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thunderclouds (pluson)

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Si je récapitule, d’un, ça ne vaut pas grand chose de penser à moi et de deux, t’es blasé d’être encore avec moi ? J’ai bien fait de m’arracher les poumons pour te rejoindre. Ma soirée est grandiose. Et ouais, t’es avec moi depuis la fête des morts, j’sais pas comment je dois le prendre étant donné le fiasco que c’était. C’est par dépit ? Est-ce que tu préférerais t’en aller ? J’pense que je dois juste me dire que Pluton, il n’est pas toujours habile avec les mots. Il les utilise mal alors qu’il veut en faire son métier, c’est fou. Y a clairement du progrès à faire sur ce point. Mais, je ne désespère pas. Au contraire. Je t’aime pour ta maladresse et je pourrais encore faire ce témoignage maintes et maintes fois. « Sans hésiter. T’es une de mes plus belles histoires, que tu le veuilles ou non. C'est peut-être la seule que je retiendrais avant de mourir d’ailleurs.. » Qui sait ? Tout est une question de volonté, de complicité, de courage et de beaucoup d’amour. Ça se cultive tout ça, comme un joli petit potager. Il faut s’adapter aux saisons, aux bouleversements, aux difficultés qui barreront ou freineront notre route, mais c’est possible. Dans tous les cas, j’ai vraisemblablement pu récupérer ton sourire et c’est tout ce qui m’importe. Seul hic, tu ajoutes une dernière question, une question à laquelle je ne peux me dérober. Je mens jamais, je ne contourne pas la vérité, c’est impossible pour moi. Par conséquent, je donne l’ultime prénom pour refermer cette conversation tumultueuse et .. Tu te casses. Tu décolles plus vite qu’un Boeing. J’bafouille sur ma chaise pour essayer de te faire rester, mais t’es déjà loin. Récupérant alors mon téléphone, je le glisse dans mon sac à main et je te poursuis jusqu’à l’extérieur. Arrivant à ta hauteur, je fixe l’avenue devant nous, puis je reporte mon attention sur ton profil. C’est quoi ce poison coincé entre tes lèvres-là ? C’est de ma faute. « Tu voulais dire ‘on rentre séparément ? » Tu veux plus voir ma tronche ? Je dois me préparer à une nuit à la Mather ? Ou une nuit dans notre lit alors que tu seras dans le tien à la Dunster ? Parce que je peux tout simplement pas accepter moi. J’ai fantasmé sur ton retour dès que tu m’as quitté pour la Suisse. C’était pas censé se passer comme ça. Pas du tout. Me plaçant alors face à toi, je retire ta cigarette de ta bouche et je l’apporte près de mon poignet dénudé. La chaleur qui s’en dégage brûle déjà ma peau. Je vais charger. Cendrier de chair, je cogne la clope sur mon épiderme, cherchant à me faire souffrir pour mes fautes, pour la souffrance que j’occasionne chez toi. Deux larmes tombent parallèlement le long de mes joues. Mon coeur s’active. La cigarette flambe toujours cette connasse, j’y suis pas allée assez fort, mais ma semelle finit par l’éteindre. Crève. « Tu étais là, tu me parlais, sans arrêt. Tu me parasitais. Tu m’as hanté quoique je fasse, avec n’importe lequel d’entre eux. Je.. Je veux qu’on rentre chez nous. Je veux qu’on rentre chez Pluton et Louison.. »
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Kaze Faulkner

Âge : 34
Lieu de naissance : chicago (IL)
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Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : dreamrutine@tumblr
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department

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Kaze Faulkner
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pluson ★ thunderclouds — w/ Louison Chamberlain
@ aéroport de Boston, novembre 2018

L'agacement faisait que j'étais encore plus maladroit que ce que je pensais. Enfin je sais pas, je pensais avoir dit les choses comme elles étaient, comme je pouvais les représenter. Aucunement je m'étais dit que ça valait rien de penser à elle, au contraire. C'était l'information qui valait peut-être quelque chose, mais l'action valait tout pour moi. J'aimais penser à elle, avoir son visage qui popupait dans mon esprit. Mais j'avais pas l'impression qu'elle se rendait compte de l'importance qu'elle pouvait avoir dans ma vie, dans mon cœur, dans mon esprit. « Ça... wow » La seule qu'elle retiendra ? Si ça venait à durer encore et encore ouais, mais si elle avait une histoire plus forte, plus longue et plus marquante par la suite, ça passerait rapidement aux oubliettes. « J'en ai eu que trois réelles dans ma vie et t'es dedans. T'es inoubliable, t'es marquée à l'encre noire sur ma peau » Elle restera marquée dans ma mémoire jusqu'à mon dernier souffle. Mais là, quand je cherchais à avoir des informations, c'était trop. Enzo, le prénom que je détestais entendre au même titre que Liam. Et voilà que je m'en vais en trombe pour me rendre à l'extérieur de l'aéroport, dans le but de respirer, réfléchir et surtout