivement, pour toutes les raisons que je te déballe, je veux que tu sois à moi, aux yeux de tous, plus d’étiquette à moitié effacée où on peine à lire ce qui y est écrit. Couple, je veux qu’on réécrive ce foutu mot tous les deux. J’veux qu’on soit ensemble. « L’inverse est valable. » T’as pu te passer de moi à deux reprises, pas moi. C’est toi qui m’as .. tiré dessus, qui m’a mis à terre et la seule main que je voudrais attraper pour me relever, c’est la tienne. T’es mon assassin et mon sauveur. Les deux. Aïe, je t’aime trop. Ouais, mais peut-être que je n’aurais pas dû balancer à mes parents que j’étais folle de toi. Regarde, tu disjonctes. J’ai fait sauter les fusibles de mon petit-ami. C’est pas ce que je voulais, je voulais pas te couper l’herbe sous le pied. « Ah.. Je vois. Mais c’est en cours et peut-être que cette rencontre me réparera d’un coup. Qui sait ? » C’était la plus belle preuve d’amour que tu pouvais me faire, entrer dans le clan Chamberlain, le colorer et t’y imposer. Leur prouver que leur fille était en sécurité, que tu ferais .. tout pour elle. Mais sans que tu parles, j’entends tes doutes, je sais ce que tu crains. Tu crains qu’on aborde la face cachée de la planète Pluton. Camila et le reste. Toute la peine que tu as causée en moi durant ces dernières semaines, ces derniers mois. Pourquoi pas ? J’pourrais peut-être enfin tourner toutes les pages de ce chapitre catastrophique. « Oui, je resterais. Je n'ai pas fait tant de sacrifices pour te quitter, c’est pas leur avis qui m’fera changer d’avis. C’est toi qui détiens le pouvoir de tout.. casser. Je sais dans quel pétrin je suis. J’sais que tu vas avoir un enfant qui n’est pas le mien et que je vais en souffrir, je sais tout ça » Voilà, je dis tout haut ce qu’ON pense tout bas. Si on pouvait en reparler plus tard, j’voudrais profiter de notre renaissance à tous les deux, sans cette ombre qui plane au-dessus de moi. On peut encore l’éloigner non ? Quelques semaines .. Oh mon dieu, j’pourrais pas te couper de tout ce qui t’attend. J’vais devoir serrer les dents, faire ma place dans cette histoire pleine de noeuds et ne rien lâcher. Cette fois-ci, je me sens prête. C’est inexplicable. Je me sens un peu trop pousser des ailes et j’crains forcément qu’on me les coupe à des kilomètres de haut. La chute sera terrible, mais pas insurmontable. Rien n’est insurmontable, j’suis toujours ici, alors que j’ai heurté violemment le sol à plusieurs reprises. Si je pouvais tout de même éviter de me viander, je suis preneuse. Je tiens à nous. Je tiens à ce qu’on véhicule comme valeurs dégueulasses. On est irrécupérable et on s’assemble plutôt bien. J’ai mes failles, tu as les tiennes et on les accepte. « Le classement peut évoluer à tout moment » J’suis sérieuse. Rien n’est fixe. Tu peux rétrograder Raphaël à tout moment. C’est toi qui as les cartes en main et ce n’est pas la première fois que je te les donne, alors ne les déchire pas ok ? Oh, un bisou. Tes lèvres.. C’est déjà mon plus beau cadeau. « Je n’en ai pas l’intention » Pourquoi je changerais une version sans défaut ? Tu sors ensuite de la bagnole et je soupire en enfonçant mon crâne dans l’appui-tête. Tu m’as déstabilisé en fait, sans forcément t’en rendre compte. « Oui, j’arrive ! » Je sors tout lentement et je verrouille ma caisse. Je glisse un masque ‘tout va bien’ et je nous enferme chez nous. Je me débarrasse à peine du manteau que tu me fonces déjà dessus, lâchant ta valise au beau milieu du salon. J’suis si surprise que je me laisse faire, je te repousse pas. J’encadre ton visage gelé, intensifiant ce baiser qui m’est étrangement douloureux. Puis je nous détache, je défais ton écharpe, je retire ton bonnet et je te regarde « Ne pars plus et ne reviens plus, reste » C’est tout ce que je te demande. La stabilité. Ma gorge se serre cette idiote. Mon coeur se contracte lui aussi. On peut plus s’aimer profondément, se rendre accro et se quitter brutalement. « J’veux pas guérir de toi, viens.. » Te tirant par le poignet, je nous amène alors à notre chambre. Je nous positionne exactement où j’étais durant notre appel en FaceTime et je fais tomber ta veste. Mes yeux sautent un peu partout sur ce torse encore vêtu. Je le dévore et je relève mon regard vers le tien « Je devais te faire quelque chose ici, toi aussi » L’amour peuplant mes prunelles, j’attrape le bas de ton pull et je le fais sauter. Aussitôt débarrassée de ce dernier, mes mains remontent de tes abdos à tes pectoraux. Je nous rapproche, je m’étire sur la pointe de mes pieds et je plonge ma bouche dans ton cou. Je le bouffe comme je boufferais tes lèvres et je pince. J’aspire ta peau, je la coince entre mes dents jusqu’à sentir un frisson dévaler l’ensemble de ton épiderme. « Ton suçon made in France. Fabriqué avec tout mon coeur. Je t’aime Pluton Westerberg.. » Les je t’aime pullulent. Je les ajoutent, bout à bout, sans m'arrêter. C’est le grand destockage. Je guide ensuite tes deux mains sur mon chemisier, là où elles devaient être durant notre coup de fil. « Dis moi qui je suis ! Je suis ta .. » Meuf, copine, amoureuse, comme tu veux.
