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Ezio avait eu sa vengeance, il en était tellement fier. Louison avait râlé parce que les serviteurs auraient éventuellement pu voir son intimité mais elle ne trompait personne. Elle était assez exhibitionniste comme fille ou du moins, c'était l'impression qu'elle donnait à son homme. Une fois reposé par terre, un pingouin en costume s'avança vers eux et leur demanda ce qu'ils voulaient faire. Il ne mit pas longtemps avant de donner ses directives, ses ordres. Le serviteur les fit entrer et ensemble, ils traversèrent le gigantesque hall d'entrée. Le blondinette fit un petit commentaire sur l'ampleur et la beauté des lieux. Un commentaire dont le Quincy ne risqua aucune parole, il ne répondit pas et fit semblant de ne pas avoir entendu sa remarque. Tout allait trop vite entre eux, beaucoup trop vite. Voilà que Louison parlait déjà de gosses. C'était presque dans la logique des choses, ils se fiançaient un mois après le début de leur relation, ils n'étaient pas à ça près. Une fois arrivé dans ce qui semblait être les vestiaires, le serviteur vint leur bassiner quelques mots qu'Ezio commenta d'un « vous pouvez disposer » fier. Il adorait donner des ordres, cela faisait ressortir son côté dominant et macho. Quoiqu'il en soit, il regarda autour de lui mais son attention fut rapidement capté par la blondinette qui lança un regard assassin. Qu'est ce qu'il avait encore fait. Il fronça les sourcils, il détestait ses changements d'humeurs. Putain, elle devait avoir des gènes de schizophrène celle-là. Il n'eut pas le temps de dire quoique ce soit, qu'elle s'approcha de lui pour venir l'embrasser avec fougue. Elle lui donna un baiser fiévreux et acharné auquel il répondit sans se faire prier. Posant ses mains sur elle, Ezio se délecta de ce baiser intense qu'elle lui donna et lorsqu'elle y mit fin, il reprit son souffle sans la lâcher des yeux. Il afficha un large sourire, ravi d'avoir réveillé la bête sauvage, la tigresse qui sommeillait en elle. Louison lui enleva sa veste ainsi que sa chemise avant de s'attaquer à la fermeture de son pantalon. « On s'en fou, on est pas du genre à être raisonnable nous ... » répondit-il, absorbé par l'impatience dont elle pouvait faire preuve à cet instant précis. « Ils attendront ces cons. »Si elle voulait qu'il l'arrête, elle aurait choisi une autre excuse.
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Les deux amants étaient incapables de se contenir, qu'ils soient en public ou en privé, ils étaient animés par le feu et l'envie de l'autre. Ezio ne savait pas lui résister, il avait toujours envie d'elle, c'était dingue l'effet qu'elle pouvait lui faire. Louison avait dû lui lancer un sort, ce n'était pas possible autrement. Alors qu'ils se trouvaient dans un vestiaire et que du monde les attendait, ils avaient trouvés le moyen de se rapprocher et de succomber à la passion qui les rapprochait inévitablement.
