VADIM M. FRIDMAN ► Robbie Wadge

Sam 1 Sep 2018 - 22:35

VADIM MIKHAILOVITCH FRIDMAN

feat. robbie wadge

ID CARD

06 / 03 / 1992
MOSCOU
26 ANS
RUSSE
HETEROSEXUEL
CELIBATAIRE
TRÈS AISE
FINANCE (MAJ)
RELATIONS INTERNATIONALES (MIN)
~~OCCUPATION/JOB ETUDIANT~~
NON BOURSIER

ADMISSION

TON ADMISSION À HARVARD - C'était sa destinée. Depuis sa naissance, son père a tracé son existence à la règle, une vraie frise chronologique et Vadim s'est appliqué à la respecter à la lettre. Depuis son plus jeune âge il doit travailler comme un acharné, prend des cours supplémentaires à domicile en plus d'aller dans la meilleure école de Moscou. Tout ce qui devait être fait pour qu'il entre à Harvard, a été fait. Travailler, travailler, travailler, activités extrascolaires et postes à responsabilités, des organisations les plus insignifiantes à des équipes de son père. Il a cartonné aux SATs et à ses oraux. Sa famille le savait, il le savait, c'était tout calculé. Une vraie tronche qui ferait frémir les finances du monde plus tard, où aurait-il pu étudier ailleurs qu'Harvard ? Il est arrivé plus tard pour travailler, découvrir le monde de l'entreprise avant de se spécialiser dans ses études.

ELIOT HOUSE

C'est écrit dans les étoiles pour l'Eliot House. Sa famille ne lui a pas demandé son avis ; il n'a même pas remis le choix en question. C'est une évidence et ça lui convient. Cette maison, il l'aime déjà. Des personnes de son calibre, ancrées dans la société, héritiers des immenses fortunes de demain, qui savent ce que c'est d'avoir le poids des responsabilités sur les épaules. Des gens terre à terre, dont l'image est travaillée avec précision, dont les apparitions publiques sont calibrées, dont les mots sont pesés. Toutes ces mondanités qui paraissent être un autre monde pour bien d'autres personnes, Vadim les vit au quotidien. Il en connaît beaucoup, des gens là-bas. Et pour cause, c'est là qu'il se sentira chez lui. Parce que c'est chez lui, à n'en pas douter.

Vadim est une personne plus compliquée qu’il n’y paraît. Froid, sérieux, prétentieux, snob sont les premiers mots qui viennent quand on l’observe, de loin. On peut l’apercevoir agressif, moqueur, cynique, suffisant, malhonnête. Ce n’est pas quelqu’un qui accorde sa confiance initialement, elle se mérite dès le départ et si vous n’êtes personne pour lui, il se fiche éperdument de qui vous êtes, de comment vous vous sentez, de l’impact que pourraient avoir ses paroles ou ses gestes. C’est pourtant quelqu’un de renversant : quelqu’un qui d’acharné, d’ambitieux, qui sait ce qu’il veut, qui n’a pas froid aux yeux. Ses yeux bleus qui vous transpercent et veulent lire en vous comme dans un livre ouvert s’il s’intéresse à vous, c’est ça : déstabilisant, captivant, presque hypnotique. On se demande pourquoi. Une auto-dérision qu’on ne lui soupçonnerait pas, un humour à toute épreuve, des rires aux éclats malgré le peu de sourires qu’il peut décocher au quotidien. Mystérieux, charismatique, on peut l’apprécier sans trop savoir pourquoi. On l’aime et on le déteste. Digne de confiance ? Peut-être, peut-être pas. Opportuniste, oui, c’est un mot qui lui convient totalement. Ingénieux et débrouillard à n’en pas douter, il n’a pas besoin d’aide et le fait savoir. C’est un homme épanoui, bien dans ses bottes, dur à blesser car il connaît sa valeur et se fiche de l’opinion d’autrui. Il inspire par sa confiance en lui et déconcerte ses ennemis. Par quel bout le prendre ? Intolérant mais passionné à en devenir excessif et insensé, on peut vouloir le gifler. Même souvent. Mais à quoi ça servirait ? Raciste, des idées bien arrêtées, le débat n’est pas envisageable. Contradictoire. Attachant et détestable, le soleil et la lune à la fois, le feu et l’eau, le yin et le yang.

