(Rosie) ► Pickle lovestory

Il faisait beau. Du moins, je ne voyais qu'un grand ciel bleu depuis la fenêtre. Mais j'étais surtout concentrée sur la table devant moi, recouverte de nourriture. Il y avait un peu de tout. Sucré, salé, de quoi faire un véritable festin. Mais je restais concentrée sur le magnifique, le parfait, le tellement attirant bocal de cornichons. Tant et si bien que je ne faisais plus attention à rien d'autre. Juste ses tellement beaux cornichons qui me faisaient de l’œil. Sérieusement, je les entendais presque m’appeler. Ils étaient là "mange moi, mange moi" Je ne pouvais quand-même pas ignorer leurs appels. Je me devais de les manger. J'allais tendre la main pour attraper le bocal quand je vis une fille en face de moi. Elle ne me disait rien comme ça. Pourtant si elle était là, c'est que je devais l'avoir déjà croisé. Ou alors, c'était juste le pur fruit de mon imagination. Auquel cas j'en avais plus que ce que je pensais. Je la fusillais du regard. Pas question qu'elle me prenne mes cornichons. Hors de questions. C'était mon précieux à moi. Pas touche ! Malheureusement, le bocal était plus près d'elle que de moi. Merde, il me fallait une diversion. Quelque chose, vite. A ma droite, un assortiment de petits fours. Ça ferait l'affaire. J'en prit un pour tenter de le fourrer dans la bouche de la fille et essayer de détourner son attention pour récupérer le pot de cornichons. "Tu savais que le cornichon avait le même nom que le concombre ? Parce qu'en fait, c'est de la même espèce. Pourtant, je déteste les concombres alors que j'adore les cornichons."

@Rosie Reynolds

(Invité)

Le beau temps est de notre côté ce jour, cela fait du bien de temps en temps de sentir les petits rayons de soleil sur nous pour nous réchauffer un peu le corps et l’esprit ainsi que le cœur. Malgré tout, une petite faim commença à faire son apparition, celle-ci sera vite comblée par toutes les bonnes choses à manger sur une table que cela soit du sucré et salé pour notre plus grand plaisir, cela a le don de me faire encore plus saliver. Je ne suis pas tellement difficile en matière de nourriture, est-ce sans doute grâce à tous les voyages effectués dans le monde ou j’ai pu découvrir pas mal de saveurs différentes donc ça devrait aller, aussi on a tous et toutes aussi nos petits péchés mignons en matière d’aliments. Plusieurs choses me font réellement saliver notamment des cornichons entre autres mais d’après ce que peux constater, je ne suis pas la seule à loucher dessus car je pouvais voir une jeune femme en face de moi que je connais pas du tout entrain de vraiment saliver devant. Je suppose que c’est une étudiante peut être de mon université sans doute mais je ne suis pas sûre du tout, en même temps il y a énormément de monde donc il est fortement logique que je ne connaisse pas tout le monde.

Je pouvais la voir me fusiller du regard, je pense que si j’approche ma main du pot de cornichon, la jeune femme me sautera dessus. Je ne sais pas tellement ce qui s’est passé quelques petites secondes plus tard car je me retrouvai un petit four dans la bouche, la jeune femme venait de faire diversion pour pas que je prenne un cornichon et je l’entendis me parler. J’aurais pu me re concentrer sur le pot de nourriture mais j’écouta avec attention la jeune femme tout en mangeant le petit four. Une fois fini, je m’adressai à elle « Pourtant c’est très bon les concombres avec un yaourt nature et un mélange d’échalotes et de persil miam miam » je l’avais dit que je n’étais pas compliqué en nourriture, bon il est vrai que je cuisine un peu et j’ai souvent regarder mes proches entrain de cuisiner. « Mais bon, j’aime bien les cornichons aussi »

@Philippa Fitzalan-Howard

(Invité)

