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FB► These memories - Noalyne & Rylan

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La journée des morts vivants. La raison ? Un tweet. Un seul petit message et aujourd’hui, avait pris une autre dimension. Le regard perdu dans le vague, Rylan était resté suspendu à l’écran de son portable pendant de longues secondes. Ce n’était pas un fan de technologie et d’ordinaire, il ne regardait jamais ses notifications. Sauf aujourd’hui. Revenu à la vie, une très vieille connaissance avait fait son grand retour. Et par le plus grand des hasards, elle avait décidé de réapparaitre ici. A Harvard. Comme quoi, le destin pouvait être étonnant. La mère de l’irlandais, lui aurait surement dit, que c’était un coup des dieux. Abandonnant son écran, il avait pris sa décision. Quitte à y passer des heures, il allait la retrouver. Première piste ? La cafétéria.

Hélas, au bout d’une heure, aucune trace de cette mystérieuse personne. Comme pris d’une illumination, il avait pensé à un bâtiment bien précis. Celui des journalistes. Se maudissant, le jeune homme se tapait la tête, avant de filer rapidement vers le lieu-dit. Les cours allaient sans doute se terminer bientôt. Décidant d’attendre, il prenait place sur un banc. Etait-ce une illusion ? Etait-elle vraiment ici ? Se triturant, les mains, il finissait par les poser à plat sur ses genoux. « Reprend toi mon vieux » murmurait-il à lui-même. Un battement de porte, lui apprenait la sortie des derniers résidents. Nous étions en fin de journée et à cette heure, très peu de personne était présent. Après plusieurs tête, il manquait un battement de cœur lorsqu’il apercevait une tête blonde. Fausse joie. Ce n’était pas elle. D’ailleurs, il avait surement attendu pour rien. Se redressant, il s’apprêtait à partir lorsqu’il la vit. Le cœur battant, Rylan observait sa silhouette irréelle. Un croisement de regard et elle l’avait vu. Etait-ce seulement possible ?
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Cette journée ne présageait rien de bon. Si je venais d'arriver, je ne me sentais pas trop à l'aise comme si je pouvais revivre trop de choses de mon passé ; la peur de l'inconnu ? Je ne savais pas. Je pense qu'on a tous la peur de l'inconnu quand justement, on n'a trop d'indice nous rappelant le passé mais dans ce fameux endroit méconnu de notre esprit. Je balayais une mèche de mes cheveux concentrées pourtant sur ma conférence journalistique. Incongru, le professeur se montrait passionnant par sa fougue, mais j'arrivais à me perdre dans le flot de mes pensées tripotant mes mèches de cheveux tel un fil à tisser. Bientôt, l'homme ponctua son cours décidant de mettre un point final à cette conférence de maitre. Je grimaçais. Je rangeais mes quelques affaires éparpillées. Bientôt, je me levais posant ma bandoulière de sac sur mon épaule. Je me levais souriant à une élève qui semblait adorable et m'avait lancé elle-même un petit sourire en coin, timide. Je sors de la salle. J'avance un instant quand un regard me capte, m'attire et me glace le sang. Je reconnais ce corps, cette silhouette ; Rylan. Je me sens pétrifié. Je ne suis pas prete à ce genre de chose : je ne suis pas prête à affronter quelqu'un aujourd'hui et je l'ai abandonné alors je ne sais que faire. Je recule tantôt j'avance mais je ne sais pas quel choix se montre le bon. Je sens qu'il veut que j'avance dans ses yeux comme si il m'avait cherché. J'avance. Presque trop expéditif, je débute : bonjour ! tu vas bien ? ponctuant le tout d'une timidité affreuse, baissant mes yeux à terre.

