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Ezio était débordé avec tous ses sacs. Déjà qu'il avait du mal à tenir debout sur ses jambes, voilà qu'il peinait à monter les quelques marches de l'escalier de son immeuble. Il dû s'arrêter au milieu pour faire une courte pause, reprendre ses esprits et boire un peu d'eau. Depuis une semaine, il ne se sentait pas bien, il avait même fini aux urgences quelques jours plus tôt. Il ne savait pas ce qu'il avait mais les résultats étaient inquiétants, à en croire les médecins. Le Quincy ignorait l'issu des examens qu'il passait, il avait déjà fait un irm, deux scanners et de nombreuses prises de sang. Ils devaient trouver l'origine de son mal et vite. Ezio ne voulait pas inquiéter Louison mais il était vraiment mal en ce moment. Il passait son temps à dormir et dès qu'il se levait, il ne se sentait pas bien du tout. Il était même tombé dans la douche la veille mais avait tenu ça secret. Quoiqu'il en soit, il monta les dernières marches et ouvrit la porte. Il se traîna jusqu'à la cuisine ouverte où il déposa ses sacs. « Bébé, j'suis rentré, t'es là ? » gueula-t-il dans l'appartement en tendant l'oreille pour écouter sa réponse. Pas de Louison, elle devait être encore dehors. Content de ce court répit, il soupira et s'appuya contre le plan de travail. Il avait juste envie de dormir, rien de plus. Il prit son portable et appela ses parents pour savoir si c'était maintenu mais personne ne répondit. Forcément. Ezio rangea lentement les courses dans le frigo et dans les placards avant de s'équiper de son tablier pour commencer à faire à manger. Il avait de tous petits yeux et le teint pâle. Une bonne trentaine de minutes plus tard, Louison ouvrit la porte et entra dans l'appartement. « T'as ramené ta toile ? » dit-il assez fort pour qu'elle l'entende, en rigolant. Ezio avait les mains sales, pleines de nourriture, il était temps qu'il termine là, il en avait marre.

@Louison Chamberlain
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Louison avait fui l’appartement toute la journée. Elle avait passé son temps à Boston, à errer dans les allées marchande pour ne pas penser à la rencontre de ce soir, avec les parents de son petit ami. Elle les redoutait malgré ce qu’elle laissait entrevoir au brun. Leur relation était sérieuse et elle ignorait les réactions qu’elle pourrait avoir si jamais les Scorsese la rejetaient sans même la connaître. La française se préparait au combat, tentant de mettre toutes les chances de son côté. Elle ne voulait pas non plus décevoir Ezio. Ouais, y avait pas à dire, Louison se planquait et fuyait comme une faible. Néanmoins, une fois que le soleil avait commencé à décliner, elle se rendit compte qu’il était enfin temps de rentrer. Elle déposa sa fameuse toile dans son box secret près des quais puis, elle regagna l’immeuble du Quincy avec la tenue complète de ce soir. Louison s’était en effet fournie uniquement dans de grandes marques de luxe italienne, appréciant pour une fois de faire flamber sa carte bancaire. Les bras chargés, elle entra dans le domicile du jeune homme en se débarrassant rapidement de ses paquets et de son manteau. Elle contourna par la suite le hall tout en entendant l’étudiant la questionner sur sa fameuse toile. Un mince sourire traversa son visage congelé. Elle adorait cette routine et le fait de le retrouver chaque soir pour lui raconter sa journée. La blondinette débarqua rapidement dans la cuisine où son homme préparait encore le dîner. Ça sentait diablement bon, elle passa ensuite près de lui pour lui dérober un baiser « Je vais attendre que tes parents s’acclimatent à ma présence avant de m’afficher ici en grand » répondit-elle en lorgnant son homme complètement fatigué. Elle ne l’avait jamais vu aussi épuisé de toute sa vie. Son teint paraissait livide et ses yeux étaient éteints. Ezio lui foutait la chair de poule. « Chéri, tu ne veux pas t’asseoir et me diriger ? Je serais tes mains… Dis moi ce qui manque à faire » lui proposa-t-elle en subtilisant une lamelle de poivron crue qu’elle croqua sous le regard menaçant de l’italien « J’espère qu’on va trouver ce que tu as… Ça me fait peur, plus peur que tes parents… »  avoua-t-elle en s’accoudant sur le plan de travail, caressant l’avant-bras de son homme. La venue de ses parents n’allait probablement pas le ménager. Louison était plus qu’inquiète à présent. « Ils arrivent quand exactement ? Putain, je flippe en fait » murmura-t-elle en regardant ses mains qui tremblaient comme des feuilles.
