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ORION STORM
feat. luke powell
ID CARD
- 2 FÉVRIER 1993
- BRISTOL, ANGLETERRE
- 25 ANS
- BRITANNIQUE
- HÉTÉROSEXUEL
- CÉLIBATAIRE
- CLASSE MOYENNE
- DISQUAIRE
- AUCUNES ÉTUDES
BOSTON
depuis combien de temps vis tu ici ?
pauvre gamin écorché, il y a déjà trop longtemps qu’tu vagabondes dans les rues d’boston, effritant les semelles déjà usés d’tes baskets contre l’sol goudronné des ruelles fuligineuses.
trop longtemps qu’tes iris s’adaptent à l’ivresse de l’obscurité, celle qui fait tanguer ta défroque balafrée d’stigmates lancinants contre l’architecture ancestrale d’ta ville adoptive.
trop longtemps que l’aiguille d’ta boussole a cessé d’tournoyer sur elle-même, perdu dans l’averse monstrueuse d’tes envies malsaines et des quelques larmes amères d’ta lucidité salopée.
astre désaxé.
mioche désorienté.
t’as arrêté d’compter les années lorsque tes doigts suffisaient plus.
cinq ans. dix ans. quinze ans. vingt ans.
ça fait déjà trop longtemps.
trop longtemps qu’tu te cherches et que l’on t’a imposé ta citoyenneté américaine.
sang britannique qui coule dans tes veines, t’as frôlé l’bitume bristolien bien avant d’te frotter à la frusque opaque des nuitées bostoniennes.
the cradle of the liberty ? ton cul, ouais.
ici, c’est ta prison.
incapable d’y échapper.
parce que, au fond, t’aimes bien y être séquestré.
comment te vois tu dans 10 ans ?
mort et enterré.
d’une balle argenté dans l’crâne, d’une lame souillée dans l’bide, d’une flopée d’coups d’poings métalliques, d’une itss négligée, d’une corde bien ajustée.
les possibilité sont infinis, mais aucune fin heureuse est envisageable.
si c’est pas la vie qui t’achève, c’est toi qu’offrira un verre empoisonné à la faucheuse en guise de pacte sanguinaire.
on crachera sur ton catafalque alors qu’les vers savoureront les dernières miettes d’ta carcasse putréfiée, corrompue par tes frasques excessives et ton incapacité à freiner tes songes nébuleuses.
aucune amante pour chigner contre ton cercueil.
aucun marmot qu’tu laisseras dans l’deuil.
il y aura que toi et la pestilence d’tes actes qui t’collera à la peau, ancré dans ton épiderme jusqu’à ta chair, hémoglobine noircie par ton âme damné.
pauvre gamin écorché, il y a déjà trop longtemps qu’tu vagabondes dans les rues d’boston, effritant les semelles déjà usés d’tes baskets contre l’sol goudronné des ruelles fuligineuses.
trop longtemps qu’tes iris s’adaptent à l’ivresse de l’obscurité, celle qui fait tanguer ta défroque balafrée d’stigmates lancinants contre l’architecture ancestrale d’ta ville adoptive.
trop longtemps que l’aiguille d’ta boussole a cessé d’tournoyer sur elle-même, perdu dans l’averse monstrueuse d’tes envies malsaines et des quelques larmes amères d’ta lucidité salopée.
astre désaxé.
mioche désorienté.
t’as arrêté d’compter les années lorsque tes doigts suffisaient plus.
cinq ans. dix ans. quinze ans. vingt ans.
ça fait déjà trop longtemps.
trop longtemps qu’tu te cherches et que l’on t’a imposé ta citoyenneté américaine.
sang britannique qui coule dans tes veines, t’as frôlé l’bitume bristolien bien avant d’te frotter à la frusque opaque des nuitées bostoniennes.
ici, c’est ta prison.
incapable d’y échapper.
parce que, au fond, t’aimes bien y être séquestré.
comment te vois tu dans 10 ans ?
mort et enterré.
d’une balle argenté dans l’crâne, d’une lame souillée dans l’bide, d’une flopée d’coups d’poings métalliques, d’une itss négligée, d’une corde bien ajustée.
les possibilité sont infinis, mais aucune fin heureuse est envisageable.
si c’est pas la vie qui t’achève, c’est toi qu’offrira un verre empoisonné à la faucheuse en guise de pacte sanguinaire.
on crachera sur ton catafalque alors qu’les vers savoureront les dernières miettes d’ta carcasse putréfiée, corrompue par tes frasques excessives et ton incapacité à freiner tes songes nébuleuses.
aucune amante pour chigner contre ton cercueil.
aucun marmot qu’tu laisseras dans l’deuil.
il y aura que toi et la pestilence d’tes actes qui t’collera à la peau, ancré dans ton épiderme jusqu’à ta chair, hémoglobine noircie par ton âme damné.