fumer. Cigarette entre les lèvres, je l'allumais alors qu'elle arrivait à côté de moi. « J'ai pas dit ça » Non, j'allais rentrer dans notre appart - si son père était parti - et j'aviserai à ce moment là. Mais il fallait déjà que je digère ce putain de truc. Elle a couché avec des mecs ouais, mais pas n'importe lesquels. Et ça me butait, ça me rendait vert de jalousie. Elle finissait par se mettre face à moi, attraper la cigarette pour la plaquer contre son poignet. Et le temps que je réagisse, elle avait déjà sûrement une brûlure sur la peau. « Mais t'es complètement malade ! » J'attrapais son poignet pour regarder et elle avait un cercle rouge, un cercle brûlé. Un cercle qui montrait qu'elle était capable de tout et ça me faisait peur. « POURQUOI T'AS FAIT ÇA ? » Oui je criais, parce que je ne comprenais pas, je ne comprenais pas son geste. Je l'aimais. Je l'aimais au point de flipper pour elle au moindre accro. Et si elle faisait pire une prochaine fois ? « Tu me perds pas ok ? On rentre chez nous, comme prévu, on... on est toujours toi et moi » Je veux pas qu'elle pense qu'une simple crise de nerfs de ma part vienne à causer la fin de nous, non. J'étais juste sous le choc, j'étais juste en train de digérer l'information et essayer de la dissoudre pour ne pas trop y penser. « Je t'aime » Et j'attrapais son visage pour l'embrasser, pour lui faire comprendre que je partirai pas, pas pour ça en tout cas. « Rentrons, elle est où ta voiture ? »
(Kaze Faulkner)




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J’suis sur le podium. Médaille de bronze, celle que personne ne veut. Je vais m’en contenter, c’est mieux que rien, mieux qu’un putain de bouquet de fleurs qui va faner en deux jours ou d’un saladier en argent pour y foutre une salade de pâtes. « Ouais.. » J’esquisse un petit sourire et puis tout s’enchaîne beaucoup trop vite pour mon cerveau fatigué. Je balance le dernier prénom, Enzo et tu t’enfuis. Pas un regard, rien. Nouveau conflit en perspective. Je me relève, la colonne vertébrale en ruine et je te retrouve à la sortie de l’aéroport. J’ressens ta colère, mais j’sais pas comment l’apaiser. Ta cigarette au bec m’accommode alors que j’suis une fumeuse invétérée. C’est pas toi tout ça, tu fumes pas, tu gères toujours, pas besoin de nicotine pour survivre. T’es au-dessus. Je peux pas te voir t’intoxiquer ouais. Du coup, je me sers de ce poison ardent pour m’infliger ma propre punition. Je me brûle superficiellement et je pleure en silence. Ta voix attaque ensuite mes tympans, tes doigts s’accrochent à mon poignet et je réponds pas. Je vois flou. « Pour avoir mal comme toi » C’est naïf et innocent, mais je le suis pas, je suis tout sauf naïve et innocente. J’aurais pas copulé avec ces hommes si je n’étais qu'une petite créature niaise. C’est juste trop tard, le mal est fait. Finalement, ton masque tout lisse tombe et mes poumons retrouvent enfin leur dose d’oxygène pour alimenter tous mes organes. « J’voulais pas te .. t’humilier ou j’sais pas quoi. Pour moi, c’était foutu quand j’ai fait tout ça » Je souffle ensuite sur la tâche circulaire de mon poignet, mais c’est plutôt un glaçon qui me faudrait pour éteindre cette brûlure lancinante. J'suis nulle. Je peux rien réparer, je peux pas réparer mes erreurs auprès de toi, ni les blessures que je m’inflige par impulsivité. Ce baiser que tu m'offres, il arrive alors à point nommé. Ma journée a été longue et c’est tout ce que je voulais, juste nos lèvres qui se caressent tendrement. « Elle est mal garée, peut-être déjà à la fourrière » Je hausse mes épaules et puis, je fonce sur toi, parce que c’est le seul endroit où je veux être. Je veux être dans tes bras, que ce soit ici, sur ce trottoir frigorifié, chez nous ou au milieu de nulle part. « Tu m’as manqué bébé, je commençais à t'imaginer et à parler à ton fantôme, je débloque quand t'es pas là.. » Je me réfugie encore plus contre ton torse, je te serre fort, enfonçant ma joue au centre de tes pectoraux pour fusionner. J'suis bien là. Puis je desserre mon étreinte musclée, je noue mes doigts aux tiens et je te guide vers ma caisse. Chevrolet toujours en place, le cul sur la chaussée. Je la déverrouille à distance, je grimpe à l’intérieur tandis que tu charges ta valise à l’arrière. Je démarre le moteur et puis je fous le chauffage à fond. Tu finis ensuite par me rejoindre et je me faufile dans la circulation, réfléchissant encore à l’itinéraire. « Tu as pu rapporter du chocolat ? Et Simon a décidé de prendre une chambre à l’hôtel. Je lui ai dit que tu rentrais, il aurait bien voulu te rencontrer, mais je lui ai dit que c’était inutile. Je voulais pas te foutre mal à l’aise dès ton retour.. » En sachant également que je n'ai pas réussi à lui dire qu’on était plus que des amis, j’ai pas réussi ouais. De toute façon, comme tu l'as si bien dit, on est juste une sorte de ‘toi et moi’.
