◇ protecteur ◇ manipulateur ◇ loyal ◇ impulsif ◇ audacieux ◇ arrogant ◇ intuitif ◇ borné ◇ intrépide ◇ bagarreur ◇ patient ◇ jaloux ◇ prudent ◇ calculateur ◇
Langues parlées : Anglais, irlandais, allemand et débutant en français.
Surnommé : l'allemand, le fils de l'allemand, sherif Woody
loosing a father, brings brothers
Tu es installé sur le canapé, en fait, tu y es plus affalé, qu'installé. Tes pieds sont remonté sur la table basse devant toi et tu fixes le vide comme toujours. Tu as l'oreille tendue, tu écoutes et tu retiens ce que tu veux. Tu entends ton nom ici et là, mais tu ne bronches, pas, t'es qu'un gamin et les adultes tu t'en balances. Plus tôt dans la journée tu t'étais engueulé avec ton père et la discussion s'était terminée assez physique. Ce n'est pas pour rien que ton oeil droit ferme de lui même et que la couleur de ta peau a changé autour de celui-ci. Tu fixes le vide ne cherchant pas l'attention comme tu avais l'habitude de le faire. Tu les aimais bien ces mecs, surtout depuis la mort de ta mère. Tu passes la majeur partie de ton temps avec eux depuis des années. Ton pères est parti en trombe après votre dispute, tu as déjà oubli le pourquoi. Il n'était pas parti seul s'est vrai, mais si tu avais su, tu serais parti avec lui. Tu captes ce que tu veux, tu entends ce que tu veux et la porte s'ouvre. Des pas, tu comptes, il manque quelqu'un. « Où est l'allemand? » C'est ton père qu'il nomme que ça. Ton père s'est l'allemand. Tu tournes la tête à peine d'un millimètre vers la porte, ils ont capté son attention. Pourtant, tu n'entends plus rien, tu ne captes plus ce qu'ils disent jusqu'à ce qu'une main se pose sur ton épaule. « gamin. » Tu sursautes et chasse la main d'un revers avant de te lever d'un bon. Tu n'aimes pas qu'on te touche, tu n'as jamais aimé, surtout avec le père que tu as. Ou tu devras dire, avait... Tu ne le regardes même pas, cet homme qui a dérangé ton calme. Faut croire qu'il n'a pas apprécié ce geste agressif, puisqu'il t'a agrippé par le collet pour te ramener vers lui. En fait, tu avais tout capté plus tôt, mais tu n'as rien voulu enregistrer. Il t'attire vers lui pour te prendre dans ses bras. Ton père était mort et pendant plusieurs années et encore aujourd'hui, tu as le goût amer en bouche que c'est de ta faute.
It's like a family, but much better
Tu t'es toujours tenu au fond, à l'écart. Du moins en mode observatoire. Il y a un nouveau au loin. Un gamin, un gosse. Il a quoi, quatorze, quinze ans. Tu tires sur cette cigarette que tu as dans les doigts. La quatrième de la journée. Putain, il est encore tôt et tu passes déjà la barre des quatre. Tu soupires et tu baisses les yeux. T'as pas envie d'attirer l'attention. Ce n'est pas pour rien que tu t'enlignes pour t'éloigner, pour sortir du club, prendre l'air. Tu n'as jamais vraiment apprécié qu'un gosse traverse les portes. T'as grandit ici, tu connais les rouages depuis que tu sais marcher, alors là, dire qu'un gamin de quatorze ans débarque, c'est pas ton fort. Tu te glisses à travers les autres et fait