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Ezio était légèrement soulagé de voir Louison rentrer. Même s'il ne le montrait pas, il avait besoin d'elle et de sa présence rassurante. Il jouait le fort mais en réalité, son état de santé s'inquiétait un peu plus de jours en jours. La belle blonde lui apportait beaucoup de soutien, peut être que c'était inconscient de sa part mais au moins, elle l'aidait. Il aimait être avec elle et passer du temps en sa compagnie, elle était devenue son nouveau repère, son nouvel univers. Louison débarqua dans la cuisine avec sa motivation légendaire. « T'aurais pu le prendre tu sais, j'aurais bien aimé le voir ... Surtout qu'on s'en fou de ce que mes parents peuvent bien penser. » s'amusa-t-il à répondre avec un fin des sourires. Le Quincy la regarda dans les yeux, cherchant un quelconque réconfort. Mais au lieu de ça, il lui faisait peur. Elle ne voulait pas qu'il se fatigue et avait sans doute raison. Il fronça les sourcils lorsqu'elle piqua un poivron pour le foutre dans sa bouche. Pas touche à la nourriture, surtout qu'il s'était complètement foiré dans les quantités. « T'inquiète je gère, j'ai pratiquement fini. J'ai encore une ou deux petites choses à terminer et j'irais me changer parce que là j'pue la cuisson. » dit-il en évitant sans doute un sujet beaucoup plus lourd. Mais c'était sans compter sur une Louison stressée par son état de santé, tout autant que pas la venue de ses parents. « J'espère aussi mais j'ai confiance en la médecine. Ils vont trouver ce que j'ai, me donner une traitement et tout ira mieux, tu verras. » lança-t-il avec une aisance déconcertante. Ezio essayait de se persuader plus qu'autre chose là. La blondinette lui demanda quand est ce que les parents Scorsese arrivaient, elle avait l'air hyper stressée. L'italien posa tout ce qu'il était en train de faire et s'approcha de sa belle. Il la fit se redresser et passa ses bras autour d'elle pour l'enlacer. « Tu peux encore partir tu sais, je ne t'en voudrais pas du tout, au contraire je comprendrais. Ca ne va pas être une partie de plaisir, tu vas voir les parents froids et distants que j'ai. Je ne les ai pas vu depuis je ne sais pas combien d'années mais ils ne me manquent pas du tout. Donc je ne t'en voudrais pas que tu ne veuilles pas rester. Tu sais, ils ne vont pas rester longtemps, j'sais même pas s'ils resteront pour manger, ils seraient capables de prendre juste l'apéro et se barrer parce qu'ils auront trouvés une excuse ou un prétexte. Et encore, ils se donnent la peine de trouver une excuse, ça sera miraculeux. » Il déposa un chaste baiser sur ses lèvres, parce qu'il en avait envie et parce que ça lui faisait un bien fou. « La seule personne que je voulais te présenter, c'est mon grand-père mais tu l'as déjà vu et tu lui plait ... Maintenant, que tu plaises à mes parents ou pas, je m'en fou. Ils arrivent dans un peu plus d'une heure. » Son sourire vint s'élargir tandis qu'il semblait avoir eu une illumination dans sa tête. « Tu m'fais mes cheveux ? » lui demanda-t-il comme s'il venait de lui proposer le nirvana. Il était grave mais surtout, il ne se sentait pas la force de le faire lui-même, il s'était déjà surpassé en préparant le repas. Tout était prêt, la table, la table basse du salon pour l'apéro et le diner était quasiment fini. Il se recula d'elle et coupa le feu. Il enleva son t-shirt et s'avança vers la salle de bain. « J'vais sous la douche Lou, si tu veux mater un Dieu Grec sous l'eau, c'est le moment où jamais. »
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Tout allait très vite depuis ces derniers jours. Louison avait perdu sa virginité, elle s'était mise en couple, elle avait d'ailleurs carrément emménagé chez son petit ami et elle était désormais "fiancée". Enfin, pour le dernier élément, c'était encore à vérifier. Elle n'avait plus remis le sujet sur le tapis depuis le week-end dernier car d'autres éléments étaient venus s'immiscer au milieu de cette histoire. Le premier étant la santé d'Ezio et le second, la venue de ses parents. La blondinette n'avait plus aucun moment de répit. Sa vie se résumait à du Scorsese, matin, midi et soir. Cela ne lui déplaisait pas, bien au contraire. Au moins, il ne lui restait plus le temps de s'apitoyer sur son sort. Dans tous les cas, rencontrer sa belle famille ce soir la rendait anxieuse. Ainsi, elle n'avait pas souhaité ramener son auto-portrait