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à dada sur mon coco (ezion)

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Louison avait remporté son week-end à la campagne, pour renouer avec ce qu'elle adorait le plus petite, à savoir monter à cheval. Elle était bien consciente que son homme n'était pas chaud pour ce court séjour mais elle appréciait l'effort qu'il avait fait pour ses beaux yeux. Ezio ne cessait de l'étonner et de lui donner confiance en lui chaque jour qui passait. La française était aux anges. Partis aux alentours de six heures du matin, ils étaient arrivés au centre équestre et à ses chambres d'hôtes vers neuf heure, l'estomac vide. Une fois le véhicule garé et bien éteint, Louison était sortie du Range Rover de son fiancé en sautant comme une gamine, s'étirant et se déboitant quelques vertèbres. Puis, elle contempla le paysage qui les entourait et l'odeur particulière du ... crottin de cheval. L'italien devait être vert, lui qui ne vivait que pour le luxe et le confort absolu. Après avoir remonté son pantalon, la blondinette avait contourné la bagnole pour rejoindre le Quincy qui avait boudé sur le chemin " On va déjeuner ? " lui lança-t-elle en soulevant ses lunettes de soleil sur sa tête pour lui dévoiler un regard désolé. Ouais, elle était désormais navrée de l'avoir tiré ici. " Faut remplir ton ventre mon chéri ! Faut des forces pour pouvoir dominer la bête que tu vas avoir entre les jambes ! " confia-t-elle en caressant l'abdomen du brun, pinçant sa lèvre en grimaçant " Merci de m'accompagner ici... T'es pas content je le vois... " constata-t-elle en haussant les épaules et en regardant derrière l'italien, le regard plongé dans le vide. Bon, le cadre n'était pas non plus horrible, Louison avait tapé dans un centre assez réputé. Désormais gênée, la blondasse se précipita contre son amour pour le serrer fort dans ses bras " Tu sens bon... Malheureusement, ça ne va pas durer " l'embêta-t-elle en rigolant contre son torse.

@Ezio Scorsese
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La main délicatement posée sur le volant de son Range Rover, Ezio ne savait pas trop quoi penser de cette expédition. Il n'était jamais monté sur un cheval et franchement, cela ne semblait pas l'emballer plus que ça. Très accro à son apparence et à son petit confort, il ne se voyait pas du tout monter sur un bidet. C'était impensable, inimaginable. Louison avait légèrement insisté et, comme à son habitude, il ne pouvait absolument rien lui refuser. Le bel italien cédait à tous ses caprices, les uns après les autres, sans vraiment s'en rendre compte. Elle pouvait faire ce qu'elle voulait de lui, en avait-elle seulement conscience. Une fois arrivés sur les lieux, Ezio se pencha légèrement vers l'avant pour essayer d’apercevoir sa demeure pour les prochains jours. Il fut assez surpris de la beauté de l'endroit. Ne voulant pas avouer qu'elle marquait des points, il restait silencieux. Il se gara devant l'immense bâtisse et sortit du véhicule. Une odeur pestilentielle arriva à ses narines et le fit soupirer, blasé de s'être fait embarqué là-dedans. « Hm. » répondit-il vaguement à l'idée d'aller manger. Il boudait et Louison l'avait cramé. Elle le prit dans ses bras et essaya de détendre l'atmosphère. « Nan j'saute pas au plafond mais bon ... si ça peut te faire plaisir alors j'vais faire un effort. J'espère qu'ils ont quand même des douches ici, j'ramène pas cette odeur dans ma voiture, c'est mort. » râla-t-il, histoire d'insister encore un peu. Finalement, les deux amants se dirigèrent vers la bâtisse et furent accueillis par une femme qui leur proposa de prendre le petit déjeuner. Sans chercher à comprendre plus loin, ils la suivirent et s'installèrent à une table. « Dis moi Chamberlain, t'as les moyens toi d'te payer ce genre d'endroit ! » s'amusa-t-il à dire pour la taquiner un peu. Il loucha sur les viennoiseries qui y étaient proposés. « T'as gagné au loto ? Ou alors tu vends ton corps ? » lança-t-il en rigolant, content de sa petite blague. Ezio allait moins rire tout à l'heure, lorsqu'il s'agira de monter sur le cheval.
