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ALISTAIR WHYTE ► kj apa

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ALISTAIR WHYTE

feat. kj apa




ID CARD
  • 22/12/1996
  • EDIMBOURG
  • 21 ans
  • ÉCOSSAIS
  • HÉTÉROSEXUEL
  • CÉLIBATAIRE
  • FAUCHÉ
  • anthropologie
  • neuroscience
  • CONCIERGE
  • boursier
ADMISSION
TON ADMISSION À HARVARD - Grâce à mon frère, je connaissais les démarches à entreprendre pour rejoindre à mon tour cette prestigieuse université excessivement chère soit dit en passant (mais comme je suis un être exceptionnel, j'ai le droit à une bourse, soyez pas jaloux les richous). J'ai donc décidé de passer les tests de langue même si heureusement l'anglais était ma langue maternelle, j'avais peur de perdre mes moyens, j'ai tendance à flipper devant une feuille blanche. Puis je vous parle de mon accent de d'irlandais bouseux, de quoi faire pâlir le plus modeste des jurys. Grâce à mon beau sourire et mon implication depuis le début de ma vie étudiante, j'ai obtenu plusieurs lettres de recommandation pour mon dossier extrêmement long et fatiguant à remplir. Quelle paperasse ! La première sélection se fait ici mais j'aime bien persévérer. Puis je me suis rendu aux Etats-Unis afin de passer les SATS et je suis resté plusieurs mois en attendant mon entretien qui s'est très bien déroulé - grâce à mon charme naturel, j'en suis persuadé, puis n'oublions pas mon accent ! Franchement, j’ai eu des sueurs froides face à l’enveloppe qui portait le tampon de l’université, parce que je n’étais pas certain d’être accepté. La déception, j’ai du mal à la gérer. Heureusement la chance était avec moi. Puis j'suis venu et je me suis rendu compte que c'était super dur les études quand même - j'étais un génie dans l'âme mais ça ne suffisait plus. Heureusement ils ont accepté de me reprendre pour la prochaine rentrée. Malheureusement c'est toujours aussi cher.


MAISON OU NON ?

pourquoi j'aimerais bien intégrer une maison ? pour avoir un toit au dessus de ma tête parbleu ! mais aussi des potes pour partager l'addition ou une feuille à rouler de temps en temps. je sais pas si vous avez remarqué, mais j’suis plutôt cool comme mec (en restant modeste bien entendu), je n’aime pas me prendre la tête et encore moins faire des histoires pour rien. Alors, si j’peux compter sur une confrérie solidaire tout en évitant les problèmes sans importances en côtoyant des gens libres d’esprit, je serais plus que ravi. pas rabat-joie, pas moralisateur, j’pourrais même apporter de quoi se saouler une nuit – mais une fois hein, faut pas abuser non plus ! j'sais pas si j'ai le droit de dire ma préférence personnelle mais en tout cas ça commence par un M, il doit pas y avoir trente-six à harvard, si ? mais pour être honnête, je sais m'adapter à tout l'monde, j'suis pas difficile, j'veux juste pas être seul quand même ! c'est d'ailleurs pour cette raison que j'hésite avec une autre maison commençant par un D cette fois-ci (vive les devinettes pourries, de rien) parce que je sais d'une source sûre qu'ils sont forts sympathiques, qu'il existe un vrai esprit d'équipe mais aussi qu'ils sont travailleurs et très intelligents. or je suis comme eux à bien des égards, car je veux réussir, impossible de manger des pâtes les prochaines années de ma vie par manque de moyens pour ne pas réussir mes études. un jour j'pourrais me payer du caviar (même si en vrai, j'suis persuadé de toujours préférer des bonnes pâtes carbo)


jouons carte sur table dès le départ : alistair est la réincarnation d’un dieu grec, du moins il le pense fortement mais ne préfère pas le crier sur tout les toits, sa probable célébrité serait difficile à gérer, il le sait, parfois il s’en vente de manière ironique pour ne pas passer pour le lourdingue de service - l’humour c’est sa marque de fabrique, ou plutôt le sarcasme, jamais sérieux, toujours à raconter des bêtises, il peut être difficile à cerner - alistair est écossais, il a grandi dans un petit village au sein d'une famille plus que modeste avec son frère également étudiant à harvard, ainsi que sa petite soeur - il fume sûrement trop de cigarettes et à tendance à trop lever le coude lorsqu'il a la chance de tomber sur une soirée presque gratuite - il adore raconter n'importe quoi sans pour autant être l'imbécile de première - il ne sait pas trop où l'avenir va le mener, il se laisse aller en essayant d'être heureux - il n'aime pas vivre seul, sûrement parce qu'il adore parler, tout le temps, trop, pour ne rien dire - si ses moyens lui permettaient d'acheter tout ce qu'il veut, il dépenserait sa fortune dans des babioles anciennes qui ne servent à rien - d'ailleurs les brocantes c'est son truc, une super occupation - il a pour habitude de s’habiller comme un papi avec des habits chinés dans la friperie du coin - il adore l'histoire mais il a décidé de ne pas étudier cette matière ne voyant aucune perspective d'avenir, à son grand regret, comme si l'anthropologie ça menait quelque part - il n'est pas très généreux et à tendance à trop profiter, mais ce n'est pas un méchant dans l'âme, disons qu’il a tellement peu d’argent à dépenser qu’il préfère gratter légèrement - il tient à donner des prénoms celtiques à tous ses enfants mais il a peur d'en faire, on sait jamais s'ils sont moches ça nuirait à son image de mec parfait - il veut se raser les cheveux le jour de son mariage, pour pouvoir faire un bon comparatif lors de ses cinquante de mariage lorsqu’il sera chauve comme un oeuf puisque son père a une calvitie prononcée et il parait que c’est génétique - il veut que la future femme de sa vie soit complètement folle, sinon c'est pas drôle