géant et légèrement humoristique car elle ne savait absolument pas à quoi s'attendre de la part de ses "beaux-parents". Ezio pouvait s'en taper le coquillart, Louison préférait quant à elle assurer ses arrières. En retrouvant son homme aux fourneaux, la française s'était tout à coup rendue compte à quel point il était solide. Louison avait subitement eu honte de l'avoir abandonné toute la journée. Elle lui avait alors proposé ses services pour les dernières minutes qui restaient, mais le brun l'avait gentiment remise à sa place. La jeune femme s'était alors résignée à un léger geste d'affection, divulguant au passage ses craintes sur son état de santé préoccupant. Il n'était pas bien et il n'y avait pas besoin de faire médecine pour le voir. Néanmoins, Ezio restait positif, sûrement pour ne pas l'inquiéter, mais elle n'était pas naïve. " Y a intérêt qu'ils trouvent, je ne te reconnais plus... " murmura-t-elle en commençant à nettoyer le plan de travail. Il fallait qu'elle s'occupe, pour ne pas penser à l'échéance qui approchait à grand pas. S'affairant dans des tâches ménagères diverses, elle ne pu s'empêcher de demander au Quincy l'heure à laquelle ses parents allaient débarquer. Alors qu'elle jetait quelques couverts dans le lave-vaisselle, son homme l'avait intercepté, lui octroyant un discours qui lui laissait encore l'opportunité de s'exiler ailleurs. Louison avait bien failli le laisser en plan, là, maintenant. Elle ignorait ce que le mot "parents" signifiait réellement. Le portrait qu'Ezio lui peignait n'avait en plus de cela rien de bien réconfortant. Tout lui disait de se barrer mais elle était faible. Elle l'aimait et elle se voyait déjà endosser son rôle d'épouse à temps plein, dans les bons comme les mauvais moments. Ezio l'ensorcelait, elle se laissait hypnotiser par ses dires, par ses gestes. Savoir qu'elle plaisait à Martin Scorsese en personne avait réussi un bref instant à dissiper ses angoisses. Alors qu'elle s'apprêtait à poursuivre son brin de nettoyage, son brun lui avait proposé ce que jamais elle n'aurait pu imaginer dans sa vie : s'occuper de sa tignasse. " Euh, qu'est-ce que tu as dit ? Je vais appeler les urgences, tu débloques complet mec " lui adressa-t-elle en le dévisageant avant de s'avancer vers lui pour toucher son front " Pas de fièvre pourtant... Je crois que tu deviens juste fou... C'est sûrement tes parents qui te font perdre la tête... " plaisanta-t-elle en secouant sa tête, un sourire bêta aux lèvres. Puis, le bel âtre s'était barré en prenant soin d'éteindre le feu des plaques, lui proposant un spectacle dès plus affriolant dans la salle de bain. " Non merci, je préfère mater des dieux nordiques maintenant " dit-elle assez fort pour qu'il l'entende, gloussant comme une pintade en parcourant le couloir jusqu'à la salle de bain où elle y passa timidement la tête pour apercevoir son homme qui se déshabillait intégralement. Elle mordilla alors sa lèvre, putain, elle en avait de le chance. Après une douche plutôt sérieuse où Louison s'était malheureusement contentée de se laver, elle avait enfilé sa tenue guindée et s'était maquillée pour faire ressortir ses principaux atouts. Côte à côte devant le miroir, la française n'avait pas oublié ce que lui avait proposé plus tôt l'italien. Elle traîna alors un tabouret devant les lavabos et poussa son homme dessus pour jouer à la coiffeuse. " Tu me fais confiance hein ? Enfin, prie ton Dieu on ne sait jamais... Je suis habile qu'avec ta queue moi " avoua-t-elle à moitié morte de rire tout en dégainant le sèche cheveux et une brosse. Elle entama ensuite un brushing dont elle ne se soupçonnait pas capable. " Sérieux je gère, à force de t'observer, j'ai capté le truc, je sais mieux te coiffer que moi en fait. T'es beau bébé, je façonne l'oeuvre d'art que tu es ! " gueula-t-elle pour se faire entendre par dessus le bruit de cette souffleuse. Soudain, alors qu'elle lissait la dernière mèche de son homme sur le sommet de son crâne, la sonnerie stridente de l'appartement avait retenti. Ils étaient là. Louison coupa aussitôt le sèche-cheveux, songeant à sauter par la fenêtre ou se planquer dans la penderie. " Non, non, non ! Au secours ! Je viens avec toi les accueillir, je reste là, je ... je fais quoi ? Je suis belle, ça va ? Le décolleté est pas trop vulgaire ? " balança-t-elle à une vitesse de malade tout en remontant ses seins dans le reflet du miroir.