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Kaze Faulkner

Âge : 34
Lieu de naissance : chicago (IL)
Quartier d'habitation / Colocation : south boston
Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : dreamrutine@tumblr
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department

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Warnings : viol, suicide, dépendance à l'alcool, violence, sexe
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Kaze Faulkner
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t158203-kaze-faulkner-max-ironsRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158086-Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t158517-meetsachussets-fkaze

pluson ★ thunderclouds — w/ Louison Chamberlain
@ aéroport de Boston, novembre 2018

Je sais pas ce que j'avais fait pour la mériter en vrai. Disons que j'étais un vrai chanceux dans l'histoire et que j'avais pas mal merdé de bien des façons. Mais là, j'étais à côté d'elle. J'allais tout faire pour rendre sa vie bien moins merdique que lorsqu'elle n'était plus à mes côtés. Parce que je ne voulais plus qu'Antonio, Enzo ou Liam ne viennent lui faire la cour dans le simple but de pouvoir coucher avec elle. Non, elle était mienne et j'étais prêt à le crier sur tous les toits s'il le fallait. J'irai frapper à chacune des portes de Cambridge pour dire que Louison Chamberlain, française née à Paris, était mienne et le resterait jusqu'à nouvel ordre. Peut-être pour la vie, j'en savais rien. « Quelle maîtresse ? Ma maîtresse, c'est ma chérie, c'est ma copine, mon amante. T'es toutes ces personnes à la fois » Et je n'avais aucunement envie de voir quelqu'un d'autre. J'allais faire d'elle ma priorité maintenant, ne plus la faire douter. C'était ce qu'elle voulait depuis le début, c'était ce qu'elle aura enfin. « Juste les nôtres ce sera... Même si du coup, tu les connais déjà par coeur, non ? » Elle était du genre à se remémorer nos moments, elle m'en avait déjà parlé une fois. Dès qu'elle se touchait, elle pensait à moi. A mon corps contre le sien, et elle avait toute une bibliothèque en mémoire pour avoir chaussure à son pied à un moment T. Même durant notre appel de septembre, le fameux, elle m'avait avoué se toucher en pensant à ma bouche sur elle, entre ses jambes. Ouais, j'avais l'égo plus que flatté à ce moment là. Quoiqu'il en soit, ses parents seraient bientôt réunis, prêts à me rencontrer. Ils ont vu une photo de moi, ils savent plus ou moins comment je suis si jamais elle leur a donné quelques traits de caractère et moi, je ne savais pas tellement comment j'allais réussir à gérer tout ça. Est-ce que ça se passerait bien ? J'avais pas tellement envie de parler de Camila, du bébé, et tout ce qui s'en suit, mais j'allais pas forcément avoir le choix. C'était une partie de notre histoire et il fallait pas que je cache le moindre truc. C'était des avocats les Chamberlain, ils sauraient démasquer la vérité quoiqu'il en coûte. « L'inverse est totalement valable oui » Pluton Westerberg avait jeté son dévolu sur la jeune Louison Chamberlain et ne pouvait tout bonnement pas se résigner à vivre sans elle. Preuve étant qu'il avait essayé.... sans grand succès, de toute évidence. Tout le ramenait à elle. Un objet, une odeur. Elle avait été son monde un temps, et il avait été incapable de vivre dans un monde où elle n'était pas là. « J'espère... J'espère vraiment » Je voulais que ça, la réparer, réparer mes erreurs, tout ce que j'ai pu lui faire subir. Je voulais qu'en me regardant, elle ne pense qu'à l'amour qu'elle ressent pour moi et non les erreurs que j'ai pu faire et qui l'ont mené à cet instant. Je l'écoutais, les yeux dans les yeux, le coeur se resserrant à ses mots. Quand elle parlait du bébé, du fait qu'elle souffrira. Putain... J'aimerais tellement la rassurer, lui dire qu'elle et moi aussi on aura un enfant un jour. Mais pour ça, faudrait déjà que je trouve une solution à ce contrat signé. Celui stipulant que je n'avais pas le droit d'apporter l'enfant à proximité d'elle, m'obligeant à vivre loin d'elle les jours où j'en aurai la garde. « Je veux rien casser... je casserai rien. Toi et moi, je vais nous souder plus que jamais. Les deux doigts d'une main. Jamais l'un sans l'autre. Louison et Pluton, le couple volcanique » Et qui s'attire les foudres de tout Harvard. Mais qu'est-ce qu'on en avait à foutre de ce que pensent les gens ? Tant que nous on est heureux, c'est le principal. Et j'allais malgré tout essayer d'atténuer sa peine, d'une quelconque façon que ce soit. Je ne pouvais pas renoncer à mon enfant, mais je ne pouvais pas renoncer à elle pour autant. Quoiqu'il en soit, j'étais rassuré. Raphaël n'avait pas forcément une place définitive sur le podium, je pouvais le dépasser, le détrôner, le battre en des termes plus crus. Je ne voulais pas qu'il soit le grand amour de Louison, je voulais l'être. Je voulais être the one and only, celui qui gagne les bonnes grâces de sa famille. Rapidement, je mettais fin à cette conversation douloureuse, autant pour elle que pour moi. Enfin, je tentais d'éclipser tout ça et de faire peau neuve, de reprendre un air joyeux, celui du mec qui retrouve sa petite amie après un long voyage. Elle semblait trainer des pieds mais rapidement, elle se retrouvait en ma compagnie à l'intérieur de l'appartement, porte fermée et nos deux corps l'un à proximité de l'autre. Ca y est, je commence à m'embraser par la simple légère distance. Et elle me déshabillait. Doucement mais sûrement. Le manteau, l'écharpe, le bonnet. Mon super bonnet Suisse. « Je reste. Je vais même mettre mon nom sur le bail de cet appartement pour te prouver que je ne bougerai pas » Une preuve comme une autre, mais au moins, légalement, on est dans un lieu qui nous appartient à tous les deux. Enfin, "appartient". C'était pas un achat, ça restait une location, mais elle était à son nom et je voulais en faire notre appartement. Mon coeur loupait un battement à ses mots et je finissais par la suivre dans notre chambre, où elle nous plaçait entre la commode et le lit, comme là où elle se trouvait lors de