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rien qu'une nuit (stelian 3/3)

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Tes yeux fixent le plafond avec intensité. Il fait sombre, l'horloge reflète 1h du matin. La journée a été éreintante. Tu adores New York mais pas avec Florian, pas dans ces conditions là. Tu fermes les yeux et te concentre sur la pluie, tu n'es pas rassurée. Tu n'as aucun repère dans cette chambre d'hôtel. Tu n'as plus de batterie sur ton portable, tu as joué à des parlé avec tes copines pour essayer de t'endormir mais ça n'a pas fonctionné. Tu es encore là, à te demander ce qu'il fait dans la chambre juste à côté de la tienne. Tu remontes les couettes sur ton visage en entendant la pluie s'intensifier dehors. Tu as peur Stella, terriblement peur. L'orage est quelque chose qui te fait flipper depuis cette fameuse fois où tu as faillit mourir à cause de la foudre. Quand le premier orage gronde, tu sursautes et resserres les draps dans tes mains. Déjà en temps normal, tu n'aimes pas être seule, là c'est pire. Tu as envie de pleurer. Un deuxième grondement se fait entendre et c'en est trop pour toi. Tu te lèves vite de ton lit et cours jusqu'à la porte. Tu attrapes la carte et sors de la chambre, tu fais deux pas et tapes à la porte de Florian. Tu espères qu'il ne dort pas. Tes yeux se ferment brusquement quand l'orage raisonne dans la pénombre du couloir. Tu pries pour qu'il ouvre la porte.

@Florian Lefebvre
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La journée a été longue. Entre le voyage, la journée en ville et le shooting, tu ne t’es pas fait prier pour aller te coucher. Tu sens bien que ce n’est pas pareil avec Stella. Vous n’avez pas parlé ces derniers jours, croyant que c’était mieux ainsi. Elle t’avait manqué, c’est certain, mais tu trouvais que votre relation devenait de plus en plus complexe. Puis sa révélation t’avait également fait peur. D’accord tu la rendais meilleure, mais pour combien de temps? Bref, après une courte douche, tu t’étais étendu sur ton lit. Tu avais une chambre seul alors tu n’avais pas pris la peine de t’habiller, enfilant simplement un boxer. Tu trainais sur ton téléphone, attendant de t’endormir. La vue de votre hôtel est magnifique et tu n’as pas pu te résoudre à fermer le rideau. Tu peux ainsi admirer la ville, sous la pluie. Tu as hâte de travailler sur les photos que tu as pris, tu sais déjà qu’elles seront magnifiques, mais ce soir, tu dois te reposer. Sauf que tu as trop de choses en tête. D’ailleurs, tu étais perdu dans tes pensées et ça te prit quelques instants avant de réaliser qu’on cognait à ta porte. Tu finis par te lever et enfile le peignoir blanc qui traine au bout du lit, tu ne sais pas qui est là. En ouvrant la porte, ton regard se pose sur Stella. Quelque chose a l’air de ne pas aller et tu fronces les sourcils. « Stella, qu’est-ce qu’il se passe? » Tu avais espéré qu’elle te rejoigne. Enfin, c’est ainsi que tu avais projeté ton voyage avec elle, pas dans une chambre séparée. Sauf qu’elle ne semblait pas être là pour se glisser dans ton lit, quelque chose n’allait pas.
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Tu n'es absolument pas rassurée dans ce couloir. Tu le sens se rapprocher de toi, tu n'es pas claustrophobe mais là tu risques de le devenir. Tu tapes de nouveau sur la porte. Si ça se trouve, il est endormi et n'entends pas tes multiples appels à l'aide. Tu soupires et hésites à retourner dans ta propre chambre. L'orage retentit une nouvelle fois et tu sautilles sur place, tu paniques. Tu as envie de pleurer, de t'accroupir sur le sol, de te rouler en boule, peu importe. Tu es mal. Heureusement pour toi, la porte finit par s'ouvrir et la voix de Florian se fait entendre. Tu soupires de soulagement et regardes tes pieds. Tu n'es pas vraiment à l'aise c'est vrai. " J'ai un peu peur des orages ... " Un peu ? C'est du foutage de gueule. Tu es en panique complète. Tu relèves la tête et te retient pour ne pas te coller à lui. Depuis votre dispute, il y a ce froid entre vous. " Ça t'ennuie si je reste juste le temps que l'orage passe ? J'ai peur toute seule. " Il ne peux pas te refuser ça, si ? Tu joues avec le bas de ta nuisette entre tes doigts. Tu lui souris timidement avant de fermer brusquement les yeux en entendant l'orage. Tu plaques tes mains sur ton visage, tu ne veux pas qu'il te vois comme ça.