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Après avoir été chaudement accueillis par la maitresse de maison, les deux amoureux prirent place l’un en face de l’autre, proche d’une fenêtre gigantesque qui donnait sur le parc. La table était recouverte de viennoiseries, de quelques carafes de jus de fruits, de lait et de café. Les odeurs se mélangeaient et ouvraient davantage l’appétit de la demoiselle. Alors qu’elle attrapait un croissant pour le découper entre ses doigts, le brun l’avait interrogé sur sa capacité à se payer un tel confort, la moquant légèrement, ce qui avait le don de la faire monter sur ses grands chevaux (mouhaha). Instinctivement, elle lança son pied sous la table pour frapper le tibia de son homme «  Ouais j’en ai les moyens, j’ai une rente à vie grâce à mes grands-parents, je loue trois endroits différents en France et… et mes parents me donnent toujours de l’argent sale chaque mois ! » déclara-t-elle en grignotant son croissant. « Et si ma carte ne passait pas, effectivement, je vends mon corps de manière exclusive à un homme assez blindé donc…je ne me fais pas vraiment de soucis... » avoua-t-elle en piochant dans la corbeille pour couper cette fois-ci un morceau de pain au chocolat qu’elle tendit à la bouche de son homme « Mange bébé ! Me mords pas hein ! » En parallèle, Louison pensait déjà au spectacle qui allait l’attendre tout à l’heure, quand l’imposant Ezio devrait grimper sur la bête ! «  Hé ! Tu crois toujours que tu vas péter le cheval en deux tout à l'heure ? » gloussa-t-elle la bouche pleine tout en se foutant clairement de sa tronche.

[...]

Après avoir bouffé comme des porcs, la française chaussée de ses bottes cavalières avait tiré son macho vers les écuries, cherchant le cheval que chacun allait monter « Un coup de coeur mon amour ? Je parie que tu vas prendre une jument » lança la petite blonde en sautillant aux côtés de son italien. Un cheval assez curieux qui sortait sa tête de son box attira ensuite l'attention de la blonde qui piqua par ailleurs deux carottes dans un sceau tout en tendant une au Quincy. « C'pas pour toi hein, la mange pas. Tu vas te familiariser avec ta phobie » lui glissa-t-elle en éclatant de rire tout en s'approchant du bel étalon armée de son légume. En taquinant Ezio de cette façon, elle s'attendait déjà à une réflexion sournoise, Ezio n'avait jamais peur voyons ! Tendant sa main le plus platement possible, Louison offrit la carotte à l'animal qui l'attrapa en un seul coup pour la dévorer. La mâchoire de cette bête était impressionnante, la française le caressa doucement en retournant son visage vers celui du brun « À toi !!! Je sens une belle histoire entre vous. Fais pas le con hein »
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Ezio s'amusait à la taquiner sur sa condition financière. C'était plus maladroit que méchant. Il voulait la déstabiliser un peu, se venger de sa présence ici en quelque sorte. Il aimait qu'elle soit aussi à l'aise avec le luxe et savait qu'elle n'était pas avec lui pour cette raison. C'était délectable de pouvoir profiter d'une très bonne condition financière. En réalité, le Quincy était prêt à tout pour Louison, il aimait particulièrement la gâter et combler tous ses petits caprices. Il leva les yeux au ciel en l'entendant se justifier et prit un air faussement perplexe. « Hum, t'es confiante toi. » répondit-il en sifflotant entre ses lèvres. Il ouvrit la bouche pour que la blondinette y dépose un bout de pain de chocolat qu'il avala directement. Ezio restait un gros mangeur, il pourrait passer tout son temps à bouffer celui-là. Une étincelle apparut lorsqu'il contempla l'énorme petit déjeuner qu'ils leur avait préparés. Pff, c'était une ruse, il aurait dû se méfier tant qu'il le pouvait encore. « Bah ouais, j'suis costaud comme gars, j'vais faire plier le cheval c'est sur. » lança-t-il le plus sérieusement du monde avant de rigoler face à sa propre connerie. Et le pire dans tout ça c'est qu'il le pensait. « Putain, ché vachement bon ça. » marmonna-t-il la bouche pleine d'une viennoiserie avec des raisins dedans. Encore un truc de frenchie, obligé.

