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JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell

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JEREMIAH O’SHEA

feat. Jamie Bell




ID CARD
  • 21 10 1992
  • Dublin (Irlande)
  • 26 ans
  • Irlandais
  • Pansexuel
  • Célibataire mais amoureux
  • Ni pauvre, ni riche
  • Barman / Danseur
  • Bachelor of Fine Arts – Dance
BOSTON
depuis combien de temps vis tu ici ? Cela fait maintenant plus d’un an que je suis arrivé à Boston. J’avais besoin d’un nouveau départ, de faire table rase du passé, de tourner la page comme on dit. Quant à ce qui m’a fait choisir cette ville… je dois bien admettre que ça a été du pur hasard. J’ai pris une carte, fermé les yeux et planté une punaise dessus. J’ai eu de la chance de tomber sur Boston plutôt qu’une ville perdue au milieu du Nebraska. J’aurais aussi pu rentrer à Dublin… mais je n’étais pas encore prêt à affronter mes parents. Pas aussi tôt. Je voulais attendre quelques semaines. Puis les semaines sont devenues des mois et aujourd’hui cela fait exactement un an et demi que je suis à Boston. Je me plais bien dans cette ville, son énergie et sa diversité me fait me sentir à ma place. Sans compter que j’ai trouvé un boulot qui me plait et me permet de continuer à vivre un peu de ma passion.
comment te vois tu dans 10 ans ? Si vous m’aviez posé la question il y a deux ans… je vous aurais sans doute répondu que je m’imaginerais en fin de carrière, réalisant ma dernière tournée de ballets avant de me consacrer à la chorégraphie ou l’enseignement pour les prochains générations… Aujourd’hui… Je n’arrive pas spécialement à me projeter. Je crois que je suis surtout content d’avoir réussi à trouver malgré tout une nouvelle voie qui me plait.
J’imagine néanmoins qu’à moins d’une excellente raison, il y a de grandes chances pour que je sois rentré chez moi en Irlande. Ou peut-être que j’aurais fini par retrouver cette jeune femme qui obsède mes pensées depuis que je l’ai croisé deux fois, à un an d’intervalle, au détour des couloirs de Juilliard. Qui sait… Il parait que l’espoir fait vivre.


BOSTON CITIZEN

J’adore l’énergie qui se dégage de la ville et le fait que chaque quartier possède sa propre dynamique. Evidemment le quartier que je préfère est celui où je vis, à Harbor Area. J’aime le calme de ce quartier résidentiel notamment parce que j’ai toujours été quelqu’un de posé.
Dans un tout autre registre l’énergie du quartier Along Charles River où je bosse est bienfaisante mais je ne pourrais pas y vivre, ce sentiment de ruche toujours en activité est parfois épuisant.
Mais ce que je préfère par-dessus tout à Boston c’est sa riche histoire, elle est sanglante tout comme une bonne partie des Etats-Unis, mais elle a su se créer son propre chemin et est aujourd’hui une ville cosmopolite qui a su prendre le meilleur de chacun.


J’ai toujours été quelqu’un de calme et de posé, je me jette rarement tête la première sans réfléchir. Il m’arrive comme tout un chacun d’agir à l’instinct bien que je préfère généralement prendre le temps de la réflexion. Mais cela m’a parfois fait gâcher des occasions qui ne se sont jamais représentées par la suite et que je regrette amèrement aujourd’hui.
Sans être hyperactif, j’ai toujours besoin d’être en mouvement, de m’occuper. Mes parents ont d’abord essayé de me mettre aux sports de combat pour canaliser mon besoin de me dépenser, mais bien vite j’ai dit à mes parents que ça ne me plaisait pas et que je préfère danser. Déjà jeune j’étais quelqu’un de déterminer et quand je décide de quelque chose il est très difficile de me faire changer d’avis. Ils n’ont même pas essayé de me contredire, me demandant simplement si j’étais sûr de mon choix avant de m’inscrire dès la semaine suivante au club de la ville.
Je suis perfectionniste, beaucoup trop pour mon propre bien et la sérénité de mes proches… J’ai tendance à toujours réaligné tous les objets à porter de main, chez moi tout est rangé de manière presque… psychotique. Je me retiens à grand peine de le faire au bar.
Je suis quelqu’un de particulièrement souriant et avenant. J’ai le contact facile et on dit souvent de moi que je suis un beau parleur. J’aime faire plaisir aux gens, sans doute un peu trop, il m’arrive d’user de ses petits mensonges blancs ceux qu’ont fait pour ne pas blesser les gens ou juste pour leur faire plaisir en leur disant ce qu’ils ont envie d’entendre.




PerfectionnisteAttentionnéManiaqueCharmeurBornéOptimiste


Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Luiyna et j'ai un certain âge. Je suis humaine et j'ai connu le forum grâce à Maddie. Elle m’a forcée en me disant les mots magiques : Jamie Bell et Zoey Deutch alors j'ai décidé de me inscrire. J'utilise Jamie Bell comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya pour l’avatar et l’icône je n’en ai pas la moindre idée. Je fais environ beaucoup de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé à 99% par moi et à 1% avec l’aide de Maddie. .