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C'était impensable, inimaginable. Ezio venait de demander à Louison de s'occuper de ses cheveux, lui qui mettait un point d'honneur à ce que personne n'y touche, là il devait se rendre à l'évidence, il ne pouvait pas le faire tout seul. C'était clairement impossible. Il n'avait pas la force, ni l'envie de se lancer dans un brushing minutieux et pénible. Il mettait toujours trois plombes pour le faire et le parfaire, c'était son petit rituel du matin. Le bel italien ne laissait rien au hasard lorsqu'il s'agissait de sa coiffure, il voulait être beau, qu'on se retourne sur son passage. Autant avant c'était pour attirer les filles mais à l'heure d'aujourd'hui, c'était pour que la petite frenchie le regarde, l'admire. Il voulait être parfait, juste pour elle. Ce changement de comportement était radical mais heureusement pour lui, il n'en avait pas vraiment conscience. Ezio ne se rendait pas compte qu'il ressemblait plus à un bisounours qu'à autre chose et même s'il le savait, il s'en foutrait complètement. Louison était son objectif à présent, il ne voyait plus aucune fille dans son champ de vision, il restait focalisé sur elle. « Les Dieux nordiques, qu'est ce que tu racontes comme conneries toi. » râla-t-il sur un air faussement boudeur. La Mather ne devait voir que lui, il en était devenir possessif et parfois même excessif. Il limitait ses réactions devant elle, faisant le mec qui s'en foutait mais parfois, il s'agaçait tout seul. Quoiqu'il en soit, il se déshabilla et grimpa dans la douche. Il lutta pour se laver, tous ses membres lui semblaient lourds et fatigués. C'était compliqué pour Ezio de rester impassible mais il ne voulait pas inquiéter sa belle alors il arborait un visage neutre, aucune expression ne s'émanait de son comportement. Une fois sorti de la douche, il alla s'habiller et traîna la patte. La présence de Louison lui était tellement bénéfique, il en oubliait presque l'arrivée éminente de ses parents. Chose promise, chose due. Ezio vint s'asseoir sur le tabouret et laissa son apparence dans les mains expertes de sa belle. « Fais gaffe, c'est encore plus important que ma queue ! » marmonna-t-il en regrettant presque de lui faire une telle confiance. Il vint joindre son rire au sien en l'entendant parler, cette fille était folle. Il leva les yeux vers elle et afficha un mince sourire conquis. Lorsque Louison approcha de lui, il posa ses mains autour de ses cuisses, cherchant inconsciemment un quelconque réconfort. « Façonne-moi Louison, fais ce que tu veux mais ne me foire pas, c'est tout ce que je te demande. » dit-il en passant l'une de ses mains sur son visage, craignant le pire. Il ne se voyait pas et heureusement. Quelques minutes plus tard, la blondinette semblait en avoir fini avec lui, elle coupa le sèche-cheveux. Ezio en profita pour se lever et aller voir le résultat. Il prit un peu de gel entre ses mains et l'apposa sur sa chevelure hors norme. Il afficha un sourire satisfait. « C'est pas trop mal .. J'vais peut-être pouvoir faire quelque chose de toi finalement. » s'amusa-t-il à dire avant que l'ambiance ne devienne beaucoup trop lourde à cause d'un simple bruit. La sonnerie de la porte d'entrée. Même le jeune Scorsese sentit la pression monter en lui. Il n'avait pas forcément envie de voir ses parents mais n'avait pas vraiment le choix, il devait faire un effort, pour le bien de son compte en banque. Voilà des années qu'il ne les avait pas vu et le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils ne lui avaient pas manqués. Elle était en panique, la pauvre. « Eh bébé, ça va bien se passer d'accord ? T'es parfaite. » répondit-il pour la rassurer. Sans chercher à comprendre plus loin, il déposa un chaste baiser sur sa joue, lui attrapa la main et se dirigea vers le salon. En chemin, la sonnette vint retentir une deuxième fois. « Ça va on a compris. » grogna-t-il entre ses dents, légèrement stressé. Une fois devant la porte, il jeta un regard complice à Louison avant de lâcher sa main et de leur ouvrir. Le visage coincé de sa mère fit d'abord son apparition, suivit