[...]

Excédé, Ezio prit la carotte dans sa main et regarda Louison d'un air blasé. Il était anormalement silencieux depuis le début de la matinée et dès qu'il ouvrait la bouche, c'était pour râler. Il leva les yeux au ciel lorsqu'elle lui conseilla de ne pas manger la carotte, qu'elle ne lui était pas destinée. Bah voyons, il ne s'en serait pas douté. L'Italien la regarda faire sans grand intérêt. Ça puait, c'était moche, non vraiment il n'y avait rien de positif là-dedans. La blondinette se retourna vers lui et l'incita à faire de même. Il inspira longuement avec d'expirer bruyamment. « Elle m'fait chier mais qu'est ce qu'elle m'fait chier celle-là ! » grogna-t-il entre ses dents en s'approchant du cheval. Il en revenait toujours pas qu'elle ait réussit à l'embarquer là-dedans. Ezio regarda la carotte qu'il tenait entre ses mains et posa son regard sur Louison qui semblait mettre plein d'espoir en lui. Il vint déglutir en se tournant complètement vers le cheval. Il tendit la main quand la voix d'une femme l'empêcha de continuer plus loin. Une dame, sans doute la propriétaire du domaine, s'approcha d'eux. « Pinprenelle est un très bon choix. » dit-elle en désignant le cheval des yeux. Ezio fronça les sourcils. Pinprenelle, c'était un nom débile ! « Non mais moi j'veux pas celui-là, j'en veux un vrai avec un vrai nom ! » râla-t-il, pas content. Ezio ne voulait pas Pinprenelle, qu'il en soit ainsi. Prenant le jeune homme aux mots, la femme se dirigea vers le box d'en face et ouvrit la porte pour laisser apercevoir un cheval blanc avec une tâche sur l'oeil. « Dans ce cas nous avons Maria, tous nos mâles sont loués pour les saillies. » « Putain ... J'suis obligé ? » pesta-t-il en regardant Louison du coin de l'oeil. Ezio y mettait de la très mauvaise volonté.
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Alors qu'Ezio s'apprêtait à apprivoiser le cheval en lui offrant une simple carotte, les deux tourtereaux furent interpellés par la propriétaire des lieux, leur indiquant le nom de l'animal qu'ils nourrissaient. La jolie blonde avait pouffé de rire face à la réaction de l'italien, lui flanquant néanmoins un coup dans les côtes pour qu'il se tempère " T'es qu'un gosse putain, c'est qu'un nom merde " avait-elle eu à peine le temps de formuler lorsque la dame lui avait alors proposé une jument qu'elle lui avait ensuite présenté. L'italien était encore en train de protester, suppliant presque la française de ne pas grimper la dessus " Oui t'es obligé ! T'arrête de râler et tu la montes maintenant, jamais j'aurais cru dire ça un jour " se révolta-t-elle en le fusillant du regard tout en s'approchant de la proprio' " Du coup, on va se promener avec Maria et Pimprenelle, je vais former mon incompétent de fiancé. S'il me donne trop de fil à retordre, j'vous appelle ! " Louison avait ensuite sorti le mâle d'en face, serrant fermement les rênes déjà en place sur Pimprenelle. Les chevaux étaient déjà équipés, il ne manquait plus qu'à gagner un peu d'espace pour pouvoir les dompter plus facilement. " Ezio, tu attrapes Maria, on va les amener au terrain d'en face. Parle lui un peu, elle flippe là, elle sent tes ondes négatives ! " lui cria-t-elle dessus en emboitant le pas avec son étalon, se dirigeant vers un enclos pour les débutants. En arrivant à l'intérieur du parc, Louison s'était retournée, apercevant son homme entrain de tirer comme un malade sur Maria qui n'avançait pas ou très peu. La Mather avait alors couru jusqu'à lui pour prendre la relève jusqu'au terrain clôturé. Une fois les deux chevaux réunis à l'intérieur, Louison s'était