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Ezio était fier de lui faire autant d'effet. Il arrivait à jouer aux montagnes russes avec son excitation, la baladant comme il le voulait, quand il le voulait. Enfin, c'était l'impression qu'il avait car en réalité, Louison avait beaucoup d'emprise sur lui qu'il ne le pensait. Elle le menait par le bout du sexe sans même qu'il ne s'en rende compte. Amusé par la situation, il enroula une serviette autour de son bassin et la laissa reprendre ses esprits. Evidemment, la petite Chamberlain se mit à bouder dans son coin et décida de se venger. Elle se couvrit qu'à moitié, laissant apparaître sa poitrine aux yeux de tous. « Attends, tu vas pas sortir comme ça. » grogna-t-il d'un air faussement inquiet. En réalité, il voulait juste voir si elle en était capable ou non. Et bien pas manqué, Louison agrippa la poignée et ouvrit la porte, se dévoilant ainsi au reste du personnel. Amusé, Ezio attrapa son portable et la suivit sans tarder. Il arriva à sa hauteur et vint ralentir sa cadence pour rester derrière elle. « Si j'en surprends un à reluquer ma femme, je ne paye pas le séjour ! » gueula-t-il en rigolant. Il leva les yeux vers les serviteurs qui détournèrent tous le regard, les uns après les autres. Il éclata de rire en se sentant surpuissant. Le Quincy mit le mode vidéo sur son portable et filma la démarche féline de Louison. Ce n'était pas tous les jours qu'il pouvait la voir perchée sur des hauts talons, faire sa femme fatale. Il adorait ça. « C'est à qui ce corps de rêve ? C'est à bibi ! » s'amusa-t-il à dire en sifflotant. Ezio était tellement fier de sa sublime créature. Il mit fin à la vidéo et se trouva bien con en captant qu'il n'avait pas de poche pour le ranger. Au final, son téléphone allait le faire plus chier qu'autre chose. Les deux amants arrivèrent dans une immense pièce où se tenait une grande piscine, un spa, des tables de massages, un hammam et même un sauna. Bref, la totale. « Tout est à votre disposition. » Ezio regarda la femme et afficha un mince sourire. « Laissez-nous, on vous fera savoir si on besoin de vous. » Il l'envoya balader en reposant son attention sur Louison qui était juste à côté d'elle. Machinalement, il tira sur la serviette pour la dénuder. « T'as plus besoin de ça maintenant. » Ezio avait envie de jouer, ça se voyait. « Bon, tu veux faire quoi ? »
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Louison avait rangé sa pudeur au placard pour une simple histoire de vengeance. Elle déambulait à présent en petite tenue, devant une dizaine d'inconnus qu'elle regardait la tête haute. En se retournant par la suite pour chercher la réaction de son fiancé, elle l'aperçut derrière elle en train de filmer son défilé. Quel culot ! Elle lui tira alors la langue, l'entendant prévenir le personnel de ne pas la reluquer, elle, sa femme. Le petit con ! Alors qu'elle souhaitait lui foutre la rage, il était en train de la faire craquer encore plus. La blonde pestait en silence tandis que son amant s'exaltait sur sa démarche et sur le fait qu'elle lui appartenait. Malheureusement, Louison ne pouvait s'empêcher de sourire bêtement, gardant tout de même le silence pour ne pas le laisser la remporter une fois de plus. Elle avait juste tendu sa main nouvellement décoré, lui offrant un doigt d'honneur bien mérité. Assez vite et guidée par une femme, elle avait déboulé dans une salle impressionnante qui comprenait à elle toute seule de nombreux services. La Mather avait laissé Ezio gérait l'intrus, ce dernier avait d'ailleurs choisi de renvoyer la femme dans ses quartiers pour qu'ils se retrouvent une fois de plus en tête à tête. Excellente idée. À peine débarrassée de cette dame, l'italien avait tiré sur la cape de la blonde avec son air tout content qu'elle haïssait quand elle était en colère contre lui. Maintenant qu'il l'avait frustré, c'était à elle de faire en sorte qu'il ressente l'équivalent. " On fait quoi ? " avait-elle répété avant de l'imiter et de dénouer la serviette autour de sa taille " Égalité " murmura-t-elle en s'avançant encore plus près de lui, laissant ses seins nus s'écraser contre son torse un peu plus frais. La française avait ensuite enroulé ses bras dans la nuque de son homme, regardant par dessus son épaule. Ses prunelles s'étaient rapidement arrêtées sur la piscine au centre de la pièce, une piscine énorme et éclairée " Scorsese... " avait-elle susurré à son oreille en effleurant cette dernière de ses lèvres tout en remontant sa main dans sa nuque puis sur l'arrière de son crâne rasé. " Attrape moi si tu peux ! " avait-elle tout à coup crié en riant, s'écartant de lui à toute vitesse pour taper un sprint vers la piscine. La jeune femme avait rapidement plongé sous l'eau, nageant plusieurs mètres sous la surface pour rejoindre le centre et réapparaître. Le fond n'était pas bien profond, car elle avait pied. L'étudiante s'était ensuite retournée vers le brun qu'elle avait abandonné, pressant ses paumes sur sa chevelure trempée. Son regard charbonneux devait se faire la malle mais elle s'en fichait totalement, au contraire, elle devait être encore plus sexy de cette manière. Le visage à moitié immergé, la blonde fixait ardemment son homme au loin, le guettant comme une proie ou plutôt comme un redoutable prédateur qu'elle était prête à fuir " Je me sens si seule... " avait prononcé la jeune femme en s'adressant au plafond, les bras étendus de par et d'autre de son buste. " Ô Puissance divine, envoyez moi un homme qui sache satisfaire la petite nympho que je suis ! " avait-elle terminé par manifester en se laissant flotter sur le dos tout en prenant soin d'ignorer l'italien. Le but : le provoquer et l'appâter, rien de plus.  