@"A. . Rylan O.-Whelan"
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L’hésitation ce lie sur son visage. Finalement, elle s’approchait de lui. Presque trop rapidement. Hébété, il l’écoutait lui demander de ses nouvelles comme s’ils ne s’étaient pas vus depuis quelques jours. Cela en était presque irréel. Ne prononçant aucun mot, Rylan se contentait de la fixer. Encore sous le choc, ses yeux arpentaient la silhouette de la jeune femme comme pour imprimer visuellement sa silhouette. Fidèle à elle-même, Noa avait très peu changé. Seuls ses yeux, laissaient deviner une ombre. « T’es sérieuse ? » Son interrogation était sortie toute seule. Avec un manque de tact flagrant, le jeune homme parlait pour la première fois à Noa. Allait-elle encore s’enfuir ? Comme pour rattraper sa sotise, l’irlandais reprenait presque aussitôt. « Je n’ai eu aucune nouvelle de toi, depuis plus de trois ans et voilà, qu’un pauvre tweet m’annonce ton retour. » Enfouit trop longtemps, la colère commençait à enfler doucement. « J’regarde jamais cette merde d’habitude, mais…J’sais pas pourquoi je t’ai cherché. J’sais pas ce que je fou la. » Désemparé. Colérique. Le brun préférait partir, avant que cette rage explose. Son absence l’avait laissé dans l’incompréhension. Il s’était toujours demandé s’il avait fait quelque chose de mal ou alors, s’était-elle tout simplement lassée de lui ? Déçu, Rylan commençait à lui tourner le dos. Le ressentiment qui l’habitait était palpable. La tristesse aussi. D’une certaine manière.
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@NOALYNE R. DE GLÜCKSBOURG
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Et soudain, je me confrontes à son regard. Je le sens perdu, mitigé et à la recherche de mes pensées. Je tente de fermer mes émotions, pour ne pas lui montrer. Je reste froide et je sens sa déception comme des paroles bien trop simples après mon abandon, sorte de mes lèvres, ma bouche. Presque trop agressif, il me confronte à ma réalité, au fait que je ne suis pas bien sympathique de faire la fille toute blanche de faute, en gros, comme si de rien n'était. Étrangement, le jeune homme me fait face et s'adoucit un instant comme se rendant compte que mon silence prouve son manque de tact. Je tortille mes doigts de stresse. Inconsciemment, je ne me reconnais clairement pas dans ce comportement ; une princesse presque déchue. Je n'arrive pas à ouvrir ma bouche et rétorquer quoi que ce soit. Je ne sais pas quoi dire tout simplement. Je ne veux pas reparler de cette période mais face à lui, l'admirant, je me rend compte de ma perte, du fait qu'il m'a manqué. Je grimace un instant presque au même moment où sa colère revit en lui. Il change tout à fait de visage et je sens que je risque de passer un sale quart d'heure. Il m'en veut vraiment de l'avoir abandonner mais comment lui dire que j'avais trop honte, que j'étais trop mal, que je souhaitais etre seul... je ne peux pas car ce n'est pas vrai ... je voulais l'avoir auprès de moi, mais j'avais honte de moi, je me sentais crade, une salope tellement de choses en moi... Je... avais-je débuté. Je me sentais directement en crise intérieur : ma honte voulait le laisser fuir, mon amitié inconditionnel, jamais oublié voulait l'attraper et s'enfermer dans ses bras, lui dévoiler tout dans les larmes. Je le vis me tourner le dos. C'était plus simple de l'abandonner car je ne le voyais pas... là, c'était plus compliqué. Tu es donc venue juste pour me dire que tu m'en voulais ? avais-je dit sans vraiment réfléchir comme pour le retenir, mais sans lacher la bombe.

