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Nom : Klain ◇ Prénom : Katja Masha◇ Âge : 25 ans ◇ Date et lieu de naissance : 13 Décembre à Moscou. ◇ Nationalité : Russo-américaine. ◇ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle. ◇ Statut amoureux : Célibataire. ◇ Statut social : Aisée. ◇ Job étudiant : Pas encore, papa paye tout. ◇ Études majeures : Psychologie paranormale. ◇ Études mineures : Démonologie - Théologie.
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Katja M. Klain - 25 ans - 3éme année d'étude - Psychologie
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DUNSTER
Je suis très certainement une fille dite à papa. Je vis sur les fonds de papa, je n'ai jamais manqué de rien. On peut rapidement penser que je suis dépendante, inconsciente du monde qui m'entoure. Je vous cache pas que le confort m'est très important, mais je suis de ces personnes qui ont besoin d'accomplir pour se sentir vivantes. J'ai choisi la psychologie paranormale pour prouver au monde que le cerveau et la science ne peuvent pas tout expliquer. Que le monde est ignorant et très naïf de penser qu'il maîtrise tout. J'ai quitté mon pays de naissance à l'âge de 13 ans, mais c'est bien là bas que j'ai commencé à vouloir devenir théoricienne. Et je le deviendrai. Coute que coute. Ce n'est pas pour rien qu'Havard m'a ouverte ses portes, et que me voici à papoter gentiment avec vous, sur le fondement argumentaire pour appartenir à Dunster House. J'aspire à beaucoup. Notamment à intégrer des personnes à mon monde.
MATHER
Là est une nouvelle facette de ma personnalité. Je suis fille à papa, je n'ai jamais manqué de rien. Ma mère étant morte en me donnant naissance, j'ai été pourrie gâtée jusqu'à la moelle. Fille unique, j'ai énormément eu besoin de me montrer auprès des autres durant mes années lycéennes. Pompom girl et populaire, je passais plus de temps à faire la fête qu'à étudier. Les facilités que j'ai à retenir m'ont permis d'accéder rapidement à toutes mes aspirations, peut-être que papa est passé derrière moi... Je ne sais pas. Un billet ou deux n'a jamais fait de mal à personne...
Quoi qu'il en soit, la fête c'est mon crédo. Je suis très extravertie et j'aime être dans un état second quand la pression retombe et que plus rien ne compte que de s'amuser... Parfois une bouteille à la main.
Quoi qu'il en soit, la fête c'est mon crédo. Je suis très extravertie et j'aime être dans un état second quand la pression retombe et que plus rien ne compte que de s'amuser... Parfois une bouteille à la main.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Parce qu'un malheur ne vient jamais seul. Entre septembre 2014 et janvier 2015, plusieurs agressions sexuelles ont eu lieu à Cambridge, principalement des étudiants d'Harvard et des maisons qui étaient les cibles. Ton perso a forcément été touché par l'ambiance morbide et oppressante qui régnait sur le campus alors dis nous tout, comment tu te sentais à cette période de l'année. Pire encore, te trouvais-tu sur le campus le 17 janvier ? Quand les quatre agresseurs ont pris en otage les étudiants et autres civils présents ?
Je n'étais pas présente sur le campus au moment de la prise d'otage. J'étais à Boston, dans un magasin. Je m'en souviens bien car à peine avais-je posé la main sur ce nouveau sac très joli, que je pouvais me payer grâce aux étrennes de ma famille à Moscou... Je m'égare, bref que la télé hurlait déjà qu'il y avait une prise d'otage à Harvard. Avec les clients et la responsable du magasin nous sommes restés hébétés devant ce petit écran, impuissants et spectateurs de cet acte désespéré.
Depuis plusieurs semaines, si ce n'est mois, je ne me rends plus compte du temps qui passait si lentement et à la fois très rapidement, tout semblait marcher au ralenti au campus. La méfiance, les sourires effacés... La colère et la paranoïa, tout semblait se mélanger et créer une atmosphère pesante et étrange. Ce n'était pas plaisant, ce n'était pas vivable.
Je sortais beaucoup de ce temps là, je n'ai pas été victime d'agression ni n'en ai été proche.