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Ezio n'avait pas hésité une seule seconde avant d'envoyer chier la servante. Il voulait se retrouver seul avec celle qui avait accepté de l'épouser. Il avait envie de passer le plus de temps possible en sa compagnie, rien qu'elle et lui, dans leur bulle. La complicité rythmait leur relation, à tel point qu'il lui enleva sa serviette, la foutant à poil. Et d'ailleurs, Louison ne tarda pas à faire de même, dévoilant ses petites fesses musclées dont il était tellement fier. « C'est de bonne guerre, je ne peux rien dire. » dit-il en rigolant en bougeant les fesses de droite à gauche. Il adorait se mettre tout nu, c'était sa spécialité. La blondinette s'approcha de lui et vint enrouler ses bras autour de son cou pour le coller sans la moindre gène. Attendrit par ses beaux yeux bleus, il posa ses mains sur ses hanches. « Hm ? » marmonna-t-il en la dévorant du regard. Ezio n'eut pas le temps de réagir que la blondinette plongea dans l'eau et nagea jusqu'au milieu pour lui échapper. Amusé, il se tourna vers elle et croisa ses bras contre son torse. Sa bouche s'entrouvrit lorsqu'elle sortit de l'eau au ralenti, plus sexy que jamais. L'eau ruisselait sur ses bras, sur sa fine poitrine. Il la contempla, incapable de dire ou faire quelque chose. Il s'approcha néanmoins du bord de la piscine et marcha pour se rapprocher du milieu où elle était. « C'que t'es bonne Louison ... » dit-il en contournant la piscine tel un prédateur sauvage. « T'as voulu jouer mais au final, c'est toi qui te retrouve seule au milieu de la piscine, à implorer que j'vienne te satisfaire. » s'amusa-t-il à dire en sifflotant. Ezio vint s'asseoir sur le rebord, mettant ses mollets dans l'eau. « Supplies moi encore ! » dit-il en faisant aller ses jambes pour lui envoyer de l'eau. « Tu boudes parce que j'peux t'exciter et te refroidir en une fraction de seconde ? Tu sais que t'as le même effet sur moi ? Parfois quand tu m'regardes avec ton regard de braise là, tu m'rend complètement dingue ! » s'amusa-t-il à dire en se dévoilant légèrement. Ouais, Louison pouvait le manipuler comme bon lui semblait, il en avait conscience mais ne l'avouait pas. Maintenant qu'ils étaient fiancés, ils pouvaient évoquer tous les sujets sans le moindre tabou.
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Juste par fierté, Louison pouvait rester au milieu et l’ignorer jusqu’à ce qu’il en ait marre et abandonne. Elle ne voulait pas qu’il gagne, absolument pas. Des rictus la trahissaient néanmoins à chaque mouvements et syllabes prononcées par son homme. Il la manipulait, c’était sa putain de poupée et elle n’arrivait plus à se défaire de son emprise. La Mather le fixait en silence, ne bougeant que ses prunelles pour suivre sa trajectoire. Puis, il avait enfin terminé par s’asseoir pour plonger ses mollets dans l’eau afin d’éclabousser la française comme un gamin. Louison n’avait pas sourcillé, le laissant lui en mettre plein la gueule sans s’insurger. Elle avait juste hoché lentement la tête de gauche à droite lorsqu’il lui avait gueulé de le supplier. Oh non, c’était terminé ça ! Néanmoins, face à la confession de son amant, la jeune femme s’était redressée, marchant en direction du brun perché sur le bord de la piscine. Après avoir lutté contre la pression de l’eau, la blondinette s’était plaquée contre la paroi, entre les jambes de son homme. Elle avait ensuite empoigné une de ses chevilles et avait apporté le mollet à sa bouche pour le parsemer de baisers. Son regard ne quittait pas celui de son italien et se montrait particulièrement rempli de provocation « Tu parles de ce regard ? » avait-elle dit posément en tirant désormais sur les deux jambes de son fiancé « Tu sais ce qui me rend complètement dingue moi ? C’est de me réveiller à tes côtés chaque matin et pouvoir t’embrasser quand tu dors encore… C’est aussi de te tenir la main en plein campus, de t’entendre rire, de manger tes pâtes, de te voir râler, de te rassurer, de me disputer avec toi pour te retrouver encore plus fort… » lui avait-elle confié en caressant sa peau mouillée sous ses pouces. Louison était en train de s’enflammer et d’ouvrir son coeur, après avoir embrassé une nouvelle fois le muscle de son mollet, la jeune femme avait aussitôt repris « C’est aussi de sentir ton corps contre le mien quand tu me fais l’amour, bien évidemment. Ou quand tu me prends de manière plus que sauvage comme une petite traînée... Mais... Ce qui me rend le plus folle, c’est quand il t’arrive de rares fois de me dire que tu m’aimes, en français, en anglais et surtout en italien, avec ton petite sourire tellement sexy... » avait-elle terminé par confessé en lâchant son fiancé pour reculer de nouveau dans la mare géante, se mordillant la lèvre inférieure en observant l’homme de sa vie.  