notre échange visio-téléphonique. J'ouvrais la bouche à ses mots, ne sachant pas tellement à quoi m'attendre et c'était une fois mon pull retiré et ses lèvres contre ma peau que je comprenais de quoi il s'agissait. « Aaah... oh! Oui, je me souviens » Et je riais doucement, encerclant son corps dans mes bras, alors qu'elle me prodiguait sûrement le meilleur suçon qu'on ait pu me faire en plusieurs années de relations amoureuses. Quand elle eut enfin terminé, je la regardais, les yeux en coeur et l'envie de la dévorer me tiraillant de tout mon être. Mes mains se retrouvaient sur son chemisier tandis que je le répétais en même temps qu'elle que je l'aimais. Finalement, elle me posait une question qui était tellement évidente que je n'avais pas eu besoin de réfléchir. « ma copine, ma petite amie, mon amante, ma meilleure amie... la femme que j'aime, que je désire plus que tout, celle que je veux combler au péril de ma vie s'il le faut » La passion s'emparait de moi, il n'y avait plus rien à faire. Alors je venais capturer ses lèvres tandis que j'arrachais tous les boutons de son chemisier en écartant les pans de ce dernier. Me reculant, je finissais par me mordre la lèvre inférieure et je le lui retirais tout en capturant de nouveau ses lèvres, ma langue venant chercher la sienne pour jouer un peu ensemble. Attrapant ensuite sa taille, je la portais jusqu'au lit, sur lequel je la posais et je venais m'allonger au dessus d'elle, ma main glissant jusqu'à sa cuisse, caressant par dessus le vêtement, ce qui me bloquait légèrement pour la suite des événements. « Tu es celle qui détient mon coeur, mon corps... celle qui a les pleins pouvoirs sur moi »
(Kaze Faulkner)




“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”

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T’as toujours les mots. Les mots qui contrôlent l’apparition de mon plus beau sourire. Ceux qui m’attendrissent en moins de deux, ceux qui cessent les hostilités et ceux qui m’font péter un câble. Tu fais le beau et le mauvais temps sur le territoire Chamberlain. C’est toi qui décides. T’assombris mon ciel quand tu veux, tu le lui rends le soleil quand tu veux. T’es le petit roi. Parfois j’ai l’impression que tu tires les ficelles, que j’suis ta petite marionnette incapable de prendre le contrôle. C’est fatigant. J’voudrais avoir le même pouvoir moi aussi. J’veux être ta marionnette et que tu sois mon pantin. Un tour chacun. « Ouais, j’ai toute la collection de nos péchés, je la revisionne assez souvent d’ailleurs » Autant dire que je l'ai pas mal ouverte lorsque tu es parti Outre-Atlantique pour quelques morceaux de chocolat et un peu d’air frais. Ouais, je peux te dire que j’ai bien tapé dans mes souvenirs ces derniers jours. Je me suis refait la soirée post-bal. Les Bahamas, bien évidemment, un incontournable et puis toute la série en Suède. Oh, j’oubliais le 69. Une tuerie pour jouir en ton absence. Ok, je t’ai peut-être foutu le grappin dessus, mais tu l’as aussi foutu sur moi. Et ça tue. Ton con de grappin s’est bien harponné à mon coeur, il aurait pu s’accrocher ailleurs, à une partie bien moins sensible. Le salaud. Pourtant je l’aime cette douleur tu sais, quand tu me fais mal, que tu tires un peu sur la corde et que les crochets arrachent mon palpitant, j'aime. C’est malsain, mais c’est un peu nous. Pleins de méandres, de la passion, du feu. Un volcan, t’as bien trouvé le mot, on est un couple volcanique. Personnellement, mes seules éruptions, elle vienne uniquement d’un seul sujet, mais bon, qu’est-ce que je peux y faire ? Tu ne renieras jamais ton gamin, ni la ‘mère’. Je vais devoir composer avec ces pièces. Accepter la mise à l’écart en espérant que ça change un jour. Encore faut-il que j’arrive à ce stade, ne tire pas de plans sur la comète Louison, doucement. « Et je nous souderais également, on est deux. » Quant à Raphaël, il est de l’histoire ancienne et toi tu es tout mon présent. S’il reste encore sur un piédestal, c’est qu’il n’a pas eu le temps de me décevoir, de me blesser ou de m’aimer à s’en brûler les ailes. Bref, discussion close, il nous reste encore quelques jours pour prévoir une rencontre avec mes parents. Pour l’instant, j’ai besoin qu’on se retrouve, que tous les deux. Chez nous. Dans cet appartement ni trop grand, ni trop petit. Un refuge pour tourtereaux. Je creuse alors un trou et j’y enterre mes peurs. Je pénètre à l’intérieur et c’est l’explosion. Tu me heurtes. Je t’effeuille. J’expose mes désirs, mon souffle se réduisant. J’suffoque. « T’es incroyable, donnes moi ta bouche » Mes mains encadrent ton visage, mes lèvres s’aplatissent sur les tiennes, nos petits nez se câlinent et se frottent. Bordel, Ton nom à côté du mien. Avalanche de frissons. Ta main dans la mienne, je te traîne à notre chambre, à une position qui devrait te remémorer une certaine scène. Et je te découvre. Le pull vole, partant se refroidir sur les lames du plancher. Mes ongles ratissent ton torse. Ta peau réagit et rougit. Je m’élève ensuite sur la pointe de mes pieds et je suçote ta peau pour lui laisser l’empreinte de ma bouche. Ceci est à moi. Pluton est mien. Il m’rend folle. Je sais pourquoi je l’aime tant. S’il ne m’avait jamais fait un peu de mal, je ne me serais peut être jamais souvenu de lui. S’il n’avait effectivement aucun effet sur moi, je n’en serais pas là. Je n’en serais pas aussi dépendante. Et peut-être que je n’ai rien compris, peut-être que je devrais apprendre à vivre seule, mais je n’en ai pas envie. Je veux tes mains sur ma peau. Ta voix qui .. qui débite une succession de substantifs plus beau les uns que les autres. Je .. J’en reviens pas. Meilleure amie ? Je vais pleurer. Mon esprit et mon corps se sont perdus, comme dissociés. Trop tard. J’crois que tu vois pas l’émotion qui me submerge. Tu t’emballes, mais je suis encore sous le choc de ta déclaration. Nos langues s’enroulent fougueusement. La tienne semble plus énergique. Je suis plus passive. Mon chemisier s’ouvre. Je lis le désir sur ta gueule d’ange et je souris tout tendrement, encore émue. Puis je me sens ensuite partir sur le lit, écrasée