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À croire que je ne pouvais pas passer à autre chose. Je ne pouvais pas simplement oublier ce crash et cette histoire d’amnésie et juste commencer une nouvelle vie. Est-ce que c’était vraiment ce que je voulais? En surface, oui. Dans mon fort intérieur, pas tellement. Je tenais à ces souvenirs. Et entendre les autres, ma famille, mes amis surtout, me raconter des moments vécus ensemble dont ils se souviendraient toute leur vie tellement c’était génial, j’avais l’impression qu’on me piétinait le coeur. Pourquoi, moi, je ne m’en souvenais pas? Qu’est-ce qui n’allait pas chez moi? Alors oui, j’avais envie d’être réparé. Que mon cerveau refonctionne normalement, et que mon passé me revienne.

C’est pourquoi je suivais à la lettre les conseils de mon médecin. Ces derniers étaient : rester dans un environnement que j’avais l’habitude de fréquenter, avec des gens qui étaient importants pour moi ; aller voir un psy, un hypnotiseur ou ce genre de conneries pour faire remonter le subconscient et la mémoire ; ainsi que suivre des séances de rééducation. Rééducation du cerveau? Ça existait, ça? J’savais même pas vraiment en quoi ça consistait, mais j’me retrouvais là, assis sur un fauteuil en face de cette jeunette. « T’es pas un peu trop jeune pour être neuro-chirurgienne? » J’avais une légère grimace sur le visage. « No offense hein, c’est juste que j’te confie quand même mon cerveau. » C’était pas comme si elle allait m’opérer, no big deal — mais je dramatisais quand même la chose, comme si ça allait lui faire prendre conscience de la situation et qu’elle soit plus attentive. « Enfin, j’vais pas t’apprendre ton métier. » J’parlais trop. C’est pas d’ma faute, j’étais nerveux. « Bon, on y va? J’sais même pas c’que j’fais là pour être honnête. » Est-ce qu’elle était au courant de ce qu’il s’était passé? Sûrement. Mais ça ne m’empêchait pas d’me taire. « J’sais pas si tu sais mais, j’étais dans un hélico qui s’est crashé apparemment et j’ai eu une hémorragie cérébrale. Et quand j’me suis réveillé, ben… Le noir total. Ça arrive, le médecin m’a dit. C’est sûrement à cause de l’hémorragie. Enfin, j’en sais rien moi. Bref. » J’étais assez sociable et parler ne me dérangeait pas. Mais j’allais m’arrêter là et lui laisser en placer une quand même, parce que là c’était un peu too much.

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Je n’avais définitivement pas la tête à voir un patient aujourd’hui, mais malheureusement pour moi, la vie n’arrête pas d’avancer parce qu’on se fait larguer par son petit ami parce qu’apparemment il a envie d’aller baiser la salope de service de la Eliot House. Bref. J’arrive d’avance à l’hôpital pour m’installer sagement et prendre compte du dossier. Ah oui, Elliot Timothy Maxwell, 23 ans. Un cas de perte de mémoire suite à un choc poste traumatique à la tête. J’étais présente lors de l’opération ce qui me donne une certaine intimité avec le cas. Pauvre gars… perdre la mémoire si jeune. Malgré tout, les études démontrent clairement une amélioration voir guérison totale suite à certain exercice après l’accident. Une question de rigueur et de volonté j’imagine.

