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C'est le 12 mai 1989 à San Francisco, que les membres de la famille Alvarez m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Trystan Juàn. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit depuis 5 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les ❖ Winthrop House ou les ❖ Dunster House (uniquement si confréries). Trystan Juàn Alvarez | Questionnaire Plutôt... Plutôt fêtard ou pantouflard ? Fêtard. Plutôt coquet(te) ou négligé(e) ? Coquet. Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Assidu. Plutôt romantique ou réaliste ? Romantique. Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Un peu des deux. Plutôt altruiste ou égoïste ? Altruiste quand il le veut et il ne veut pas souvent. Plutôt optimiste ou pessimiste ?Optimiste. Plutôt extraverti ou introverti ? Extraverti. Plutôt sucré ou salé ?Sucré. Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? j'te-défonce-la-gueule-connard Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? Je ne sais pas qui est Rebecca donc je dirais Justin. Physique... Style vestimentaire Naturel. Piercing Aucun. Tatouage Deux tatouages, l'un sur l'abdomen et l'autre sur le bras. Je crois... Aux fantômes ? Oui. À l'apocalypse ? Non. Aux coups de foudre ? Non. À l'amitié fille/garçon ? Non. Aux sexfriends ? Oui. À une religion ? Non. À la magie de Noël ? Non. Au destin ? Oui. Aux fins heureuses ? Non. Je/j'ai... Déjà fait un threesome Oui. Une voiture Non. Bois de l'alcoolOui. Fume Oui. Prend de la drogue Non. Veux me marier Non. Veux des enfants Non. Une maladie grave Non. Un lourd secret Peut-être. Mens souvent Si je suis obligé, oui. Beaucoup d'expérience au lit Oui. Beaucoup d'expérience en amour Oui. Eu beaucoup de déception en amour Non. Eu beaucoup de déception en amitié Oui. De la facilité à me faire des amis Oui. Des envies de meurtres Pas encore. Peur du noir Non. Peur de la solitude Non. De bonnes notes Oui. Ma maison... Ce qui ferait de moi un membre parfait de Winthrop HouseJe suis genre super sexy et tout, alors ais-je vraiment besoin de m'expliquer? Non, sans blague, je crois que je serais un membre parfait pour ce groupe parce que il me définit en tout point. ou de Dunster House J'ai toujours été un excellent étudiant, mes résultats sont irréprochable, je suis déterminé et très exigeant avec moi-même. De ce fait, je crois que je serais un membre idéal pour cet confrérie, de plus, je ne suis en rien un rat de bibliothèque et j'aime également m'amuser. |
Pseudo/Prénom ae. Âge 19 ans. Pays/Région Canada. Où as-tu connu le forum ? Tout le monde le connait. Tes impressions Super beau. Créditsbazzart et tumblr. Avatar Tyler Posey. Scénario ou PI ? PI. Facilité à s'intégrer ? 7/10 Mot de la fin |
Histoire
Elle disait qu’elle finirait par t’aimer, qu’un jour, elle parviendrait à oublier. Or, tu savais, elle ne pourrait jamais avancer. Tu n’étais pas désiré. Tu étais issu d’un viol, elle ne pourrait jamais t’accepter. Elle avait été forcée de te garder. Elle avait cru pouvoir avancer, or, quelques jours après ta naissance, elle était partie en t’abandonnant derrière, car elle avait besoin de cicatriser. Tu vivais chez ta grand-mère, elle te détestait également. Tu grandissais en sachant que tu étais une erreur, que ta présence était un fardeau. Souvent, lorsque tu étais gamin, tu pleurais. Tu avais mal. Ton entourage au complet maudissait ta naissance. Pourtant, tu n’étais pas fautif. Ta seule faute était de naître dans cette famille, dans ce monde injuste. Ta famille était déjà pauvre, des immigrants fraîchement arrivés du Mexique, ils n’avaient pas beaucoup d’argent. Tu voyais, dans leurs yeux, qu’ils prenaient soin de toi, pas par amour, mais plutôt par obligation. Ils ne pouvaient pas t’abandonner dans un orphelinat, car ils craignaient qu’un jour ta mère ne reviendrait pour te réclamer, mais de toute évidence, ce n’était qu’un espoir vain.
Les années ont passé et tu as perdu espoir : elle ne reviendrait jamais, elle ne pourrait jamais t’aimer, t’accepter. Si, tu ne pourrais jamais acquérir l’amour de ta mère, tu désirais au moins acquérir celui de ta grand-mère et de ton entourage. Or, ce n’était qu’un rêve : ils ne pourraient jamais accepter le tort que tu as causé à ta propre mère. Tu oubliais rapidement cette idée de te faire accepter et tu te concentrais plutôt à obtenir des bons résultats académique. Tu devins le meilleur de ta classe.