de près par l'imposante carrure de son père. Sa mère s'approcha d'eux. « Buona sera mio figlio. » lança-t-elle sur ses grands airs. Ezio fronça les sourcils et se racla la gorge. « En anglais mère. » Putain, elle allait faire aucun effort celle-là. Une fois les deux parents entrés dans l'appartement, il ferma la porte et se tourna vers eux. « J'vous présente Louison, Louison Chamberlain, ma copine. » dit-il d'amblé. Sa mère s'avança vers la blondinette et vint lui faire la bise, légèrement forcée. « Nous sommes au courant Ezio, ton grand-père a jugé bon de nous mettre au courant avant notre venu. Sans doute voulait-il éviter toute mauvaise surprise ... » Le bel italien leva les yeux au ciel, au moins ainsi, le ton était donné.

[...]

« C'est ça, à bientôt. » grogna-t-il avant de claquer la porte brusquement. En soit, le diner ne fut pas une totale catastrophe. Sa mère fut piquante toute la soirée et son père fut presque invisible, dépassé par les événements. Ezio en apprit pas mal durant cette soirée. Il savait à présent pourquoi Cassiopéa, sa soeur jumelle, faisait la gueule. Les géniteurs voulaient la marier à un homme de leur choix et cela ne semblait pas lui plaire. Il apprit également la mise en couple de sa soeur avec un certain Abel. C'est bien, il était carrément exclus de sa vie, de mieux en mieux. Ezio soupira et retourna au salon où était restée Louison. Sans chercher à comprendre plus loin, il vint s'asseoir lourdement dans le canapé, en face d'elle. Il poussa un énième soupire et leva la tête vers elle. « J'suis navré que tu ais assisté à ça ... J'admire ton courage, t'as pas bronché quand elle t'a lancé quelques piques. T'es la meilleure. Vas-y, tu peux te défouler maintenant qu'elle est partie, lâches-toi. On ne la reverra pas avant des années. » dit-il faiblement, à bout de force. Ezio ferma les yeux et pencha sa tête vers l'arrière, même sa tête lui semblait peser une tonne. Il inspira longuement et passa ses mains sur son visage puis dans ses cheveux. Il était dépité d'avoir des parents comme ça.
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Louison avait été aussi tendu que le string qu'elle portait tout au long de la soirée. Elle avait enfin découvert à quoi ressemblaient les parents de son homme, et l'entrée de sa mère avait d'emblée foutu son petit effet. Le repas avait été polaire, la jeune femme avait tenté de se maîtriser à de nombreuses reprises face aux attaques masquées des deux géniteurs. Ils ne semblaient pas fan d'elle et Louison avait difficilement accepté cette prise de position infondée. Quand Ezio referma enfin la porte derrière ses parents, la Mather avait longuement expiré, se sentant enfin soulagée. Elle en avait appris énormément sur la soeur de son petit ami et elle s'était d'ailleurs sentie gênée à de maintes reprises. Ce qui était quand même rare pour elle. Restée dans le salon, la blondinette songeait de nouveau à cette soirée en terminant son verre. Elle aperçut par la suite son homme aussi chamboulé qu'elle revenir dans la pièce. Elle l'observa s'affaler sur le canapé, sans un mot et l'écouta s'excuser pour sa propre famille. Il était fier d'elle mais elle, elle était déçue de sa prestation. Ezio était encore plus au bout du rouleau et le voir dans cet état ne lui permettait pas d'être autant abattue. Contournant le canapé, elle se plaça derrière l'italien et caressa son crâne avant de s'éclipser dans le dressing qu'elle occupait quasiment à moitié. Elle en sortit un sachet de poudre blanche et une petite paille choppée à Macdo. Elle retourna ensuite dans la pièce principale et s'agenouilla aux pieds de son petit ami, déposant son matos sur la table basse " J'sens que ça va me détendre " glissa-t-elle en déposant une ligne de coke sur la surface vitrée tout en l'ajustant avec sa carte bleue. Louison approcha ensuite sa paille de la ligne et l'inspira d'une traite avant de basculer sa tête en arrière, essuyant rapidement sa narine farineuse " Wouh, t'en veux une ? " lui proposa-t-elle en se retournant vers lui, déposant sa main sur son genou tout en lui offrant un sourire dès plus niais.  