par ton poids. Ta chaleur corporelle se transfère sur mon décolleté. Je suis fascinée. Et soudainement, une de tes mains emprunte un chemin menant au bonheur le plus ultime. Le déclic. Ma conscience retrouve enfin mon enveloppe charnelle. « Tu es celui que je veux bluffer tous les jours que Dieu fait. Tu es celui que je veux rendre le plus heureux du monde Westerberg. Tu es celui que je pourrais continuer de vouloir quand tu ne me voudras plus.. Attends, les pleins pouvoirs tu dis ? » Les muscles de mon bas-ventre se contractent et s’embrasent. Ma nuque se raidit lorsque ta paume brûlante rencontre mon entrejambe. J’hésite. « Mh.. Donc je peux aller chercher mes cadeaux maintenant par exemple ? J’en ai le pouvoir ? » Ça te dérange pas que j’annule notre montée en pression ? Moi oui. La curiosité me pique, mais j’ai encore de la marge. J’veux qu’on se cherche ici. Comme deux adolescents. Alors je te provoque un petit peu. Je dégage les pans de ma chemise de ma poitrine et j’apporte ta main plaquée sur mon intimité à mes seins. « Je veux que ça dure une éternité, fais moi languir mon amour » Ma main autour de ton poignet, je laisse le bout de tes doigts frôler la naissance de mes airbags. Mon pantin il est là. C’est sexy. Je me fais du bien avec ton corps, je t’oriente. C’est sensuel et excitant comme pas possible. Puis je te lâche, je m’incline vers toi, sur le flanc et je tire sur la peau de mon sein pour remonter mon téton hors du soutif. Brève sortie, un coucou timide. Je veux nous lancer un nouveau défi. Nous ajouter un nouveau chapitre dans la collection ‘interdit au moins de 18 ans’. « T’es pas chiche de me chauffer sans me toucher.. » Attention, je peux nous frustrer à tout moment pour aller fouiller ta valise. Ouais, peut-être que je te manipule, que je t’ensevelis sous le désir pour profiter d’une baisse de vigilance. « Écoute ce bruit » Le bouton de mon jean saute. Je ris faiblement et dézippe la fermeture à éclair. « C’est le bruit de la délivrance pour mon minou » Je me déhanche, faisant glisser mon pantalon sur mes cuisses et finalement, je le retire d’une manière plutôt acrobatique, les jambes voltigeant dans les airs, mes mains arrachant ma seconde peau avec énervement. Voilà, jambes nues, féminité sous un shorty bien échancré. « T’entends ? Il miaule le pauvre.. Son maître joue plus avec lui.. » Je te fixe, mon air coquin accroché à ma frimousse et je fais rouler mon pouce sous l’élastique entourant mon bassin. « Je t’excite ? » Si oui, excite moi en retour. Enflamme tout mon système nerveux, je t’en prie.

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« Une chance qu'on vive ensemble, on va pouvoir rajouter pleins de suites à cette collection » Parce que ouais, je comptais continuer à lui faire vivre le rêve éveillé, je voulais lui en faire voir pleins les yeux et ça commençait par ces moments en tête à tête, intimes et romantiques, ces moments un peu plus vivants, sans réel arrondis. Du brut de décoffrage. Elle adorait ça Louison et il fallait que je devienne un peu plus avenant de ce côté là. Elle avait appris le nénuphar, j'allais devoir apprendre la tulipe, qu'il y en ait pour tous les goûts. Il suffisait de voir nos ébats en globalité pour voir qu'on était un catalogue à nous deux. Du tendre, du moins tendre, du passionné. En réalité, c'était souvent du passionné. La passion nous animait et on était incapable de l'éteindre. En même temps, c'est pas comme si on en avait envie. Maintenant, il fallait qu'on devienne tous les deux le couple rêvé, celui qui faisait envier les moindres personnes. Et surtout, celui qui était intouchable. Impossible de nous séparer, impossible de se mettre entre nous. C'était ça qu'il fallait faire dans cette relation, nous souder au point qu'on devienne inséparable. Les experts en métallurgie, c'est nous ! C'est fou à quel point j'avais envie de l'embrasser en cet instant. Mais c'était le moment de nous rendre dans l'appartement, au chaud. La valise à mes pieds, je la tirais et puis on se retrouvait enfin dans l'intimité la plus totale. Alors qu'elle me déshabillait, elle me posait une question à laquelle je répondais le plus sincèrement et... ouais, elle kiffait. Elle adorait même, c'était plus que ce que j'avais espéré. Ses lèvres se plaquaient contre les miennes et j'étais tout bonnement subjugué par elle. Son aura m'avait envouté, je n'étais plus vraiment moi sans elle à présent. C'était dingue. C'était une fois dans l'appart qu'elle me faisait une dernière supplique, celle qui me retournait. Reste, qu'elle me demandait. Alors pour lui prouver que je ne m'en irai pas, pour lui prouver que les choses ne bougeraient pas entre nous, je mentionne le bail. Cet appartement, on le prend ensemble. Ce n'est pas juste le sien que je squatte continuellement. Je vais apporter mes affaires, plus d'affaires et ce sera chez moi, chez nous. De toute évidence, ces mots semblent lui faire l'effet escompté puisqu'elle venait chercher mes lèvres sans détour. Ses lèvres contre les miennes, j'étais tout bonnement conquis. C'était naturellement qu'on se retrouvait tous les deux dans la chambre, notre chambre. Dans cette pièce où on a failli vivre une catastrophe, bien heureusement évitée. Dans cette pièce où le ‘toi’ et ‘moi’ se conjugue en ‘nous’. Mon pull détale, je suis alors torse nu face à cette créature exquise et je me laissais faire, je ne ronchonnais pas quand ses ongles marquaient ma peau, encore moins quand ses lèvres s'approchaient de mon cou, dans le simple but d'y laisser une marque. Et elle y allait franchement, sans détour, si bien que ouais, je sentais une marque bien visible de sa part, histoire de marquer son territoire. Des gosses qu'on est, de toute évidence. Quand finalement elle cherchait à instaurer un jeu entre nous, je me mettais à répondre sans détour. Oui, elle était tout ça pour moi et je comptais pas faire en sorte que ça change, du tout. Je l'aimais comme ça et il était hors de question qu'il en soit autrement. De toute évidence, c'était le choc pour elle. Mes lèvres contre les siennes, le feu s'emparant de moi, elle ne