SANDRICK ROCKEFELLER ► xavier serrano

Jeu 18 Oct 2018 - 12:39

SANDRICK ROCKEFELLER

feat. xavier serrano

ID CARD

12 janvier 1995
New-York
23 ans
américain/espagnol
bisexuel
célibataire
riche
droit pénal
relations internationales
aucun job
NON BOURSIER

ADMISSION

TON ADMISSION À HARVARD - Faire partie de l'élite d'Harvard n'était pas un rêve pour moi en soit, mais plus pour mon père. Il est certain de dire que je voulais pouvoir faire mon adhésion dans cette prestigieuse université, mais si j'ai décidé de m'engager, c'est surtout pour rendre honneur à mon géniteur. Lui également a étudié à Harvard et il ne voulait que ça pour sa progéniture. Je me suis donc très bien qualifié au SATs, ce qui m'a directement fait intégrer les candidats recevables. Pour la lettre de motivation, rien de plus facile et j'ai été le plus sincère possible, comme je le suis toujours. Je préfère être transparent, en fait. Ayant beaucoup d'ambition dans la vie, j'ai misé sur cette qualité pour mes motivations et finalement à l'entretien, je crois les avoir épaté, mais il faudrait surtout leur demander. Oui, j'ai un peu stressé de parler devant ces personnes, trouvant que ma lettre était moins compliquée, mais j'ai réussi haut la main. Une personne, je crois une conseillère, m'a même complimenté sur mon apparence. C'est un plus, vous croyez ? Puis finalement, j'ai réussi à intégrer cette brillante et prestigieuse université. Mon destin est désormais entre mes mains et je ferai tout ce qui est de mon possible afin de ne pas faire honte à mon père.

MAISON OU NON ?

Pour le choix de la confrérie, j'ai la même idée que mon géniteur. Faire en sorte d'essayer d'intégrer l'élite, la Eliot House. Sans même savoir s'ils vont m'accepter au sein de leur rang, je mènerai tous mes défis à bien. Étant quelqu'un qui cherche la renommée, quelqu'un pour qui la notoriété et le nom que je possède est très importante, je crois même que je suis certain pouvoir faire partie de cette confrérie. Briller et être admiré c'est mon dada jusqu'à pouvoir écraser tous ces petits parasites qui ne son pas de mon monde, sur mon passage. Je n'ai pas envie de vivre au milieu de tous ces paysans, j'ai besoin d'être entouré de la crème.

Je suis un couche-tard. Généralement je me couche lorsque les autres se lèvent, même si j'ai cours le lendemain. • Je déteste qu'on prenne des décisions pour moi, qu'on essaie de me faire changer ou qu'on me dit comment me comporter. • J'ai la fâcheuse tendance à ne pas regarder où je mets les pieds, ce qui m'apporte pas toujours de bonnes surprises. De toute façon, c'est toujours la faute des autres, jamais de la mienne • Je suis une vraie carte de mode et pourtant je déteste faire les boutiques. Je passe tout de même beaucoup de mon temps à m'acheter des fringues, des cravates, nœud papillon, chaussure et des lunettes. • J'ai un rapport très particulier avec la gente féminine. Disons que la plupart je les trouve lâches, niaise, irresponsable, mais tellement bonne au lit. Évidemment, il y a exception à la règle. • J'ai une peur bleue de l'eau, en fait, je ne sais pas nager, mais cela ne sortira jamais de ma belle gueule. Ma virilité en prendrait un coup et je ne peux pas me le permettre. • Je dois avouer être une véritable fouine. J'aime tout savoir sur tout le monde. • J'ai parfois des excès de colère qui peuvent me rendre violent • Je suis ce genre de mec à sauter à pieds joints dans les ennuis, ce n'est pas vraiment de ma faute, je semble les attirer. • Je fume comme une cheminée, ça fait plusieurs fois que j'essaye d'arrêter sans succès. J'ai toujours besoin de cette saloperie dans la bouche. • À 32 semaines de grossesse, ma mère a souffert d'un placenta praevia me mettant la vie en danger, autant que la sienne. • Déjà tout petit j'étais un aventurier, je déplaçais de l'air. Je grimpais partout et je ne calcule même plus le nombre de chutes et de visites à l'hôpital que j'ai pu faire. • Tous mes étés je les passais en Espagne, dans ma famille maternelle. C'était une tradition que je ne pouvais pas briser. • D'un naturel charmeur, j'aime plaire. Je sais le charme que je peux avoir, mais je ne suis pas un gros lourd. Même que je me lasse très facilement si je n'arrive pas à avoir ce que je souhaite.