Tu arrives finalement et déjà, je sens que ça ne sera pas facile. « T’es pas un peu trop jeune pour être neurochirurgienne? » Je te regarde légèrement surprise. « Je ne le suis pas, enfin pas encore. » « No offense hein, c’est juste que j’te confie quand même mon cerveau. » J’hoche malgré tout la tête, consciente que ça peut être légèrement alarmant, mais ça ne rend pas la chose impossible. Je sais ce que je fais et puis, tu n’as pas le crâne ouvert présentement, pas vrai? « Enfin, j’vais pas t’apprendre ton métier. » Non, en effet. « Bon, on y va? J’sais même pas c’que j’fais là pour être honnête. » C’est que t’es sacrément bavard en fait! J’ai réussi à placer quoi, deux mots depuis qu’on est là? « J’sais pas si tu sais mais, j’étais dans un hélico qui s’est crashé apparemment et j’ai eu une hémorragie cérébrale. Et quand j’me suis réveillé, ben… Le noir total. Ça arrive, le médecin m’a dit. C’est sûrement à cause de l’hémorragie. Enfin, j’en sais rien moi. Bref. » Je ris doucement. « Oui, je connais bien le cas. J’étais présente lors de l’opération, non pas que vous puissiez le savoir, m’enfin. » Ça me fait tout drôle de vouvoyer un patient plus jeune que moi, malgré tout, c’est la politique de l’hôpital alors je n’ai pas trop le choix. « Aujourd’hui, je crois qu’on va s’en tenir à de simple exercice. D’abord, vous allez me dire ce que vous vous souvenez de votre vie durant les semaines qui ont suivis l’accident. »
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Elle n’est pas neurochirurgienne. D’accord, mais au moins elle est honnête. C’est déjà un bon point nan ? De toute façon, c’est pas comme si c’était elle qui allait m’ouvrir le crâne avec un scalpel. Elle allait peut-être me donner des maux de crâne, mais rien de bien méchant j’espérais. Alors, moi aussi je jouais la carte de l’honnêteté. Je lui racontais ce que je faisais là, comment j’en étais arrivé là – bref, le speech que je donnais à tout le monde depuis déjà deux semaines. « Oui, je connais bien le cas. J’étais présente lors de l’opération, non pas que vous puissiez le savoir, m’enfin. » J’écarquillais les yeux et haussais un sourcil dans l’étonnement. J’attendais pas cette réponse de sa part. « Alors déjà, de un, je pense qu’on peut se tutoyer, parce que si c’est trop sérieux j’vais vraiment commencer à flipper. De deux – attends, t’étais là ? Genre, t’as vu mon cerveau ? Tu m’racontes comment c’était là-dedans ? » Ouais, ma curiosité me perdra un jour, mais en attendant, c’était plutôt cool ce qu’elle me disait là. Alors je voulais en savoir plus. « Aujourd’hui, je crois qu’on va s’en tenir à de simple exercice. D’abord, vous allez me dire ce que vous vous souvenez de votre vie durant les semaines qui ont suivis l’accident. » « Le tutoiement, j’ai dit. » répétais-je en roulant des yeux. Puis, je prenais quelques instants pour réfléchir à sa question. « Je sais pas trop. On m’a raconté, expliqué, beaucoup de choses me concernant et concernant ma vie en général. Parfois, la limite entre ce que les gens m’ont rapporté ou ce dont je me souviens est assez… floue. Comment j’peux savoir si c’est des souvenirs ou juste l’influence des autres ? J’sais pas, j’ai l’impression qu’à force d’y penser et d’avoir entendu les mêmes choses, je me suis convaincu de la chose et elle est devenue… réelle. » Peut-être que ce que je disais était incompréhensible. Peut-être qu’au contraire elle voyait parfaitement de quoi je parlais. Quoi qu’il en soit, pour moi, c’était vraiment bizarre depuis l’accident. « J’suis pas un idiot. » ajoutais-je après quelques secondes de silence. « Je sais ce que les gens pensent – je suis un idiot d’avoir piloté un hélico et l’accident est sûrement de ma faute. Mais c’est pas le cas. J’ai mon permis, et je sais piloter. C’était pas de ma faute. » Est-ce que c’était elle que j’essayais de convaincre, ou moi ?