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Tu avais dit à Stella qu’après votre voyage, les choses devraient changer. Dans le fond, ce n’était pas qu’à elle, mais à toi aussi. Si tu voulais garder ta relation avec elle, il faudrait que tu sois plus disponible. Tu n’avais toutefois pas eu de relation sérieuse depuis le collège, alors tu ne savais comment gérer cela avec ton petit frère en plus. Enfin, si tu avais plus d’argent déjà, ça t’aiderait. Tu pourrais faire garder Léo plus facilement. Sauf que tu n’étais pas venu à Boston pour qu’il passe tout son temps avec une babysitter. Tu t’en voudrais de lui faire vivre cela trop souvent. Il n’y avait pas de solution parfaite, mais déjà, tu allais voir comment ce séjour se déroulerait. La journée avait été. Aucun rapprochement, mais aucune prise de tête pour autant. Vous sembliez deux amis, alors que tu savais pertinemment que tu ne pourrais pas rester que son ami bien longtemps. Tu ressentais des choses pour elle, fortes, et soit tu pouvais les exploiter à fond, soit tu les faisais disparaitre. C’est ce genre de trucs qui te passaient par la tête alors qu’on cogne à ta porte et que tu finis par ouvrir face à une Stella… différente. Tu n’arrivais à déterminer son expression avant qu’elle te dise qu’elle avait peur des orages. Ça ne semblait pas une excuse pour venir te voir, elle semblait réellement effrayée. « Mais non, il y a pas de problème. » Et même après, jamais elle ne t’embêterais. Sauf qu’avant que tu l’invites à l’intérieur, un autre coup se fait entendre et la réaction de Stella te surprend. Elle n’a pas qu’un peu peur. Sans attendre, tu fais un pas vers elle et tu l’entoures de tes bras. « Eh ça va… je suis là. » Alors que tu la serres doucement, tu viens poser un baiser sur le dessus de sa tête. Elle semble si fragile. « Entre. » Et tu prends alors sa main dans la tienne pour la garder près de toi, alors que tu retournes dans ta chambre et referme la porte derrière vous.
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Cette peur est irrationnelle. Tu n'arrives pas à la contrôler. C'est plus fort que toi. Ton corps se contracte à chaque détonation, à chaque éclair. Tu es en panique complète, tu te sens ridicule face à Florian mais tu ne peux rien y faire. Tu viens de lui demander si tu pouvais rester avec lui quelques minutes, juste le temps que l'orage ne cesse. Tu te sens soulagée quelques secondes avant de te cacher le visage en entendant l'orage. Il ne va pas durer toute la nuit quand même. Florian s'approche de toi et te prends dans ses bras, tu ne bouges pas. Tu es toute crispée. Sa voix te rassure. " Non ça ne va pas aller ... " dis-tu, la voix faible et complètement étouffée. Il s'écarte et te prend la main pour t'emmener à l'intérieur. Tu le suis lentement, tu regardes le sol, honteuse. Tu ne dis rien, ce n'est pas normal de te voir aussi calme et aussi silencieuse. Tu vas jusqu'à son lit et tu t'assois calmement. Tu regardes par la fenêtre et fronces les sourcils en voyant la pluie. " Je ne reste pas longtemps, tu dormais peut-être. Je n'aime pas les orages, je n'aime pas ça du tout. " Tu accroches tes cheveux en un chignon mal fait sur ta tête. " Désolé, t'étais pas sensé voir ça ... J'ai besoin d'un câlin Florian, j'ai besoin que tu restes près de moi et que tu me rassures stp ... " Voir ce spectacle affligeant que tu es. Tu soupires encore une fois.
