Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI know you don't care too much but I still care (elliot)
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I know you don't care too much but I still care (elliot)

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I try to tell you all my fears
You still don't care
( @elliot maxwell  )
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Eloan fini enfin a répondre à son portable, Minneapolis, dans le Minnesota. entre trois et quatre heures d’avions et plus de deux jours en voiture. t’étais deter pour prendre la voiture mais tu as passer trop de temps chez Wookie et Eloan semblait déjà impatient de partir. alors tu décides de prendre l’avion, t’avais plus de temps pour te préparer et tu pouvais retourner à la villa pour remplir ton sac de culotte, puisque apparemment le retour aller se faire en vans. Tu fais ton sac et redescend les escaliers en hâte, bousculant Elliot par la même occasion. « aie, putain. » t’as lacher ton sac qui a fait un rouler bouler dans les escaliers, il semblait presser aussi, peut être était-il encore sur le point de faire un : douche, hopital, manger, douche? t’en savait rien et ça te gonfler. en fait ils te gonfler tous, que ce soit lui ou son pote le coréen. incapable de répondre correctement à leurs messages alors que ça poste des nanas sur instagram. tu roules des yeux et descend les escaliers pour ramasser tes affaires. « je pars pour Minneapolis, j’ai pas de date pour rentrée donc si t’as besoin de quelque chose venant de ma personne demande au Underwood ou à Isis. » louer ou autre charge pour la baraque que t’aurais zapper de payer, car ouai ça t’arrive souvent de zapper que t’étais pas ici de manière gratuite.
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C’est officiel. J’suis en dépression. Mais j’veux pas que ça se sache. J’l’ai dit qu’à Serah, pas même à Hae. Il a assez de problèmes à gérer comme ça. Puis j’ai pas envie d’être perçu comme un fardeau. Alors j’dis rien. J’garde pour moi et advienne que pourra. J’traine les pieds quand j’me retrouve seul, envie de rien faire, aucune motivation. J’descends pour aller chercher à bouffer et j’me dépêche de remonter, juste pour pas qu’on me voit dans cet état, les cernes creusées par les insomnies, les yeux un peu trop rouges et la barbe de trois jours peu entretenue. Et quand j’remonte, tu me percutes de plein fouet, dans la hâte. Tu pestes et j’hausse un sourcil. Genre c’est de ma faute? Ton sac s’est étalé en bas des escaliers, j’y jette à peine un coup d’oeil. Ouais, tu m’as dit que t’allais partir. Bah écoute. Tu fais ce que tu veux hein. « Ok. » Qu’est-ce que j’vais aller parler aux Underwood ou à Isis-je-ne-sais-qui? « Bon voyage. » Je continue ma montée des escaliers et retourne dans ma chambre me poser sur mon lit. Tu voulais que j’dise quoi?

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t’étais presser mais t’étais attentive. maman zora du haut de ses vingts deux ans qui se soucie toujours de ceux qui l’entoure, comme obliger de s’inquiéter pour ceux qui ne sont pas capable de voir que ça ne va pas. maman zora toujours présente, overthinking de la night qui passe la vie des autres avant la sienne, comme maintenant tout de suite ou tu t’apprêtes à quitter ton chez toi pour l’être aimer. alors il ne fallut pas une vingtaine de seconde avant que tu remarques : la fatigue accumuler sur les yeux de ton colocataire, les épaules charger par le surmenage, l’état l’amentale de son apparence physique qui représenter tout de même quelque chose d’important pour lui. mais ses mots te tranche comme un couteau et tu roules des yeux en attrapant ton sac. « merci. » pourquoi donner autant pour ne pas en recevoir, c’est mal de