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Sans être une véritable catastrophe, cette soirée fut quand même ratée. Ezio n'avait pas su tenir les propos de sa mère qui n'avait cherché qu'une seule chose, déstabiliser Louison. Elle fut exécrable avec la jeune fille qui garda, mine de rien, un sérieux implacable. Il ne a remerciera jamais assez d'avoir tenu sa langue et de ne pas avoir sauté au cou de la mère Scorsese. La petite française fut anormalement calme et silencieux, il avait capté son malaise à la seconde même où il avait ouvert la porte. Mais il n'avait fait qu'assister, impuissant, à l’acharnement de sa mère. Oh elle ne s'en était pas prit qu'à Louison. Non, elle déglingua aussi son propre fils, bien plus qu'il ne l'aurait pensé. C'était subtil mais assez piquant pour mettre tout le monde mal à l'aise. Mais tout ceci était du passé, les parents étaient partis et n'allaient pas revenir avant des lustres, des mois et peut-être même des années. Il avait fait sa bonne action, il pouvait être fier de lui. Affalé dans le canapé, Ezio avait penché sa tête vers l'arrière et avait fermé les yeux sous le poids de ses paupières. Il venait de présenter ses excuses à sa belle, c'était la moindre des choses qu'il pouvait faire après le désastre de ce soir. Louison ne répondit pas. Les seuls bruits qu'il entendit fut ceux de ses pas, génial, voilà qu'elle lui faisait la gueule. C'était parfaitement compréhensible mais c'était la dernière chose qu'il voulait. Il ne prit pas la peine d'ouvrir un oeil et se contenta de rester affalé dans le canapé, inerte. La fatigue l'avait complètement anéanti, il se sentait faible. Rapidement, la blondinette revint dans le salon et vint s'asseoir juste devant lui, faisant son petit trafic sur la table basse. Intrigué, il redressa lourdement sa tête et la regarda en plissant les yeux. Louison vint sniffer un rail de coke sans la moindre pudeur. Il la regarda perplexe, sans la moindre émotion, sa mâchoire se serra lorsqu'elle vint avouer que cette ligne lui faisait un bien fou. Il fronça les sourcils. « Nan. » grogna-t-il pas content. Ezio se redressa et s'avança jusqu'au bord du canapé. Il regarda la blondinette avant de faire disparaître la coke du revers de la main. « T'as pas besoin de ça, putain. » Il n'aimait pas la voir se défoncer, elle valait tellement mieux qu'une simple ligne de coke. Il soupira bruyamment avant de se lever, ignorant les paroles de sa belle. Il marcha jusqu'au bar où il prit son portable pour y vérifier l'heure. Il y pianota un court message avant de le reposer. Sans un bruit, il se tourna vers elle et afficha un mince sourire. « Lèves-toi Chamberlain. » dit-il presque dans un ordre. Il croisa les bras en attendant qu'elle s'exécute. Louison était difficilement apprivoisable mais avec un peu d'insistance, il pouvait facilement la canaliser et parfois même la manipuler. Ezio avait une véritable emprise sur elle, malgré l'indépendance qu'elle clamait haut et fort. La belle blonde se leva finalement et le fixa, sans trop savoir pourquoi il lui avait demandé une telle chose. Un mince sourire se dessina sur son visage tandis qu'il s'approcha lentement d'elle. Il se stoppa à quelques mètres, sans doute à quelques centimètres. « Au risque de me répéter, merci d'avoir supporté mes parents pour ce dîner, c'était pénible mais t'as tenue bon et rien que pour ça, je te dois beaucoup ... La soirée ne fait que commencer pour nous Louison. » murmura-t-il sur un ton des plus mystérieux. Il replaça correctement sa mèche de cheveux avant de poursuivre. « J'veux t'offrir la soirée que tu mérites. » Ezio fouilla dans la poche de son pantalon et y sortit un bandeau noir qu'il vint montrer à la blondinette. « J'ai une petite surprise pour toi mais pour l'avoir, il faut que tu me fasses confiance ... » lança-t-il faiblement tout en levant le bandeau noir au niveau de son visage. Il vint le mettre devant les yeux de la belle blonde et se rapprocha d'elle pour venir le nouer derrière son crâne. Il s'assura qu'elle ne voyait rien avant de rigoler faiblement. « Si tu m'obéis, tout se passera