Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMake me forget, make me laugh, make me love (pv Zéa)
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Make me forget, make me laugh, make me love (pv Zéa)

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Encore une fois, j'étais le perdant dans l'histoire. J'en avais tellement marre qu'on se fout de ma gueule à cause de petites conneries de filles. J'avais voulu croire que Danneel serait la fille qui me permettrait d'oublier Willow mais il fallait que j'entends des trucs sur elle qui me faisait perdre l'intérêt de me mettre en couple, j'avais bien fais de me méfier, de vouloir prendre mon temps pour la connaître, j'avais trop vécu la même chose dans le passé, je tentais d'apprendre de mes erreurs, si c'était un bon signe de maturité. J'étais mieux seul que mal accompagné, j'allais rapidement oublier Danneel. Les relations sérieuses, ce n'était pas fait pour moi. Le texto de Zéa arrivait pile au bon moment, j'avais déjà hâte de la voir, de pouvoir m'amuser, avec Zéa, j'avais l'impression que je pouvais conquérir le monde, que rien ne pouvait m'arrêter, de vivre à la Carpe Diem quoi. J'avais quitté l'hôpital après m'avoir assurer que Willow était en compagnie de son frère, ca me tuait de la laisser avec quelqu'un d'autre que moi mais j'avais besoin de faire le point. J'étais rentré chez moi, je m'étais doucher, habiller confortablement et attendait la sexy mademoiselle Gates. J'étais au mini-bar, faisant le tri dans mes bouteilles quand j'entendais frapper. Cash, mon bulldog français, jappait, signe d'un visiteur. Je gueulais: ''Rentre Zéa.''.
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Je sais ce que j'ai fais et je sais que c'est mal. Mais bon, que veux-tu que je fasse d'autre ? Tu es ma propriété et ça m'énerve de te voir tourner autour cette pilule bleue qui ne sert qu'à dormir. La somnifère, ouais. Enceinte de toi en plus de ça... comme n'importe quelle pimbêche prête à tout pour garder leur homme. À voir Willa pour les instructions ma belle Danneel, elle sera là pour tout t'expliquer comment ça fonctionne !

Je me rends chez toi après la déception énorme que Bastian m'a faite. J'avais envie de jouer, j'avais envie de faire pleurer quelqu'un et ce soir c'est tombé sur Danneel. Seulement vêtu d'une robe courte, puisque les sous-vêtements n'étaient pas de mise aujourd'hui. Pas tant que j'avais l'idée d'oublier Bastian dans les bras de cette conne d'Athénachépasquoi. Mon frère c'est la définition masculine d'une salope. Faut que quelqu'un paie, faut que quelqu'un me change les idées. Encore une fois : Toi. Rentre Zea. Me dis-tu, alors que j'attendais sagement devant la porte. Finalement j'entre, regarde ton chien que je calme en un seul regard noir. C'est ça, ferme ta gueule, cabot. Je referme la porte derrière moi pendant que le chien pleurniche à mes pieds. Tu me faisais à boire c'est ça ? Je te dis en souriant, puis en retirant ma petite veste. Je dévoile ma robe serrée, qui dévoile peut-être un peu trop mes jumelles aux bouts pointé.
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Il semblait que j'avais un peu négligé mon mini-bar, il était presque vide. Je sortais quelques bouteilles de ma collection privé que j'avais fait avec le temps, des bouteilles de cognac, de tequila et surtout de ma précieuse liqueur divine qu'était le whiskey. Si j'étais fier de ma collection de bagnoles, mon alcool venait en deuxième place, des bouteilles variants entre 50 $ à 5000$, il fallait presque que je prenne des assurances si je faisais une fête. Je riais en voyant Cash gueuler comme un con et maintenant se rouler sur le dos pour que Zéa lui fasse des gratouilles sur l'estomac, c'était vraiment mon chien, il n'était pas insensible au charme des femmes. Je posais mes yeux sur Zéa, elle était toujours aussi bien foutu et sa robe serrée se révélait être révélatrice, je devais cacher ma satisfaction, mon regard quittait sa poitrine et revenait sur son délicat visage: ''Je peux te servir ce que tu veux, on commence doucement?''. Je sortais du sel, des citrons et 4 verres pour des shots de tequila. Prenant la bouteille, je versais le tout et fit un clin d'oeil à Zéa: ''à ta santé ma belle.''.
