BLUEBELL K. REEVES ► vanessa hudgens.

Je m'appelle Bluebell, Kennedy Reeves, je suis née le 21 Octobre 1987, j'ai 24 ans, à Los Angeles. J'y ai vécue quelques années de mon enfance avant que ma famille ne déménagent dans le Massachusetts. Je suis la fille de Kenneth Reeves, le maire du Massachusetts et la petite fille de Karl Reeves, un milliardaire à la tête de plusieurs grosses entreprises. Ce dernier est décédé il y a maintenant trois ans, me laissant pour héritage, sa fortune personnelle, s'élevant à un montant composé d'au minimum, neuf zéros après le premier chiffre. Quand je parle de milliard, je ne plaisante pas. Cet argent me sers à pas mal de chose. Il me sert à m'amuser sans devoir me décarcasser à aller travailler, à financer mes études, à mettre en place un projet artistique qui me tient à coeur, etc ... Je suis fille unique et donc la seule héritière de la famille Reeves. Mon père a été déshérité car pour Karl, son père, être maire, ce n'était pas le statut le plus convoité surtout pour une famille comme la nôtre. Je ne me suis jamais mêlée des affaires de ma famille, ce qui m'a permit dans un sens, de garder l'estime de mon grand-père, saine et sauve. Il m'a toujours beaucoup aimée et c'était réciproque. J'ai quelques passions bien évidente dans la vie. J'aime la télévision car elle me permet de m'évader mais aussi, tout ce qui touche le domaine artistique. Pour parler de ma première passion, les séries policières ou encore médicales m'ont toujours pas mal branchée. D'ailleurs, j'ai toujours eu un faible pour les scènes qui se déroulaient dans les morgues. Je veux en faire mon métier. La médecine, c'est vague comme domaine. Moi, je veux devenir médecin légiste et ça, depuis mon entrée dans l'adolescence. Je me débrouille plutôt pas mal. C'est pas l'argent qui me permet d'atteindre mes rêves mais tout simplement mon ambition et ma détermination. J'ai passé comme tout le monde les examens d'entrées pour intégrer Harvard et je les ai eu haut la main, sans appui de la part de mon père ou sans attache avec ma fortune personnelle. J'en suis maintenant à ma quatrième année, soit, l'avant dernière avant que tout commence à prendre la tournure espérée. Beaucoup sont étonné et choqué de voir une femme de ma classe sociale et que mon aspect vouloir intégrer ce genre de domaine mais ne faut-il pas toute sorte d'espèce, dans tout les domaines confondues ? Pour en venir à ma seconde passion, celle qui touche le domaine artistique, elle me vient de ma défunte mère qui était chanteuse. Durant mon enfance, elle m'a transmis sa passion pour la musique. La seule chose qui me rattachent à elle, c'est justement cette passion car que se soit physique ou morale, je détient tout le reste des Reeves. J'ai une voix époustouflante paraît-il. Je peux passer des heures et des heures à écrire des textes ou encore, à écrire de nouvelles partitions. Je sais chanter et jouer de divers instruments comme de la guitare, du piano ou encore, du violon. Je touche à un peu tout mais j'excèle avec ces trois-ci. Une fois mon texte incorporé à ma mélodie, j'interprète le tout en studio pour y faire une maquette. Des maquettes, j'en ai des cartons pleins. J'aurais très bien pu les envoyer à diverses maisons de production pour tenter ma chance dans le domaine mais je préfère me consacrer à mes études et à ma future carrière plutôt que d'entreprendre quelque chose d'autre. C'est une passion parmi tant d'autre je dirais. Malgré tout, j'ai un projet qui me tient pas mal à coeur. J'aimerais lancer mon propre label musical. Je pense être capable de mener ma carrière médical et une carrière artistique sans difficulté mais je ne veux pas viser trop haut. Chaque chose en son temps comme disait mon grand-père. Je me laisse le temps de terminer mes études et de commencer ma carrière avant de me lancer dans ce nouveau projet. Être fortunée, populaire, pleine de rêve, ça a du bon mais il y a aussi des mauvais côtés. Le fait d'avoir de l'argent m'a ouvert beaucoup de passage et m'a fait fréquenter la classe la plus terrible qui soit, celle des riches. J'aurais pu me stopper à quelques fêtes par ci par là mais non, j'ai voulu m'intégrer aux autres et rejoindre un cercle vicieux. J'ai commencé par boire quelques coupes de champagne par ci par là avant de me laisser entraîner à passer au stade supérieur, celui du cannabis, de la marijuana ou encore du speed, de la cocaïne et de l'ecstasy. J'ai vingt quatre ans actuellement et un énorme problème avec la drogue. J'ai pas besoin d'une dose quotidienne mais de plusieurs. Je ne fais pas dans le doux, je préfère la drogue dure et violente car elle me procure des sensations qui me plaisent pendant les quelques heures ou elle agit. J'ai bien essayé d'arrêter mais j'y arrive pas. Quand je sniffe pas, je me pique, bien que j'opte plus souvent pour la première manière citée. Même si j'ai du mal, faut tout de même que je prennent sur moi car je vais tout fiche en l'air avec mes bêtises. Le 2 janvier 2012 est une date importante pour moi. Je suis clean depuis cette date. Le manque est de plus en plus présent et me fait de plus en plus souffrir mais je tiens bon, pour l'instant.