approchée d'une cabane où se trouvait de nombreux casques, elle s'en était alors munis d'un assez large pour le flanquer sur la tête du jeune homme, le nouant rapidement autour de son menton " MA-GNI-FI-QUE, une pépite, t'as une belle tête de teub, j'adore ! " le moqua-t-elle en enfilant le sien tout en se retournant et en apercevant leurs chevaux en train de... s'accoupler " OH ! Putain non, on a pris les plus chauds quoi ! Va les décoller ! " beugla-t-elle tout en restant scotchée par la puissance de leur ébat " Elle crie pas comme moi elle... "
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Comme un gosse, un enfant qui faisait un caprice pour détourner un ordre, Ezio faisait exactement pareil en râlant sur tout et tout le monde. Il n'avait pas envie de monter sur un cheval et le faisait savoir aux autres. Il insistait grossièrement, au cas où on aurait pas compris. Il croisa fermement les bras contre son torse pour affirmer son mécontentement. « Tu m'saoul, j'ai pas envie ! » grogna-t-il entre ses dents. Finalement, Louison prit les choses en main et le força à abdiquer en lui donnant les rênes de Maria. Il soupira en avançant, se rendant bien vite compte que l'autre cheval de merde n'allait pas le suivre. Il marmonna quelques injures en italien avant de tirer comme un fou pour que ce satané cheval le suive. « Mais avance bordel, fais pas ta Louison là ! » dit-il d'un ton hyper mauvais avant de rigoler face à sa propre connerie. Depuis quand un animal allait faire la loi sur lui. La blondinette revint rapidement vers lui pour l'aider et, comme par miracle, Maria se mit à avancer. « Ouais c'est la solidarité féminine qui la fait avancer .. J'ai compris. » râla-t-il encore une fois. Ezio avait un égo surdimensionné, il n'était jamais en tord et même quand c'était le cas, il avait raison. Il glissa ses mains dans les poches de son pantalon blanc et traîna des pieds jusqu'à l'enclos qui leur était réservé. Il leva les yeux au ciel, une fois à sa hauteur, il appuya son dos contre la barrière de bois derrière lui. Louison vint lui mettre un casque immonde sur la tête, plaquant son oeuvre d'art capillaire sur son crâne. « Nan mais vas-y, au point où j'en suis, mets moi un casque. Fais toi plaisir, t'as rien trouvé d'autre à me mettre ? » En réalité, Ezio était bien content d'avoir un casque parce qu'il n'était pas rassuré de montrer sur le cheval. Mais bien sur, il n'avouera jamais une telle chose. Une fois parfaitement équipé, son regard se posa sur les chevaux qui étaient en train de se faire plaisir. « Ah bah, il manquait plus que ça. » râla-t-il avant d'éclater de rire à la remarque de sa blondinette. « C'est parce qu'il sait pas s'y prendre. » s'amusa-t-il à répondre. Pour parler de sexe il y avait du monde, il retrouvait le sourire. Sans chercher à comprendre plus loin, Ezio s'approcha des chevaux avec son pantalon blanc qui n'allait pas le rester bien longtemps. « Bouge de là toi, va pas me la traumatiser, c'est moi qui monte dessus ! » cria-t-il en faisant de grands geste qui ne servaient absolument à rien. L'italien se retourna vers Louison et éclata de rire, désabusé. Au bout de quelques secondes, Pimprenelle se retira de la jument et partit au galop, normal, tandis que sa pauvre Maria ne bougea pas, sans doute choquée de ce qu'elle venait de se prendre. « Putain, il me l'a cassé ! » grogna-t-il en s'approchant de son cheval. Le Quincy prit les rênes et la fit avancer un peu. « Elle est épuisée, elle a plus la force de lutter contre moi ... Bon ! Expliques moi comment on monte dessus. » dit-il, en redevenant grincheux.