Pour moi, tout ce qu'il se passait semblait tout droit sorti d'un film de science-fiction. Ou de ces jeux auxquels jouent les nerds et les geeks. En somme, rien de réel.
Et pourtant. Pourtant devant cet écran, je me rendais compte que non... tout ça c'était réel, et à ce moment précis des amis, des connaissances, peut être même des gens que je déteste... pouvaient mourir et j'étais là. Là, à rien faire, si ce n'est les regarder. Attendre, la main sur le cœur, espérant que rien... Que rien de grave ne se passerait.
J'ai oublié d'acheter mon sac, et quand la télé a commencé à tourner en boucle les mêmes infos, j'ai foncé à Harvard.
La police, des journalistes, les pompiers, les familles, des curieux... C'était l'apocalypse.
Et ce jour était synonyme de retour à la réalité. D'impuissance et de déception.
Parce qu'un malheur ne vient jamais seul. Entre septembre 2014 et janvier 2015, plusieurs agressions sexuelles ont eu lieu à Cambridge, principalement des étudiants d'Harvard et des maisons qui étaient les cibles. Ton perso a forcément été touché par l'ambiance morbide et oppressante qui régnait sur le campus alors dis nous tout, comment tu te sentais à cette période de l'année. Pire encore, te trouvais-tu sur le campus le 17 janvier ? Quand les quatre agresseurs ont pris en otage les étudiants et autres civils présents ?
Je n'étais pas présente sur le campus au moment de la prise d'otage. J'étais à Boston, dans un magasin. Je m'en souviens bien car à peine avais-je posé la main sur ce nouveau sac très joli, que je pouvais me payer grâce aux étrennes de ma famille à Moscou... Je m'égare, bref que la télé hurlait déjà qu'il y avait une prise d'otage à Harvard. Avec les clients et la responsable du magasin nous sommes restés hébétés devant ce petit écran, impuissants et spectateurs de cet acte désespéré.
Depuis plusieurs semaines, si ce n'est mois, je ne me rends plus compte du temps qui passait si lentement et à la fois très rapidement, tout semblait marcher au ralenti au campus. La méfiance, les sourires effacés... La colère et la paranoïa, tout semblait se mélanger et créer une atmosphère pesante et étrange. Ce n'était pas plaisant, ce n'était pas vivable.
Je sortais beaucoup de ce temps là, je n'ai pas été victime d'agression ni n'en ai été proche.
Pour moi, tout ce qu'il se passait semblait tout droit sorti d'un film de science-fiction. Ou de ces jeux auxquels jouent les nerds et les geeks. En somme, rien de réel.
Et pourtant. Pourtant devant cet écran, je me rendais compte que non... tout ça c'était réel, et à ce moment précis des amis, des connaissances, peut être même des gens que je déteste... pouvaient mourir et j'étais là. Là, à rien faire, si ce n'est les regarder. Attendre, la main sur le cœur, espérant que rien... Que rien de grave ne se passerait.
J'ai oublié d'acheter mon sac, et quand la télé a commencé à tourner en boucle les mêmes infos, j'ai foncé à Harvard.
La police, des journalistes, les pompiers, les familles, des curieux... C'était l'apocalypse.
Et ce jour était synonyme de retour à la réalité. D'impuissance et de déception.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Spring break 2016, voyage au Chili.
Les étudiants continuent de profiter du voyage, certains faisant une promenade à cheval dans le parc national Toress del Paine, d'autres du Trekking au bord du lac llanquihue, tandis que les derniers ont préférés partir à la découverte des eaux bleues de la région des lacs. Une chose les rassemblent tous, le tremblement de terre se déclenchant dans la journée. De magnitude 7, il secoue le pays tout entier mettant la vie de tous les habitants en dangers.
Je n'étais pas partie en voyage cet été là. J'étais en voyage à Moscou avec mon père.
Je n'ai pu, encore une fois, n'être que spectatrice de ces dégats que Mère Nature avait décidé de faire ce jour là. Des amis y étaient, fort heureusement, ils vont bien aujourd'hui... Mais.