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pluson ★ thunderclouds — w/ Louison Chamberlain
@ aéroport de Boston, novembre 2018

Enzo, je pensais m'en être débarrassé pour de bon, faut croire que non. Il revient à la charge, comme de la mauvaise herbe. Il a pas compris que c'était fini pour lui ? J'avais pris sa place, j'avais pris la première place dans le cœur de la jeune femme et qu'il ne serait jamais rien de plus que le pansement temporaire pour lui atténuer les blessures ? Non, évidemment que non il ne l'avait pas compris. Et puis merde, cette histoire m'énervait, et je m'étais levé en trombe, quittant les lieux au plus vite. J'en avais marre de savoir qu'elle s'était faite troncher par la moitié des mecs d'Harvard. Dehors, clope au bec, elle revenait à la charge. Mais plutôt que jeter la cigarette au sol pour l'écraser avec son pied, elle préférait foutre le bout rouge incandescent sur sa peau, ce qui a eu le don de m'envoyer encore plus haut sur l'échelle de la colère et de l'incompréhension. La forçant à lâcher la cigarette, j'attrapais son poignet pour y trouver une trace, une brûlure, ce qui me tordait encore plus le cœur. Elle faisait ça pour avoir aussi mal que moi. « T'as déjà eu bien assez mal à cause de moi, c'est pas une raison pour te faire ça » Putain... elle me rend fou sérieusement, elle me rend totalement fou avec ses actions irréfléchies et ses pulsions de ce genre. « C'est pas de l'humiliation ou quoi... c'est... j'supporte pas de te partager, de te laisser dans les bras d'autres hommes. De savoir qu'ils ont pu te faire du bien ou je n'sais quoi » Je voulais être le seul à avoir ce privilège. Égoïstement, je voulais être le centre de son monde, le seul qui la fasse jouir, qui la rende heureuse, qui l'enivre de bonheur. Je voulais être le seul. Aujourd'hui, j'apprends que certains ont eu ce privilège et ça me bouffe, littéralement. Mes lèvres se liaient aux siennes, afin qu'elle comprenne que c'était juste une information difficile à avaler mais que ça ne voulait pas dire que j'allais m'en aller. Plus jamais, j'allais me battre avec elle, pour elle, en restant à ses côtés. Alors ouais, je l'embrassais pour la réconforter et me réconforter par la même occasion. C'était alors une réaction que j'attendais qui s'en suivit, ses bras s'enroulant autour de ma taille, le visage se collant à mon torse et je faisais de même. Je l'entourais pour la garder contre moi et je me sentais déjà un peu mieux. Je ne voulais qu'elle putain, c'était pas si compliqué à comprendre. « J'espère pas, je veux rentrer au plus vite » que je finissais par dire en rapport avec la voiture. Et puis finalement elle se confiait encore, et je resserrais mon étreinte. « On se quitte plus, ok ? Toi et moi... on reste ensemble, quoiqu'il arrive » Parler à mon fantôme ? C'était nouveau ça mais quelque part, ça me rassurait. « C'est la première fois que ça t'arrive ? Parler à un fantôme de quelqu'un de vivant ? » Je riais légèrement, bien que ça ne soit pas forcément drôle mais la situation était assez compliquée que ça en devenait limite nerveux. Finalement, elle attrapait ma main, liait nos doigts ensemble et on se dirigeait rapidement vers la voiture qui nous attendait sagement mal garée et puis, une fois la valise dans le coffre, je me mettais en passager et elle démarrait et je posais ma main sur la cuisse, dans le simple but d'avoir un contact physique entre nous. « Évidemment... je crois que ça prend la moitié de ma valise » que je disais en rigolant avant d'attaquer le sujet sérieux du papa. « Ça m'arrange... j'aurais pas voulu qu'il nous entende faire l'amour tous les deux... Mais si jamais il repart pas tout de suite, moi je veux bien le rencontrer » Parce que ça nous pousserait à franchir une nouvelle étape. La rencontre des parents, de la famille. Moi je voulais. « Il pense encore que je suis le fleuriste que tu héberges histoire de l'aider ? » La route défilait à côté de nous, alors qu'on avait cette conversation sur le père et indirectement sur le statut de notre relation. Et ouais, j'avais juste hâte d'être chez nous et de pouvoir lui montrer qu'il n'y avait qu'elle à présent. Elle et uniquement elle.
(Kaze Faulkner)




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Je joue en permanence avec le feu, j’me suis déjà brûlée sans flamme, faut pas s’en faire pour moi. Je cicatrise toujours, ma chair se referme sur mes blessures et la vie l’emporte toujours. Ou presque. C’est ce que je m’impose. Ne jamais abandonner. « Peut-être bien, mais c’est trop tard » J’suis agaçante quand je le veux et je ne démords pas sur ce coup-là. J’suis vraiment désolée et j’ferais n’importe quoi pour effacer ce qui te rends aujourd’hui si irritable. Je me cramerais autant de fois qu’il le faudra. « Alors fais en sorte que ça n’arrive plus jamais » Pour ma part, depuis le soir d’Halloween, j’ai déjà coupé tous les ponts menant à mes cuisses. Plus personne n’y a accès, plus personne excepté un petit suédois. Ouais, toujours pas d’étiquette sur nous, mais c’est tout comme. Je te suis exclusive et je ne vois pas l’intérêt d’aller voir ailleurs, j’suis gâtée comme pas possible. J’ai quasiment tout ce que je veux, sauf le privilège de t’appeler mon petit-copain, mais c’est secondaire. Ce qui compte, c’est que je t’ai pour moi toute seule. Rien que pour moi. Tes lèvres me l’indiquent d’ailleurs en allant frôler et caresser les miennes. La renaissance. J’respire enfin, blottie contre toi, le visage écrasé sur ton torse qui s’élève à un rythme régulier. Ma maison c’est ce corps-là, où que je sois, je m’y sens tellement en sécurité. Alors quand ce corps s’éloigne, que je le perds, pour x ou y raisons, je me retrouve sans domicile fixe, j’erre et je mendie. Je fane complètement. Évidemment, nous avons un vrai logis, un vrai toit sous lequel nous abriter et ouais, moi aussi j’ai également envie de m’y rendre. « Quoiqu’il arrive. You and me against the world baby » Car peu de personnes soutiennent vraiment notre couple au final. Tout le monde nous hait ensemble. Probablement pour la peine que tu as causée en moi ou nos sorties de route pour nous retrouver.. J’sais pas. « Ne riiiis pas ! Non, c'est pas la première fois, la seconde. Mais avec ton fantôme, c’était tendre tu vois, l’autre fois non » L’autre fois c’était envers Ezio et Ezio lui, je lui gueulais dessus. Je lui demandais pas de revenir ou de m’aider à choisir quoi mettre avant d’aller en cours. Je voulais le crucifier pour m’avoir abandonné lâchement. Mais tout ça, c’est de l’histoire ancienne. Il est mort pour moi, bien qu’il soit toujours en vie. Son fantôme n’est plus là, il m’a enfin quitté. Grâce à qui ? À toi. C’est toi qui l’a chassé sans t’en rendre compte. T'es mon ghostbuster. Bref, revenant à ma voiture, je te laisse ranger tes bagages à l’arrière et on se casse d’ici. Ta main empoigne ma cuisse et je souris tout timidement en appuyant un peu trop fort sur l’accélérateur. « Tu me feras goûter à la maison » Ça fait du bien d’avoir une conversation sans drame. Une conversation qui ne me foutra pas le coeur en vrac. Malheureusement, je bifurque assez vite sur mon père et ce sujet-là, il est un tout petit peu sensible. « Pluton !! Tu m’aurais vraiment fais l'amour si mon père dormait dans le salon ? » Ça me fait rire, je glousse et frappe mon front. Puis je songe à la deuxième partie de ta phrase et là, je panique. « Il a prévu de rester un petit moment ici. Ma mère le rejoint lundi.. » Le cauchemar. Mes géniteurs ensemble, près de moi. Près de nous. « Oui, mais je crois qu’il se doute un peu que sa fille est amoureuse. Il ne m’a pas vu comme ça depuis .. depuis Raphaël » Aka, le premier amoureux, celui qui m’a sorti de ma période la plus noire. Nerveuse après cet aveu, je continue d’orienter le volant là où je veux aller. Je prends quelques raccourcis et je m’aventure enfin sur le pont de Boston pour rejoindre Cambridge. La vue est sublime, plus aérée. « Mh, t’aimerais que je rectifie toi ? On peut toujours les inviter, mais ils vont te raconter les détails les plus dégueulasses de ma vie, je les connais, ils adorent humilier leur progéniture. » Profitant de la route rectiligne, je pose à mon tour ma main sur ta cuisse, sur le haut de ta cuisse, mes doigts effleurant à peine ton entrejambe.