Adolescent, tu commenças à travailler rapidement. Tu voulais économiser pour partir le plus vite possible de cette ville, de ta famille. Tu travaillais acharnement pour acquérir ce que tu voulais le plus : une bourse d’étude. Tu étais un étudiant travailleur, mais également, un beau jeune homme. Tu avais grandi et tu avais changé : le vilain petit canard noir devient un cygne. Tu devins rapidement un étudiant très populaire et les filles tombaient rapidement sous ton charme. En apparence, ta vie commençait à aller pour le mieux même si chez toi, tu n’étais pas le bienvenu.
Tu reçus une bourse d’étude de l’université de Havard, mais tu ne touchais pas un mot de ça à ta famille sur le coup. Or, quelques jours après que tu ais appris cette bonne nouvelle, lorsque tu comptais l’annoncer à ta grand-mère, tu trouvais en rentrant de chez toi, ta mère. Elle semblait comblée et épanouie. Il semblerait qu’après ton abandon, elle soit parti dans la ville de Los Angeles là où elle a rencontré un homme avec qui, elle a fondé une famille, un an après ta naissance. Tu avais donc une demi-sœur, une année plus jeune que toi. Tu reçus cette nouvelle comme un coup de poignard, alors qu’elle revenait après dix-huit ans d’absence comme si de rien n’était. Elle voulait ton pardon, mais tu ne l’entendais pas de cette oreille. Quelques jours après sa visite, tu es parti au Massachusetts afin d’entreprendre tes études, sans l’annoncer à ta famille. De toute façon, ils ne t’aimaient pas et ils ne t’aimeraient jamais. Tu voulais faire de ta vie, une douce mélodie où les drames et la haine n'auront plus de place, tu voulais avancer et aller loin, sans eux. Ton passé te suivait, évidemment, mais tu avançais comme tu l'avais fait depuis le premier jour de ton existence.
Les années ont passé et tu as perdu espoir : elle ne reviendrait jamais, elle ne pourrait jamais t’aimer, t’accepter. Si, tu ne pourrais jamais acquérir l’amour de ta mère, tu désirais au moins acquérir celui de ta grand-mère et de ton entourage. Or, ce n’était qu’un rêve : ils ne pourraient jamais accepter le tort que tu as causé à ta propre mère. Tu oubliais rapidement cette idée de te faire accepter et tu te concentrais plutôt à obtenir des bons résultats académique. Tu devins le meilleur de ta classe.
Adolescent, tu commenças à travailler rapidement. Tu voulais économiser pour partir le plus vite possible de cette ville, de ta famille. Tu travaillais acharnement pour acquérir ce que tu voulais le plus : une bourse d’étude. Tu étais un étudiant travailleur, mais également, un beau jeune homme. Tu avais grandi et tu avais changé : le vilain petit canard noir devient un cygne. Tu devins rapidement un étudiant très populaire et les filles tombaient rapidement sous ton charme. En apparence, ta vie commençait à aller pour le mieux même si chez toi, tu n’étais pas le bienvenu.
Tu reçus une bourse d’étude de l’université de Havard, mais tu ne touchais pas un mot de ça à ta famille sur le coup. Or, quelques jours après que tu ais appris cette bonne nouvelle, lorsque tu comptais l’annoncer à ta grand-mère, tu trouvais en rentrant de chez toi, ta mère. Elle semblait comblée et épanouie. Il semblerait qu’après ton abandon, elle soit parti dans la ville de Los Angeles là où elle a rencontré un homme avec qui, elle a fondé une famille, un an après ta naissance. Tu avais donc une demi-sœur, une année plus jeune que toi. Tu reçus cette nouvelle comme un coup de poignard, alors qu’elle revenait après dix-huit ans d’absence comme si de rien n’était. Elle voulait ton pardon, mais tu ne l’entendais pas de cette oreille. Quelques jours après sa visite, tu es parti au Massachusetts afin d’entreprendre tes études, sans l’annoncer à ta famille. De toute façon, ils ne t’aimaient pas et ils ne t’aimeraient jamais. Tu voulais faire de ta vie, une douce mélodie où les drames et la haine n'auront plus de place, tu voulais avancer et aller loin, sans eux. Ton passé te suivait, évidemment, mais tu avançais comme tu l'avais fait depuis le premier jour de ton existence.
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