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Apparemment, ma confession te surprenait. Dans le bon sens j’espère, parce que j’aurais pas voulu qu’on parte sur de mauvaises bases. Après tout, cette session n’est que la première de plusieurs. « Alors déjà, de un, je pense qu’on peut se tutoyer, parce que si c’est trop sérieux j’vais vraiment commencer à flipper. De deux – attends, t’étais là ? Genre, t’as vu mon cerveau ? Tu m’racontes comment c’était là-dedans ? » J’esquisse un sourire. « Oui, j’ai vu votre cerveau. Enfin, une partie de ce dernier. Il cerveau très intéressant ma foi. » Je te taquine, j’espère que tu t’en rends compte. Malheureusement, je n’ai pas grand-chose à en dire, les dommages étaient visibles, nous avons fait notre possible. J’enchaine donc avec les exercices du jour histoire de changer de sujet et d’entrer dans l’action. « Le tutoiement, j’ai dit. » Oui, c’est vrai. « Je sais pas trop. On m’a raconté, expliqué, beaucoup de choses me concernant et concernant ma vie en général. Parfois, la limite entre ce que les gens m’ont rapporté ou ce dont je me souviens est assez… floue. Comment j’peux savoir si c’est des souvenirs ou juste l’influence des autres ? J’sais pas, j’ai l’impression qu’à force d’y penser et d’avoir entendu les mêmes choses, je me suis convaincu de la chose et elle est devenue… réelle. » Je pince les lèvres en t’écoutant, prenant des notes dans un cahier devant moi. « Je sais que c’est flou. C’est pourquoi je préfère qu’on se concentre sur ce que tu sais plutôt que ce que tu as oublié. Parle-moi de ta vie depuis l’accident et non avant. » C’est important de garder un suivit pour le progrès et faire des petits pas au départ est préférable pour ne pas décourager le patient. Nous pourrons revenir au passé une autre fois, aujourd’hui, je veux travailler la mémoire à court terme. « J’suis pas un idiot. » Je relève rapidement les yeux sur toi. « Pourquoi serais-tu un idiot? » « Je sais ce que les gens pensent – je suis un idiot d’avoir piloté un hélico et l’accident est sûrement de ma faute. Mais c’est pas le cas. J’ai mon permis, et je sais piloter. C’était pas de ma faute. » J’esquisse un sourire et passe ma main sur le bureau qui nous sépare pour la poser sur la tienne, réconfortante. « Ne t’en fais pas Elliot. Je ne suis pas là pour te juger. »
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Cerveau très intéressant? Elle était marrante. « J’étais fort abîmé, docteur? » C’était une façon plus légère de poser la question. En réalité, j’avais peur de la réponse. J’étais abîmé. Je le savais. Mon amnésie en était la preuve vivante et le post-it pense-bête constant de mon état. Et d’ailleurs, pour qu’elle voit à quel point j’étais endommagé, je lui faisais part de ma vision des choses. Le doute entre le réel et le fictif. La vérité et cette dernière un peu déformée, remodelée à souhait par les personnes qui m’entourent. Et elle, elle prend des notes au fur et à mesure que les mots sortent de ma bouche, et moi, je ne sais pas si ça me plait. Je sais bien évidemment que c’est son travail, mais j’suis pas sûr d’avoir autant confiance en quelqu’un pour qu’il puisse garder des anti-sèches sur ma personne. « Je sais que c’est flou. C’est pourquoi je préfère qu’on se concentre sur ce que tu sais plutôt que ce que tu as oublié. Parle-moi de ta vie depuis l’accident et non avant. » Ok, d’accord. Bon, déjà, elle était compréhensive. Et rassurante. Et elle n’était pas comme ce connard de psy qui me suivait aussi, à essayer de me pousser à bout pour que je crache ce qu’il souhaite entendre. Mais je ne répondais pas tout de suite à sa question. A la place, je laissais mes pensées se balader dans mon cerveau, avant de prononcer à voix haute ce qui me traversait l’esprit. Je n’étais pas stupide, et cet accident n’était pas de ma faute. Sa réaction est de loin la dernière que j’attendais. Elle pose sa petite main sur la mienne et sourit. « Ne t’en fais pas Elliot. Je ne suis pas là pour