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pluson ★ thunderclouds — w/ Louison Chamberlain
@ aéroport de Boston, novembre 2018

« Ouais bah t'arrête, tu le refais plus » Je lui interdis même, parce que je tenais trop à elle, je n'avais pas envie d'apprendre qu'un jour, elle vient à s'immoler par le feu tout simplement parce qu'elle se sent pas bien à cause d'un truc que j'ai dit ou fait. Et ouais, c'était pas vraiment le genre de relation que je voulais, la peur au ventre. « Promis » Même si je savais que mes promesses ne valaient pas grand chose, je le promettais quand même. J'avais toujours tout fait pour qu'elle ait confiance en moi mais à chaque fois, elle m'avait foutu à la porte. J'allais essayer de faire en sorte qu'elle ne me foute pas encore une fois à la porte. Ce serait dur, mais j'allais essayer. De toute façon, pour ma part, elle n'aurait pas ce souci puisque depuis septembre, je ne couche qu'avec elle. Elle et uniquement elle. Camila, on a cessé dès qu'elle est rentrée en centre de désintox et... ouais, après c'était elle. Même pendant notre rupture, je n'ai vu qu'elle et... pff, ça me tue qu'elle ne se soit pas contentée de moi. Ça m'énerve qu'elle ait ce besoin d'aller voir ailleurs pour m'oublier, ça m'énerve qu'en plus, elle n'y arrive même pas. On finissait toujours par revenir l'un vers l'autre, comme deux aimants. Un baiser échangé et une étreinte plus tard, j'ai l'impression que l'orage est passé. Certes, j'allais devoir prendre sur moi, avaler le fait qu'elle s'était faite sauter par d'autres mais... ouais, je devais aussi passer outre tout ça pour qu'on continue d'avancer tous les deux. « You and me against the world » Ouais, c'était clairement la bonne définition de notre couple. On avait beaucoup de détracteurs et je n'avais de cesse de me battre contre eux. Cependant, je savais que je pouvais survivre si j'avais ce bout de femme à mes côtés. « Faudra qu'on approfondisse cette conversation un jour... » J'étais totalement intrigué par cette histoire de fantôme. Mais là, je n'avais qu'une envie : rentrer. Alors c'était main dans la main qu'on se rendait jusqu'à la voiture. Valise dans le coffre, chauffage à fond, elle se mettait à conduire une fois que j'étais installé. Même pas de contravention, ça s'améliore. « Yes, j'ai même un cadeau pour toi » Je ne sais même pas si elle va apprécier mais je me dis que je ne pouvais pas rentrer les mains vides. Et puis elle mentionnait son père, celui qui était là pour du boulot mais qui dormait dans le salon. Enfin, plus maintenant à présent. « Bah oui ? Attends, on s'est pas vu pendant plusieurs jours, tu crois pas que j'allais rester chaste, allongé à côté de toi dans le lit ? » Non, c'est pas comme ça qu'on fonctionnait elle et moi malheureusement et son père à côté n'aurait rien changé, j'en étais persuadé. Et j'apprends à présent que ses parents seraient réunis bientôt. Lundi. AH. Bon, autant le père je pensais pouvoir gérer, autant la mère ET le père, je ne sais pas. Disons que ça fait deux paires d'yeux à mieux me juger. Et qu'est-ce que Louison leur dira aussi ? Non mais parce que je n'étais pas prêt à avoir le jugement de sa famille ou pire, désapprobation de notre relation. « Raphaël... premier amour ? » Ok, j'avais des zones d'ombre sur la vie de miss Chamberlain et je crois qu'il allait falloir qu'on mette tout à plat si je devais rencontrer ses géniteurs. Mais le truc qui me gênait le plus, c'était le fait d'être le fleuriste à qui elle faisait la charité. Si ce n'est que ça, je retourne à la Dunster moi. « Oui, t'es ma copine » Aussi simple que ça. Et je sais que c'était pas vraiment la conversation qu'elle avait souhaité mais je pouvais pas laisser ça comme ça. J'étais pas un putain de fleuriste, à qui on faisait la charité. J'étais son mec, le seul et unique qui lui disait des mots doux, le seul qui faisait battre son cœur et basta. « Qu'importe ce qu'ils peuvent dire, je sais qui tu es, ce que tu vaux et où je veux aller avec toi » Et c'était ça le plus important, non ? C'était savoir qu'on était tous les deux, main dans la main à vouloir le meilleur de nous deux. Mais de toute évidence, ça semblait tout de même la stresser. Sa main trouvait cependant le chemin vers ma cuisse, effleurant mon entrejambe ce qui ne me laissait pas insensible. « J'ai envie de te faire l'amour tous les jours... j'ai envie de t'aimer du matin, jusqu'au soir, toute la nuit et recommencer plus fort le lendemain » Et je savais que ce genre de mots avaient tendance à lui faire un effet de dingue. Je m'attendais même à la voir gigoter sur son siège d'ici quelques secondes. « Je veux t'appeler bébé aux yeux de toute la fac, aux yeux de tes parents... j'ai envie de te dire des mots salaces qui te donnent envie de me faire l'amour plus fort. Tulipe ou orchidée ou je ne sais plus... Je veux tous les bouquets possibles et imaginables avec toi » Mais ma main restait où elle était, ne voulant pas risquer l'accident en la glissant un peu plus bas vers son entrejambe.
