MIN-HO JO ► kim seokjin.

JO MIN-HO

feat. kim seokjin.

ID CARD

22 AOÛT 1997
SEOUL
21 ANS
SUD-CORÉEN
PANSEXUEL
CÉLIBATAIRE
ÉLEVÉ
INGÉNIERIE (M)
INFORMATIQUE (m)
WIDENER LIBRARY / CAMBOY
NON BOURSIER

ADMISSION

TON ADMISSION À HARVARD Une fois le lycée fini, tu as passé ton suneung, l'un des examens les plus importants en Corée du Sud, utilisé pour l'admission aux différentes universités du pays. Tu te souvenais avoir été stressé, ne dormant que très peu à l'approche de la date fatidique, et passant tes journées à réviser comme la majorité des étudiants, sachant très bien que c'était un sésame que tu ne pouvais pas te permettre de rater. C'était un peu la clé qui allait faire ou défaire ton avenir. Une fois le précieux en poche, tu entrais dans la prestigieuse université de Yonsei, où tu passais ta première année d'étude supérieure. C'est là que tu t'es pris peur, et que tu commençais à prendre conscience du système dans lequel tu étais, qui était loin d'être sain. T'étais fort mentalement, mais tu as eu envie de changer d'air, de voir du pays, de te retrouver. Tu observais les étudiants autour de toi, leurs mines constamment stressées, leurs nerfs fragiles, et leurs énormes poches qui se creusaient sous leurs yeux. Et tu te demandais si d'un point de vue extérieur, t'avais la même dégaine, le même sentiment de n'être qu'un corps amorphe fait pour réviser toute la journée, inerte, au bord du suicide. T'as parlé à tes professeurs - pas du système en soi, tu gardais tes opinions pour toi, mais de ton envie de réussir ailleurs, de rendre tes parents fiers tout en visant l'international, au vu de tes excellentes notes. T'as décidé d'envoyer par le biais de ton université un dossier d'admission pour Harvard, et de passer tes SATs. Puis il y a eu l'Essay, où tu as réussi à sortir du lot et à leur faire comprendre ton besoin de faire tes études ici, rien que pour ta santé mentale. De leur faire comprendre ton envie de vouloir changer les choses dans ton pays, où le taux de suicide des adolescents est en constante augmentation. C'était la partie la plus difficile pour toi, parce que c'était si personnel et si subjectif comme épreuve, et on ne t'avait jamais vraiment confronté à ce genre de dissertation qui ne constituait pas à connaître les réponses par cœur et à les ressortir tout bêtement. Puis envie t'as eu l'entretien, la dernière étape. T'avais les mains moites, le cœur qui battait un peu plus vite, mais t'étais confiant. T'avais l'habitude de parler à des gens plus haut placé que toi, t'avais l'habitude de bien te présenter et de renvoyer une image positive et dévouée, t'avais l'habitude d'appâter les personnes en face de toi avec tes mots et ton sourire d'ange. Puis enfin, t'étais admis.

MAISON OU NON ?

Intégrer une maison n'était au départ pas dans tes priorités. T'avais la tête ailleurs, entre le déménagement d'un pays à l'autre, le fait de te retrouver dans un dortoir qui était trois fois plus petit que la chambre dont tu disposais à Séoul, l'adaptation dans un système assez différent que celui que tu côtoyais auparavant - tu voulais avoir le temps de t'investir dans une confrérie, chose qui te semblait impossible à l'époque. Tu préférais te mettre dans le rythme de suite et ne pas perdre de temps face aux révisions, t'habituer à ton nouvel environnement et à tout ce que ce changement impliquait. Un an plus tard, tu te sentais maintenant prêt. Tu sentais le besoin de t'investir, de rencontrer de nouvelles personnes qui conviendraient à tes attentes, t'avais envie de faire parti d'une unité et de te construire un semblant de famille, loin de ta maison.

La première maison qui te faisait de l’œil était la Eliot House. Malgré les hauts et les bas qu'avait vécu cette confrérie d'année en année, tu voyais en elle la représentation même de l'élite sociale, du prestige. C'était la réussite, c'était l'honneur, c'était la fierté, et c'était tout ce dont tu rêvais être aux yeux de tes parents. C'était la maison idéale pour ta réputation de parfait fils du président de LG Electronics, qui souhaitait viser aussi haut et aller aussi loin que son géniteur. La Eliot House était également synonyme de connexion, de contact, tout ce qu'il fallait pour bien remplir son carnet d'adresses avant de commencer sa vie dans le milieu professionel. Tu comptais trouver en cette maison des personnes qui pouvait être solidaires et qui comprenaient ce que tu vivais et la pression que pouvait mettre les parents sur votre dos dès votre plus jeune âge juste à cause d'un nom de famille ou de projets qu'ils avaient pour vous avant même que vous sachiez marcher. C'était la maison parfaite pour la façade droite et mature que tu montrais aux gens.