te juger. » J’hochais la tête, un peu ébranlé par autant de réconfort. Mes pupilles bloquaient sur sa main par-dessus la mienne, contact dont j’avais peu l’habitude. « T’as pas besoin d’être aussi douce avec moi, tu sais. J’vais pas me casser en deux. » Je suis pas faible, me retenais-je d’ajouter. Mais… « Merci, j’suppose. » J’étais vraiment pas doué niveau sentiments, peu importe ce qu’ils soient. Pour m’échapper de cette situation un peu trop gnangnan à mon goût, je décidais que c’était le bon moment pour répondre à sa question. « J’me suis réveillé avec un mal de crâne horrible. Le médecin est venu — ton référent, je pense — et m’a brièvement expliqué la situation. Puis mes parents sont rentrés, mais je ne les ai pas reconnus. Et puis, y’avait cette fille, complètement timbrée… Julia. Elle s’est fait passée pour ma fiancée. J’ai découvert seulement quelques jours après que j’étais loin d’être le gars à marier. Je croise souvent des gens, dans la rue ou sur le campus, qui viennent me parler comme si de rien n’était et d’un côté c’est bien, mais de l’autre, je ne les reconnais pas. Après, y’a ceux qui en font tout un plat. Comme si le crash était l’évènement du siècle. Alors que vraiment, c’est pas grand chose. » Du moins, c’était ce que je me répétais pour me convaincre moi, que rien de tout ça n’était très grave.

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« J’étais fort abîmé, docteur? » C’est une bonne question à laquelle je me garde de répondre pour le moment. À quoi bon te dire ce que tu sais déjà? Le médecin responsable de ton opération t’aura à coup sûr déjà tout expliqué et il ne servirait à rien de tourner le couteau dans la plaie. Tu es abimé oui. Mais pas irréparablement selon moi. Il y a tant de progrès avec la médecine moderne, moi en tout cas, j’y crois. Je t’explique donc que je préfère t’entendre parler de fait connu plutôt que de souvenir flou ou de mémoire induite par ton entourage. Tu me fais part de tes impressions, de ce que les gens peuvent penser et je n’aime pas cet ombre sur ton visage. Aussi je me permets donc de poser ma main sur la tienne, un geste qui se veut réconfortant et qui semble te prendre par surprise. Je ne suis pas là pour te torturer Elliot, simplement pour t’aider. « T’as pas besoin d’être aussi douce avec moi, tu sais. J’vais pas me casser en deux. » J’esquisse un sourire, je sais bien ce que tu veux dire, mais ne dit pas. T’es pas fragile, t’es pas faible. « Certes. Mais tout le monde a besoin d’un peu de réconfort de temps à autre. » « Merci, j’suppose. » J’hoche la tête et retire ma main. Il y a une ligne à tracer en tant que médecin avec son patient et je dois faire attention de ne pas la franchir. Il ne faudrait pas que tu interprètes cela de la mauvaise manière. « J’me suis réveillé avec un mal de crâne horrible. Le médecin est venu — ton référent, je pense — et m’a brièvement expliqué la situation. Puis mes parents sont rentrés, mais je ne les ai pas reconnus. Et puis, y’avait cette fille, complètement timbrée… Julia. Elle s’est fait passer pour ma fiancée. J’ai découvert seulement quelques jours après que j’étais loin d’être le gars à marier. Je croise souvent des gens, dans la rue ou sur le campus, qui viennent me parler comme si de rien n’était et d’un côté c’est bien, mais de l’autre, je ne les reconnais pas. Après, y’a ceux qui en font tout un plat. Comme si le crash était l’évènement du siècle. Alors que vraiment, c’est pas grand-chose. » Alors que tu parles, je continue de prendre des notes. Les choses n’ont vraiment pas été faciles pour toi alors. J’aimerais en savoir plus sur cette Julia, mais je crois que c’est plutôt de la curiosité, rien à voir avec du professionnalisme alors je laisse couler, demandant plutôt : « Il y a d’autre personne qui t’ont fait croire des choses? Sur toi ou sur votre supposé relation? »