semblait pas tellement réagir dans un premier temps. Il a fallu attendre que son esprit percute tout ça pour finalement avoir droit à une réaction. Je finissais par esquisser un sourire à ses mots, mon regard filant droit sur le sien. « Pleins pouvoirs oui » Elle faisait de moi ce qu'elle voulait, j'étais son pantin à présent. Seulement, quand elle me proposait de tout stopper... non. « Tu pourrais mais... après, s'il te plait » Parce que là, ça faisait plusieurs jours qu'on était séparés, plusieurs jours qu'on a du simplement s'appeler pour se faire du bien et... j'avais envie d'elle, tout simplement, et je ne voulais pas remettre à plus tard ce tête à tête tant attendu. De toute évidence, elle le voulait aussi ce moment alors remettons à plus tard ce qu'on peut faire plus tard oui. Ma main se faisait déplacer, du bas de son corps vers le haut, ses seins. J'avais ma main sur sa poitrine parce qu'elle l'avait décidé. Il me semble, je suis pas sûr, mais il me semble qu'elle aime ce côté “pleins pouvoirs”. Et ça me fait sourire, parce qu'au moins, elle est heureuse et c'est tout ce qui compte. « Tes désirs sont des ordres » Mon amour, ma chérie, mon bébé. Ma muse et mon inspiration. Elle était tout à la fois et je voulais juste me languir de nos deux corps dénudés, me languir de notre histoire. Je voulais tout et rien à la fois, découvrir encore énormément de choses petit à petit. Alors mes doigts, par dessus son soutien-gorge, dessinait sa peau, ses formes. Est-ce que ça avait son effet ? J'ose l'espérer. Elle était terriblement sensible ici, ce qui de toute évidence, me faisait bien rêver. « Sans te toucher ?! » Wow. C'était un challenge ça, et j'étais prêt à le relever, même si je n'avais aucune idée de comment je pourrais procéder. Et merde, moi qui voulait jouer avec son sein de sortie... Je le regardais, louchant presque dessus avant de la regarder elle à nouveau, soupirant. « Chiche » Mais pas le temps de me mettre à jouer de son corps sans la toucher, elle cherchait à se désaper toute seule, avec des commentaires qui me faisaient plus rire qu'autre chose dans le fond. « Son maître va s'en occuper bébé... tous les jours. Plusieurs fois par jour même » Parce qu'on a toujours été comme ça, impossible de ne pas se sauter dessus. Les fois où ce fut impossible, c'était cet été, puisqu'à la rentrée j'avais finalement cédé à la tentation. Elle me cherche, elle me provoque et... ouais, j'étais tout bonnement prêt à lui sauter dessus. Louison n'était plus que vêtue d'un soutien gorge et d'un shorty terriblement sexy. De mon côté, j'avais encore mon pantalon et mes chaussures, ce qui n'allait ne plus être le cas d'ici quelques instants. Je me redressais sur les genoux, le regard rivé sur elle, et de mes mains, je m'occupais de défaire ma ceinture, de défaire ce vêtement pour le retirer sous ses yeux, mes chaussures retirées au préalable. Me retrouvant qu'en boxer, bosse naissante visible pour elle, je finissais par m'installer à califourchon au dessus de son corps, à ma merci. Je n'allais pas la toucher, mais presque. « Tu préfères que je commence par quoi..? Tes seins ou plus bas ? » Parce que pour l'embraser, il n'y avait pas dix-mille endroits à titiller. Je n'avais pas répondu à sa question, assumant que la vue de mon boxer déformé serait la réponse adéquate. Mes deux mains se posaient de part et d'autre de son visage et doucement, je me reculais, face à sa poitrine. Je libérais le deuxième sein et je m'amusais à souffler sur ses tétons, un air vif mais chaud, dans le simple but de les stimuler. C'était affreux, parce que je voulais savoir à quel point elle était chaude, à quel point elle était réceptive à tous mes actes. Mais aucun accès à sa peau, une véritable torture. « J'ai droit aux accessoires ? » Je sais plus trop ce qu'elle a, mais je sais que je pourrais bien m'amuser avec.

#FinDuChallengeRP #OuPas
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Je l’ai ramené. Mon petit-ami pour la troisième fois est ici. À Cambridge. Dans notre chambre. Notre baisodrome. Il est beau et il est à sa place dans cette pièce. Il respire le bonheur. Je le trouve plus resplendissant que jamais. Je l’ai jamais vu aussi lumineux. Quand je le regarde, mon électrocardiogramme atteint des sommets. Mon ventre se peuple de petits papillons. Mon esprit disjoncte. Je veux le rendre heureux au maximum. Il mérite le meilleur. Des étoiles pleins les yeux, des éclats de rire à en avoir mal au ventre, c’est ce que je veux lui donner. Pluton doit briller plus fort que le soleil. C’est ma mission. Et dans ce lieu à l’abri des regards, les barrières peuvent enfin tomber. Première victime, ton pull. Ton torse m’apparaît enfin. Plus besoin d’aller chercher dans ma mémoire. Il est là. Il subit mes griffes et ton cou subit ma bouche indisciplinée. La marque Chamberlain est inscrite dans ta chair. Je voudrais tellement en faire d’autres, te colorer la peau encore plus, mais je m’abstiens. J’bois plutôt tes paroles. C’est mieux que du Champagne tous ces mots. C’est .. du nectar du mont Olympe, un truc que personne ne connaît. Un truc qui rend immortel. Une boisson qui m’est destinée à moi. Je suis ivre morte. Assommée par ta déclaration d’amour. Titubante, je m’écroule sur le lit qui doit nous maudire. Tu prends l’ascension. Tu retrouves tes marques. Le chemin à ma culotte. La température grimpe. Le thermomètre va exploser. Je rougis. « Après oui.. Mais je veux des indices.. » Des chuchotements et je balaie tes doigts au-dessus de ma poitrine. Je me stimule. Je me chatouille avec ta peau qui m’incendie à chaque contact. On se cherche, on s’apprivoise de nouveau en éliminant les effets de la distance. Tout ce que tu soulèves en moi, c’est impressionnant. Tu vois, j’sais pas de quoi demain sera fait, mais je compte profiter d’aujourd’hui comme pas possible. Je compte profiter de toi. J’ai encore si peur, peur que tu disparaisses aussi vite qu’une étoile filante. Je veux pas Pluton. Je veux que tu restes dans mon ciel pour toujours. Je relâche ensuite ta main et je te lance un défi qui sera rude : s’exciter sans se toucher. Je veux y aller si lentement. Arrêter le temps pour que ça dure l’éternité. On peut ? J’veux que tout se taise autour de nous. Que plus rien ne bouge à part nous. On fait notre vie au milieu de statues. Plus rien pour nous séparer, plus rien du tout. Que nous deux. Bordel, j’voudrais tant claquer des doigts pour que ça arrive. Ouais, mais non, c’est tout bonnement impossible. Je dois vivre au présent et glisser vers le futur. Un de mes seins sort de sa corbeille. Mes lèvres se pincent en lisant l’envie qui luit dans tes yeux malicieux. Deux petites secondes, je me déshabille. Je gesticule dans tous les sens, te décrochant quelques rires valant tout l’or du monde.