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Ezio ne manquait pas une occasion pour râler. Louison avait les oreilles saturées mais elle était bien déterminée à le faire monter sur un de ces chevaux avec son putain de casque ! " Si j'ai autre chose, mais ce sera pour tout à l'heure ça " avait-elle sous-entendu avant de se retourner vers leurs bêtes en plein accouplement. La française se doutait que son homme réagirait positivement pour ce type de situation. Tellement prévisible. Elle ria de bon coeur à propos des commentaires du brun, le regardant s'avancer vers les chevaux qui terminaient leur baise sauvage. Louison était pliée en deux, son homme était si débile parfois. " Tu vas t'envoler sérieux " avait-elle balancé en explosant de rire. Il ressemblait plus à une mouette essayant de rejoindre le ciel qu'à un dompteur de chevaux là. Lorsque Pimprenelle avait sorti son gros joujou de Maria, Ezio avait eu la réplique de trop, faisant repartir la blondinette dans un fou rire monstre. Il l'avait achevé au point de se rouler dans la paille près de la cabane. " Cassée ? J'en peux plus, c'pas un jouet ! Mais qu'il est con " s'était-elle dit en se relevant rapidement puisque le Quincy voulait maintenant la monter. S'époussetant brièvement, elle accourut jusqu'au brun qui traînait vulgairement Maria, l'immobilisant lui et la jument. " Bon, j'en peux plus attends, arrête avec cette tronche d'enterrement " la blonde avait éclaté de rire en regardant son fiancé tout décontenancé " Tu... Tu vas attraper les rênes, mettre ce pied dans l'étrier et pousser sur tes jambes pour l'enfourcher ! " expliqua-t-elle en récupérant Pimprenelle qui sentait le cul de Maria pour lui montrer l'exemple. Au ralenti, la blondasse avait exécuté les gestes, se retrouvant tout de même assez vite sur le dos de l'étalon. " Tu vois ? C'pas compliqué, j'ai la classe t'as vu ! " le nargua-t-elle en lâchant une main des rênes pour faire un salut de Reine d'Angleterre. Assez vite, elle redescendit pour se placer derrière Ezio, sachant très bien qu'elle ne serait d'aucune aide s'il se cassait la gueule. " Essaies, je pousserais tes fesses pour t'aider ! N'en profite pas trop ! " Catastrophe en vue dans 3,2,1 seconde...
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Ezio n'était pas pressé de monter sur la jument, non, il voulait juste le faire, rester dessus quelques minutes et en finir avec tout ce cirque. Il n'était absolument pas dans son élément et détestait sortir de sa zone de confort. Lui qui était en temps normal, trop confiant, là il faisait moins le malin. Plutôt que de faire profil bas en espérant y échapper, il râlait et pestait à tout va. S'avançant vers Louison, finalement son seul repère ici, il lui demanda comment monter sur Maria. L'italien la regarda avec des yeux de poulets, clignant instinctivement. Son regard était vide tandis qu'il essayait d'analyser ce que sa blonde faisait pour répéter les gestes plus tard. Il la vit monter sur Pimprenelle avec classe mais au lieu de la complimenter, il leva les yeux au ciel en pouffant un léger rire. « Nan mais t'as cru que j'pouvais lever ma jambe comme toi, j'ai jamais fait de danse classique moi ! » marmonna-t-il en regardant son propre cheval, soupirant sans ménagement. Désabusé, Ezio était mort de rire, c'était surement un rire nerveux mais il n'arrivait pas à être sérieux. Il posa lourdement son front sur la scelle en la voyant arriver. « C'est pas possible ! » dit-il en relevant la tête, la tournant vers Louison. Monter sur ce truc lui semblait insurmontable. Tout ça pour quoi ? Faire le tour de l'enclos, super, il pouvait le faire à pied le tour, ça irait tout aussi bien. « Bon, recule. » lança-t-il en retrouvant un semblant de sérieux. Ezio n'avait plus le choix, fallait qu'il se lance, plutôt que de faire traîner ce calvaire. Maladroitement il cala son pied dans l'étrier et agrippa la scelle de ses mains, exactement comme Louison avait fait un peu plus tôt. Il prit un léger élan avant de se stopper net et de rigoler. « J'sais pas pourquoi mais j'ai un très mauvais pressentiment. » Et pas manqué, Maria fit un pas en avant, traînant Ezio qui n'avait qu'un seul pied d'appui. « Putain mais qu'elle est con celle-là. » grogna-t-il en sautillant sur un pied pour pas tomber. Décidant que ce petite manège avait assez duré, il contracta sa cuisse pour mettre son poids dessus afin de se surélever. Sauf que Monsieur Scorsese avait beaucoup plus de force qu'il ne l'imaginait et prit un trop grand élan. Il eut juste le temps de jurer en italien qu'il passa au dessus du cheval qui avait décidé de bouger à ce moment précis. Il passa carrément par dessus et fit une chute, s'écrasant lourdement sur le sol. Sa lourde carcasse se fracassa sur la terre, salissant son beau pantalon blanc.