Savez-vous ce que c'est que de se sentir si petit et insignifiant qu'on a l'impression de n'avoir aucune mission sur Terre ?
Depuis ce jour, j'avais juré de ne plus me séparer d'eux. Malheureusement, le monde ne marche pas comme on l'entend. On est spectateur du destin et de la vie. Nous avons des choix, et ces choix influent sur notre destinée. Si j'étais partie au Spring Break avec eux plutôt qu'en Russie, j'aurais pu les aider comme j'aurais pu mourir...
Alors au final, est-ce que ma place était loin d'eux ?
Ils ne m'en ont pas voulu, mais quelque chose, un lien que je n'avais pas du coup, les reliait tous. Et je me sentais... exclue. Ne ressentant pas la même peur ni le même stress. N'ayant pas vécu le pire.
Spring break 2016, voyage au Chili.
Les étudiants continuent de profiter du voyage, certains faisant une promenade à cheval dans le parc national Toress del Paine, d'autres du Trekking au bord du lac llanquihue, tandis que les derniers ont préférés partir à la découverte des eaux bleues de la région des lacs. Une chose les rassemblent tous, le tremblement de terre se déclenchant dans la journée. De magnitude 7, il secoue le pays tout entier mettant la vie de tous les habitants en dangers.
Je n'étais pas partie en voyage cet été là. J'étais en voyage à Moscou avec mon père.
Je n'ai pu, encore une fois, n'être que spectatrice de ces dégats que Mère Nature avait décidé de faire ce jour là. Des amis y étaient, fort heureusement, ils vont bien aujourd'hui... Mais.
Savez-vous ce que c'est que de se sentir si petit et insignifiant qu'on a l'impression de n'avoir aucune mission sur Terre ?
Depuis ce jour, j'avais juré de ne plus me séparer d'eux. Malheureusement, le monde ne marche pas comme on l'entend. On est spectateur du destin et de la vie. Nous avons des choix, et ces choix influent sur notre destinée. Si j'étais partie au Spring Break avec eux plutôt qu'en Russie, j'aurais pu les aider comme j'aurais pu mourir...
Alors au final, est-ce que ma place était loin d'eux ?
Ils ne m'en ont pas voulu, mais quelque chose, un lien que je n'avais pas du coup, les reliait tous. Et je me sentais... exclue. Ne ressentant pas la même peur ni le même stress. N'ayant pas vécu le pire.
TON ADMISSION À HARVARD
Nous vous incitons à prendre connaissance dans ce sujet des conditions d'accès à Harvard. Ici, tu dois parler de pourquoi Harvard, comment s'est passé ton admission à l'université, ce genre de chose.
Pendant le lycée, on nous demandait souvent ce que l'on voulait faire. J'étais pompom girl, capitaine qui plus est, la fille la plus populaire. Mais qu'est-ce que je voulais vraiment ? J'étais brillante, mais je ne le montrai pas trop. J'ai eu la chance d'avoir des facilités, surtout en langues et en économie. Mon père étant à la tête d'un multinationale automobile, j'ai hérité du sens des affaires, sans doute.
Mais je ne me voyais pas reprendre l'affaire, ni même travailler comme PDG. Je voulais découvrir, faire avancer la science occulte. Depuis si petite je suis attirée par le paranormal, les fantômes tout ça... J'y crois.
Néanmoins, mon côté Cartésien me rappelle souvent que je ne crois que ce que je vois. Et pour être franche, je n'ai jamais rien vécu qui puisse se rapporter à du paranormal.
Alors devant cette feuille que j'ai signé, j'ai demandé Harvard. Une brillante université, certes, mais une capacité de recherches et de matière à n'en plus finir. J'ai choisi la psychologie et la théologie ancienne, axant ces deux matières principales sur le parapsychique et la démonologie.
Mon père ne s'y est pas opposé, bien au contraire. Heureux de me voir épanouie, sans l'ombre d'un doute.
J'ai obtenu mon diplôme et j'ai passé une série de tests avant d'affronter l'entretien. 2155 pts.
Et cette dissertation. J'ai décidé de parler de ma mère, de mes passions, et de ce qui m'avait poussé à vouloir étudier le paranormal. Je n'exclue pas l'idée d'avoir un jour contact avec ma défunte mère non connue.