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Même ton chien a compris qu'il fallait se méfier de moi... à croire que les animaux ont vraiment un sens supplémentaire à nous. C'est juste dommage que ta meuf là, Danneel, n'ait pas compris ça avant. C'est de moi qu'elle devrait se méfier, même si "Jinx" fait bien genre qu'elle est de son côté. Oh well. Je m'approche de toi, tu m'offres un verre. Je peux te servir ce que tu veux, on commence doucement? J'arque un sourcil, ayant accroché son œil pervers sur ma poitrine rebondissante. Doucement, oui. Tu prends le sel, les citrons, l'alcool et les mini-verres de shooter. Je sais déjà ce que tu veux faire et ça tombe bien, parce que ce sont mes shooters préférés. Sans avoir fait la conversation tout à l'heure via sms, je sais déjà ce que tu veux oublier et on dirait que tu sais que je veux oublier quelque chose aussi. Mais bon, je ne m'en fais pas trop... t'es un homme égoïste, c'est possible que mes sentiments, tu n'en ai rien à faire. Comme tous les autres mecs finalement. Sans rancune, j'suis pas une loveuse de toute manière. Je m'approche d'avantage de toi et me pose au mini-bar, toute souriante. à ta santé ma belle. Santé. J'attrape un shooter et après avoir placé du sel sur ma main, je bois d'une traite et lèche tout. Un morceau de citron dans ma bouche, je lance un petit regard vers toi. Comme si de rien était, je te pose la question : Ça va pas aujourd'hui toi, on dirait.
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Zéa, que ferais-je sans toi? Elle était pas seulement bandante mais elle était génial, son mystère, son attitude, sa personnalité, c'était normal qu'on s'était bien attendu même si on avait fini dans le même lit, j'avais besoin d'elle et elle le savait un peu trop bien. Les verres de tequila n'allait pas se vider seuls alors je l'imitais, sel, shot de tequila, citron, c'était parfait, comme des préliminaires. J'en prenais deux et laissait les autres à Zéa. Finalement, faire le ménage de mon mini-bar comptait toujours des avantages. Je décidais de me verser un verre de whiskey, mettait deux glaçons et m'asseoyait sur le tabouret pour lui faire face. J'étais déjà grillé en partant, inutile de lui cacher quoi ce soit. ''J'apprends que Danneel joue double jeu avec moi, que j'étais un pion simplement pour atteindre Cole alors fini, j'ai bien fais de ne pas me caser avec elle.''.
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Comme dirait Éric Salvail avant qu'il cause le drame dans les médias Québecois : SHOOTERS ! J'en bois un, j'en enchaine un autre. Je te regarde faire de même avec tes propres verres et tu te verses ensuite un verre de Whiskey. Naturellement, je te demande comment ça va aujourd'hui, parce que ça n'a pas l'air d'aller. Je connais déjà la réponse, je me doute que Danneel doit te faire des misères et secrètement c'est un peu de ma faute. J'apprends que Danneel joue double jeu avec moi, que j'étais un pion simplement pour atteindre Cole alors fini, j'ai bien fais de ne pas me caser avec elle. J'arque un sourcil, joue la comédie. Je me rapproche de toi avec mon tabouret, même si nous étions déjà très près. J'suis désolée pour ça. Je prends ton verre de Whiskey seulement pour y tremper mes lèvres, puis te le rend gentiment. Comment t'as su ? Je pose mes mains sur tes cuisses et les remontent jusqu'en haut, déjà prête à te faire oublier tout tes maux.
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Sentir l'alcool couler dans mes veines étaient presque jouif sérieux. J'avais besoin de cette sensation, qu'elle reste et la revenir encore et encore.Encore une fois, je pensais que je pourrais me permettre de vivre un truc nouveau avec Danneel mais la vie était contre nous, les gens me recommandait de la fuir comme la peste alors qu'à mes yeux, elle n'avait rien fait. Je me doutais qu'elle pouvait bien être un ange cornu, je devais me fier à mon intuition, j'avais fais le bon choix. J'observais la sublime mademoiselle Gates s'approcher de moi de l'autre côté du bar. ''T'inquiète, je suis habitué des déceptions.''. Quand mon verre de whiskey me revenait, je prenais une gorgée et répondit à sa question: ''Aymalyne, je lui en dois une et il semble qu'une hackeuse a foutu la merde par texto, Bref, si c'est pas un signe je sais pas c'est quoi.''. Comme un aimant, je posais une main sur la cuisse de Zéa et la caressait, la regardant: ''Tu as en pas marre de venir à mon secours tout le temps?''.
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