bien. Pour l'instant, tu ne bouges pas. » dit-il sur un ton légèrement amusée mais autoritaire. Sans le moindre bruit, il vint décaler ses longs cheveux blonds sur le côté, dégageant son cou. Ezio approcha ses lèvres et vint l'embrasser lentement. Seul le bruit de ses baisers se faisait entendre dans l'appartement, il se doutait bien du supplice qu'il allait lui infliger, il aimait ça. Le bel italien passa ses mains sur ses hanches avant de la contourner et venir se placer dans son dos. Délicatement, il attrapa sa fermeture éclair et vint ouvrir sa robe. Le plus sensuellement possible, il fit glisser ses bretelles sur ses épaules puis sur ses bras. Le Quincy posa allègrement ses mains sur elle, attisant toujours un peu plus le désir. Il continuait de l'embrasser tout en faisant tomber sa robe sur le sol. Il grogna de la voir presque nue et à sa merci. Il aimait la dominer et là clairement, il pouvait faire ce qu'il voulait. Ezio la laissa quelques secondes avant de revenir vers elle. Il prit ses mains et les leva au dessus de sa tête. « Pas bougé. » insista-t-il. Le beau brun la regarda de haut en bas et vint joindre son rire au sien. Elle était là, seins nus, les bras levés, galbant parfaitement ses formes. Il prit la nouvelle robe qu'il avait prévu pour elle et vint lui passer à travers ses bras. Il se plaça de nouveau derrière elle mais cette fois-ci, pour refermer sa fermeture. Ezio posait ses mains baladeuses sur Louison. Il la lâcha quelques secondes supplémentaires avant de lui mettre un collier. C'était amusant, elle ne voyait rien et malgré les questions qu'elle pouvait bien poser, il ne céderait pas. Revenant devant elle, le Quincy vint s'agenouiller devant elle, laissant ses doigt effleurer ses cuisses félines. Il attrapa son mollet et l'obligea à lever une jambe pour lui changer sa première chaussure. Il fit de même avec la deuxième, la perchant sur des talons beaucoup plus hauts. Ezio se releva et ferma les yeux pour reprendre ses esprits face à un vertige qui le déstabilisa. Il enleva son t-shirt qu'il balança sur le canapé et, voulant jouer encore un peu avec elle, lui prit les mains et les déposa sur son torse nu. Il rigola en caressant son propre torse avec les fins doigts de la blondinette. Finalement, il vint se déshabiller pour, lui aussi changer de tenu. « On y va ? » lui proposa-t-il sans pour autant enlever le bandeau de ses yeux. Il l'entraîna par la main, hors de l'appartement. Ezio fit attention à ne pas la faire tomber dans l'escalier, quand même, ça serait dommage qu'ils finissent la soirée à l'hosto. Une fois dehors, une voiture les attendait, il la fit entrer dedans. Un petit voyage d'une demi heure s'en suivit. Ils quittèrent la ville et arrivèrent dans une campagne un peu reculée. La voiture entra dans une allée et se gara. Ezio descendit de la voiture et l'aida à faire de même. Ils avancèrent de quelques mètres dans les cailloux avant qu'il ne la stop. Le coeur du bel italien commençait à s'emballer. « Louison ... J'crois que je t'ai assez fait languir comme ça. » Délicatement, il ôta son bandeau et la laissa découvrir les lieux. L'allée d'un château, illuminée par une centaine de bougies, un peu partout autour d'eux. Lui vêtu d'un sublime costard et elle, une magnifique robe conçue spécialement pour elle et pour l'occasion. « J'ai privatisé tout le château pour nous, j'ai demandé un bain de champagne et tout ce qu'on voudra. Y'a dix serviteurs là-dedans qui vont être aux petits soins pour répondre à nos moindres caprices jusqu'à demain soir .. On va pouvoir en profiter mais avant, j'ai quelque chose à te demander, officiellement. » dit-il avec le sourire sur ses lèvres. Il vint s'agenouiller pour la troisième fois de sa vie. « Cette fois-ci, c'est la bonne ... Louison Chamberlain, je te demande ici, dans ce décor de rêve, en fiançailles. Veux-tu devenir ma fiancée et faire de moi l'italien le plus heureux du monde ? » dit-il en lui tendant la fameuse bague qu'il avait été cherché quelques jours plus tôt avec la complicité de sa meilleure amie. Un diamant solitaire, le truc juste hors de prix.