s’inquiété pour les gens qu’on aime ? c’est mal de donner de sa personne pour préserver les gens qui nous entour? alors que tu t’apprêtes à partir pour de bon, tu te retourne, les sourcils froncer. « c’est tout alors ? tu m’en veux parce que je m’inquiète pour toi ? tu m’en veux parce que je demande de tes nouvelles ? je doit me sentir coupable de vouloir te protéger et te sauver de l’enfer dans lequel tu t’enfermes ? je dois juste te regarder couler et essayer de tenir les bouts de mon Elliot qui reste ? je dois faire quoi Elliot, dis moi. je dois juste te regarder devenir une épave sous prétexte que ça te soule que je te demande si tu vas bien? »
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T’as l’air dans la hâte alors je ne m’attarde pas. J’ai pas envie de m’attarder de toute façon, j’ai juste envie de regagner mon lit et de passer le reste de la journée à comater. J’ai envie de vomir, pourtant j’suis pas malade. C’est psychologique, plus je pense et plus mes tripes remontent dans ma gorge, ça me donne la nausée. Tu te retournes pour continuer ta route, je continue donc la mienne, montant deux marches avant que tu ne m’interpelles à nouveau. Je soupire doucement, me tournant à nouveau vers toi. J’suis trop fatigué pour ça. J’ai pas envie de me battre. Pas aujourd’hui. Ni même demain, en fait. « Je t’en veux pas, Zora. De rien. Merci de vouloir être là, merci de t’inquiéter, merci de faire des efforts, mais… J’sais pas. Y’a rien là-dedans. » que je dis en désignant ma cage thoracique du bout de l’index. Y’a pas de coeur qui bat, pas de poumons qui respirent, du moins, pas comme ils devraient. Pas comme ils le faisaient dans le passé. J’suis juste une coquille vide. « Tu devrais pas te prendre la tête avec ça et juste profiter de ton voyage. » Ramène-moi des photos, ok?

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Il n’était plus rien de ce qu’il été et tu t’en rend compte lorsqu’il se remet à parler. il brise le silence avec sa voix douce presque trop calme et trop lente pour être celle d’Elliot. un regard vide qu’il te lance, comme si il te regardait mais sans réellement le faire. tu ne sais plus ou poser tes yeux entre ses doigts qui te montre son torse ou sa mâchoire beaucoup trop serrer. pourquoi t’as pas remarquer avant ? pourquoi tu remarques jamais ? « parle moi, dit moi ce qui va pas. » l’avion? tant pis, tu prendras un bus pour y aller, tu refais un pas vers lui, comme toujours, comme toi, parce que zora ne sait faire que ça : aller vers les gens qui la repousse. « je veux pas que tu te perde, je veux pas que tu devienne un zombie, Elliot, parle moi. » il disait au revoir trop facile, il balayer presque ta présence d’un simple soupire, te poussant à croire que t’es vraiment une amie de merde. c’est peut être le cas, tu essaie peut être de porter tellement de chose que tu portes plus rien.
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Tu veux que j’te parle, mais j’en ai pas envie. À quoi bon? De toute façon, j’ai rien de bien intéressant à raconter. Tu t’ennuierais et puis, j’avais pas d’explication à te donner sur mon état actuel. Pas que je ne voulais pas te les donner, non — parce que je ne les avais littéralement pas. J’avais aucune idée de pourquoi j’me sentais aussi mal. Tu surenchéris et je ferme les yeux quelque secondes. Une larme s’écrase sur ma joue, larme que je balaye rapidement d’un revers de la main avant de venir vers toi et t’enlacer, te serrer contre mon torse, le nez dans tes cheveux. Et là, je retenais ma respiration, je retenais mes émotions, je retenais de me laisser tomber en pièces dans tes bras parce que de toute façon, j’étais pas sûr que ton poids plume et tes mains frêles seraient capable de ramasser tous les morceaux.