« Plusieurs fois par jour ? Ce sera un minou comblé.. » Je suis insatiable et tu le sais. Matin, midi et soir, je veux ma ration de sexe. C’est vital. T’aurais jamais dû m’faire goûter tout ça le quatorze février. Depuis, c’est devenu une obsession. Quand l’amour s’est rajouté à nos parties de jambes en l’air, j’ai su que j’étais foutue. L’addiction s’est déclarée. Je suis amoureuse de la façon dont tu m’aimes, mais je suis aussi amoureuse de la façon dont je t’aime. C’est étrange. Incompréhensible comme je suis. Allez, que le spectacle commence. Tu t’attaques à ton armure, mon sourire ne me quitte plus. Pour moi, ton corps scintille de toute part, comme Edward dans Twilight, t’es mon vampire étincelant. Tu m’aveugles. C’est kitsch et alors ? J’ai le droit d’être kitsch quand il est question de l’homme que j’aime. Je me redresse ensuite sur mes coudes, mes cuisses soudées bougeant de gauche à droite. Ce calvaire. Pourquoi j’ai lancé ce défi déjà ? « TOUT. Commence par tout » Ton corps me surplombe. Mes mains le survolent, s’interdisant d’y atterrir. Ma faute. Et j’ai vu, je sais que tu commences à bander. Je veux sentir ta bosse, je veuuuux. C’est le mur des lamentations en mode audio dans ma tête. Je me déteste. Ton visage proche du mien, je meurs d’envie de soulever ma nuque pour dévorer tes lèvres, mais tu pars en voyage vers le sud. Tu descends vers ma poitrine, dégageant mon second sein de mon soutien-gorge. C’est de la torture. Ton haleine tiède frappe sur mes tétons. Mon dos s’arque. Je gémis et acquiesce à ta question « Oui, mais t’entends quoi par là ? La simple paire de menottes ou .. des jeux avec des piles ? » Ça m’émoustille tout ça, que tu entres dans mes délires, mais est-ce que c’est le moment ? J’sais pas.. J’crois pas. J’veux de l’authentique. Du sexe primitif. Mais, je veux bien qu’on saupoudre tout ça avec de la tendresse et beaucoup d’affection. Je veux surtout pas t’imposer quoique ce soit qui ne te ressemble pas. Et d’ailleurs, j’en peux plus de me réfréner. J’ai perdu, t’as gagné. Mes mains sur tes omoplates saillantes, je te force à me tomber dessus. Ma poitrine s’écrase sous la pression de ton torse. Ton érection se couche sur mon ventre. Je me tortille, l’imaginant sans ce bout de tissu. Chaud et humide. « Fin du game Westerberg, touche moi, embrasse moi, fouette moi avec ce que tu veux, mais fais moi tienne » Parce que t’es le seul à avoir ce pouvoir. T’es le seul à qui j’appartiens. Depuis des mois, mon coeur est entre tes mains. Il est entre tes doigts, gorgé de sang, de passion et recouvert de cicatrices que tu lui as infligé. Il bat pour toi, il s’arrête de battre à cause de toi. Tu lui fais danser des rythmes affolants. Tu le rends fou. Je te plaque alors contre moi, je te ceinture très fort, entre mes bras, mes jambes qui s’enroulent à ta taille. Je déporte ensuite mes doigts dans tes cheveux. Je connais leur texture par coeur, on pourrait me foutre cent mille têtes à tripoter avec les yeux bandés, je trouverais toujours la tienne. Un jeu d’enfant ouais. Je te connais mon amour. J’ai eu le temps de t’observer dans les moindres détails. Quand tu dormais, que tu me disputais, quand tu révisais, quand tu jouais à la console, je t’imprimais. J’ai cartographié tous les détails de ton être. Je t’ai appris et je continue de t’apprendre. T’es la plus belle leçon de ma vie. « Je t’aime si fort » que je murmure en soulevant ton visage niché dans mon cou. Ton regard aligné au mien, je jongle entre tes billes noisette, captivée par ton aura. « Oh oui, qu’est-ce que je t’aime » Mes pouces roulent sur tes cernes, probablement la fatigue de ta navette entre la Suisse et les États-Unis. Je suis sous le charme, tu dois le voir, je suis absorbée, j’ai pratiquement arrêté mes petites ondulations sous ton corps. Je flotte au-dessus des nuages. Je réfléchis. Ouais, je veux encore me frustrer. Je décide alors de te repousser et de m’installer sur mes genoux. « Copie moi bébé » Face à face, sur nos rotules, à une distance de vingt centimètres et des poussières, je contemple ton anatomie devançant la perfection. T'es au dessus. Mieux que mieux. « Ton tatouage te va si bien, je parle de celui-là » Pas des autres qui mériteraient d'être virés au laser. Erk. Je pointe alors tes côtes gauche, le nénuphar qui nous caractérise, qui nous symbolise et qui restera sur ton épiderme jusqu’à ton dernier souffle, tout comme le mien qui restera gravé dans mon dos. Alors ouais, si tu pars, si un mec vient un jour récupérer ta place, -ce que je ne souhaite pas-, il verra ce dessin à chaque fois qu’il me prendra en levrette. À chaque fois. Et il saura exactement d’où ça vient, il saura que je l’ai fait pour l’homme qui m’a ébranlé à tout jamais. Il saura que tu resteras le plus grand détenteur de mon âme. C’est pas Dieu, ni le Diable qui dispose de cette dernière, c’est toi désormais. « Montre-le moi, tout doucement » que je murmure en désignant ton boxer. Vas-y, comme par FaceTime, rends moi cinglée. Sors le petit à petit, fais bouillir mon sang, qu’il crépite. Que je ne puisse plus me retenir de te sauter dessus, que je franchisse le double décimètre qui nous sépare pour te toucher et pour que tu me touches en retour. « De toute façon, t’es pas chiche de me donner un orgasme du bout des doigts ! » Je lance mon menton vers toi, mon allure provocatrice enfilée et je détache mon soutif bien trop serré au dessous de ma poitrine. Admire bébé..