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Ce genre de moment était assez rare venant d'Ezio. Il avait du mal à se confier et laissait toujours sa fierté prendre le dessus sur lui. Il était ainsi depuis tellement d'années, c'était juste une façon de se protéger. Mais aujourd'hui, il n'en avait plus rien à foutre. Louison connaissait légèrement son côté sensible et l'incitait même à le faire ressortir plus souvent. Ce n'était pas évident pour lui mais il essayait du mieux qu'il pouvait. Après l'avoir provoqué, le Quincy la regarda s'approcher et se coller contre le rebord de la piscine, entre ses jambes. « Tu sais que c'est dangereux de venir là. » s'amusa-t-il à dire pour la faire chier mais la blondinette ignora presque ses mots et décida d'être un peu plus sérieuse que lui. Louison se livra sur son quotidien en sa compagnie. Ses paroles étaient touchantes, il ne savait plus quoi dire. Ezio ne le montait pas mais intérieurement, il appréciait ce qu'elle disait, il aimait être au centre de son intérêt. Il se plaisait à savoir tout ça. Alors comme ça elle lui faisait des bisous pendant qu'il dormait ? C'était juste trop mignon. Il afficha un sourire sincère en l'écoutant parler. La Mather embrassait son mollet musclé, ça l'amusait. « Hm. » murmura-t-il lorsqu'elle fit une petite pause. Louison se confia sur leurs relations intimes et sur son charme devenu légendaire. Ezio était juste conquis face à ces aveux. Il la regarda s'éloigner et décida d'ouvrir également son coeur, tout en la fixant dans les yeux. « Tu sais Louison, j'ai souvent envie de te dire de belles choses mais j'ai envie d'le faire en italien. Le problème c'est que tu ne vas rien comprendre ... alors je m'abstiens. Mais ce soir j'ai envie de tout te dire, moi aussi. Dal momento che ti conosco, non posso vivere correttamente. Tu perdi i miei pensieri, penso solo di te, tutto il tempo. Ca fait qu'un mois et demi qu'on est ensemble mais j'ai l'impression de te connaitre depuis toujours, c'est dingue comme sensation. J'pense à toi tout le temps, j'suis comme ensorcelé. Toutes les autres filles me paraissent fades à côté de toi. Sei così bella Louison. J'suis fier de m'afficher avec toi, t'es une putain de chieuse mais t'es ma chieuse. J'veux être le seul dans ta vie et j'éliminerais tous les prétendants les uns après les autres. C'è solo tu e me ... rien de plus. Ti amo il mio amore, ti amo per sempre ... » finit-il par avouer, à coeur ouvert. Ezio décida se sauter dans l'eau. Il se laissa glisser pour venir mettre son corps dans l'eau tiède de la piscine. Il mit sa tête entièrement dans l'eau avant de refaire surface et d'arranger ses cheveux en arrière pour ne pas être emmerdé. Il la regarda enfin et pencha sa tête sur le côté. « J'ai mérité un petit câlin là nan ? » s'amusa-t-il à dire en haussant un sourcil pour qu'elle vienne lui faire son fameux câlin.