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé.

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/t96233-]☆[/url] ☆ <span class="pris">JAMIE BELL</span> • “ Jeremiah O’Shea ”[/size]
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STORY OF MY LIFE

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Enfant unique j’ai été choyé par mes parents qui cédaient au moindre de mes caprices. Heureusement pour eux je n’étais pas ce genre de gamin. Néanmoins quand j’ai une idée en tête je ne l’ai pas ailleurs comme aime à le répéter ma mère. Alors quand j’ai décidé que je n’aimais pas spécialement les sports de combats et que je préférais largement la danse, mes parents n’ont pas spécialement tergiversé longtemps. Ils savaient que c’était peine perdue. Même si mon père a un peu grincé des dents, d’autant plus en apprenant que c’était vers la danse classique que j’avais jeté mon dévolu.
Notre famille n’était pas spécialement riche, un père ouvrier, une mère couturière les fins de mois étaient difficiles surtout les trente derniers jours pour citer un humoriste français. Il a souvent fallu se serrer la ceinture et on tâchait d’économiser le moindre petit centime.

Je n’avais pas prévu de faire de la danse mon métier, bien loin de là. Pour moi c’était juste un loisir, un plaisir, une fois par semaine, pendant une heure, tout oublier. Tourner, voler et ne plus penser à rien d’autre. C’est ce sentiment que m’insufflait la danse qui m’a permis de me faire remarquer par la prof du club. C’était une ancienne danseuse, pas spécialement célèbre mais elle avait eu une bonne carrière autant comme danseuse que chorégraphe. Elle m’a pris sous son aile, me proposant de faire plus d’entraînement, d’abord une heure par jour, puis de plus en plus, jusqu’à me parler de Juilliard.
J’ai d’abord refusé tout net. Les Etats-Unis, ça me semblait si loin et surtout si cher. J’avais bien conscience du prix exorbitant que cela devait coûter, on n’avait pas les moyens, je ne préférais pas envisager l’école si c’était pour me retrouver aux portes faute d’argent. Evidemment ma prof’ était tout aussi têtue que moi, d’autant plus qu’elle a vite compris d’où provenait mes réticences.
On a passé un deal. On s’entraînait à fond, plusieurs heures par jours pendant plus d’un an afin d’être paré pour passer les épreuves d’entré à Juilliard avec la demande de bourse, si la bourse était refusée mais que j’étais quand même pris, elle me ferait crédit des frais. Elle avait appelé ça un « investissement sur mon avenir ».

J’ai seize ans quand j’entre à Juilliard, bourse comprise – Dieu soit loué. Quitter l’Irlande, mes parents, mes racines… ça a été un véritable déchirement. Je n’avais pas imaginé que ça serait si dur. Mais c’est quand j’ai fait mes bagages que j’ai réalisé. J’allais partir presque à l’autre bout du monde, pendant plusieurs mois, pas question de revenir aux vacances, le billet d’avion est bien trop cher… J’étais parti pour au moins quatre ans sans voir mes parents…
Je m’entraînais déjà de manière intensive avant, mais après l’entrée à l’école c’est un tout autre niveau. Je ne pense plus qu’à la danse, je respire danse, je mange danse, je dors danse, je ne suis plus que danse. Même si, de temps en temps, je m’octroie quelques temps de repos en venant observer les auditions des postulants à l’école. On n’a pas vraiment le droit, mais je sais me faufiler partout et il ne me faut pas bien longtemps avant que je connaisse tous les coins et recoins de Juilliard. C’est là que je l’ai vu. Une apparition, telle un ange. Pas spécialement pour sa beauté physique, bien que là aussi elle soit magnifique, mais par ce qu’elle dégageait, cette aura de lumière et de douceur qui émanait d’elle. Pour moi ça ne faisait aucun doute, elle allait être prise. Ma déception fut grande de ne pas la voir à la rentrée qui suivit. Je la vis quelques années plus tard, un nouvel espoir, une nouvelle déception. Ne pas l’avoir abordée ces deux fois reste le plus grand regret de ma vie.

Globalement, ma scolarité à Juilliard s’est bien passée. Evidemment, au début, je suis un peu intimidé, la plupart des autres élèves de ma promo sont américains, je me sens un peu outsider. Je finis néanmoins par trouver mes marques, m’affirmant un peu plus, sortant du lot même, un peu plus chaque année. Et puis à force de s’entraîner tous les jours tous ensemble, des liens se tissent, se resserrent, des amitiés sincères réussissent à naître malgré la compétition et parfois un peu plus que de l’amitié. C’est ce qui se passe pour moi avec Iris, une danseuse de ma promo’. À force de danser régulièrement en duo, notre couple à la scène l’est devenu en dehors également durant la dernière année de notre scolarité.
Je finis major de ma promotion et une carrière s’ouvrant à moi. Je n’avais pas la stature d’un Noureev mais je commençais doucement à me créer une bonne réputation dans le milieu de la danse contemporaine autant comme danseur que comme chorégraphe. Ce fut une immense fierté pour moi que de me produire à Dublin, dans ma ville natale, lors d’une tournée européenne, sous le regard de ma famille et de mes amis restés au pays.