Je surveillais toujours mes précieux cornichons. Je trouvais que la fille en face avait l'air de les regarder beaucoup trop. D'où elle n'avait pas compris que c'était mes cornichons ? Je ne partagerais pas. Je suis même prête à marquer en gros mon nom sur le bocal juste pour être sur qu'elle n'y touche pas. Je ne la laisserais pas faire. Même pas en rêve. En détournant son attention, j'espérais pouvoir garder la totalité des cornichons pour moi. Quand elle me sorti qu'elle aimait les concombres, je me détendis un peu. Jusqu'à ce qu'elle confesse son amour pour les cornichons. Pas possible ça. Pas possible du tout. "Si tu aime tellement le yaourt nature, cadeau." Et hop, je m'approche d'elle avec une cuillère remplie de yaourt. Par contre, je ne vise pas très bien et la moitié atterri à coté de sa bouche. Désolée miss, ce n'était pas fait exprès. Je n'avais vraiment pas prévu de lui barbouiller le visage avec du yaourt nature mais maintenant que c'était fait, autant en profiter. Je lui tend une serviette pour qu'elle s'essuie la figure et j'en profite pour rapprocher le pot de cornichons de moi. "On ne peut pas juste "bien aimer" les cornichons. C'est un affront que tu leur fais. Soit tu déteste ça, soit tu adore. Il n'y a pas vraiment d'entre deux." Moi, j'adore ! Je suis fan. Sur cette table recouverte de nourriture, c'est ce qui me faisait le plus envie. J'aurais pu me nourrir exclusivement avec ça. Du moins si la fille n'envisageait pas de me voler un de mes précieux. Je suis comme Golum avec son anneau. Personne ne touche à mon bocal.

(Invité)

Ayant proche de moi le pot de cornichons, cela me donnait un peu faim quand même en tout cas, je pouvais toujours sentir le regard de la jeune femme posé sur moi entrain de toujours surveiller ses fameux cornichons de l’œil. Attention c’est qu’elle mordrait en plus, je tentai de calmer les esprits en parlant de mon amour pour les concombres mais j’en rajouta une couche en parlant aussi de mon amour pour les cornichons, j'aime les deux à vrai dire. Soudain sans que je m’y attende vraiment, une cuillère de yaourt passa près de ma bouche comme si la jeune femme en avait fait exprès de me barbouiller le visage après je veux bien lui laisser le bénéfice du doute on ne sais jamais car je l’a vis me tendre une serviette dans lequel j’allais essuyer comme je le pouvais les dégâts causés par la jeune femme fan des cornichons, d’ailleurs elle a encore rapprocher le pot près d’elle. « je les aimes tout simplement tout comme vous apparemment » sur la table recouverte de nourriture, plusieurs choses me donnaient envie de manger franchement y compris ces fameux cornichons qui n’arrêtaient pas de me passer sous le nez.

(Invité)

La blondinette ne toucherait pas au bocal de cornichons, j'en faisais la promesse. J'allais surveiller mes précieux cucurbitacées pour qu'elle n'y touche pas, jamais. Je commençais à gagner du terrain. Le pot était maintenant au milieu de la table. C'est vrai que j'aurais pu le prendre d'un coup et m'enfuir en courant pour m'enfermer dans les toilettes le temps de manger tous les cornichons. Mais c'était le meilleur moyen pour que la fille décide de me rattraper en pleine course pour me prendre mon précieux bocal. Si ça ce trouve, elle était bien plus forte que moi et saurais me maîtriser sans problème. Je devais la jouer rusée, me montrer intelligente sur le coups. Pas question de passer à coté de mon précieux. "Désolée pour le yaourt, je ne voulais pas te barbouiller le visage avec." Non du tout, je voulais juste détourner son attention pour approcher petit à petit de moi le bocal de mes bébés chéris. Je me disais que si je détournais son attention avec de la nourriture, elle serait moins encline à essayer de manger l'un de mes précieux cornichons. Je lui avais déjà donné un petit four, du yaourt, pourquoi ne pas passer à quelque chose de sucré maintenant ? Le sucre, c'est addictif. Et si c'était addictif, la blondinette ne penserait plus à manger des cornichons. Je prit un éclair sur la table et l'approcha de sa bouche tout en lui laissant le temps de l'ouvrir. "Tient un éclair. C'est super bon les éclairs, avec de la crème, du chocolat, une bonne pâte à chou. C'est délicieusement sucré, tu vas adoré. C'est bien meilleur que le subtil goût amer du cornichon dans son vinaigre, c'est plus doux en bouche. Bon, tu as moins l'impression que ça t'émoustille les papilles mais c'est parfait quand-même." Tout en parlant, je tirais le bocal de cornichons un peu plus vers moi. Victoire, j'avais passé la moitié de la table.