radinbavardvantardpéniblejoueuramusant


Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle zadiglike (manon) et j'ai vingt-deux ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à quelqu'un il y a plusieurs années. la troisième fois est la bonne, non ? en vrai je cherchais un forum pour la rentrée, j'ai vu que kj était libre et je pouvais pas résister (oupsi), je sais je pars et je reviens mais vous connaissez le refrain, ça s'en va et ça revieeeeent alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise jack o'connell comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par pūnisher. Je fais environ un nombre aléatoire de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé :heaart:.

Je souhaite
je veux être parrainé

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8675]►[/url] ► <span class="pris">KJ APA</span> ◊ “ Alistair Whyte ”[/size]
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STORY OF MY LIFE

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BEFORE
« Alors, tu viens d’où ? », j’esquissais un sourire timide – quoique ce n’était qu’une mascarade. Elle devait avoir la trentaine, les rides n’avaient pas encore gagné le haut de son front mais son sourire était bien marqué sur les rebords de sa bouche. J’attrapais d’un geste agile mon verre afin d’humidifier mon gosier de l’alcool brun où siégeait un unique glaçon. La salle était encore vide, si on tendait l’oreille il était possible d’entendre la conversation des tables environnantes. Je posais un coude sur le bar, tout en scrutant ses yeux verts. « De Londres, mes parents ont une maison dans le centre mais je fais mes études à Edimbourg ». Fier de mon mensonge, je m’offrais une deuxième gorgée. J’étais un menteur professionnel, disons que j’avais une tendance à magnifier la réalité, parce qu’elle était bien triste – et pauvre. Je venais d’une petite bourgade où se trouvaient plus de bovins que d’êtres humains. Une ferme avait été mon toit durant plusieurs années, abritant mes frangins et mes parents paysans, des gens simples mais profondément gentils. Il n’était pas question de renier mes origines mais de les éluder, je n’étais pas très honnête comme garçon de toute manière. Disons que j’étais malin et que je n’avais pas peur de jouer avec les gens, j’me présentais souvent comme l’idiot de service afin de cacher qui j’étais vraiment ou alors comme celui que je n’étais pas : un homme relativement mature, qu’importe je m’adaptais à la situation. J’étais ce genre de mec insupportable qui faisait semblant d’avoir oublié sa carte au restaurant, qui grattait les bouteilles des autres aux soirées, qui s’incrustait dans les soirées mondaines et qui se faisait payer des verres par des femmes plus âgés dans les bars huppés. Mais je le faisais toujours avec une grande classe, à tel point que tout le monde m’adorait, mais personne ne savait qui j’étais vraiment – ou peut-être mon frère, mais il se gardait bien de me faire des reproches, n’étant pas irréprochable de son côté. Je me concentrais de nouveau sur les yeux de mon interlocutrice, ses cheveux blonds retombaient sauvagement sur ses épaules. Ce n’était pas la femme la plus belle du monde, mais j’étais prêt à en faire mon diner – tant que c’était dans une des chambres du palace, avant de retourner dans mes dix mètres carrés non chauffés dans le quartier le plus pauvre de la ville. Je n’étais pas en manque d’argent mais je ne roulais pas sur l’or, j’avais toujours un moyen de renflouer mes comptes bancaires : être débrouillard c’était le motto de notre famille, il le fallait bien, mes parents avaient une vie bien trop modeste pour répondre à mes attentes de la vie.