égoïsteprétentieuxjoueurexcessifmoqueurétonnant

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Kaiji et j'ai 25 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à mes boules de geisha. Vadim est tombé du ciel alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Robbie bb Wadge comme avatar pour changer, d'ailleurs les images ont été faites par ninelaplusbelle. Je fais environ 200-400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

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Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8457]☆[/url] ☆ <span class="pris">ROBBIE WADGE</span> ◊ “ Vadim M. Fridman ”[/size]

(Invité)

Sam 1 Sep 2018 - 22:35

STORY OF MY LIFE

please tell us more

6 mars 1996 – Moscou. C’est le jour où Mikhail Fridman regardait son nourrisson à travers la baie vitrée. Vadim avait l’air si paisible dans son berceau, alors que son père fronçait les sourcils : il avait de grands projets pour son fils. De très, très grands projets. Cet éclatement de l’URSS très récent, Mikhail Fridman avait bien l’intention d’en tirer profit au maximum et il ferait en sorte que son fils soit son digne successeur. Il était son fils, mais depuis ses premiers cris, c’était aussi son plus fidèle collègue, celui qui aurait à charge de faire briller leur nom de famille quand l’étoile Mikhail Fridman se serait éteinte.

Mais qu’on se rassure, elle ne s’éteindrait pas de sitôt. Au cours des dernières années, Fridman a sorti la Russie de l’ombre à l’international. Se roulant dans les billets, Mikhail a su dès les années 1980, quand il eut droit à son premier compte en banque, le faire fructifier… avec une agence matrimoniale. Bien qu’elle soit rapidement fermée, jugée immorale par le gouvernement, Mikhail se tourna alors vers les énergies, et notamment le pétrole, dans lequel il amassa une fois encore une grosse fortune. Il intégra le groupe des « sept banquiers » et devint proche de Boris Eltsine, liant dès lors la famille Fridman à la politique russe. Aujourd’hui encore, leur famille est régulièrement consultée par Vladimir Poutine.

Depuis, ça n’a pas changé. Vadim est né à Moscou et bien qu’il ait énormément voyagé et traversé son pays en long, en large et en travers afin de connaître ses racines au plus près, c’est un moscovite pur et dur, un russe patriote aux racines profondément ancrées dans la neige des rudes hivers de chez lui. Richissime ? Certainement. Avec une cuillère en argent dans la bouche ? Pas du tout. Il a trimé. Son père lui a mis des raclées. Il a ciré des pompes pendant des heures, il n’avait pas de majordome comme certains autres, il a réparé des objets tellement vieux qu’on les aurait oubliés, il a sué, déneigé les routes l’hiver et travaillé sur les chantiers l’été pour se faire de l’argent… pour qu’il sache la valeur du travail. Son père est parti de rien et voulait que son fils sache. Que son fils n’oublie jamais. Alors Vadim n’oubliera pas d’où il vient et d’où son père a démarré : de rien. De la poussière du communisme et des cendres de la Russie, leur famille n’était rien, ils n’étaient personne et se posent aujourd’hui comme la 40ème fortune du monde. A la sueur de leur front, à la multiplication des talents, débrouillardise et réactivité sont les maîtres mots.

Vadim est parti pour les États-Unis, à contre-cœur. Ce pays, il ne l’aime pas, et les gens là-bas, il ne les aime pas non plus. Ce pays qui a écrasé sa Russie natale pendant la guerre froide, qui l’oppresse, l’accuse de tous les maux. Il en rit jaune quand il en parle : dans les films américains de toute manière, les méchants, ce sont les russes ou les arabes. Ça le fait chier d’être là, il n’en a pas envie… mais pour les affaires, c’est bon. Il y a les meilleures universités du monde ici, il se doit d’y aller. Il y a New York et son légendaire Wall Street, il se doit d’y mettre les pieds. Wall Street, c’est bien le seul endroit au monde qu’il aime aux Etats-Unis. La finance, les chiffres, l’argent, il est comme un poisson dans l’eau : c’est son élément.

(Invité)