jalouxDébrouillardCapricieuxOrgeuilleuxFrancloyal

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Marie et j'ai moins d'années que le Christ . Je suis Québécoise et j'ai connu le forum grâce à Jendy, il y a plusieurs années . Je suis déjà présente sur le forum sous les traits de Davi Carvalho (+ WH) & A. Silas Rothschild (+ MH). J'utilise xavier serrano comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par trelawney. Je fais environ 200 + mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
 je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:

Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8728]☆[/url] ☆ <span class="pris">XAVIER SERRANO</span> ◊ “ Sandrick Rockefeller ”[/size]

(Invité)

Jeu 18 Oct 2018 - 12:39

STORY OF MY LIFE

please tell us more

« Laissez-moi tranquille, bon. Je veux pas d’elle et en plus elle pue, faites l'a adopter ! » Et la porte de la chambre se ferme laissant un bruit résonner dans la maison. À peine âgé de neuf ans, je ne pouvais toujours pas accepter la présence de cette petite chose, que je suis supposé considérer comme étant ma sœur. Pour moi, ce n’est qu’un tout petit parasite qui est en train de me voler mon frère et mes parents. On était bien avant son arrivé pourquoi il a fallu que ce soit une fille ? « J’aurais voulu avoir un p’tit frère. J’vous déteste ! » criai-je toujours à m’en déchirer les poumons, à qui voulait bien l’entendre. C’est toujours ainsi. Tous les jours, lorsque mes parents voulaient que je surveille Louann pour quelques minutes, je me sauvais au premier étage en criant et claquait la porte de ma chambre. De toute façon, ils ne m’aiment plus, ils n’ont de yeux que pour elle. Oui, je les ai vus et entendu se murmurer des choses à l’oreille et j’ai réussi à entendre mon prénom. Je sais qu’ils parlent de moi, mais ne sait pas ce qu’ils manigancent. Je sais qu'ils voudraient que je me taise et que je ressemble plus à Almarick. Mais je ne suis pas Almarick, je ne suis pas en admiration devant Louann. Je ne l'aime pas. J'aime personne !

Les mois et les années ont passées. Peu à peu je me suis rendu compte, quand fait, Louann n’était pas en train de prendre ma place. Pourtant, je l’ai détestée cette pauvre petite fleur qui ne demandait qu’à vivre et être aimée. Lorsque j’ai finalement commencé à prendre soin d’elle, comme un grand frère devrait se conduire avec une petite sœur, j’ai vu toute la différence. J’ai également vu à quel point mes parents pouvaient être fier de moi. La complicité que j’ai toujours eu avec mon frère était en train de se transmettre à Louann. Ma petite princesse. Rien n’y personne ne devait lui faire du mal, avant de m’avoir passé sur le dos en premier. En très peu de temps, une fois que j’ai compris qu’elle n’était pas une menace pour moi, elle est devenu aussi précieuse que la prunelle de mes yeux. Je voyais lorsqu’elle n’allait pas bien. J’aimais la rendre heureuse et la voir sourire. C’est même moi qui lui a montré à nager. On s’est amusé cette été là, au point même où j’ai pensé à un moment donné que notre frère en était jaloux.

Tout a véritablement commencé à mal aller lorsque je voyais ma sœur aller de plus en plus mal. Je voyais bien qu’elle n’avait plus l’étincelle qui brillait dans son regard. Je voyais qu’il y a quelque chose qui la dérangeait. Parfois, je la retrouvais triste et la minute d’après, elle entrait dans une rage soudaine et inexpliquée. Mes parents ont crus tout d’abord que c’était l’adolescence qui la faisait agir de cette façon, mais moi, je n’y croyais pas une seconde. J’ai essayé à quelques reprises de lui parler pour savoir ce qui n’allait pas, mais elle trouvait toujours une excuse pour ne pas m’en glisser un mot. J’aurais tellement aimé qu’elle se confit à moi. Je crois que cette soirée-là, toutes les émotions possibles se sont mélangé dans ma tête… Je revenais de mon entraînement de sport comme à presque tous les jours, lorsque j’ai cru entendre la voix de ma sœur supplier quelqu’un de la laisser tranquille. Je n’étais pas certain qu’il s’agissait de Louann, mais pour en avoir le coeur net, j’ai décidé de me diriger vers la source du bruit, jusqu’à ce que mon sang se fige dans mes veines. Voir ma sœur, en train de se frapper la tête contre le mur de brique, suppliant quelqu’un d’invisible de la laisser tranquille. J’avais une scène épouvantable, sous les yeux. Sans plus attendre, j’ai laissé mon sac tomber sur le sol et je me suis mis à courir dans sa direction pour la prendre très fortement dans mes bras et nous faire glisser sur le sol. Je la serrai si fort contre moi, lui demandant de se calmer, mais tout ce qu’elle parvenait à crier était des phrases incompréhensibles. Le diagnostique des médecins a été que ma sœur soit atteinte de schizophrénie. Cela commençait à se faire parler à New-York et la réaction de mes parents étaient sans appel… C’était inconcevable pour eux d’avoir un enfant malade dans la famille. Ils ont donc décidé, de la placer dans un centre pour gens à problèmes, parce qu’elle était dans une période où c’était dangereux pour sa vie. Ce jour là où je l’ai appris, je suis entré en conflit avec ma famille. J’avais tout simplement la haine contre mes parents qui ont décidé de l’envoyer ailleurs, au lieu d’engager des spécialistes.