(Kaze Faulkner)




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Je te l’avais dit en Suède. Quoique je fasse, retiens moi. Et tu ne m’as pas retenu, alors qu’est-ce que j’ai trouvé comme remède à mon manque ? Coucher, coucher avec autant de partenaires que je trouverais pour te virer de ma conscience. J’ai pas réussi. T’étais partout. T’es toujours partout. Dans une chanson à la radio, sur les bancs de la faculté, dans mes rêves. Je retrouve des bouts de toi partout où je vais. Une couleur, un son, une odeur. J’refuse toujours de te laisser partir. T’es un des plus beaux refrains de ma vie, celui que je peux foutre en boucle sans m’en lasser. Toi et moi, ça ne peut pas se terminer pour un déraillement si insignifiant. Je m’y oppose. C’est toi et moi contre le reste du monde, et ouais, ça sonne mieux en français. Et tout ce que tu voudras. Je te raconterais tout sur les fantômes qui me hantent, tout. Tu peux me feuilleter autant que tu veux, me lire, me relire, me .. réécrire. Enfin bref, direction la maison. L’moteur vrombit et je m’insère sans difficulté dans la circulation. Il est tard aussi. Les axes routiers sont bien plus fluides. « Un cadeau ? J’ai hâte de voir ça » Je te l’avais chuchoté discrètement, mais je pensais pas que tu te creuserais les méninges pour en trouver un. C’est peut-être vraiment une autre rose pour aller tenir compagnie à la toute première. Cette fleur écarlate qui a marqué officiellement notre début de relation.. Le 18 mars 2018, un jour fantastique. Voilà, j’en ai des étoiles plein les yeux et je dévie un peu trop de ma trajectoire. Quand je reviens dans le droit chemin, j’poursuis la discussion, mais sur mon père. « Je te croyais plus pudique que ça, j’suis étonnée. Cochon. » En réalité, je crois que je t’ai plus que perverti sur ce sujet. Le sexe, c’est un peu la pierre angulaire de notre relation. C’est ce qui nous solidifie tous les deux. Le ciment de notre couple. Nos peurs, nos colères, nos frustrations cessent sous la couette, sur la table, dans la douche. On est tout terrain et wow, rien que d’y penser, je m’empourpre. Mais pourquoi j’ai balancé Raphaël comme ça. J’éteins le chauffage, c’est un four là-dedans. J’ouvre même la fenêtre pour laisser un courant d’air s’infiltrer dans l’habitacle. J’ai chaud. La nervosité est à son maximum. « Oui, on peut dire ça, le premier vrai coup de coeur. J’avais seize ans. Eum, je t’ai jamais dit, mais j’étais une petite délinquante à l’adolescence, je traînais avec des gens en jogging dans des cités malfamées avant de le .. Rencontrer. Il m’a changé. Mais j’suis retombée dans mes délires il y a trois ans, en arrivant ici » Et c’est ensuite Ezio qui s’est chargé de me canaliser, disjonctant au moindre dérapage de ma part. Ezio n’avait pas les mots pour m’arrêter. C’est son gosse qui l’a fait pour lui, son gosse que j’ai perdu. J’suis bonne à rien, j’peux même pas pondre un enfant, le truc le plus naturel du monde. « Ta copine pour jouer dans l’bac à sable ouais » Mauvaise foi bonjour. J’en attends plus pour le coup, une belle déclaration officielle où tu me secouerais pour me dire que j’suis l’élue. Tu le sais que tu l’es toi au moins ? Cette couverture de fleuriste elle n’a aucune valeur, j’espère que tu le sais. Pour moi, t’es mon homme depuis le tout début. Même quand t’étais plus le mien. C’est grave ? Ouais, j’devrais consulter. « Ah oui c’est vrai, tu veux aller chez nous avec moi » J’souris, jubilant discrètement sur mon innocence simulée. Je crois savoir où tu veux en venir, même si préférerais que tu détailles. C’est vrai quoi, où tu veux aller avec moi au juste ? Pour en chercher des explications, j’envois ma main en reconnaissance sur ta cuisse. Ton paquet est carrément comprimé dans cette position, je l’effleure, juste à peine, de mon auriculaire et mon annulaire. Et voilà, ta langue se délie. Mon coeur pompe mon sang avec excès pour l’envoyer le plus fort possible dans toutes les zones de mon corps. Ma féminité prend feu. Mes oreilles bourdonnent. Je plante mes griffes dans ton jean et j’oriente mon regard sur toi. Le regard qui veut tout dire. « Ne veux plus tout ça, dis-le, fais-le » Tu peux commencer dès maintenant. Bordel, je foncerais bien sur n’importe quel trottoir pour arrêter la bagnole, j’arracherais ensuite ma ceinture et je me jetterais sur toi pour fusionner ardemment. « J’ai menti. » Replaçant mes deux mains sur le volant, j’entre enfin sur Cambridge et inspire profondément « Accroche toi » J’appuie alors sur l’accélérateur, plus pressée que jamais de rejoindre notre cocon et je mets tous mes sens au taquet pour éviter l’accident « Avant que mon père ne parte pour l’hôtel, je lui ai dit que j’étais tombée amoureuse d’un homme, d’un suédois. Alors il m’a vanné sur votre équipe nationale de foot et puis, il m’a demandé de te rencontrer avec ma mère.. » L’adrénaline me fait prendre des décisions dangereuses. Je grille un feu cramoisi et j’emprunte un virage un peu trop serré. Tellement serré que tu te cognes contre moi et j’en ris, j’aurais tellement aimé être pilote, c’est trop excitant. « Et euh, je lui ai montré une photo de toi, de nous. À Los Angeles. Je l’ai ensuite envoyé à ma mère, ne m’en veux pas s’il te plait.. Elle m’a dit que t’étais très beau, mais que les meubles Ikea c’était de la merde. Tu veux toujours me faire l’amour là ? » J’crains le pire, t’éjectes pas de la bagnole en marche steplait.   