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En apparence, Stella avait l’air d’une femme forte. Dans le fond, sa révélation ne te surprenait pas tant que cela. Surtout que dans le passé, tu avais étrangement été attiré par des femmes ainsi. Pourtant, tu te détestes cette attitude. Pourquoi faire du mal aux gens autour, pourquoi se compliquer la vie? Tu étais un peu déçu en l’apprenant d’ailleurs, mais tu te rassures en te disant que tu ne l’as jamais vu avec toi. Tu lui fais peut-être réellement du bien. Et ce soir, elle se montre complètement vulnérable devant toi. Tu ne connaissais pas cette peur, mais apparemment, elle a besoin d’être rassuré et malgré le fait que vous étiez plus ou moins en froid, tu acceptas. Peut-être que cela vous permettrait de vous rapprocher, de parler. Tu pinces tes lèvres lorsqu’elle dit que ça ne va pas aller. Tu ne sais pas quoi répondre à cela, tu ne voulais que te montrer présent, la rassurer. Tu retournes ainsi dans ta chambre et la brésilienne s’assit sur ton lit. Tu la regardes un instant, ayant l’impression d’avoir une petite fille devant toi. « Tu restes autant que tu en as besoin Stella, je ne dormais pas… » Et maintenant, tu ne croyais pas dormir de sitôt. Et qu’elle en ait besoin contre sa peur des orages ou son attachement envers toi, tu serais là. « T’excuse pas, je suis heureux que tu sois venu me voir. » Si tu pouvais être bon pour elle pour ça au moins, ça te faisait plaisir. Tu avais l’impression de n’avoir cessé de merder avec elle dernièrement, tu pouvais au moins la rassurer un peu. À sa demande, tu t’assis alors à côté d’elle et viens passer ton bras autour de ses épaules pour la tirer contre toi. Tu ne sais pas trop ce qu’elle a besoin dans ces moments. Dois-tu lui changer les idées ou simplement être là physiquement? « Qu’est-ce que tu fais à l’habitude? »
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Il ne dormait pas, lui non plus. Tu le regardes s'approcher du lit, tu restes anormalement silencieuse, ça ne te ressemble pas du tout. Tu avales difficilement ta salive, tu as la gorge un peu sèche. Il s'assoit sur le lit et se rapproche de toi. Tu ne bouges pas et le laisses faire le premier pas, tu n'as pas envie de le faire, tu n'es pas en état. Il dépolit ses bras et tu te laisses tomber dedans. Ta tête bascule sur son épaule musclée. Tu fermes les yeux et poses ta main sur son torse. Tu inspires un bon coup, tu retrouves son parfum, cela te fait un bien fou. " A l'habitude je me cache sous les draps, je ferme les yeux et j'attends que l'orage passe en priant pour que l'endroit où je suis ne prenne pas feu. " Tu soupires. Trop de mauvais souvenirs en toi. Tu humectes tes lèvres, tu n'entends plus l'orage. Serait-ce parce que tu entends le battement régulier de son coeur ? Tu te redresses bien vite. " Tu n'as pas un peu d'eau ? J'ai très soif. " La panique t'a assoiffée. Tu replaces correctement tes cheveux et soupires. On dirait que l'orage s'est un peu calmé, tu te risques à regarder à travers la fenêtre en face de toi.
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Tu souhaitais bien sûr réussir à la rassurer. Ça te ferait sentir bien étrangement, c’était égoïste. Tu voulais sentir que tu arrivais encore à lui apporter du bon. Elle devait bien y croire un peu, puisqu’elle ne s’était pas simplement cachée sous ses draps, elle était venue te trouver, c’était bon signe non? Tu t’efforçais donc à regarder ses réactions et l’écouter alors qu’elle t’expliquait ce qu’elle faisait à l’habitude. Ça ne t’aidait pas trop à savoir quoi faire. Tu n’allais pas juste attendre. « Pauvre toi… j’aimerais tellement être présent. Mais tu pourrais toujours m’appeler. » Tu ne pouvais pas toujours être auprès d’elle, mais tu souhaitais tout de même être cette personne vers qui elle se tournait lorsqu’elle en avait besoin. À sa demande, tu te lèves directement et va lui servir un verre d’eau froide. Tu lui tends et te rassis sur le lit. Tu es un peu hésitant, enfin ce n’est pas comme si vous étiez si proches dernièrement, à ton plus grand malheur. Tu la laisses boire un peu, s’hydrater et potentiellement se calmer. Ou ça va prendre plus. Après quelques instants, tu te redresses un peu et viens poser ta main sur sa cuisse en la regardant. « Tu veux t’étendre un peu? Que je te serre dans mes bras? » Tu t’imaginais que cela pourrait l’aider, la détendre. Et vous rapprocher également…