La seconde maison qui t'attirait était la Dunster House. Pas forcément pour l'image qu'elle renvoyait, mais pour les valeurs qui semblaient être prédominant quant au travail et à l'intellect. T'avais toujours travaillé dur pour avoir les meilleures notes, pour être le premier du classement dans toutes matières à l'école et avoir la joie d'entendre les pluies de compliments de tes professeurs, surligné par les yeux pétillants et fier de tes parents. C'était une manière pour toi de montrer que malgré que ta famille ai de l'argent, tu étais loin de n'être qu'un bon à rien qui profitait seulement de son statut social. Que tu n'étais pas qu'une coquille vide. Il te semblait important de t'entourer du genre de personnes qui faisait parti de cette confrérie, rien que sur un plan intellectuel : être autour de personnes motivées et prêtes à travailler et à tout donner tout au long de l'année était un état d'esprit qui ne pouvait que se refléter en toi et qui t'aiderait à continuer d'être le meilleur - même sans la pression constante de ta famille maintenant que tu vivais loin d'eux.

jo min-ho. ☾ vingt et un ans. ☾ sud-coréen. ☾ pansexuel. ☾ troisième année. ☾ à harvard depuis deux ans. ☾ ingénierie en majeur et informatique en mineur. ☾ travail à la widener library. ☾ sait parler le coréen, l'anglais, le japonais, le français et apprend le chinois. ☾ fils de jo seong-jin, nouveau président de LG Electronics depuis 2016. ☾ il a accepté plusieurs fois de prêter son visage pour les nouvelles campagnes publicitaires de la marque. ☾ il a un décalage entre l'image qu'il donne, l'homme qu'il est et ses désirs secrets. ☾ il a l'image du parfait gendre. ☾ il fait tout pour maintenir sa réputation en public et pour ne pas faire de vagues. ☾ poli. ☾ ponctuel. ☾ bien éduqué. ☾ humble. ☾ souriant. ☾ ambitieux. ☾ travailleur. ☾ fidèle. ☾ volontaire. ☾ tolérant. ☾ sportif. ☾ à fait dix ans de natation. ☾ sait très bien jouer du piano. ☾ il est passionné d'art. ☾ il aime particulièrement la peinture et la photographie. ☾ il est pourtant loin d'être innocent et si parfait. ☾ camboy à ses heures perdues. ☾ pink_baby sur internet, où il poste photos dénudées et live allant du soft babyboy au plus hard. ☾ c'est l'activité qui lui permet de s'évader et de faire tomber le masque. ☾ ça lui sert aussi d'excuse au fond de lui pour ne pas rechercher l'amour plus que ça et rester seul. ☾ sa mère particulièrement aimerait le voir marié. ☾ il ne croit pas vraiment en l'amour, encore moins dans le milieu d'où il vient. il voit des personnes vénales attirées par lui pour son compte en banque et son statut. ☾ il est donc méfiant de toute personne l'approchant avec insistance et ne semblant pas sincère. ☾ et peut vite devenir froid et distant dans ces cas-là. ☾ il est rancunier, il va faire semblant avec un gentil sourire que rien n'est grave afin de ne pas envenimer les choses, mais au fond de lui il n'oubliera certainement pas les crasses qu'on a pu lui faire. ☾ vivre aux états-unis le change peu à peu. ☾ il se prend à devenir un peu plus libre. ☾ à oser dire ce qu'il pense ou s'énerver contre quelqu'un lorsque la situation lui permet, chose qui n'arriverait jamais en corée. ☾ il se sent mieux en petit comité où il n'a pas à surveiller son langage et sa manière de se tenir. ☾ c'est un grand gamin au fond, qui adore rire et qui aimerait pouvoir courir dans les flaques d'eau et faire des bêtises comme il n'a jamais pu faire à l'époque. ☾ il est très affectueux lorsqu'il est proche de la personne, le skinship ne lui fait pas peur. ☾ maladroit. ☾ exigent. ☾ sarcastique. ☾ charismatique. ☾ compliqué. ☾ il a peur de décevoir. ☾ mais est d'un autre côté irresponsable et veut apprendre à faire les choses pour lui malgré ce que pourrait en dire ses parents. ☾ protecteur. ☾ compétiteur, il veut toujours être le meilleur. ☾ fier. ☾ jaloux. ☾ menteur malgré lui. ☾ perfectionniste. ☾ nerveux. ☾ susceptible. ☾ sa façade trop parfaite peut parfois lui donner l'air d'un snob ou d'un arrogant. ☾ il aime se teindre les cheveux, seule folie qu'il s'accorde vraiment en public puisque les netizens adorent quand il ressemble à une star de kpop et ça fait donc parler de LG. ☾