low profile pour ne pas attirer l'attention, mais c'est foutu. « Hey l'allemand! » Putain, repéré. Tu tires la dernière touche sur ta cigarette et tu te glisses vers celui qui t'appelles et tu te retrouves nez à nez avec ce gamin que tu essayais de bien éviter. Tu roules des yeux. « Qu'est-ce 'tu veux? » Tu fixes le vieux en croisant les bras. Tu es détaché de tout ça, comme toujours, pourtant, ça t'intrigue cette situation. Pourquoi toi ? Tu jettes un coup d'oeil à la seul. Bon, ok. T'es sûrement le mieux placé pour comprendre le môme. Une main lasse se glisse dans ta nuque et tu ramènes ton regard sur la scène. « Woody, je te présente Logan. Il est sous ton aile. Montres-moi ce que tu vaux. » Tu arques un sourcil en le dévisageant, mais tu hausses les épaules avant d'agripper ce Logan par l'épaule et tu le traînes dehors. Tu le traînes un peu plus loin avant de t'appuyer sur le côté de la bâtisse. Tu lèves les yeux vers lui avec cette indifférence habituel. Tu sors à nouveau une cigarette, tu lui en tends une qu'il refuse aussitôt. Tu hausses les épaules avant d'allumer la tienne. « Qu'est-ce qu'un môme de quatorze ans fait ici? » Tu le vois, il s'enflamme tout de suite. Voilà, il t'a décroché un sourire. Tu lèves les yeux au ciel, il a ce je ne sais quoi. « Seize ans. » Tu arques un sourcil en le dévisageant. Bah, ouais, ça fait du sens. Tu éclates de rire et tu lui balances un coup à l'épaule. D'accord, en quelques mots tu as compris pourquoi ils ont foutu le gosse avec l'allemand, toi au passage. Ce n'est pas pour rien qu'aujourd'hui tu le considère comme le petit petit frère que tu n'as jamais eut. S'il lui arrivait quelque chose, tu deviendrais fou et assez rapidement. C'est bien le seul pour lequel tu perdrais ton sang froid.
when you are mad, wild indians are there
Tu pestes, tu rages, tu n'as jamais été aussi en colère et tu le dégages sans retenu. À peine un pied au sol que tu as envie de foutre ta bécane au sol. Elle a pas le droit, tu la haïs, tu la tuerais si ce n'était pas une femme. Putain, à la place elle devrait être la tienne, mais toi et les meufs, c'est pas une bonne idée qu'elle soit tienne. Tout ce que tu veux c'est ce gosse, ton gamin, ton fils et elle te l'arrache sans même te donner le choix. Tu pestes, tu rages, tu attires l'attention. Merde, toi qui dit qui ne l'attire pas, tu l'attires en fin de compte. Le silence plane à l'entrée et tu pousses la porte avec cette envie de hurler. Tu traverses la pièce de long en large jusqu'à la cuisine à grognant dans ta barbe. Ils te connaissent tous et savent très bien que quelque chose cloche. Dès que tu te rends à la cuisine, tu éclates. Tes mains se plaquent contre le comptoir et cette fois tu hurles. Définitif, t'as l'attention. « L'allemand, qu'est-ce qui'a? » Tu te retournes furax et tu essaies de te contenir. Tu bouillonnes. Tu glisses ta main dans tes cheveux et tu fais les cent pas à nouveau. Tu te dis que peut-être tu arriveras à parler calmement, mais tu es aigre, brute, agressé. « Cette pétasse ne veut pas me laisser mon fils. » Tu vois leur regard qui change et ils se regardent. Certain s'approche et te frappe l'épaule, ou encore le dos. D'autres s'éloignent vers la sortie les poings serrés. Elle t'avait quitté peu de temps avant la naissance de ton fils. Au départ, tu pouvais facilement le voir, elle n'appréciait pas, mais elle te laissait faire. T'es pas le mec le plus effrayant, c'Est vrai, mais elle n'avait que toi dans les parages. Un mois avant ta crise, cette meuf c'est fait un mec qui a bien décidé de s'approprier ton gamin et te sortir de sa vie. Elle l'a laissé faire, préférant de garder loin de lui. Cette famille qui est devenue la tienne il y a des années ont récupérer ton fils et ont bien fait comprendre à cette salope qu'elle ne le verrait plus. Non, elle n'avait rien, mais son mec par contre... C'est ton fils et maintenant, il n'a que toi.