(Invité)

L’envie de cornichons est toujours là, il faut dire que je suis bien gourmande après tout même si je sais que la jeune femme en face de moi ne lâchera pas l’affaire après tout mais il faut que nous nous maitrisons toutes les deux, après tout nous n’allons pas nous battre pour un pot de cornichons non ? « Ce n’est pas grave mais en tout cas, il était bien bon » Je me doute qu’elle en a fait exprès enfin j’ai un doute quand même. Soudain, je la vis prendre un éclair dans sa main et l’approcha de ma bouche une nouvelle fois, j’ouvrit un peu la bouche en l’écoutant attentivement. Je finis ma bouchée tout doucement après tout je n’ai pas envie de m’étouffer « hum là, je préfère les cornichons mais je veux bien te les laisser si tu veux » Oui, j’allais lui laisser son fameux pot de cornichons au pire, j’irais m’en acheter un dès que possible.

(Invité)

J'étais toujours dans mon délire totale pour garder mon précieux pot de cornichons. Moi, légèrement atteinte ? Non non pas du tout. Je voulais juste garder mon précieux pour moi et juste pour moi, même si pour cela je devais utiliser tous les stratagèmes à ma disposition pour l'empêcher d'approcher. J'étais une véritable guerrière prête à défendre mes petits bâtonnets verts en vers et contre tout. Même si pour cela je devais me lancer dans un combat d'escrime à la baguette ou dans une séance de tir à la boulette de viande. Je serai la grande vainqueur de ce duel sans merci pour le bocal de cornichons. Je vaincrai et, le pied sur le corps de mon ennemi déchu, je prononcerai une phrase qui deviendrai culte "Moi pour les cornichons et les cornichons pour moi !" Ouais en fait j'en faisais un peu trop. Mais l'avantage d'un rêve, c'est que je pouvais autant en faire des tonnes que je voulais sans que ça devienne bizarre. Ou si mais ça ne comptait pas vraiment vu que ce n'était que dans ma tête. "Oui je veux !" Elle venait de me proposer de me laisser mes précieux, pas question que je laisse passer ça. J'attrapais le pot fermement avant de partir en courant vers la sortie, sait-on jamais qu'elle change d'avis. A elle de me rattraper si elle voulais récupérer le bocal.

HJ : on peut finir ici si tu veux (Rosie) ► Pickle lovestory 1508216586

(Invité)

Ce petit délire entre nous deux pour un simple pot de cornichons qui a l’air vraiment appétissant était pas mal drôle mais cela allait devoir prendre fin dans pas longtemps enfin je le pense très sincèrement. J’allais lui laisser sa gourmandise car après tout, je pourrais m’en acheter dès que je sortirais de cet endroit ainsi que pleins de choses bien appétissantes sucrées ou non car j’aime le sucré/salé. « Je m’avoue vaincue, tu as gagné le droit de garder ton butin » Dès que je finis ma phrase, je la vis prendre fermement le pot et partir en courant vers la sortie ce qui me fait sourire.

HJ : Oui, arrêtons là ce rp (Rosie) ► Pickle lovestory 2511619667

(Invité)

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