J'insiste sur ma culpabilité. Sur les regrets mais aussi sur les motivations, la hargne, la rage de vivre.
On voyait rapidement que j'étais blessée avant de comprendre que mes plaies étaient panser et que je cherchais simplement à assouvir une curiosité grandissante et inépuisable.
J'ai toujours usé de mon charme pour arriver à mes fins, et je dois dire que j'aurais pu avoir mes chances si mon interlocuteur n'était pas une femme, lors de cet entretien. J'ai parlé de mon père, de ma mère, de mon enfance.
Finalement le contact s'est vite fait et j'ai pu m'ouvrir facilement sur mes ambitions, mon envie de grandir. Vers où ou quoi m'orienter. J'aspire à être docteur en démonologie et théologie ancienne. Je pourrai faire des recherches et donner des cours à mon tour.
Je l'ai séduite. Voyant grand.
J'ai été acceptée. Et me voici depuis trois ans sur la pelouse du campus.
Nous vous incitons à prendre connaissance dans ce sujet des conditions d'accès à Harvard. Ici, tu dois parler de pourquoi Harvard, comment s'est passé ton admission à l'université, ce genre de chose.
Pendant le lycée, on nous demandait souvent ce que l'on voulait faire. J'étais pompom girl, capitaine qui plus est, la fille la plus populaire. Mais qu'est-ce que je voulais vraiment ? J'étais brillante, mais je ne le montrai pas trop. J'ai eu la chance d'avoir des facilités, surtout en langues et en économie. Mon père étant à la tête d'un multinationale automobile, j'ai hérité du sens des affaires, sans doute.
Mais je ne me voyais pas reprendre l'affaire, ni même travailler comme PDG. Je voulais découvrir, faire avancer la science occulte. Depuis si petite je suis attirée par le paranormal, les fantômes tout ça... J'y crois.
Néanmoins, mon côté Cartésien me rappelle souvent que je ne crois que ce que je vois. Et pour être franche, je n'ai jamais rien vécu qui puisse se rapporter à du paranormal.
Alors devant cette feuille que j'ai signé, j'ai demandé Harvard. Une brillante université, certes, mais une capacité de recherches et de matière à n'en plus finir. J'ai choisi la psychologie et la théologie ancienne, axant ces deux matières principales sur le parapsychique et la démonologie.
Mon père ne s'y est pas opposé, bien au contraire. Heureux de me voir épanouie, sans l'ombre d'un doute.
J'ai obtenu mon diplôme et j'ai passé une série de tests avant d'affronter l'entretien. 2155 pts.
Et cette dissertation. J'ai décidé de parler de ma mère, de mes passions, et de ce qui m'avait poussé à vouloir étudier le paranormal. Je n'exclue pas l'idée d'avoir un jour contact avec ma défunte mère non connue.
J'insiste sur ma culpabilité. Sur les regrets mais aussi sur les motivations, la hargne, la rage de vivre.
On voyait rapidement que j'étais blessée avant de comprendre que mes plaies étaient panser et que je cherchais simplement à assouvir une curiosité grandissante et inépuisable.
J'ai toujours usé de mon charme pour arriver à mes fins, et je dois dire que j'aurais pu avoir mes chances si mon interlocuteur n'était pas une femme, lors de cet entretien. J'ai parlé de mon père, de ma mère, de mon enfance.
Finalement le contact s'est vite fait et j'ai pu m'ouvrir facilement sur mes ambitions, mon envie de grandir. Vers où ou quoi m'orienter. J'aspire à être docteur en démonologie et théologie ancienne. Je pourrai faire des recherches et donner des cours à mon tour.
Je l'ai séduite. Voyant grand.
J'ai été acceptée. Et me voici depuis trois ans sur la pelouse du campus.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle DSM et j'ai 25 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Top-Site 50. Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire parce que ça fait un moment que je n'ai pas RP. Et ça me manque beaucoup, alors du coup, je suis tombée sur I love Harvard et me voici ! . J'utilise Natalie Dormer comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Catwoman sur Bazzart. Je fais environ 700 à 1500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par Sloan Bushnell
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par Sloan Bushnell
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si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] ► <span class="pris">Natalie Dormer</span> ◊ “ Katja M. Klain ”[/size]
MORE OF YOUR OWN STORY
Katja. Dimanche 13 décembre. 1:28 am. Moscou.