#jaimepasperdre #vafalloirsecalmerquandmeme #dontbesadsadness #chamberlainvswesterberg #thebigchallenge
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Kaze Faulkner

Âge : 34
Lieu de naissance : chicago (IL)
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Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : dreamrutine@tumblr
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department

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pluson ★ thunderclouds — w/ Louison Chamberlain
@ aéroport de Boston, novembre 2018

Elle était mon tout, mon envie, mon présent et mon futur. Je me voyais très bien avancer main dans la main à ses côtés. Certes, dans mon tableau, il n'y avait pas de souci avec mon fils et avec Camila... Je sais que c'est très utopique comme façon de voir les choses mais hey, j'étais un peu trop optimiste des fois. Seulement, c'était ce que je voulais au plus profond de moi. Que Louison soit heureuse, que Camila le soit également. Je sais bien qu'en était auprès de l'une des deux, l'autre le vivra mal... mais c'est passager, n'est-ce pas ? Je suis qui pour toucher quelqu'un aussi profond au point d'en avoir mal toute une vie ? Je ne suis que Pluton Westerberg. Suédois, maladroit et décidément pas doué en amour. Mais voilà, j'avais trouvé l'amour, plusieurs fois. Et maintenant, je tentais de m'épanouir aux côtés de la jolie française au nom mélodieux à mes oreilles. Louison Chamberlain. Je crois bien que je ne me lasserai jamais de cette mélodie. Elle était belle, elle respirait la joie, elle puait l'amour à des kilomètres. Enfin, “puait”. Pour moi c'était la plus belle odeur. Comme celle qui était dans cette chambre qui pouvait redécouvrir chacun de nos ébats. Notre chambre. Notre putain de chambre. C'était la nôtre et personne ne viendrait s'immiscer dans notre monde. C'était le nôtre et je ne laisserai personne se mettre en travers de notre histoire. Rien ni personne. Pas même moi-même. Je pouvais être un grand danger pour notre histoire, je le savais. Seulement, il fallait m'empêcher de faire n'importe quoi, il fallait faire en sorte que je me contienne. Et je crois qu'elle avait ça en elle Louison. Elle m'obnubilait par sa simple existence et j'étais incapable de détourner le regard d'elle quand elle était dans la pièce. « Mh... c'est Suisse » Est-ce que c'était un indice valable pour elle ou elle réclamait bien plus ? J'en avais aucune idée pour le coup. Mais je lui donnais ça et j'aviserai par la suite si elle en veut plus encore ou si c'est suffisant. Mais quoiqu'il en soit, on se retrouvait tous les deux aujourd'hui, dans cette pièce et on est officiellement de nouveau ensemble. Elle et moi, on était un couple et je ne laisserai rien se mettre en travers de tout ça. Je crois que je l'aime trop pour la laisser partir une nouvelle fois, je ne m'en relèverai pas. Je suis tombé amoureux d'elle sûrement au pire moment de ma vie et elle m'a aidé à me relever, elle m'a aidé à renaître de mes cendres. Et je crois que je lui en revaudrai ça toute ma vie. Elle était pure Louison, sans artifices. On l'aime ou on la déteste. Et j'ai choisi de l'aimer, sans condition. Si bien que j'étais là, avec elle, à chercher le moindre prétexte pour avoir accès à cette peau blanche et délicate, qui frissonnait à chacun de mes touchers. J'adorais l'effet que j'avais sur elle, ce sentiment de puissance, celui qu'elle aussi avait sur moi. Je la regardais se déshabiller, lui avouant alors que j'allais nourrir son minou, plusieurs fois par jour. Et rien que ça, ce regard qu'elle pouvait déposer sur moi, il me rendait fou. « C'est bien ce que j'espère oui... comblé et heureux » Je voulais la rendre heureuse et je savais pertinemment que le sexe était une bonne partie de l'équation. Pas tout, j'en suis conscient, mais une bonne partie. Et on avait tellement d'alchimie tous les deux, malgré nos différences notoires en terme de guilty pleasure, mais on s'adaptait. Elle avait adopté le nénuphar et j'étais encore en train d'apprendre les différents aspects de la tulipe. Alors ouais, on avait encore beaucoup à apprendre et dans tous les cas, l'alchimie était présente. Je la désirais en tout temps, comme elle me désirait en tout temps. C'était beau à voir, magnifique même. Retirant mon jean, je me retrouvais en boxer sur ce même lit qui épousait nos formes à chaque fois qu'on s'allongeait dessus, ensemble. Ce lit, il avait en mémoire de beaux moments et on allait continuer de lui en donner, j'en étais certain. « Sans te toucher, c'est compliqué bébé... mais on va essayer » J'optais pour ses seins. Son sein qui me narguait depuis tout à l'heure, sorti de sa niche. Alors je soufflais dessus, pour faire sortir son téton de sa cachette. Il était là, il cherchait à sortir et je faisais en sorte que ce soit le cas. Les accessoires, c'était vraiment pour lui faire tourner la tête sans la toucher, mais je sais pas si c'était vraiment nécessaire. Je voyais que mon souffle semblait lui faire du bien, y compris le fait que mes mains soient là, sans réellement la toucher. Elle gémissait, elle faisait comprendre qu'elle voulait du contact et rien que ça, c'était frustrant. La frustration était à son comble. Mais rapidement, elle cédait, et ça me faisait plus rire qu'autre chose intérieurement. J'avais à peine le temps de jouer qu'elle se laissait prendre par l'envie d'un contact entre nous. Je pouvais le comprendre, j'étais très dur en train de résister et j'étais cependant heureux qu'elle cède avant moi. D'où ce sourire satisfait sur mes lèvres. Elle le voyait ? Je crois oui. Ses mains dans mes cheveux, je revivais. Comme si un simple toucher de Louison Chamberlain effaçait tous les maux que je pouvais avoir. Visage dans son cou, elle finissait par le redresser afin que nos regards se captent, nos regards se captivent. Ce boum dans ma cage thoracique, il était tellement bon, tellement apprécié, je voulais qu'il ne cesse jamais. « Y'a pas de mots pour décrire à quel point je t'aime » finissais-je alors par dire, la regardant avec les yeux de l'amour. Elle était mienne, elle ne serait jamais rien d'autre que mienne, je m'en faisais la promesse. Mais ce n'était pas le moment où mes lèvres retrouvaient les siennes malheureusement, puisqu'elle me poussait, se mettant à genoux sur le lit, me demandant de la copier. Ce que je faisais, avec une certaine distance entre nous. Est-ce que c'était suffisant ? Je n'avais aucune idée de ce qu'elle pouvait avoir en tête et ça m'intriguait. Finalement, elle mentionnait mon tatouage, celui que j'avais fait en réponse au sien. Oui, elle méritait sa place sur ma peau, parce qu'elle m'avait marqué au fer rouge, et je l'avais représenté à l'ancre noire. Elle méritait sa place sur le tableau qu'était ma peau. Et je n'avais cédé au tatouage que deux fois avant. Pour Camila. C'était une première, que de le faire pour une autre, pour Louison. Mais je m'en sortirai pas indemne de cette relation et je venais de le lui prouver par ce dessin, sur mon flanc gauche, pas loin de mon cœur. « Il est pas aussi beau que le tien, j'en suis sûr » Le sien était parfait, bien que trop caché à l'heure actuelle. Je voulais le voir, mais je ne pouvais pas. Sûrement dans la nuit, quand son dos sera à ma merci. Quand elle dormira profondément, je laisserai mes doigts redessiner les traits de ce dessin, à la naissance de son cou. Mais là, mon esprit devait être concentré sur elle et elle seule. Elle était là, tranquillement installée sur les rotules, à vouloir se frustrer encore une fois, me challengeant même. Et j'acceptais. Sans un mot.