ambitieuxdépravépoliméfianttolérantrancunier

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle céline et j'ai vingt-trois ans. Je suis française et j'ai connu le forum car j'y étais y a quelques années . J'ai décidé de me remettre à écrire et ilh est toujours aussi beau et actif et attractif alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise kim seokjin the loml comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par nightblood (avatar). Je fais environ 200-500 ? mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
 je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:

Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8766]☆[/url] ☆ <span class="pris">KIM SEOKJIN</span> ◊ “ Min-ho Jo ”[/size]

(Invité)

STORY OF MY LIFE

please tell us more

« Hm... Oui, oui... Les résultats sont arrivés, j'ai réussi tous les derniers examens... » Tu répondais, tes doigts encerclant ton téléphone, faisant quelques pas dans l'intimité de ta chambre. Ta mère était à l'autre bout du fil pour votre rendez-vous hebdomadaire, vos précieuses minutes et parfois heures à vous raconter les nouvelles de l'un et de l'autre. Tu étais peut-être un grand garçon, mais il était impensable que tes parents te laissent partir si loin sans garder un contact rapproché avec toi et la vie que tu menais à l'étranger. Tu comprenais pourtant, si tu essayais de te mettre à la place d'un parent deux secondes : ça devait être compliqué de laisser partir son seul enfant dans un pays si différent du leur, sans personne, avec aucun moyen à disposition pour te venir en aide si tu avais besoin d'eux urgemment. C'était compréhensible de leur part. Et pourtant la partie égoïste de ton être en voulait toujours plus, goûtant avec bonheur les moindres moments de liberté dont tu disposais sans leur constante présence. « Est-ce que tu t'es trouvé une mignonne épouse ? » Sans ton propre accord, tes lèvres se plissaient et ta posture devenait rigide immédiatement, en moins d'une demi-seconde. C'était fou comme une simple question pouvait changer totalement ta manière de te tenir et ton humeur intégrale. C'était comme si avant même que ton cerveau ne comprenne les paroles de ta mère, ton corps lui savait comment y répondre. « Maman... » Tu lâchais faiblement, sachant très bien qu'elle allait de toute manière surenchérir sur le sujet et que tes pauvres plaintes n'y changeront rien. Ce n'était pas comme si tu avais cette même conversation plusieurs fois par mois avec elle. Et qu'à chaque fois les mêmes arguments revenaient sur le tapis. « A ton âge j'étais déjà mariée, et avec toutes les jeunes filles intelligentes et de bonnes familles dans cette école, le choix devrait être vite fait. » T'étais maudit. Malgré toi tes yeux se levaient au ciel, et tu remerciais les dieux de t'avoir donné l'occasion de discuter de cela derrière un cellulaire, là où elle ne pouvait pas voir tes réactions assez limites. Tu adorais être coréen. C'était ton pays, ta culture, tes traditions, mais parfois, c'était trop quant à tes parents et leurs vision des choses. Tu comprenais qu'ils préféraient te voir aux bras d'une jolie jeune fille élégante et sage et avec un compte en banque rivalisant le tien, mais ce n'était tellement pas ce que tu recherchais. Tout semblait calculé dans leurs têtes, et il y avait très peu de places pour l'amour et les sentiments. Pas que ce dernier point t'intéressait vraiment. Tu en avais rencontré des tas de jeunes femmes. Que ce soit en Corée du Sud ou aux Etats-Unis. Tu les voyais arriver de loin, le pas hésitant, le sourire incertain, et leurs mains liées pleine de nervosité. Trop de fois tu avais eu envie de lever ta main afin de les arrêter avant même qu'elles tentent de te parler, mais t'avais été bien trop poli et bien éduqué pour te laisser aller. Des jeunes femmes s'intéressant à toi du jour au lendemain, essayant de bien se faire voir auprès de tes parents en mettant en avant leur beauté et leur bonnes manières, rêvant d'un bon mariage et de pouvoir se reposer sur un bon parti, pensant que tu céderais facilement devant un joli visage et une attitude trop lisse. Elles avaient pourtant tout faux. Et leur avances malsaines te rendait vite suspicieux, ce qui faisait qu'aujourd'hui tu t'étais pas mal distancé de l'amour, n'ayant tout simplement plus confiance entre les aveux non sincères et ta dernière relation qui c'était mal fini. « Tu sais que les coutumes sont très différentes ici... » Tu essayais de lui rappeler. T'avais que vingt-et-un ans, et t'avais envie de prendre ton temps. Et ton temps à Harvard était l'occasion parfaite pour cela. Tu mordais légèrement tes lèvres, tes yeux se baladant de ta fenêtre, regardant les gens et les couples vaguer à leur occupation dehors. T'avais toujours pas osé leur dire que leur belle-fille idéale pouvait très bien se transformer en beau-fils. Que tu n'avais pas de préférences quant aux corps avec qui tu voulais passer tes nuits, et que si tu tomberais amoureux, ce serait de l'âme de la personne, et non de son genre. Tu soupirais silencieusement. T'avais déjà du mal à lui faire accepter que tu voulais prendre ton temps pour te poser, aujourd'hui n'était surement pas le bon jour pour en rajouter.