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Son silence à ma question fatidique en disait long. Ça risquait d’être difficile. La rééducation, l’insertion dans le monde extérieur, retrouver mon ancienne vie et redevenir mon ancien moi. Mais elle n’avait pas besoin de me couver, d’être aussi douce. Je pouvais encaisser. « Certes. Mais tout le monde a besoin d’un peu de réconfort de temps à autre. » J’haussais vaguement les épaules. Si elle le disait. J’étais pas trop calé niveau réconfort, empathie et autres. Mais j’appréciais l’effort qu’elle faisait. Elle reprenait sa main qui était jusqu’alors posée sur la mienne, étrangement. Et je lui racontais ce qu’il s’était passé à mon réveil, après le crash, après l’opération, après la perte de mémoire. Non sans mentionner Julia. J’avais fraichement pas envie de penser à elle ni même d’en parler parce que ça lui donnait de l’importance et j’la détestais sincèrement, mais c’était sûrement un point à ne pas dissimuler envers Lily. « Il y a d’autre personne qui t’ont fait croire des choses? Sur toi ou sur votre supposé relation? » Je secouais la tête. « Je pense pas. Les autres ont été plutôt cool, en fait. Ils m’aident beaucoup. » Ça, c’était vrai. Eliot, Emrys, Nate, Lucky… Ils avaient tous été là pour moi. « Comment on va procéder alors? Nos séances, ça va consister en quoi? Ça va être long? Ça a déjà été testé? Ça a montré des résultats positifs? » Ouais, j’avais retenu mes questions un peu trop longtemps et maintenant elles fusaient. Les vieux symptômes de mes troubles de l’attention, dont j’avais eu connaissance par ma mère.

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Je n’aimais pas savoir que des gens avaient pu profiter de toi ou de ta situation. D’ailleurs, j’aurais détesté apprendre ce genre de chose si ça avait concerné un membre de ma famille. Pourtant, lorsque tu parlas d’une certaine Julia, je ne pouvais qu’espérer que ce ne soit pas la seule Julia que je connaissais. C’était une amie alors… voilà quoi. Je vous laisse imaginer le conflit d’intérêt. « Je pense pas. Les autres ont été plutôt cool, en fait. Ils m’aident beaucoup. » J’hochai la tête, légèrement soulagé, prenant encore quelques notes avant de relever les yeux sur toi. « Comment on va procéder alors? Nos séances, ça va consister en quoi? Ça va être long? Ça a déjà été testé? Ça a montré des résultats positifs? » Je souris, contente de voir que tu ne te laissais pas facilement abattre en fin de compte. T’es un mec vif d’esprit et tu sembles avoir un demi-million de question. Heureusement, j’ai quelques réponses pour toi. « C’est tout simple en fait. Tes séances avec moi consisteront à des exercices de mémoire à court et à long terme. Ça prendra le temps que ça prendre, c’est différent pour chaque personne et oui, ça a déjà montré des résultats positifs. » Je souris et pose finalement mon crayon sur le bureau. « Ça te convient comme plan d’action? » oui parce que la base demeure malgré tout que tu sois d’accord et partant. Sans ça, on n’ira nulle part.
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Après les présentations et les questions de banalité, il fallait passer aux choses sérieuses. Est-ce qu’elle avait un plan d’action? Elle devait en avoir un. C’était une pro, après tout. Elle savait ce qu’elle faisait. Alors comment ça allait se passer? « C’est tout simple en fait. Tes séances avec moi consisteront à des exercices de mémoire à court et à long terme. Ça prendra le temps que ça prendre, c’est différent pour chaque personne et oui, ça a déjà montré des résultats positifs. Ça te convient comme plan d’action? » Ok, d’accord. « Oui docteur. » répondis-je en souriant. « On ferait mieux de s’y mettre du coup, non? J’commence par quoi? » Est-ce qu’elle allait me donner trois mots à répéter dans quelques minutes, une suite de chiffre, le jeu de mémo d’images? Des trucs comme ça? Ou alors j’étais complètement à côté de la plaque. Faut dire que tout ça, c’était des trucs que je citais à force de regarder la télé. P’têtre pas la meilleure culture médicale…

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