niels keller ► DYLAN RIEDER

Niels Keller

feat. dylan rieder

ID CARD

11/04/1994
BrOCKTON
25 ANS
AMERICAIN
HÉTÉROSEXUEL
CÉLIBATAIRE
PAUVRE
DJ, PLONGEUR, LIVREUR
AUCUNE

BOSTON

depuis combien de temps vis tu ici ? - Niels est arrivée à Boston le 5 janvier 2018. Il marchait, un peu ici et là, et puis son skate et la vie l'ont amené ici. La vie c'était le drame du suicide de sa petite-amie, son unique amour. Il a alors essayé de se reconstruire dans une ville où il ne connaissait que les ruelles malfamées. Essayant de trouver peut-être des réponses, ou alors essayant de rattraper un passé qui lui avait échappé.

comment te vois tu dans 10 ans ? - Niels se remet seulement à vivre décemment, à reprendre goût à la nourriture. Il se plonge dans des petits travails, à droite et à gauche, espérant y trouver un peu de réconfort, un peu d'avenir. Il a bien un rêve Niels, c'est de percer dans la musique. Cette musique qui l'a sauvé lors de son arrivé à Boston. Alors il manie les vinyles, il fait de jolies boucles pour que les basses résonnent dans vos cages thoraciques. C'était peut-être ça, son avenir. Même si Niels n'en a toujours pas conscience.

BOSTON CITIZEN

A vrai dire, Niels n'aime pas tellement Boston. C'était simplement le hasard, et l'endroit où il s'était dit que finalement, ce n'était pas si mal de vivre. C'était ce bar où il avait mis les pieds après une journée à parcourir les routes. La vie, le destin, tout ça l'avait amené ici. Par affinité ? Certainement pas. Il ne connaissait que les ruelles malfamées qu'il avait fréquenté pour un peu de dollars lorsqu'il était gamin. Il aimait peut-être bien ce parc, où il partait se poser pour écouter de la musique. Le temps de quelques minutes, avant de reprendre sa course folle. Oui, il aimait peut-être Boston pour cela, l'énergie que la ville dégageait. La rapidité à laquelle les gens pouvaient avancer. Il aimait la diversité, il aimait se perdre parmi les foules, devenir insignifiant.

Niels est un aventurier. Niels est un jeune homme actif et dynamique. Ils courent partout où il va, il skate pour fendre le vent et aller plus vite. Il va vite, si vite que le temps aurait du mal à le suivre. Niels ne s'arrête plus, sûrement par peur de trop penser, de se laisser envahir à nouveau par la tristesse. Niels aime casser des gueules s'il juge la cause valable. Niels défend les femmes, comme il le peut. Niels replace les hommes dans le métro, dans les rues, partout autour de lui. Niels aime la musique, Niels aime le sport. Niels se laisse trop souvent envahir par l'alcool, parfois la drogue. Niels est une âme en peine. Niels fume comme un pompier. Niels n'est pas tellement ambitieux, il fonce tête baissée et il verra après. Niels est bienveillant.

AventurierActifMéfiantIntègreImpulsifadjectif

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Amélie, AILAHOZ et j'ai 22. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart il y a bien longtemps. ILH reste ILH, comment mieux le décrire ? alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Dylan Rieder comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Morrigan. Je fais environ 200-1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
(?)
 je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
[/font] je souhaite participer au Summer Camp en tant que vacancier (plus d'info sur le Summer Camp)

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:

Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8354]☆[/url] ☆ <span class="pris">Dylan Rieder</span> • “ Niels Keller ”[/size]

(Invité)

STORY OF MY LIFE

please tell us more

Spoiler:

《 what if love
is passing by
and if my demons never die
i'm feeling older
a little colder
walked down some roads so full of strife
stay out of the blue
i'm trying to stay out of the blue 》

La capuche recouvrait tes traits, le regard noir, tu l'observais. Elle était là, juste à côté de toi. Elle était belle, elle était simplement elle. Son sourire venait fendre le crépuscule, la fumée qu'elle rejetait de ses poumons venait vous encercler, l'éphémère vous protégez. C'était votre instant, sous les promesses d'une lune florissante, sous la bienveillance des derniers rayons de soleil. C'était ces quelques minutes, au gré du vent, main dans la main. Tu pouvais guetter la courbe de ses lèvres, les désirer, les approcher, l'enivrer, l'embrasser comme si ta vie en dépendait. C'était cette main qui se noyait dans ses cheveux bruns, c'était ta langue qui accrochait la sienne par pur instant de plaisir, de désir, d'envie. Elle faisait tomber le tissu qui recouvrait ta tête, elle balançait ta casquette, elle s'emparait de ta peau, de tes mains, de ton corps. Elle prenait tes membres pour les siens. Tu humais l'odeur de son parfum, l'odeur de sa peau, l'odeur de son sweat trop grand. Tu te sentais chavirer par l'amour que tu lui portais, par la fougue qu'elle te provoquait, par la passion qui vous animait.