#jetedéteste #jaimepasperdrenonplus #challengeisonandonandonandon
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Mon vrai cadeau n’est pas Suisse, il est Suédois. Le cadeau que je désire depuis que je suis une gamine, que ce soit à Noël ou à mon anniversaire, c’est celui-là. C’est cet homme. Il n’a pas de cheval blanc, pas de couronne, ni de château, mais il transpire l’amour. Il m’aime. Il enchante mes jours et révolutionne mes nuits. Il me peint des centaines de toiles colorées chaque jour. Il m’offre des scènes splendides. Il égaye ma vie. Il m’a arraché d’une période où je courais dans les ténèbres. J’étais perdue, affolée, sans espoir. Il m’a tendu la main et les ombres qui me dévoraient se sont volatilisées. Elles sont parties, pouf, disparues. Depuis, malgré les deux tempêtes qui nous ont séparé, je ne vois plus que lui. Je ne vois plus que toi. En ton absence, mon coeur se met en veille. En ta présence, il pulse comme un taré. Tu vois, je comprends toujours pas le comment. Comment tu as pu craquer pour une fille dans mon genre ? Une fille qui n’est pas spécialement la plus belle, la plus smart, la plus raffinée. Il y a mieux et je sais qu’il y a aussi des mecs mieux, des mecs plus .. Équilibrés, mais j’en veux pas. Est-ce que les opposés s’attirent ? Ou qui se ressemble s’assemble ? Parce qu’on est pas si différent que ça au final, ni similaire pour autant. C’est entre les deux. On se rejoint à mi-chemin et c’est sûrement ce qui fait qu’on se sent tellement bien ensemble. On se complète à la perfection. Tu peux pas le nier. Tu ne le nies plus ouais. J’sais même plus quel jour on est, mais c’est le jour où on décide enfin de recoller les morceaux. Où le "nous" redevient enfin officiel. Dans notre chambre, les vêtements tombent un par un. Je suis électrique. Je veux te filer le courant qui me traverse, quelques décharges inoffensives, mais jouissives. Je veux retrouver notre complicité, notre folie d’antan, la passion qui nous anime en toute circonstance. Tout s’enchaîne naturellement. C’est sans accro. Nos corps s’allongent. Je parcours ta peau si douce du bout des doigts et j’instaure ensuite un jeu stupide. J’rajoute une dose de frustration, comme si on en avait pas eu assez ces derniers jours. Damn, tu t’y prends bien. T’as complètement compris les règles, trop même. Tes doigts musclés libèrent le sein t’ayant salué un peu plus tôt. Ton souffle bouillant le réchauffe et lui octroie quelques frissons. Je gigote sous ton corps. Je veux ta bouche, tu peux pas savoir à quel point. Ça hurle dans ma tête. Ça m’injurie comme pas possible. Je veux pas d’accessoires, je te veux toi. Tu ris, tu me vois en galère hein ? Ok, tu gagnes bébé. Je te ramène tout contre moi, ma poitrine s’écrasant sous ton poids. Je balade mes doigts dans ta chevelure coupée court sur l’arrière de ton crâne. Je gratte un peu ta nuque et je remonte pour reprendre mes caresses. Je ronronne en remuant ma bouille. Mon menton s’frotte à ta tête. Je pince mes lèvres et relève finalement ta frimousse pour récupérer le contact visuel. Ce regard .. Cette bouche .. Ce petit nez .. Je bats des cils, mes doigts sur tes joues. « T’as raison, il n'y a aucun mot pour expliquer tout ce qu’on ressent, aucun .. » Moi aussi je voudrais t’embrasser. Pas encore. Je décide subitement de me redresser. Toi et moi, en face-à-face. À genoux. Mes prunelles fixent le nénuphar que tu t’es incrusté à l’encre noire. Il est beau. Il évoque toute notre histoire. J’pourrais en pleurer. Tu peux pas savoir à quel point j’voudrais le recouvrir de baisers, là, de suite, mais je m’en prive. « Je dois dire qu’il rivalise assez bien. De toute manière, c’est le modèle sur lequel il a été fait qui compte .. » C’est toi ouais. C’est le sens que tu lui donnes. C’est sur ce corps que je trouve absolument bien bâti qu’il va le mieux. Et d'ailleurs, je me rince l’oeil comme il faut. Stop, j’en peux plus. J’lance le jeu. Ta bosse m’intrigue. Je veux voir ce qui se cache là-dessous. Je déglutis au ralenti, mes yeux exorbités et rivés sur tes doigts qui soulèvent ton élastique. QUOIII ? Te regarder dans les yeux ? Mais .. Pourquoi ?
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