Naissance et deuil.
Ce n'est pas un jour que j'affectionne particulièrement. La mort de ma mère étant le jour de ma naissance, je peine à fêter mes anniversaires. En réalité, mon père le fête et je fais en sorte qu'on ignore la date de mon anniversaire. Je ne veux pas qu'on me le fête.
J'ai l'impression d'être en vie au détriment de celle d'une autre. J'ai l'impression d'avoir volé pour exister. C'est très désagréable.
Je ne parle pas beaucoup de ça d'ailleurs. Je dis que je ne l'ai jamais connue, et ça suffit aux gens pour se faire leur propre opinion. Je ne veux pas salir sa mémoire mais je ne veux pas qu'on me prenne pour une ... escroc. Un problème.
Un démon.
J'ai été chouchouté comme jamais, j'ignore si mon père a souffert ou m'en a voulu un jour car j'ai toujours été sa chérie. Pas d'autres femmes dans sa vie, rien qui puisse perturber mon équilibre. S'il le faisait alors il était discret.
Brillante à l'école, petit génie à la primaire. Populaire au lycée.
Je n'ai manqué de rien. Arrogante et capricieuse parfois, peut être du à mon égocentrisme. Je n'aime pas quand quelque chose me résiste.
J'aime les chalenges mais de courtes durées. J'ai besoin d'avoir le contrôle. Et je l'aurai.
Gentille et serviable sinon. Toujours là quand on a besoin, loyale.
Très fêtarde, et charmeuse.
On ne s'ennuie pas avec moi, ou du moins, je ne m'ennuie pas avec moi même. donc... c'est déjà une bonne chose.
J'aime écrire et faire peur.
Halloween est définitivement ma fête préférée !
J'aime séduire et être séduite.
Je suis une rose aux épineuses aiguisées.
Éviter de trop me chatouiller si vous ne voulez pas finir empoisonné. A bon entendeur.
Naissance et deuil.
Ce n'est pas un jour que j'affectionne particulièrement. La mort de ma mère étant le jour de ma naissance, je peine à fêter mes anniversaires. En réalité, mon père le fête et je fais en sorte qu'on ignore la date de mon anniversaire. Je ne veux pas qu'on me le fête.
J'ai l'impression d'être en vie au détriment de celle d'une autre. J'ai l'impression d'avoir volé pour exister. C'est très désagréable.
Je ne parle pas beaucoup de ça d'ailleurs. Je dis que je ne l'ai jamais connue, et ça suffit aux gens pour se faire leur propre opinion. Je ne veux pas salir sa mémoire mais je ne veux pas qu'on me prenne pour une ... escroc. Un problème.
Un démon.
J'ai été chouchouté comme jamais, j'ignore si mon père a souffert ou m'en a voulu un jour car j'ai toujours été sa chérie. Pas d'autres femmes dans sa vie, rien qui puisse perturber mon équilibre. S'il le faisait alors il était discret.
Brillante à l'école, petit génie à la primaire. Populaire au lycée.
Je n'ai manqué de rien. Arrogante et capricieuse parfois, peut être du à mon égocentrisme. Je n'aime pas quand quelque chose me résiste.
J'aime les chalenges mais de courtes durées. J'ai besoin d'avoir le contrôle. Et je l'aurai.
Gentille et serviable sinon. Toujours là quand on a besoin, loyale.
Très fêtarde, et charmeuse.
On ne s'ennuie pas avec moi, ou du moins, je ne m'ennuie pas avec moi même. donc... c'est déjà une bonne chose.
J'aime écrire et faire peur.
Halloween est définitivement ma fête préférée !
J'aime séduire et être séduite.
Je suis une rose aux épineuses aiguisées.
Éviter de trop me chatouiller si vous ne voulez pas finir empoisonné. A bon entendeur.
(Invité)