《 all the bullshit, we’re above it
and that’s gangster and we’re love sick
on a level that they just can’t fuck with
but I see that they get you down
they make it hard for you to hold your head up proud
but I hope, when I bust this verse
we gon’ feel like we’re the only ones on earth
lost in the madness
is it all an illusion ? 》

Elle était partie, dérobée par les cieux après une course folle. C'était la fin d'une guerre, les soldats avaient rendus les armes, elle en avait décidé ainsi. Et tu n'avais plus que tes souvenirs pour te rappeler d'elle. Ses vêtements qui portaient son odeur, son répondeur pour entendre son rire, vos photos pour l'imaginer encore à tes côtés. Son fantôme hantait ton esprit, elle était partout autour de toi. Et le grain de sa peau qui manquait sous tes doigts abîmés, tes oreilles pleuraient encore le son de sa voix, tes mains cherchaient toujours ses courbes, et ses lèvres, ses lèvres qui complétaient si bien les tiennes...
Tu pleurais ton amour, un peu tous les jours.

《 I don’t know so I ask them why
and all I know is the sun is shining
yet we fight on through the night
well if you don't know, shit I don’t know
I guess all we can do is ask them why 》

T'avais marché des heures, des jours, des nuits. Elle était partie. Ton compagnon de voyage s'était fait la malle, préférant les bras de Morphée pour l'éternité. Puis d'ailleurs, qu'est-ce que c'était ça, l'éternité ? Une notion qui te ferait vomir, une notion où ton amour se perdait, à tout jamais. La valse des âmes égarées perdait son sens, parce que maintenant, tu dansais seul Niels. Un solitaire sans solidaire, un solitaire sans sa partenaire. Alors t'avais erré dans les contrées d'un pays de désespérés. T'avais cherché un endroit où tu ne l'avais pas embrassé. Il était bien difficile de se poser quelque part où vous n'aviez pas fait dégouliner votre amour par les pores de vos peaux. Tu te demandais encore comment l'amour n'avez pas pu suffire pour la sauver. Peut-être n'en avait-elle pas envie ? L'problème c'était que t'avais perdu ta famille, t'avais perdu ta femme, ta lanterne. Orphelin un jour, orphelin toujours. C'est ce qu'ils t'avaient dit les gamins de l'école, lorsque tu étais petit. Et puis tu étais arrivé ici, un peu par hasard, un peu trop près de l'endroit où tu avais déjà été abandonné une première fois. C'était sans aucun doute la fin de ton chemin. T'avais peut-être bien pensé à la rejoindre, plus d'une fois d'ailleurs, lorsque le feu crépité encore et que t'avais toutes ces bouteilles vides qui jonchaient sur la terre comme des cadavres. T'avais pensé à la mort, et puis tu étais entré dans ce bar, une nuit sans espoir. Ce bar, cette musique, cette ambiance. T'avais fermé les yeux, et lorsque tu les ouvrais en un battement de cils, t'avais compris.

《 sometimes they try to break me down
other times I feel safe and sound
and I don't know why I'm weightless now
but I'm guessing it's because we're running on air 》

28/08/2014

MAIS OUI.

On fait des bébés quand ? niels keller ► DYLAN RIEDER 152426858

(Sofia Dunn-Aguera)

I'm doing good, I'm on some new shit, been saying "yes" instead of "no", I thought I saw you at the bus stop, I didn't though. I hit the ground running each night, I hit the Sunday matinée. you know the greatest films of all time were never made.

@Tamsin B. Watts quand tu veux ma beauté niels keller ► DYLAN RIEDER 152426858

mais avant, faut dompter le petit niels keller ► DYLAN RIEDER 3406960028

(Invité)

re-bienvenue et bon courage pour ta fiche! niels keller ► DYLAN RIEDER 2511619667

(Invité)

22/06/2015

RE-BIENVENUUUUUUE :loukas:

(Kaze Faulkner)

“already pulling me in, already under my skin. And I know exactly how this ends, I Let you cut me open just to watch me bleed —”

re bienvenuuue niels keller ► DYLAN RIEDER 1001568715

(Invité)

28/08/2014

Niels Keller a écrit:@Tamsin B. Watts quand tu veux ma beauté
mais avant, faut dompter le petit

Oh j'essaierai, et raterais, mais ça nous fera des beaux rps niels keller ► DYLAN RIEDER 152426858

(Sofia Dunn-Aguera)

I'm doing good, I'm on some new shit, been saying "yes" instead of "no", I thought I saw you at the bus stop, I didn't though. I hit the ground running each night, I hit the Sunday matinée. you know the greatest films of all time were never made.