@A. Rylan O.-Whelan

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Un instant. Il s’arrêtait. Inspirant. Expirant presque silencieusement, il tournait la tête sur le côté. La regarder, lui était insupportable à cet instant. Pourquoi ? Cela faisait remonter le manque. Ne pas là voir durant toutes ses années, lui avait fait du mal. Bien plus, qu’il ne l’aurait imaginé. « Au moins, j’te le dit en face. J’disparais pas sans un mot. » Le sarcasme chez Rylan était presque innée chez lui. Son caractère bienveillant, possédait une part d’ombre, qui parfois, se révélait être blessante. Au fond de lui, une voix, lui disait d’être calme. De cette manière, il obtiendrait peut-être des réponses. Enfin, il concédait à se retourner. Son regard bleuté, brillait d’une étrange lueur. « La question, que j’me suis posé, c’est pourquoi ? » A présent, l’irlandais s’avançait vers elle. La surplombant de toute sa hauteur, il crachait presque ses derniers mots. « J’en valais plus la peine ? Madame la princesse mérité beaucoup mieux. » Rylan, ne l’avait jamais traité comme un membre de la famille royale norvégienne. Pour lui, elle était Noa. Uniquement Noa et rien d’autre. D’ailleurs, il n’en avait rien à faire de son titre. S’il avait quelque chose à lui dire, il l’avait toujours fait. Plongeant son regard dans le sien, l’étudiant tentait d’y déceler quelque chose. N’importe quoi. Du regret ? De la raillerie. Peu importait. Quelque chose qui pourrait expliquer son comportement. En lui, la douleur se fait vive. Pour elle, il aurait été capable de tout. Noa lui aurait demandé de s’enfuir loin de la cour, il l’aurait fait. Tant qu’elle était heureuse.
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@NOALYNE R. DE GLÜCKSBOURG
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Je ne pippais mot. Je me contentais juste de faire un pas vers lui afin de ne pas le perdre à nouveau. J'étais partagée entre la peur de le voir partir maintenant que je le retrouvais et la peur de lui dire. Je grimaçais, incertaine de mon sort et ses piques me firent plus mal que jamais : il faut dire que le jeune homme était un pro du sarcasme. Silencieuse, je fus soulagée de le voir se tourner vers moi pourtant il me coupa la chique en me confrontant à son regard azur. Bien sur, la question fatidique du pourquoi arriva et me glaça le sang comme révillant mes anciens démons plus démoniaques que jamais dans mon esprit et je ne sus comment réagir. Je baissais le regard mine de rien. Bien vite, je fus offuquée par mon tendre amie d'enfance qui joua sur mon titre, mon caractère sachant que justement, avec lui, j'étais la véritable Noa et aucunement cette fille fière de son titre ou encore, vantarde, arrogante. J'étais sous le choc de sa phrase et pour la première fois, je me montrais vulnérable alors que du monde se pavanait dans les couloirs. Oui, quelques larmes perlèrent sur mon visage. Je devenais rouge tant j'étais mal et la colère monta en moi. Je connaissais mes tords ainsi je tentais de me controler mais bien vite, je fus obligé de l'ouvrir : J'avais de vrais raisons de te laisser ainsi, je ne voulais pas te laisser alors me confronter à toi ... m'aurait surement tué... j'aurai préféré etre assez courageuse pour me tuer, me sucider que faire ça, te laisser... Je devenais presque hystérique dans ma gene, ma peur et ma honte. Je tortillais mes mains déjà devenues moites. Je ne savais plus où me mettre ni quoi dire, j'avais peur de l'avouer, dire que ce viol m'avait tué à petit feu, que je n'avais pas su me réfugier dans ses bras.
@"A. Rylan O.-Wheelan"
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Pourquoi utiliser de tels termes pour justifier son absence ? Légèrement dégouté, Rylan laissait sa colère parcourir son corps, mais plus les secondes passaient et plus la tristesse l’envahissait. « Des raisons… » Le jeune homme avait dit ses mots en secouant la tête. « Bordel, tu comprends vraiment rien ?! J’aurais juste aimé un mot de ta part Noa. » Laissant échapper le prénom de la jeune femme, ces trois petites lettres avaient un goût amers dans sa bouche. Instable, l’irlandais n’arrivait plus à la regarder en face. Inspirant une seconde fois, Rylan s’éloignait de la jeune femme. Cherchant de la stabilité, il s’asseyait sur le banc extérieur. Levant à nouveau les yeux sur Noa, il laissait échapper des mots avec plus de douceur. « Et tu crois, que tu pourrais m’expliquer maintenant ? » L’irlandais, voyait bien qu’elle hésitait. Son regard se faisait fuyant et elle semblait être mal à l’aise. Pourtant, aussi égoïste que cela puisse paraitre, Audaz avait besoin de réponse. « Tu me dois au moins ça. » Allait-il s’ignorer durant leur année universitaire ? Ou à l’inverse, ils allaient pouvoir se retrouver ? Rylan avait peu d’espoir pour la seconde option. Même lui, n’était pas sûr de lui pardonner.
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@NOALYNE R. DE GLÜCKSBOURG
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L'angoisse, lapeur et cette petite boule au ventre qui fait très mal. Je ne savais que faire à présent que j'avais évoqué le mot raison, signe d'une faille, d'une brèche pour sa découverte. Je l'apercevais, si colérique, haineux à mon égard. J'en avais mal, trop mal. L'homme décida de laisser sa colère s'exprimer et m'expliqua qu'il aurait aimé un mot. Je regardais Rylan, stupéfaite de tant de haine, signe qu'il tenait à moi, et je baissais le regard, telle une enfant prise la main dans le sac. Je n'osais rien dire du tout. Il se calma un instant demandant des explications. Je gloussais, un hoquet d'effroi, je ne me sentais pas certaine, pas prete du tout en réalité. Je restais d'abord muette, tortillant mes mains entre elles, comme signe d'anxiété. Bientot, je rejoignais le jeune homme sur le banc extérieur, prenant une distance tout de meme à cause du malaise. Un air convaincu, le jeune brun osa me dire que jele lui devais et je me sentis rougir tant il avait raison, tant j'étais honteuse de mes agissements d'autrefois. Je n'étais pourtant pas assez forte et donc bien trop tiraillé par mes angoisses. Je me grattais l'arrière du crane, je pensais, revivais un instant la scène, mon extinction, ce viol qui m'avait brisé. Je le regardais mais je fuyais presque aussi vite ces yeux. Je tombais dans une angoisse soudaine, mon souffle s'accélérra et je devenais rouge avant de passer au blanc presque livide. Une crise d'angoisse débutait sous les yeux de celui que je n'avais jamais oublié mais qui comptait tant pour moi, que dans ma peur de lui faire honte, qu'il me voit telle une allumeuse sale, j'avais abandonné...douloureusement. Le souffle saccadé, presque coupé, comme dans un état mourant, je murmurais : j'suis tellement sale...j'voulais pas te le cacher alors j'ai préféré partir parce que c'était dur que tu vois ma vraie nature, celle d'un déchet, d'unemerde, une allumeuse surement... j'avais surement du mettre 5 heures pour dire mon récit de murmure tant j'étais mal et en crise. Souvenirs d'enfers, souvenirs d'hier.