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Kaze Faulkner

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Lieu de naissance : chicago (IL)
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Situation sentimentale : veuf. plus vraiment célibataire, exclusif à giorgia, avec qui c'est tout feu tout flamme
Études / Métier : officier de police dans l'unité des enquêtes criminelles (CID)
Date d'inscription : 22/06/2015
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
Icon : dreamrutine@tumblr
Faceclaim : max irons.
Crédits : dark dreams. @tumblr (av)
Multicomptes : rhys, kaiden, donovan, kyro
Description (1) : kaze faulkner
widower · heterosexual · former drunk · aa mentor · not rich, not poor. in between · police officer in criminal unit of the boston police department

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Kaze Faulkner
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pluson ★ thunderclouds — w/ Louison Chamberlain
@ aéroport de Boston, novembre 2018

Moi aussi j'ai droit de douter non ? D'avoir un second avis sur mes choix. Et quand elle m'a quitté pour la seconde fois, je me suis dit que peut-être je faisais une erreur avec elle, peut-être qu'on est pas fait pour être ensemble. Peut-être que j'aurais du laisser une réelle chance à Camila. Ouais, j'ai eu des doutes. Puis ils se sont envolés. C'est elle que je veux, c'est elle que je veux maintenant, à mes côtés. Je sais que je blesse Camila par ce choix mais j'y peux rien. Je me sens bien avec elle, je me sens entier, je me sens heureux. Et je m'en veux, parce que mon fils n'a rien demandé de tout ça mais si j'ai embrassé Louison ce soir de septembre, c'était pas par hasard. C'était un besoin, une envie que je couvais depuis trop longtemps. « Peut-être même deux » Peut-être, tout dépendrait de si elle est sage ou non. Je sais pas trop si c'était ce qu'elle espérait, si c'était quelque chose qui ferait briller ses yeux comme la rose avait pu le faire à l'époque mais j'ai essayé de trouver quelque chose qui pourrait nous représenter, quelque chose qui lui plairait et qu'elle regarderait en pensant à nous. Ouais, c'était un truc comme ça que je voulais lui offrir et j'en avais deux dans ma valise. « Quand j'te dis que tu me pervertis... c'est pas un mensonge » Et je riais doucement, dans le simple but de dédramatiser la chose. Notre relation était basée sur le sexe à la base. Et puis plus j'avais gratté autour, plus je m'étais rendu compte que j'avais une pierre précieuse entre mes mains. Elle était un diamant brut Louison. Un diamant brut français d'une rare qualité et je ne voulais pas la perdre, en aucun cas. J'allais me battre, véritablement. Elle était celle qui faisait faire à mon coeur une symphonie de plus en plus forte. Un véritable chef d'orchestre la Chamberlain. Elle me parlait de son ex, le Raphaël. Je ne sais pas pourquoi, mais je le détestais. Enfin, il avait apporté que du bon à Louison de toute évidence, mais je le détestais d'avoir une importance pour elle. Je voulais être son tout, qu'elle se donne coeur et âme pour moi, oubliant tout le reste. Raphaël, Ezio, Camille, Liam. Tout le monde aux oubliettes, Pluton partout, omniprésent dans son esprit. « Arrête... » Elle comprenait ce que je voulais dire, mais sûrement qu'elle voulait que je sois un peu plus... expressif ? Que je mette de réels mots sur ma volonté de faire d'elle mienne ? Alors je le faisais. Je me lâchais, j'exprimais ma volonté, par des mots qui faisaient battre mon coeur vite, toujours plus vite. Est-ce qu'elle avait la même chose de son côté ? Non mais parce que je sais pas si elle pouvait rester calme suite à tout ça. Je retire ce que j'ai dit, elle ne s'est pas dandinée, elle s'est simplement mise à planter ses ongles dans mon jean. Heureusement que ses ongles n'étaient pas faits de verre, j'aurais pu finir castré. « C'est ce que tu veux ? » De toute évidence oui, mais je voulais m'en assurer. Quelque part, je le savais qu'elle le voulait, je veux juste qu'elle me confirme tout ça, qu'elle confirme que je suis bel et bien son homme, son copain, son petit-ami et qui sait où les choses nous emmèneront. Mais elle ne me rassurait pas Louison, avec ses deux mains sur le volant, admettant avoir menti. Je fronçais les sourcils quand ma main s'agrippait à la portière, le champignon étant de mise pour rentrer au plus vite. Et là, c'était trop d'informations d'un coup. Elle a menti. Elle en a parlé à son père, photo à l'appui. Sa mère aussi est au courant. Ils veulent me rencontrer. Et... ouais, ok. En plus de ça, ils se foutent de la gueule de tout ce qui fait la Suède... la Suède. Et tout ce que je trouve à dire c'est... « J'ai tout le temps envie de te faire l'amour » Parce que c'est vrai. Mais je stressais, j'angoissais à l'idée de rencontrer la famille Chamberlain. Et s'ils ne me validaient pas ? Et s'ils désapprouvaient totalement cette relation qu'était la nôtre, loin d'être la plus saine au monde. On se bouffait elle et moi, on était captivés par la passion qui nous consumait l'un pour l'autre et... j'ai peur. Peur de les décevoir. Peur de la décevoir elle aussi. « Je vais rencontrer tes parents donc... » Je soufflais, je tournais la tête vers elle puis je posais de nouveau le regard sur la route. Coeur battant, j'essayais d'imaginer ce que ça pourrait donner et.. non, le flou total. Aucune idée d'à quoi ressemble papa Chamberlain, encore moins maman Chamberlain. Puis finalement on arrivait chez nous, la place devant l'immeuble libre comme si elle nous attendait. Je finissais par regarder Louison, inquiet. « Et s'ils m'aiment pas ? » Et s'ils apprenaient pour le bébé ? S'ils apprenaient pour tout ce que je lui ai fait subir ? Ouais non, la panique s'emparait de moi. J'étais pas blanc comme neige, j'avais beaucoup de trucs à me reprocher et... ouais, j'avais peur de ne pas être à la hauteur.