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Il te rassures en te disant que tu pourras toujours l'appeler. Tu ne réponds rien, les yeux rivés vers le sol. Ce n'est pas tellement la réponse que tu espérais en fait. Tu ne veux pas d'une relation basée uniquement sur des échanges de messages ou des appels. Tu as besoin de contact, comme n'importe qui. Les relations à distance ne sont pas ton truc et encore moins quand le mec est en ville. Tu es déçue mais tu cherches à ne pas trop le montrer. Tu aurais largement préféré qu'il t'annonce qu'il avait trouvé une solution pour que vous puissiez vous voir plus souvent. Mais non. Tant pis. Tu lui demandes un verre d'eau et Florian s'exécute immédiatement. " Merci. " Tu prends le verre et l'apporte à tes lèvres, tu bois doucement quelques gorgées. Tu le poses ensuite sur la table de chevet et te tournes vers le Winthrop qui te propose de t'allonger. " Oui je veux bien. " Tu n'es pas si euphorique que d'habitude car l'orage t'a calmé. Néanmoins, tu t'allonges et t'approches de lui lorsqu'il ouvre les bras. Tu viens te blottir contre lui et fermes les yeux quelques secondes. Tu finis par les rouvrir et tu le regardes dans les yeux. Cette proximité te fait du bien. Voir sa choucroute sur la tête aussi. Ta main lui caresse le dos. " T'attends quoi pour m'embrasser ? " Tes yeux soutiennent son regard. Tu en as envie de ce baiser, terriblement envie.
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C’était la première fois que tu la voyais ainsi et bien que tu n’aimais pas la savoir mal, ça te faisait un peu plaisir d’un autre côté d’être celui qui pouvait la rassurer. Cela faisait un moment que tu avais eu l’impression de pouvoir lui apporter du bien. Bon, tu ne savais pas trop comment réagir, mais au moins tu étais là, c’était ça l’important non? Tu n’avais pas trop fait attention à l’orage pour ta part. Au nombre que tu avais vécu alors que tu n’avais pas de toit ou plutôt, ne voulais pas retourner auprès de tes parents dans un état qui ne te plairait probablement pas, tu t’étais habitué. Alors tu n’avais pas remarqué que ça c’était calmé à l’extérieur, tout comme Stella à présent. Tu lui avais proposé de venir s’étendre avec toi, de se coller contre toi et à ton plus grand bonheur, elle accepta. Tu l’accueillis donc dans tes bras alors que tu étais couché, venant passer tes bras autour d’elle. Tu avais la tête penchée vers elle pour la regarder, un peu perdu dans tes pensées, jusqu’à ce que tu l’attendes te demander ce que tu attendais pour l’embrasser. Tes lèvres s’entrouvrent, tu es surpris par sa demande. Vous n’avez pas été proches de la journée, tu croyais que c’était cela qu’elle voulait. Tu réagis après quelques secondes, venant poser l’une de tes mains sur sa joue, tu t’approches ensuite un peu plus pour venir l’embrasser. Cela t’a manqué et tu espères que ça ne soit pas votre dernière soirée ensemble. Après tout, après ce voyage, les choses doivent changées. Que ce soit que vous ne vous voyez plus ou que vous trouvez une manière pour vous voir plus, ça ne peut tout simplement pas rester comme c’était dernièrement. Ça vous blessait tous les deux. Tu t’emportes un peu par la simple pensée que ça pourrait être la dernière fois que vous étiez si proches. Tu te sentais bien avec Stella, ça faisait terriblement longtemps que tu ne t’étais pas senti ainsi avec une femme et ça te surprenait toi-même d’ailleurs. Tu passas alors au-dessus d’elle, prolongeant toujours ce baiser, jusqu’à ce que ton souffle devienne un peu plus rapide et que tu doives te reculer pour te reprendre un peu. Tu la regardes à nouveau et alors que tu caresses sa joue de ton pouce, tu esquisses un sourire. Tu n’as pas envie de la brusquer avec une déclaration, mais tu ne peux pas non plus la laisser filer entre tes doigts. « Tu sais que… je tiens vraiment beaucoup beaucoup à toi… » Et que cela ne pourrait pas disparaitre du jour au lendemain d’ailleurs. Malgré ce que tu avais appris sur elle, malgré vos prises de temps… te retrouver auprès d’elle, proche, te rappelait comment elle te rendait heureux.
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