being a ghost gives you power
Tu te sens nu, ta veste te manque et pourtant tu continues, tu marches, tu avance à travers Boston, incognito. Personne ne te remarque, personne ne te voit et pour une fois, ça te fait étrange. Tu as toujours fini par attirer l'attention et là, tu as entièrement l'air d'un fantôme. Tu supportes mal le manque d'appartenance, ce manque d'image. Tu as toujours aimé qu'on te lit facilement aux Wild Indians et maintenant tu n'as pu ce lien. Merde. Tu te fonds dans la foule et tu marches à sens inverse dans cette jungle. Une main dans les cheveux tu évites celui-ci et celui-là. Mais il y en a un qui te percute de plein fouet et tu as un instant de recule, suivit d'un frein. Tu serres les dents, ce mec à continué sa route sans se soucier de toi. Un soupire et tu reprends ton chemin apercevant au loin ce que tu cherchais vraiment. Tu accélères le pas et ils disparaissent dans un tournant. Une main sur tes lèvres, tu regardes derrière toi avant de prendre ce même tournant. Tu restes discret et tu regardes à quelques reprises derrière toi. Parfait, personne ne te suis. Tu glisses ta main dans ta poche et tu en sors ton paquet de cigarette et de ce dernier tu en sort une. De ton autre poche tu en sors un briquet et allume ta cigarette avant de tirer. Tu prend les devant et tu rejoins ce drôle de duo. Tu sais ce que tu fais dans les rues et c'est bien cette raison qui fait que tu restes loin de chez toi. Tu t'en approches, silencieux, fumant. Tu les entends parler et tu fais comme si tu n'écoutais pas et tu t'enfonces dans cette ruelle. Mine de rien, tu les rejoins et l'un d'eux t'arrête. « Non mais tu fous quoi mec? » Tu baisses les yeux sur ton t-shirt avant de le regarder. Tu repousses sa main et tu fais un pas de plus, mais il te repousse. « Je t'ai parlé. » Tu le fixes et tu fumes. Ça va tourner en bourrique et ça te plait. Neutre. Visage neutre, air classique, familiale, habituel. Il t'arrache ta cigarette pour te la balancer en pleine tronche. « T'es sourd ou quoi. » Tu grognes, il a toute ton attention maintenant. Tu le plaques dun coup de point contre le mur et de l'autre main tu sors ton arme, la braquant sur l'autre con. De ta main libre tu sors ton paquet et le tend ouvert vers l'assommer. « Tu m'en donnes une s'te plait. » Nerveux il en récupère une avant de te la tendre. Tu l'agrippes de tes dents pour la placer entre tes lèvres. Tu sers ton paquet et récupère à nouveau ton briquet pour t'allumer. Tu laisses planer le silence jusqu'à ce que deux vestes en cuirs débarque derrière toi. Tu ranges ton arme et revient sur tes pas te faufilant entre les deux. « T'es pas le shérif Woody pour rien. » Tu roules des yeux et tu te fonds à nouveau à la foule.
informations supplémentairesTon fils se nomme Balduin Stein, nom typiquement allemand. En fait, c'était le nom de ton père. ◇ La mort de ton père t'affecte encore aujourd'hui, tu t'en sens toujours responsable et ça te fait chier. ◇ Tu portes le surnom de Woody pour la foutu poupée dans Toy story. Bon, d'accord, ton second prénom Woodstock y est aussi pour quelque chose, on ne le cachera pas. Tu es devenu leur shérif personnel, quoi. ◇ Tu n'es jamais vraiment tombé amoureux dans ta vie, mais ça arrivera bien un jour où l'autre nah? ◇ Balduin est en partie élevé par les femmes du club et c'est un aimant à femme. ◇Tu es enfant unique, tu moins c'est ce que tu as toujours crus, mais en réalité, quelque part tu as une petite soeur. ◇ T'as jamais été attiré par l'université et pourtant tu y flânes depuis quelques temps. ◇ Tu ne mortes jamais vraiment ce que tu ressens et tu as tendance à tout tourner au comique. Tu crois rarement ce qu'on te dit.◇ Tu n'as jamais cru en le fait d'être aimé par quelqu'un. ◇ Tu aimerais secrètement quitter Boston au moins quelques fois pour voir du pays. ◇ Ta spécialité ce sont les armes. ◇ Tu as déjà tué dans ta vie et tu recommencerais si tu le devais, ou si on te le demandait. ◇ Les Wild Indians sont ta famille et personne ne touche ta famille, jamais. ◇ Tu as grandit chez les Wild Indians, ils sont ce que tu connais le mieux. ◇ L'illégale, c'est ta tasse de thé. ◇ Ton père est mort tu avais treize ans. ◇ Tu conduis une moto depuis que tu es assez grand pour monter dessus. ◇ Tu es un fin dessinateur. ◇