(Kaze Faulkner)




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J’imagine qu’il va te falloir un peu de temps pour ’t’acclimater’ à mes frasques. Bordel, j’ai l’impression d’être passée sous un rouleau compresseur tout à l’heure. J’suis toute écrasée, aussi fine qu’une galette de maïs. Je me suis privée d’oxygène dès que le ton est monté. La peur au ventre, la peur de te perdre. Mais, fini l’apnée. Le vent s’est levé, emportant sur son passage l’orage qui grondait. J’me sens reprendre contenance. Mes poumons se remplissent en intégralité. J’reprends du poil de la bête, installée confortablement derrière mon volant. Tu es toujours là, assis juste à côté, à portée de main. Mes péripéties cochonnes sont balayées -ou presque-. « Deux cadeaux ? J’parie que le second c’est toi-même, tricheur » J’suis pas contre hein, tout ce qui compte, c’est que ton corps soit ici et non en Suisse, au bout du monde. Quelle idée franchement, il est con ton cousin, si je le croise je lui en colle une. J’ai vécu un calvaire sans toi. « J’sais que tu aimes ça, espèce de pécheur ! Tu iras te confesser bientôt » Et nos rires se multiplient dans l’habitacle. Le sexe nous a toujours sauvé. Il nous rallie n’importe quand. Tu m’as appris tant de choses au lit. J’crois même que tu m’as appris à faire l’amour alors qu’avant je .. baisais. Avant, je composais uniquement avec la vulgarité. Pas de sentiments. Du pur instinct animal. Aujourd’hui, je sais ce que c’est que de faire l'amour. Tu n’as peut-être pas volé ma virginité, tu n’as peut-être pas été ma première fois, le premier homme à s’introduire en moi, mais tu as été le premier à me traiter avec respect. Le premier à me prouver ton amour par le plaisir de la chair. Raphaël n’avait pas eu l’temps de le faire, de toute manière, je ne lui en avais pas offert la possibilité. J’sais pas pourquoi, mais parler de lui me rend confuse. Et puis tu me déclares ensuite des tas de choses, mais je les contre, bouclier au bras. Tout ricoche. J’en veux plus. J’en demande probablement trop, mais c’est à cause de toutes les épreuves qu’on a traversé. Elles m’ont rendu plus prudente et exigeante. « Ce que je veux moi ? C’est que tu sois mon homme. Si on me demande ‘tu vois quelqu’un ?’ Je veux pouvoir répondre clairement : Ouais, je sors avec Pluton Westerberg, le Vice-Président Dunster, vous savez, le beau brun aux fossettes super sexy. Le mec qui étudie le journalisme et que chaque meuf voudrait se faire, mais que je suis la seule à me taper nuit et jour. J’veux que ça se répande, que tout le monde le sache » J’peux pas être plus expressive non ? Le message est passé ? T’adhères ou pas ? Tu sens la possessivité qui s’exprime et qui sort de tous mes pores ? T’es le mien putain. Et ouais, j’ai pas su tenir ma langue. J’ai tout balancé à mes parents, bien avant qu’on en discute, parce que je le sentais. Je sentais qu’on se dirigeait vers là, vers ce chemin qu’on avait déjà emprunté à deux reprises. Ce chemin plein d’embûches. Putain, cette fois-ci, le moindre obstacle, je le dynamite. Rien à foutre. « Quoi ? Moi aussi chéri, mais je .. Je te parle de mes parents là » Je crois que je t’ai envoyé sur orbite. Merde, j’aurais dû m’arrêter à mon père, ne pas rajouter ma mère à l’équation. Trop d’informations pour le suédois. Je te vois cogiter et j’ose plus rien prononcer. Je te laisse agencer tout ça, me focalisant sur la route jusqu’à ce que tu reprennes enfin la parole. J’acquiesce à peine, ma frimousse remuant de haut en bas. Oui, tu vas sûrement les rencontrer, les Chamberlain, avocats depuis la nuit des temps. Je suis la relève. La pression pèse sur mes épaules. Un cabinet m’attend à Paris si un jour l’envie me prend. J’pourrais défendre les plus grands noms du pays, en pleine capitale française, une vue sublime sur la Tour Eiffel. Bref, dernier coup de volant, quelques mètres de goudron et je coupe le moteur. On y est. Je retire les clés du contact et je m’adosse à la portière, sentant ton regard préoccupé sur moi. « Pourquoi ils ne t’aimeraient pas si je t’aime ? » Hey, reste ici. Tu pâlis trop. Je détache alors mon dos de la porte et je me penche un peu vers toi, ma main s’accrochant à ton genou. « Je serais là. Écoute-moi, si tu es honnête avec moi, tout se passera bien. Ils ont déjà étaient en profond désaccord avec mes choix et ça ne m’a pas empêché de poursuivre ma route sans leur approbation. Je suis Louison Chamberlain t'entends ? Je fais ce que je veux, je fréquente qui je veux et si ça ne plaît à mes parents dysfonctionnels, tant pis » C’est vrai bordel, tout le monde me dit de me séparer de toi, mais je continue, je fonce tête baissée. Je te fous pas trop le stress, mais ne me déçois pas. Pars pas le lendemain de ce dîner avec mes géniteurs. Ne change pas d’avis.. C’est le moment ou jamais de réparer la confiance brisée. « T’es le mec le plus complet que j’ai pu rencontrer de toute ma petite vie. Tu as un charme fou, tu parles avec aisance, tu es cultivé, drôle et doué pour mettre n’importe qui dans ta poche. T’es le plus grand séducteur que je connaisse mon amour. Ils vont t’adorer. » Mes doigts caressant désormais ta joue, je choppe ton menton et apporte ton visage au mien. Je guide nos bouches dans la bonne trajectoire et je t’embrasse, pour te fournir un peu de force, celle qui me reste après cette journée interminable. « Mh, juste pour que tu saches, tu seras le premier type que je leur présente depuis Raph’.. » Même Ezio il n’est pas allé aussi loin. Pas de couilles pour un rital.