@A. Rylan O.-Whelan
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Noa venait le rejoindre. De cette distance, il pouvait humer son parfum habituel. Le même qu’elle mettait durant les dernières années où il l’avait côtoyé. S’en souvenir, lui était presque douloureux. Enfin, des mots sortaient de sa bouche. En l’écoutant, le jeune homme ne comprenait rien. Noa faisait preuve d’incohérence. Qui pouvait comprendre ? En tournant son regard vers elle, Rylan comprenait qu’il était face à une crise d’angoisse. Pendant un instant, il fut tenté de ne rien faire. De la laisser dans cet état, juste pour se venger. Seulement, il n’était pas comme ça. « Calme-toi Noa. » Que faire dans ce genre de situation. « J’ai pas envie de te forcer à me dire pourquoi t’as coupé tout contact. J’espère juste que ça en valait la peine. » Baissant les armes, le jeune homme laissait échapper un soupir. Fatigué. Voilà ce qu’il était. Cette journée avait été remplie d’émotion. Trop d’adrénaline. Tout ça pour finalement, faire face à une Noa incapable d’en placer une. Décidément, il ne comprenait rien aux femmes.
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@NOALYNE R. DE GLÜCKSBOURG
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J'étais perdue. Je n'arrivais pas à en placer une ; mon cerveau refusait, se battant avec d'horribles images et ses envies de parler à mon tendre ami. Je ne savais quoi faire. Rylan me demanda de me calmer. Je prenais ma tête entre mes mains et serrait fort tout en inspirant tentant justement de retrouver une certaine paix intérieure. Je devais trouver le courage de lui expliquer malgré que comme il le disait : il cherchait une bonne raison à mon abandon envers lui. Je passais une main dans mes cheveux avant de prendre un mouchoir et essuyait les larmes ruisselants sur mon visage. J'inspirais et je tentais de trouver les mots mais le seul qui venait... c'était trop dur. J'entrepris de parler mais aucun son ne sortit. Je me débattais avec mon intérieur si bien que je n'eus aucune possibilité de me contrôler et je m'écriais : La raison c'est un viol MERDE ! Je posais la main sur mes lèvres, surprise et choquée. Je crus péter un câble d'avoir crier si fort si bien que j'avais regardé autour de moi avant de devenir rouge à nouveau. Je semblais dévastée.

@A. Rylan O.-Whelan
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