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Louison le désirait plus que tout mais ses pulsions s'étaient assagies ponctuellement. Si son corps et sa gestuelle ne suffisaient plus à l'attirer, elle s'y prendrait autrement, en ouvrant simplement son coeur. La française n'avait jamais été une grande sentimentale mais avec Ezio, tout était susceptible d'évoluer selon les situations. Plongée dans l'eau, quasiment toute nue, la Mather n'avait pas hésité une seule seconde à lui déballer ce qui la comblait de bonheur au quotidien avec lui. Son objectif était tout con, le faire descendre de là-haut avec cet élan de sincérité, juste ça. En réalité, elle ne s'était pas attendue à ce qu'il lui rende la monnaie de sa pièce. À quelques mètres de lui, tout en caressant la surface de l'eau, Louison soutenait profondément le regard du Quincy tandis qu'il lui offrait une déclaration enflammée. Son discours était entrecoupé de phrases dictées dans un italien dès plus séduisant dont elle en saisissait globalement le sens grâce à sa fascination pour ce pays. Elle n'en revenait toujours pas, cela ne faisait qu'un mois et demi qu'ils se fréquentaient amoureusement et tout était déjà si puissant. Le visage de la blonde s'était décrispé progressivement pour laisser place à un large sourire conquis. Sempre. Ce mot résonnait en elle et elle espérait fortement que leur couple puisse résister dans le temps à n'importe quelle crise, pour toujours. Il était son roc, l'objet de tous ses désirs et de toutes ses espérances. Finalement, après leurs échanges passionnés, le brun s'était laissé coulé dans la piscine. Louison se remémoraient ses paroles dans son coin, quelque peu rêveuse et apeurée. Elle craignait dorénavant de le perdre et de la merde qu'elle deviendrait si cela se produisait. Ses défenses n'existaient plus, elle était à découvert et elle offrait radicalement sa vie entre les mains d'Ezio. La Mather barbotait dans l'eau, contemplant son fiancé avec admiration. " On dirait que tu tournes une pub pour un parfum ! " balança-t-elle en rigolant tout en se servant de ses mains pour réaliser un cadre. Fermant un oeil, elle suivit la progression du jeune homme à travers la jonction de ses pouces et de ses index qui servaient d'objectif imaginaire  " Avance au ralentiiiii " s'amusa-t-elle à crier avant d'abandonner sa connerie pour répondre à la demande son homme. Tant pis, elle allait perdre mais c'était pour la bonne cause. Elle se dirigea alors vers lui avec sa moue de chien battu, la tête baissée. Elle heurta d'ailleurs le torse du brun à cause de sa bêtise et toujours tête baissée, elle l'encercla de toutes ses forces, sentant ses os contre elle et sa taille se resserrer légèrement avec son étreinte musclée. " Merci pour tout ce que tu fais pour moi. " murmura-t-elle la joue entre ses pectoraux avant de relever son visage vers lui, le menton posé sur son plexus solaire " J'aimerais te dire quelque chose mais j'ai peur que tu le prennes mal, pourtant, si on en est à ce stade, ça doit être légitime de le penser. " lui adressa-t-elle mystérieusement en descendant ses mains sur ses fesses, affichant un petit sourire diabolique alors qu'elle était tout ce qui a de plus sérieuse " Je crois que tu es mon âme soeur. Ou l'amour de ma vie, ou les deux, je n'en sais rien. Tu es tout ce que je veux jusqu'à la fin de mes jours Ezio. Est-ce que tu pourrais maintenant m'embrasser, très lentement, comme la première fois, quand tu m'as embrassé sur cette place et que mon coeur s'est emballé comme un ouf " le supplia-t-elle durant quelques secondes avant de lui tirer la langue et de tabasser la surface pour l'asperger comme une malade " Excuse moi, crise passagère de folie " elle éclata alors de rire, essuyant le visage de son fiancé avec tendresse, collant sa poitrine contre son torse ruisselant. Elle termina ensuite par embrasser le diamant à son doigt en fixant  le bel âtre " Si tu pouvais aussi me faire l'amour comme la toute première fois... Au moins, je n'aurais normalement pas mal cette fois-ci... Tu avais une telle fureur dans tes yeux, je me sentais si petite, si effrayée. J'aime tellement quand tu me domines chéri... "   
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