« Ouais maman, j’sais j’vais faire attention ». Je levais les yeux au ciel en préparant une valise de taille moyenne. En fait ce qui m’embêtait le plus dans toute cette histoire, c’était de suivre les pas de Douglas, je n’étais pas du genre admiratif et encore moins suiveur. Douglas, ce n’était pas non plus mon modèle dans la vie, surtout lorsque je le voyais avec sa copine. Bref, même si je n’étais pas un groupie de mon frère, comme lui deux ans auparavant je partais pour Harvard. Ouais, je savais, ça paraissait incroyable – presque hein, parce que ça serait une erreur fatale d’oublier mon intelligence suprême. Lorsque je l’avais vu s’épanouir là-bas, ça m’avait donné envie de sortir de ma routine écossaise – non pas d’abandonner mes vices habituels, mais de continuer à jouer mon rôle d’usurpateur autre part. Puis, j’avais de l’ambition, je voulais réussir afin d’arrêter de me jouer des petites vieilles pour m’offrir la vie dont je rêvais. Derrière mon sarcasme habituel et agaçant, mon apparence insensible et parfois trop légère sur des sujets sérieux, se cachait un petit homme qui avait envie de gravir les échelons. Alors, je m’envolais pour cette université avec de quoi survivre pendant une dizaine de jours, j’espérais intégrer une bonne confrérie afin de pouvoir compter (ou plutôt gratter ?) sur les autres. L’esprit d’équipe, c’était mon truc. Puis, ça n'allait pas être les vaches d’Edimbourg qui allaient me manquer, encore moins la météo douteuse et l’accent trop fort des paysans. Ma mère revenait du salon avec une boite recouverte d’un papier cadeau de Noël – on était en août, sûrement les restes de l’année passée. Je déchirais rapidement le tout, avant de tomber nez à nez avec un pull tricoté par ses soins, d’un orange vieilli. C’était un cadeau pour me porter bonheur apparemment, que c’était mignon… et affreux. En plus, j’étais bien obligé de le porter pour prendre l’avion, bah ouais il ne fallait pas décevoir ma petite mère. Je ressemblais au campagnard typique de ma bourgade écossaise lorsque je déposais mes pieds pour la première fois sur le sol américain, super. Qu’importe, je comptais sur mon charme naturel pour réussir, ce n’était pas un pull qui allait me discréditer.

DURING
« Alors Harvard, tu en penses quoi ? » demandait Douglas avec un sourire malicieux qu’il essayait tant bien que mal de cacher alors qu’il cherchait dans son réfrigérateur de quoi égayer notre soirée. Son sourire se transformait en satisfaction lorsqu’il brandissait deux bières avant de m’en tendre une. Je la décapsulais dans la foulée, laissant le son significatif de la pression d’air qui s’échappait de la bouteille répondre à ma place. Je n’avais pas grand-chose à dire, j’en pensais tout et rien. Je m’amusais, je racontais plus de bêtises que jamais et j’avais une super colocation mais j’étais devenu si ennuyant et sage que j’avais du mal à me reconnaître lorsque je regardais mon visage parfait dans le miroir. Pas de mensonges, pas de femmes trop vieilles à draguer, c’était compliqué d’endosser une fausse identité le temps d’une soirée puisque les étudiants étaient dans les quatre coins de la ville. Impossible de passer inaperçu, chose que je comprenais bien entendu, difficile de passer à côté de mon charme naturel. Néanmoins, je ne pensais plus qu’à cet ennui et je regardais d’un regard méprisant ces gosses de riches qui se contentaient de si peu : du matériel, de l’alcool et des histoires sans queues ni têtes. Je sortais de ma poche un paquet de cigarettes, il en restait une que j’allumais en me dirigeant vers le balcon, je laissais crépiter le tabac qui se consumait à mesure que je réfléchissais. Puis, je me décidais enfin à répondre à mon interlocuteur qui était trop plongé sur son écran de téléphone pour prêter attention à mon silence. Il commençait à devenir comme les autres. « Tu sais quoi ? J’me fais chier, je vais partir », c’était tout drôle de le dire que j'en frissonnais presque, ce n’était pas un échec, tout ne s’effondrait pas mais je venais de prendre une décision déterminante pour mon avenir en un instant et j’essayais de comprendre ce que cela allait impliquer. Mais en fait je m’en fichais : les bovins eux au moins n’étaient pas si ennuyants et il me tardait presque de les retrouver. Je n’avais pas trouvé ma place ici : d’un côté comprenez ma déception lorsque j'avais vite compris que personne n'allait bâtir un temple en mon honneur alors que j'étais d'ores et déjà prêt à recevoir des offrandes, nada. Je repartais bredouille retrouver la seule personne prête à me donner le bon dieu sans confession, ma mère qui malgré mon court temps à Harvard avait eu le temps de tricoter une écharpe et un bonnet pour aller avec le pull - la grande classe n'est-ce pas. Et puis quelle chance, elle n'avait pas chômé contrairement à moi, j'étais ravi. Mon sens de l’autodérision me soufflait même d’écrire ma propre bible histoire de créer un nouveau culte puis je me ravisais en me souvenant du triste sort de Jésus, j'étais un dieu grec de toute manière je devais juste trouver ma pythie.

