STORY OF MY LIFE
please tell us more
Athénaëlle, petite merveille de son père, unique enfant de Jensen et Ambroise Wildingham, mais parlons du commencement. Ambroise à vite appris qu’elle n’aurait que très peu de chance de pouvoir concevoir un enfant, tout de suite la nouvelle anéanti la jeune femme. C’est alors à l’âge de trente-cinq ans qu’Ambroise apprend qu’elle attend un enfant. Durant tout le long de la grossesse elle fera extrêmement attention. Lors du chemin pour se rendre à l’hôpital le jour de l’accouchement, une semaine après le terme, le couple à un accident. La limousine est percutée par un camion, heureusement que ce dernier ne rouler pas très vite. Malheureusement Ambroise donne naissance, mais ses blessures et l’épuisement finisse par avoir raison de sa vie. Détruis par la mort de son amour, le père du bébé décide de se rapprocher énormément de sa sœur, après il ne connaît pas grand-chose au besoin d’un bébé, et puis sa sœur a eu une petite fille quelque mois plus tôt. Durant une partie de son enfance, Athénaëlle est bercé par sa tante. Rencontrant ainsi son cousin et sa cousine, et puis le père de la petite fille fini par vouloir se rapprocher de son frère, ainsi la petite Athénaëlle âgé de seulement un an et demi rencontrera son cousin Cole. Après cet épisode très famille, Jensen trouvera le courage d’enfin vivre seule avec sa fille, rentrant alors chez lui à Boston. Les souvenirs de sa femme sont encore très présents dans l’immense villa familiale.
Petite fille de six ans, Athénaëlle est le petit bijou de son papa, qui a tendance à la surprotéger, la couvée, et passé le plus de temps possible avec elle. Détenteur d’un immense empire dans la finance et la bijouterie de très haut luxe, il a complètement laissé tomber l’hôtellerie et autre. Alors que la porte d’entrée s’ouvre une petite blonde fuse dans les couloirs de l’immense habitation. « Papa ! » dit-elle pleine d’entrain en se jetant dans les bras de son père qui la soulève de terre pour la prendre dans ses bras et lui offrir un câlin. La petite fille affiche alors une moue boudeuse, laissant perplexe son père qui ne tarde pas à la questionner. « Papa, Juliette elle n’est pas gentille avec moi, elle dit que je ne peux pas avoir un poney ! » Juliette était la nurse de la petite fille quand son père devait s’absenter pour des voyages d’affaires. Fronça les sourcils. « Monte dans ta chambre chérie. Juliette pouvez-vous me rejoindre dans la cuisine. » Une femme d’une trentaine d’année se rendit dans la cuisine avec le père d’Athénaëlle, cette dernière n’obéissant pas à l’ordre donner et restant dans les escaliers pour écouter la conversation des adultes. « Juliette, vous savez qu’Athénaëlle est tout ce qui me reste de ma défunte femme, personne et je ne dis bien personne n’as le droit de la contrariée. Je vous demanderais de prendre vos affaires et de partir de cette maison. » La femme tombée des nues, elle venait de perdre son emploi. Athénaëlle toute fière d’elle avait un large sourire, repartant gaiement dans sa chambre. Elle ne voulait son papa que pour elle. Le jour même Jensen emmena sa fille dans un centre équestre de renommer pour choisir un poney. « Tu vois Athénaëlle, bien sûr que tu peux avoir un poney. »
Athénaëlle avais l’habitude depuis plusieurs années de faire des soirées pyjama très distinguée avec ses copines, et de menée sa petite barque comme elle en avait envie. Reine de popularité au lycée, reine du bal de fin d’année, elle ne relâchait pas son emprise sur ses sbires durant les vacances. Après être rentré de Paris, elle reprit bien vite le contrôle de ses troupes. La réunion se déroula dans son salon. « Bon les filles, ça ne va pas du tout ! Je peux savoir ce que vous avez fait pendant mon absence ? Rien voilà la réponse ! On a détruit toutes les prétentieuses du lycée sauf Kelly, c’est hors de question qu’elle échappe à on sort ! Eli’ son dossier. » Une brunette lui tendait un petit dossier jaune bien organisé. Après quelques minutes penchées sur le dossier les yeux de la belle blonde se fixais soudainement sur Cathy, une de ses suivantes. « Occupe-toi d’elle ! » La jeune Cathy de nature timide refusa sous prétexte que la cible était sa cousine. Alors que le ton commencer à monter dans la pièce, on entendait au loin dans la villa les pas du père qui arrivais. Athénaëlle frotta sa main sur sa joue pour la faire rougir, puis elle empoigna la main de Cathy et frappa dedans le plus fort possible. Le pas du paternel s’accéléra. Il trouvait alors sa fille assise par terre. « Je peux savoir ce qu’il se passe ici ? » Athénaëlle qui était une très bonne comédienne, pris tout de suite la parole, et ses autres suivantes, jouer le jeu, alors que Cathy rester encore sous le choc de la cruauté de Athénaëlle. « C’est Cathy, elle m’a frappé car je l’ai surprise en train de te voler de l’argent dans le portefeuille que tu à oublier sur la table. » L’homme fixa du regard la demoiselle qui avait osé toucher son bébé. « Je te prie de bien vouloir quitter cette maison, et de ne plus jamais y revenir Cathy, ma fille t’as ouvert son cœur, initié à son univers et voilà tout le remerciement que tu lui donne ? Va-t’en ! » La demoiselle partait en larme. Si papa Wildingham est aussi protecteur avec sa fille, c’est aussi à cause d’un soir où la demoiselle a été agressée, et qu’elle est tout de même resté plus de trois semaines hospitalisées, il a bien fahi la perdre, et avais demandé à ses cousins et cousine de venir lui remonter le moral à son chevet. Donc oui depuis son père est très protecteur avec elle, et avec le rentré pour Harvard qui approche, il a dû certainement envoyer un petit sms à ses neuves et sa nièce pour leur demander de bien prendre soins de sa merveille, qui disons-le est une peste. […]