BOSTON CITIZEN
la faune estudiantine qui s’prélasse dans les parcs jusqu’à l’aurore et qui s’accapare tous les bars moindrement pittoresques d’la ville.
les rues bondées d’exuvies cernées jusqu’au nombril, celles qui font sursauter la mocheté elle-même.
les corps en désaccord qui s’adonnent aux plaisirs charnels d’la dépravation, qui s’accordent miséricorde l’temps d’une farandole luxurieuse.
les querelles nocturnes et les beuglantes sanglantes qui perturbent la flegme éphémère du crépuscule.
impossible d’démêler c’que t’aimes de c’que t’aimes pas.
t’aimes tout et rien à la fois.
amoureux d’tout l’monde et d’personne.
l’amour et la haine.
deux mots différents qui veulent dire la même chose.
orion c’est les traits tirés, les simagrées éreintés et les yeux violacés par les secrets onéreux.
orion c’est la rosée matinale qu’imbibe les baskets des insomniaques, le salut salvateur des retardataires qui coursent contre la montre.
orion c’est la mélodie meurtrière qu’accompagne les macchabées jusqu’au repos éternel, celui qui fredonne des rhapsodies en guise de trame sonore.
orion c’est les paroles frivoles, celles qui bercent les inconscients et qu’envoûtent les plus sagaces.
orion c’est les gestes discrets, les hurlements silencieux et les airs angéliques.
orion c’est l’calme avant la tempête.
storm c’est l’arrogance jusqu’au bout des cils, celui qui déclenche une tornade d’une simple œillade assassine et qui ravage tout sur son passage.
storm c’est les mots crachés comme un venin mortel, ceux qui flagornent sa langue d’vipère avant d’planter ses crocs acérés dans les chairs innocentes.
storm c’est les éclairs qui dansent dans ses opales nuageuses, la décadence qu’il repend d’la pulpe d’ses doigts efflanqués, l’sang en constante ébullition à la recherche d’sa dose quotidienne d’adrénaline.
storm c’est l’bruit des phalanges qui craquent contre les mâchoires robustes, celui qu’apprécie la mélopée des injures proférés.
storm c’est les paluches râpeuses qu’embrassent les courbes féminines, l’collectionneur des cœurs naïfs et des âmes sensibles.
storm c’est la pluie torrentielle qui fait blasphémer, le vent d’folie qui fait fantasmer.
storm c’est l’orage lui-même.
orion c’est la rosée matinale qu’imbibe les baskets des insomniaques, le salut salvateur des retardataires qui coursent contre la montre.
orion c’est la mélodie meurtrière qu’accompagne les macchabées jusqu’au repos éternel, celui qui fredonne des rhapsodies en guise de trame sonore.
orion c’est les paroles frivoles, celles qui bercent les inconscients et qu’envoûtent les plus sagaces.
orion c’est les gestes discrets, les hurlements silencieux et les airs angéliques.
orion c’est l’calme avant la tempête.
storm c’est l’arrogance jusqu’au bout des cils, celui qui déclenche une tornade d’une simple œillade assassine et qui ravage tout sur son passage.
storm c’est les mots crachés comme un venin mortel, ceux qui flagornent sa langue d’vipère avant d’planter ses crocs acérés dans les chairs innocentes.
storm c’est les éclairs qui dansent dans ses opales nuageuses, la décadence qu’il repend d’la pulpe d’ses doigts efflanqués, l’sang en constante ébullition à la recherche d’sa dose quotidienne d’adrénaline.
storm c’est l’bruit des phalanges qui craquent contre les mâchoires robustes, celui qu’apprécie la mélopée des injures proférés.
storm c’est les paluches râpeuses qu’embrassent les courbes féminines, l’collectionneur des cœurs naïfs et des âmes sensibles.
storm c’est la pluie torrentielle qui fait blasphémer, le vent d’folie qui fait fantasmer.
storm c’est l’orage lui-même.
arrogantbelliqueuxdébauchéexcessiffêtardimpulsif
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle alien et j'ai un taux élevé d'cholestérol. Je suis d'la famille des bûcherons (québec) et j'ai connu le forum grâce à des amies. Il est sympa, sympa alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise luke powell comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par anesidora (ava) & little liars (icon). Je fais environ 200 à 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
si scénario:
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8634]☆[/url] ☆ <span class="pris">LUKE POWELL</span> • “ Orion Storm ”[/size]
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