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de tes yeux à ses yeux, de son coeur à ton corps et de la peine immense qui émerge de sa personne. tu veux parler, tu veux démêler, tu veux porter les poids, avec tes épaules trop frêle et tes bras trop petit, tu peux le faire, pour lui, pour qu’il soit mieux ,pour qu’il soit enfin heureux. alors tu l’affrontes, parce qu’y a pas d’autre moyen avec Elliot, en face, ou pas du tout. et ses yeux sont tremper et son corps s’élance sur le tiens. tu perd presque équilibre mais tu te maintiens, te stabilise. son visage se perd dans tes cheveux et tu sent son coeur de nouveau battant à un vitesse inimaginable. tu le sert en retour empoigner ses habilles dans le creux de ta main, comme pour lui prouver que tu es là, que tu peux tout endosser. et une main lisse sur son dos qui effectue des caresse avec douceur avant de venir contre sa nuque pour le serrez encore plus fort. « je t’aime. ne fais pas s’il te plait, ne te laisse pas couler, laisse moi t’aider, laisse moi t’enlève toute cette peine et cette douleur. je sais pas ce que tu portes Elliot, mais donne moi en un peu, je peux le porter pour toi, j’en peux plus de te voir comme ça, j’ai peur de te perdre, j’ai peur que tu t’en aille pour toujours. » celui que tu été, celui que j’aime, celui que je considéré comme ma moitié, si tu t’en vas j’m’en remettrais pas.
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J’en ai marre de me battre, j’suis fatigué. Alors quand tu me pousses à bout - ya spécialité - oui, je craque. Je laisse échapper une larme qui s’efface bien vite d’un revers de main et viens te prendre dans mes bras, plus pour moi que pour toi en fait. Parce que j’ai besoin de ce contact, j’ai besoin de savoir sur qui je peux compter, sur qui je peux me reposer. Tu me serres en retour, tu empoignes mon t-shirt de tes petites mains, tu caresses mon dos et y’a quelques autres larmes qui s’échappent en silence, trahi seulement par les battements saccadés de mon coeur. Ta main remonte sur ma nuque et je ferme instinctivement les yeux. Ça fait du bien. Ton contact est apaisant, c’est comme un doux anesthésiant qui efface un peu la douleur. Tes mots me serrent un peu le coeur, j’ai un peu de mal à respirer à vrai dire, j’ai l’impression d’étouffer tout seul et j’ai pas assez de courage pour me confier ou demander de l’aide. « J’vais nulle part Zo... J’reste là... C’promis. » Tu voudrais que j’aille où de toute façon, hein?
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Et chaque partit de son corps été entrain de fondre entre tes doigts, comme on renverse de l’eau bouillante sur un corps nue. tu essaie de le maintenir au maximum, de ton poids plume contre son corps muscler. ses mots te caresse et sa tendresse te touche, t’avais envie de le sauver, mais tu savais pas comment le faire. il fallait qu’il arrive à se détacher des choses qui lui font du mal, des êtres qui le bouffe. tu revoit young Zora et son envie de changer Ael, changer votre relation, changer ce que vous êtes et pourtant elle n’a jamais réussi, tout ce qu’elle a fait c’est de se tuer à la tache sans jamais y arriver. « Je reste ce soir. » tu prendras l’avions demain matin, très tôt, tu quitteras ses draps dans la pénombre pour ne pas le réveiller pour aller sauver Eloan à son tour. mais ce soir, c’était à Elliot que reviens la priorité. « Je dors avec toi, ça te va? comme avant. » une main glissant dans ses chevelures, le bout de tes doigts caressant la naissance de son crâne. non tu ne le laisseras pas couler, jamais, zora, tu te doit de le maintenir en vie.
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Je secoue doucement la tête, essuyant les larmes qui avaient inondé mes joues. « Non, t’es pas obligée de faire ça, ça va aller. J’vais bien. Pars, profite de ton voyage. » J’ai pas envie d’être celui qui t’a empêché de faire ce dont t’avais envie. C’est bien pour ça que j’voulais pas vous en parler, que je cachais mon état. J’étais un fardeau pour vous sinon, et j’voulais pas. Tes doigts me font des patouilles dans les cheveux — un gros point faible — et je viens poser mes lèvres sur ton front en guise de remerciement. Bien que ta proposition soit tentante… « T’es vraiment pas obligée Zora. Ça va. » Difficile à croire quand on me voit comme ça mais j’t’assure, ça ira. Ça finit toujours par s’arranger, non?

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