Enragé, j’ai décidé de quitter la demeure familiale. J’avoue avoir agi sous impulsivité, mais après avoir fait tout en mon possible pour repousser l’échéance de voir ma sœur être placée ou même essaye de faire changer d’avis à mes géniteurs, j’ai préféré fuir. M’en aller, sans un regard en arrière pour traverser l’océan Atlantique et passer quelques semaines en Espagne chez mes grands-parents maternels, avant de me louper un petit appartement mignon en Italie. Après plusieurs démarches et plusieurs recherches me concernant, j’ai réussi à m’installer convenablement à Florence. Je me suis dit qu’il était temps de recommencer une vie loin de ces gens qui avaient été si familiales autrefois. C’est à ce moment où j’ai commencé à faire des cauchemars. Voir ma sœur en train de se fracasser le crâne contre un mur n’est pas été une partie de plaisir et il faut croire qu’un traumatisme s’en est suivi. J’ai même dû prendre des somnifères pour m’aider à trouver le sommeil sans me réveiller en pleine nuit.

Environ un mois après, j’ai rencontré Billie. C’est elle qui a réussi à me faire penser à autre chose. À tous faire pour que je retrouve le sourire. Elle a réussi à me faire renaître en quelque sorte. D’un an ma cadette, elle a eu se pouvoir sur moi où elle j’en suis tombé raide dingue. Toujours souriante, belle et rayonnante, je suis rapidement tombé sous son charme. Ce qui me plaisait également, était son petit caractère. J’ai toujours aimé qu’une femme sache où elle s’en allait et qu’elle se battre pour obtenir ce qu’elle souhaite. Billie était tout ça. Nous avons vécu une belle petite histoire d’amour pendant environ un an, jusqu’à ce que j’essaye d’aller plus loin dans notre relation. Qu’on passe au stade supérieur. Étant vierge, elle a refusé à plusieurs reprises. Mon caractère a commencé à se faire plus sadique, plus vicieux. Je me suis mis à presque la forcer à avoir des relations sexuelles, bien que je n’ai jamais abusé d’elle. Avant que cela arrive, elle a mis fin à notre relation malgré mes excuses incessantes. Suite à notre rupture, je suis retourné à New-York, pour reprendre contacte avec ma sœur. M’occuper d’elle et essayer de faire en sorte que nos géniteurs décident finalement de s’en occuper à leur tour.

J’avais également dans la tête d’intégrer la merveilleuse université d’Harvard, ayant été poussé tout d’abord par mon géniteur. Après plusieurs entrevues, paperasses à remplir, j’ai pu y faire mon entrée. J’y suis depuis trois ans et je vis ma vie comme je le souhaite. Je clame haut et fort que je suis un Rockefeller et je tiens à faire honneur à ma famille, à mon père qui pourrait m’enlever ma fortune à tout moment si je le trahis d’une façon ou d’une autre. La pression qu’il me met sur les épaules afin d’obtenir une brillante carrière n’est pas qualifiable. Heureusement que j’ai pu rencontrer un certain Noah à mon arrivée qui m’a montré la marche à suivre, mais surtout qui éviter. Ce mec, j’y dois beaucoup et il a même réussi, à sa manière, à me convaincre d’essayer de faire mon adhésion chez les Eliots. L’Élite de cette majestueuse université où je passerai encore plusieurs années de ma vie. Cet endroit où je rencontrerai des gens de mon passé, sans même savoir qu’ils prendront une énorme place dans ma vie.

(Invité)