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Je ne voulais pas repenser à tout ça, repenser à son corps dénudé qui se faisait prendre par des hommes qui pouvaient être dans mon entourage proche. Alors oui, ça nécessitait un effort particulier de ma part, et il fallait surtout que ça évite de se reproduire. Alors un nouvel effort de ma part serait de mise, celui de ne pas la laisser s'en aller. Me battre pour elle, être le seul et l'unique de sa vie. Voilà quelle était ma mission à présent. « Tu oses dire que je triche ? Bon, tant pis, qu'un seul cadeau pour toi... non, aucun ! » Parce que là, elle me cherchait. Et j'avais ce petit sourire en coin, celui qui apparaissait dès qu'on avait un peu de complicité qui se mettait en place autour de nous. Oui, on était complice, on l'a toujours été et je crois qu'on le restera toute notre vie. C'était l'essence même de notre relation. Il suffisait de voir aux Bahamas, quand on avait sauté de cette falaise. C'était comme ça, on était complice dans l'amour, complice dans la connerie et je ne voulais pas que ça vienne à disparaitre un jour, vraiment pas. C'était le meilleur sentiment du monde. « Uniquement si c'est toi qui entend mes pêchés » Ferais-je d'elle ma Sœur ? Non, je n'étais pas croyant, ni pratiquant. Preuve étant que j'avais déjà couché avec une fille dans une église. Est-ce qu'elle le savait ? Je crois pas. Ma relation avec Agathe remontait à tellement loin, j'ai l'impression que ça fait une éternité alors que c'était seulement l'année dernière... Ouais, une éternité. Je lui avouais alors que je voulais qu'elle soit ma copine, ma vraie de vraie copine, celle que je présente à chaque soirée, celle que j'ai à mon bras pour toutes les sorties. Celle que j'emmène au resto et à qui je paye l'addition sans rechigner ou encore celle que j'emmène au bowling histoire de passer du bon temps. Ouais, c'était tout ça que je voulais avec elle. Seulement, elle semblait poster une résistance à la base. Et ouais, j'avais fini par donner les bons mots. “Ne le veux plus, dis-le, fais-le”. Est-ce que c'était réellement ce qu'elle voulait ? Et j'avais droit à sa tirade qui me faisait plus sourire qu'autre chose, en plus de m'émerveiller tant je voyais l'amour qu'elle me portait. Comment dire que j'avais l'impression de ne pas la mériter... Elle était trop bien pour moi cette fille. Mais je ne disais rien, me contentant de sourire. « Alors c'est officiel. Louison Chamberlain a définitivement mis le grappin sur Pluton Westerberg. Il est foutu » que je disais en riant, clairement mordu d'elle. Putain, je sentais mon cœur battre la chamade. Ça ne s'était pas forcément passé comme je l'avais imaginé mais c'était peut-être mieux. C'était authentique, comme notre histoire. Seulement, elle avait sûrement un peu trop pris les devants pour le coup puisque ses parents sont au courant de note relation... et sa mère débarquait. Et ses parents voulaient me voir, ensemble. C'était pas vraiment quelque chose que j'avais anticipé... Merde. Merde. Je bug totalement maintenant, incapable de savoir si j'allais pouvoir me remettre de tout ça. Voiture garée, contact coupé, elle venait se mettre contre la portière pour me regarder et moi, j'étais pas vraiment apte à parler. « Parce que... j'ai pas eu le temps de réparer tout ce que j'ai brisé en toi » Et j'avais fait des dégâts, je suis pas dupe. Seulement, elle semblait pas comprendre le lien. J'avalais difficilement ma salive alors qu'elle me rassurait. Ouais... ça fonctionnait que légèrement. En fait, j'avais peut-être peur qu'elle finisse par se rendre compte qu'elle faisait une erreur en me laissant une nouvelle chance et que potentiellement, elle se raviserait face à ses parents. Ouais, peut-être que ça sera comme ça que ça se passera et je ne le supporterai pas. « Qu'importe ce qui se passe, tu resteras avec moi ? » Ouais, sûrement qu'elle était face à la partie de moi que je ne montrais quasiment jamais, la partie vulnérable qui ne demandait qu'à être aimé en retour. Et j'étais prêt à tout lui donner à Louison, j'étais prêt à y mettre tout mon corps et mon cœur dans cette relation. J'espérais simplement que ça ne soit pas en vain. Je l'écoutais une nouvelle fois, le cœur chavirant de nouveau. Elle savait trouver les mots, elle savait y faire avec moi et... Je la laissais tout simplement m'embrasser. Elle avait droit à mes lèvres, à mon cœur, à mon corps. Elle avait accès illimité à tout ça, je faisais d'elle mienne, et j'étais sien. « Le deuxième plus important donc ? » J'esquissais un sourire avant de venir chercher de nouveau ses lèvres, avec un peu plus d'envie, un peu plus d'envie. « Je t'aime... ne change jamais s'il te plait » Un dernier smack et j'ouvrais ma porte pour sortir et affronter le froid pour les quelques mètres qui nous séparaient de l'immeuble. « Sors plus vite que ça, j'ai envie de faire l'amour à ma petite amie » disais-je à travers le coffre alors que je récupérais ma valise. Oui, j'avais envie de me retrouver dans notre appartement, qu'on en fasse notre nid douillet et qu'on vieillisse ensemble, aussi heureux qu'on pouvait l'être dans nos meilleurs moments. Je refermais le coffre et j'attendais qu'elle ait verrouillé sa Chevrolet pour attraper sa main et je filais directement vers l'entrée de l'immeuble, pour ensuite monter les étages, jusqu'à notre appartement. Plus besoin d'attendre bien longtemps. Porte ouverte, porte fermée. On était tous les deux là et je fonçais directement sur ses lèvres, mes motivations n'étaient même pas cachées.
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