Mais tout le monde connaît l’histoire d’Athénaëlle. Ce qu’il faut savoir, ce que tous veulent savoir, c’est pourquoi elle est partie du jour au lendemain, et pourquoi elle est revenue seulement maintenant. Tout d’abord il faut savoir que tous ses déboires amoureux ont fini par détruire le petit cœur da la demoiselle, qui après sa rupture avec Andrew Spector, ne s’est jamais vraiment remise à pouvoir aimer. Bien que pendant un temps elle fréquentait Zephyr, elle n’y à jamais crus, elle n’a jamais sus se résoudre à faire confiance à un homme. Et puis il ne faut pas oublier non plus que Athénaëlle à ce moment-là est enceinte. Sans dire un seul mot à personne, elle fait ses valises dans la nuit, et part rejoindre son père à l’aéroport. Père et fille parte pour New-York où se situe le siège de la société de monsieur Wildingham. Athénaëlle travail avec son père, elle le suit, l’épaule et apprend surtout, car plus tard elle serra à la tête de cet énorme empire. Lors d’une soirée mondaine, elle croise la route d’un beau jeune homme. Armand. Plus qu’elle ne pourrait le croire, il la touche, la séduit, et elle se laisse bercer d’illusion. […] Le jeune homme qui avais retiré sa chemise pour venir la rejoindre sur le lit, pris la parole soudainement « Athé’ tu est certaine de vouloir y retourner ? » Il parle de Harvard, cette université qu’Athénaëlle à fuit du jour au lendemain. « Oui, pour toi Armand, oui. » Le jeune homme semblait accepter la grossesse presque à therme de la jeune Wildingham. Le jeune homme s’allongeât dans le lit. […] Athénaëlle avait pris l’habitude de partir courir le matin depuis la naissance de son fils. Mais rien ne pouvait laisser prévoir ce qu’elle allait voir et entendre. Sur un banc dans le parc, elle n’eu aucune difficulté à reconnaitre Armand. Il semblait en bonne compagnie, et Athénaëlle s’approcha discrètement pour écouter la conversation. « J’ai eu ce que je voulais ma tendre, une lettre de recommandation par Monsieur Wildingham pour Harvard ! Sa fille est si stupide et naïve, je vais rester encore un peu avec elle, et quand on sera à Harvard je la quitterais, je n’aime que toi, sache-le. » Le cœur d’Athénaëlle se gonfla de rage. Elle prit son téléphone et fi demi-tour tout en contactant une mystérieuse personne. […] « Pourquoi est ce que tu as fais ça, je suis comme toi, je veux juste entrée à Harvard. » Demandait Armand sur le ton de la colère et de l’incompréhension. Athénaëlle avait fait appel à un hacker très compétent pour modifier le dossier de Armand, qui avait vus sa candidature pour Harvard rejeté. « Je ne suis pas comme toi ! Et tu n’auras jamais mon influence » lui répondait la jeune femme en le regardant de haut. « Il est temps que tu sache ne compter que sur toi, ici ou ailleurs c’est pareil, c’est chacun pour soi ! Ouvre un peu les yeux, et vois ce monde qui est le mien. Je suis une personne influente et je tiens ton avenir entre mes mains. Aller petite chose fragile, supplies moi à genoux et peut-être … » Armand se mis à genoux face à elle et l’implora de l’aider, de remédier à cette merde. Athénaëlle eu un sourire sadique sur le visage et fis appeler la sécurité pour faire sortir Armand, sans ménagement le jeune homme fut jeté dehors. La jeune femme avait compris depuis bien longtemps que pour survivre c’est chacun pour soi !
Devant Harvard, Athénaëlle lâcha un soupire, elle était enfin prête à reprendre sa place. Bien entendue personne ne savait qu’elle avait un fils, tous pensent qu’elle à perdu le bébé à son sixième mois de grossesse et que c’est la cause de son départ, et tout cas c’est ce que les média avait finir par raconter. La jeune femme se cacherait bien de le dire pour son fils, à ses yeux, le seul moyen de le protéger et d’attendre le plus longtemps possible avant de révéler son existence. Son fils Cole Ragnar Wildingham, Pour vous expliquer : Cole en souvenir à son cousin défunt dont elle ne se remet toujours pas de la disparition tragique. Ragnar, car c’est un nom puissant et que plus tard son fils sera puissant et écrasera tous ses adversaires sans pitié. Voilà pour l’histoire des prénoms de son fils. Athénaëlle fronce les sourcils et pousse la porte. La voilà face à tout le monde qui ignorait son retour. Beaucoup seront surpris, voir peut-être sous le choc. Athénaëlle avez rendez-vous avec une personne, et comme à son habitude, elle avait gardé l’identité de la personne secrète. L’inconnu pris la parole « Alors, on fait comme tu as dit ? » Athénaëlle lui lança un regard à la fois froid et complice. « Oui, cette année, on donne un grand coup de pied de la fourmilière, je vais les pousser dans leur dernier retranchement. » L’inconnu se mis à rire. « Ils n’ont aucune chances les pauvres. » Mais de qui pouvaient-ils bien parler tous les deux ? Et qui est cet inconnu ?