Malheureusement le rêve fut éphémère et le réveil brutal. Du matériel défectueux, comme le révèlera ensuite l’enquête des assurances, une très mauvaise chute et c’est la rupture des ligaments croisés. Même si la chirurgie a permis de limiter les dégâts, j’ai dû dire adieu à ma carrière professionnelle en danse. Et à peine quelques jours après l’annonce de la fin de ma vie de danseur j’ai également dit adieu à Iris. Son excuse ? Que ça serait trop difficile pour moi de la voir continuer à danser alors que je ne le pouvais plus. Elle a essayé de me faire croire qu’elle faisait ça pour mon bien quand elle pensait simplement que je ne pourrais plus rien apporter à sa carrière. Visiblement notre relation avait plus de valeur à mes yeux qu’aux siens.
Au moins j’aurais pu profiter de cette vie durant près de quatre merveilleuses années. Après ce ne fut que la descente aux Enfers. Pour supporter la douleur engendrée par la blessure et l’opération il y a eu les anti-douleurs, toujours plus, parce que cela me plongeait dans un néant ouaté où je ne ressentais plus rien, ni ma blessure physique ni celle qui m’entravait le cœur. C’était plus facile de me gaver de médicaments plus que d’affronter la peine et aller de l’avant. Mais ce qui devait arriver, arriva. L’addiction. Cette nécessité d’avoir toujours plus de cachets pour ne plus rien ressentir.

On dit souvent qu’une mère sent quand son enfant va mal. Ça a été plus que vrai pour moi. Alors que je ne donnais pas spécialement moins de nouvelles, que je pensais donner le change à mes parents, un matin j’ai trouvé ma mère sur le pas de ma porte. Elle avait fait tout le trajet sans rien dire. Elle a tout de suite compris ce qu’il se passait. Elle m’a fait entrer en désintoxe, restant durant un mois aux Etats-Unis, pour s’assurer que j’allais suffisamment bien avant de rentrer. Elle m’a demandé de rentrer avec elle d’ailleurs, de finir ma cure à la maison. Mais je ne pouvais pas retourner chez moi dans cet état. Je lui ai promis de me soigner, de redevenir le fils qu’elle a toujours connu et aimé et alors peut-être, à ce moment, je rentrerais.
À la sortie de ma cure, j’étais sevré, ce qui était le but, mais je n’allais toujours pas spécialement bien. J’avais besoin d’un nouveau départ, de me reconstruire ailleurs. J’ai pris une carte des Etats-Unis, une punaise, j’ai fermé les yeux et j’ai planté la punaise au hasard sur la carte. C’est comme ça que j’ai atterri à Boston il y a quelques mois à peine. Il y a encore des jours difficiles, où la douleur est telle que je suis tentée de reprendre un cachet. Mais jusqu’à aujourd’hui j’ai tenu bon.

Je bosse dans un bar dans le quartier Along Charles Rivers où je bosse comme barman la plupart du temps et une fois par semaine je fais un show de danse. C’est grâce à ça que j’ai été embauché dans un premier temps, pour donner un coup de neuf aux spectacles du bar. Puis un des barman a démissionné et il a fallu le remplacer au pied levé alors on m’a demandé si j’étais capable de faire des cocktails et je me suis découvert un certain talent pour ça d’ailleurs.

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bienvenue sur ILH JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 1839924927
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FIIIIRST

edit : bon bah pas first :dtalk: (fuckin 4G) JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 1815259351
T'ES TROP BONNE JE SUIS JOIE JE SUIS YOUHOU OULALALALA
grave hâte
j'te fais des bbs
bisous
JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 2109348208
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Bienvenue chez touaaaaa JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 1946740601 JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 1230098378 JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 3026748879
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@Venus T. Jedusor Merci même si c'est mon 3ème perso' ici bas JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 166564858

@Maddie Aldridge MON BÉBÉ D'AMOUR ! Tu seras toujours first dans le cœur de Jeremiah JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 2511619667

@Bambi C. Corleonesi Merci JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 3850463188
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@Jeremiah O'Shea oh d'accord tu connais tout alors, rebienvenue du coup! JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 1508216586
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@Venus T. Jedusor Oui JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 980580023 Puis j'ai des bons coachs aussi JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 3997999705
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@Jeremiah O'Shea parfait alors JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 1508216586
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re bienvenuuue JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 3850463188 JEREMIAH O'SHEA ► Jamie Bell 166564858
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