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Louison était fière de ses années de pratique, elle pouvait au moins se vanter d'être meilleure que son homme dans un domaine en particulier. Alors qu'elle était grimpée sur Pimprennelle en deux trois mouvements, Ezio qui était resté en bas perdait quant à lui ses moyens " Euh, t'as vu la longueur de tes jambes et les miennes ? T'auras pas besoin de la lever super haut pour la passer de l'autre côté... " répliqua-t-elle en descendant de sa monture comme une pro pour désormais guider le brun toujours aussi réfractaire. Alors qu'elle désirait l'aider à grimper, l'italien lui avait demandé de reculer, ce qu'elle fit en croisant les bras sur sa poitrine " Très bien, n'accepte surtout pas que je t'aide, on va rire " grommela-t-elle en levant ses mains au ciel. La jeune femme postée légèrement en arrière observait son fiancé qui imitait maladroitement ses consignes. Il était si dissipé... Alors qu'il s'apprêtait enfin à pousser sur sa jambe, -un pied coincé dans l'étrier-, la jument avait brutalement avancé d'un pas, traînant le brun comme un pantin. Louison ne s'était pas retenue et avait pouffé de rire dans le creux de sa main. " Allez chéri, allez !!! " s'était-elle mise à le supporter jusqu'à ce qu'il prenne enfin assez d'impulsion, trop d'impulsion même et s'écrase de l'autre côté du flanc de la bête. " Putain de merde ! " cria-t-elle en panique tout en tentant de contourner rapidement Maria qui sous le coup de la peur avait flanqué un coup de sabot dans les côtes de la blondasse, l'envoyant au sol comme une merde. " Sa race, la salope, je vais lui niquer sa mère !!! " s'était-elle égosillée la joue contre la terre et la cage thoracique en miettes. Il lui en fallait plus pour ne pas poursuivre, sa moitié avait fait une chute impressionnante, il était peut être inconscient. La Mather s'était donc mise à ramper vers lui, grimaçant à chaque mouvement. " Ezioooooo, bébé, j'arrive ! t'es vivant ? Ooooh parle moi " l'étudiante était ensuite arrivée à ses côtés, se hissant légèrement sur son torse tout en le secouant " Arrête de faire le mooooort, j'ai vu ta narine bouger ! Réveille toi connard ! " hurla-t-elle en tirant sur son pull pour le secouer. En se retournant légèrement, elle avait aperçu la propriétaire les observer du haut de sa terrasse avec des jumelles, la honte.  
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Porté par la lourdeur de son poids, Ezio bascula au dessus de la jument et s'écrasa sur le sol, la tête la première. Sonné la chute, il tomba à moitié dans les vapes, ne se rendant plus compte de ce qu'il se passait autour de lui. Il n'avait pas forcément mal en soit mais il était étourdi, heureusement qu'il avait ce putain de casque sur lui. Les yeux fermés, il était dans un sale état, il ne captait plus rien et entendit à peine la voix de Louison. Il fut secoué dans tous les sens, ce qui ne l'aidait absolument pas à reprendre ses esprits. Après quelque instant de confusion totale, il entrouvrit un oeil et distingua à peine la blondinette qui continuait à le secouer. « Arrête tu m'donnes envie de vomir ! » marmonna-t-il d'une voix fébrile. Il apporta ses mains à son visage et le frotta peu énergiquement. Il poussa quelques soupirs. « J'savais que c'était pas une bonne idée bébé ... J'suis au moins mort là. » dit-il avant de se redresser sur ses coudes. Il fusilla le cheval des yeux et reporta son attention sur Louison, fronçant immédiatement les sourcils. Ses yeux se décalèrent sur son pull qui avait une grosse trace de sabot. « C'est quoi ça ? Louison, pourquoi t'as ça sur ton pull ? » Ezio se redressa plus rapidement que prévu. Il se mit à genoux et s'approcha d'elle. « Me dit pas que tu t'es prit un coup d'sabot ! » Cette virée équestre tournait au cauchemar. Autant qu'il tombe c'était une chose mais que sa femme se fasse mal, ça en était une autre.
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