☾ ☾ ☾

Sous ton air d'ange et d'homme posé, ton statut élevé souligné par des costumes de marque à chaque apparition que tu faisais lorsque tu suivais ton père pour apprendre les mailles de l'entreprise, tu avais l'air parfait, inatteignable. Un sourire doux prenait place sur ton visage sur la moindre photographie que l'on faisait de toi, ta politesse et ta courtoisie à toute épreuve admirée de tout ceux qui te regardaient, tu étais l'incarnation parfaite du fils sud-coréen à l'éducation impeccable, l'image lisse d'un homme sans histoire faisant la fierté de ses géniteurs. Et tu te forçais tous les jours à rester droit et à maintenir cette réputation jusqu'aux Etats-Unis. Mais au fond, t'étais une personne comme les autres. T'avais tes envies, t'avais tes besoins, et t'avais tes méthodes pour les assouvir. « J'exaucerai la demande du prochain qui fait un don de plus de cinquante dollars... » C'est là que pink_baby entrait en jeu. Il était difficile de s'amuser comme on le voulait lorsqu'on était comme toi le fils unique du président de l'une des sociétés les plus riches de ton pays. Et même si aux premiers abords les gens à Harvard ne savaient pas forcément d'où tu venais ni d'où venait l'argent que tu avais, ça ne changeait pas le fait que tu te sentais rarement libre de tes paroles et de tes mouvements. La moindre erreur commise semblait minime à Cambridge, mais tu savais pourtant que ça n'empêcherait pas les nouvelles de traverser l'océan d'une manière ou d'une autre et d'arriver aux oreilles de ton père - chose que tu redoutais. Tu ne pouvais pas le décevoir, ni lui, ni ta mère, ni le pays. Alors t'as commencé à ouvrir un compte instagram plus personnel, où tu postais quelques photos dénudées de toi lorsque la frustration se faisait sentir, ne montrant jamais ton visage. Puis voyant quelques personnes s'abonner et en demander plus, t'as commencé à faire quelques lives. C'était pas pour l'argent. Tu acceptais gracieusement tous les dollars qu'on te donnait car il était hors de question que tu te fasses avoir et que tu ne te fasses pas payer pour tes précieux services, mais au final, t'en avais pas besoin. Ni de ça, ni des cadeaux coquins que les spectateurs t'offraient parfois de ta wishlist. Et pourtant tu continuais. Malgré l'anonymat, t'avais l'impression de pouvoir être toi dans ces moments-là - ou plutôt, une partie de toi-même que tu gardais enfouie. De pouvoir effacer l'image plastifiée du parfait Min-ho, l'homme dont toutes les mères rêveraient d'avoir pour gendre. C'était peut-être ça qui te poussait à continuer. C'était interdit, c'était secret, c'était mal, mais qu'est-ce que c'était excitant. Ça pouvait te coûter ta réputation. Ça pouvait tâcher celle de ta famille et de l'éducation qu'ils t'avaient donnés. Le fils d'un homme d'affaire asiatique jouant les camboy sur internet ? C'était l'humiliation assurée s'ils le savaient. Mais alors que t'étais dans l'intimité de ta chambre, sous-vêtements en dentelle mettant en valeur ton postérieur tourné vers la webcam de ton ordinateur, le dos courbé alors que tes hanches s'activaient pour faire frictionner ton membre tendu sur ton oreiller, tu n'en avais que faire.

(Invité)