NOW
Une odeur de légumes trop cuits envahissait la cuisine et l’ensemble de la maison mal isolée. Mon père avait bêtement trébuché lorsqu’il nourrissait les bêtes et il ne pouvait plus marcher. Il passait son temps à finir le peu de gnôle qu'il nous restait de l'année passée. Ma mère essayait de remplir nos ventres vides avec une soupe réchauffée toujours plus coupée à l’eau. Je faisais mine de ne pas le remarquer lorsqu’elle me demandait si je trouvais ça bon, répondant toujours par l’affirmative. Elle gérait à elle seule la ferme, les maigres récoltes et la vie à la maison; je l’aidais du mieux que je pouvais mais je n’étais pas un paysan dans l’âme. Les factures ne se payaient plus à mesure que les cernes de ma mère s’élargissaient. Alors, sans même réfléchir je prenais mon téléphone, composant le numéro de mon frère. Je pensais qu’il n’allait pas décrocher lorsqu’avant de passer sur sa messagerie, je l’entendais prononcer avec difficulté un « Oui ? ». Il était sûrement en train d'émerger d'une énième soirée. Inutile de lui faire comprendre la gravité de la situation, je ne voulais pas qu’il renonce à ses rêves par culpabilité - j’étais égoïste parfois mais pas stupide. Je soupirais en m’éclipsant rapidement à l’extérieur de la bâtisse abimée par le temps pour lui parler loin d’oreilles baladeuses. « J’ai besoin de toi, je vais revenir ». On pouvait penser que j’abandonnais ma mère à son triste sort mais que nenni : le seul moyen de changer la donne pour elle et l’ensemble de ma famille était de réussir mes études et gagner ma vie. De toute manière, ça allait faire une bouche de moins à nourrir et au fond lorsque j'annonçais à ma mère mon départ, je voyais un poids s’envoler de ses épaules. Alors, j’étais prêt à redécouvrir Harvard, l’Université avait accepté ma demande grâce à l’aide de Douglas. Un nouveau départ s’annonçait mais je n’étais pas prêt à suivre le même chemin que la première fois : moins d’erreurs, plus de sérieux mais surtout moins d’ennui, car aujourd’hui l’enjeu était bien plus grand que ma propre satisfaction. Mais ça n’allait pas m’empêcher de jouer l’imbécile tout de même, sinon ce n’était pas drôle. D’ailleurs pour divertir la galerie et soigner mon entrée, j’avais investi dans une belle paire de lunettes horriblement vieilles qui s’accordaient à merveille avec mon pull orange, la classe incarnée.

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SHE'S BACK.
j'ai reconnu ton pseudo, sorry not sorry

rebienvenue parmi nous. ALISTAIR WHYTE ► kj apa 152426858
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Bienvenue parmi nous hanwii
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Alistair Whyte a écrit:alistair est la réincarnation d'un dieu grec

mais ce mec
:laugh: :laugh:
(quoique c'est kj)

rebienvenue parmi nous ALISTAIR WHYTE ► kj apa 2109348208
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@Briséis Avgeropoulos NON MAIS ÇA VIENT MÊME PAS AVEC LA THOMSPERS ALISTAIR WHYTE ► kj apa 3363626789 dernière survivante, j'vais bouder ALISTAIR WHYTE ► kj apa 927261665 mais bon avec adelaide je te pardonne pour cette fois ALISTAIR WHYTE ► kj apa 166564858 merci ma kenza :heaart: :heaart:

@Noah M. Ferrari meeeerci (emo)

@Romee Aldridge qu'est-ce qu'il y a, tu y crois pas ? ALISTAIR WHYTE ► kj apa 927261665 ALISTAIR WHYTE ► kj apa 166564858 merci ALISTAIR WHYTE ► kj apa 2109348208
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@Alistair Whyte DIS DONC JE T'ACCUEILLE AVEC MON BÉBÉ ET TU L'ENVOIES CHIER ? LA VOILÀ TA THOMSPERS ALISTAIR WHYTE ► kj apa 152426858 (et encore survivante pour un long moment ALISTAIR WHYTE ► kj apa 1525747124)
t'as pas intérêt à bouder oh. :dtalk:
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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : ALISTAIR WHYTE ► kj apa 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

ALISTAIR WHYTE ► kj apa SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 197
Messages : 53979
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
rebienvenue ALISTAIR WHYTE ► kj apa 1525747124
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

ALISTAIR WHYTE ► kj apa UqVihWUg_o
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Re-bienvenuuuue hanwii
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bb Manon ALISTAIR WHYTE ► kj apa 1001568715 rebienvenueeee :giggle: nous faudra un lien obligé ALISTAIR WHYTE ► kj apa 73120010
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