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En cachette, depuis le retour incongru de son père, Louison avait flirté à de nombreuses reprises avec quelques substances illicites. Néanmoins, depuis le voyage que lui avait offert son italien, la jeune femme avait combattu ses pulsions auto destructrices car elle était bien consciente qu’elle en devenait rapidement accro. Elle ne voulait en aucun cas qu’Ezio la sermonne et de toute façon, il s’était opéré un changement en elle depuis Paris. Depuis qu’il l’avait demandé en fiançailles sous la Tour Eiffel. Louison s’endormait souvent avec cette image, avec cette longue tirade qu’il lui avait faite à ses pieds. Cependant, ce soir, sa soupape de sécurité avait explosé. Elle s’était alors précipitée sur ce qu’il lui restait en stock ces dernières semaines, à savoir un peu de coke. Elle ignorait si son homme serait de la partie mais elle préférait largement le faire à découvert plutôt que seule, dans la salle de bain en se dépêchant pour ne pas laisser de trace. Après une bonne ligne d’inhalée, le brun lui avait confisqué sa marchandise avec mécontentement. « Pffff, ça coûte cher, t’es fou »  grommela-t-elle en croisant les bras sur sa poitrine, les sourcils froncés. Elle le fixait désormais avec colère et déception. Alors qu’elle croyait que le ton allait monter entre eux, le Quincy s’était retourné vers elle en lui ordonnant de se relever. Les traits de son visage ne laissait pas apercevoir de haine chez lui, bien au contraire. La blonde s’était exécutée en silence, camouflant ses bras dans son dos en adoptant plus de douceur sur sa face. Qu’est-ce qu’il foutait ? Il était absolument étrange. Une seconde avant il lui gueulait dessus et là, il lui souriait de manière perverse. Et après c’était elle l’extra terrestre ? Louison était totalement perdue et l’effet du rail de coke n’arrangeait rien. Se fixant à un mètre d’elle, il lui adressa une fois de plus ses remerciements pour cette soirée merdique avant de l’avertir qu’elle n’était pas totalement terminée. La française avait terriblement eu envie de répliquer à cet instant car, elle n’avait pas envie de sortir, elle voulait juste se reposer après le marathon qu’elle avait effectué aujourd’hui. Toutefois, elle n’en avait pas eu l’occasion, et de toute façon, elle avait rapidement changé d’avis lorsque son petit-ami avait dégainé un bandeau de sa poche. Voilà qui devenait intéressant. C’était plutôt intrigant et de nombreux scénarios arrivaient à la conscience de la demoiselle. Toute excitée par ce qu’il s’apprêtait à faire, la jeune femme avait tapé dans ses mains en passant sa langue sur ses dents. Elle se laissa volontiers aveugler par Ezio, captant le son de sa voix et ses recommandations. La Mather avait hoché de la tête pour acquiescer mais n’avait pu s’empêcher de sortir une connerie « Mon dieu, je vais avoir ma soirée sado-maso, enfin » puis, alors qu’elle ne voyait strictement plus rien, la bouche de son homme avait brûlé sa peau à différents endroits. Elle allait s’évanouir. Les mains du Quincy s’emparaient de son corps, elle était en transe, déjà. Elle l’avait senti se faufiler derrière elle et lui retirer sa robe avec une lenteur épouvantable. Elle était nue, sans défense et soumise à ses ordres. Louison aimait terriblement cette situation. Enfin...jusqu’au moment où elle ne le sentit plus à ses côtés... À cet instant-là, elle avait commencé à paniquer comme une idiote. « Oh putain, y a d’autres mecs ici ou quoi ? » demanda-t-elle avant qu’il ne revienne enfin, tout en lui faisant tendre les bras vers le ciel. La blonde ne pigeait plus du tout ce qu’il se passait. Il l’avait émoustillé et maintenant il la rhabillait comme une enfant. Non, c’était absolument pas cool ça ! Ses jambes tremblaient terriblement et son bassin se tortillait dans tous les sens, elle était pratiquement en train de mouiller sa culotte là. « Tu fous quoi ? Non… j’veux… » Ezio l’avait rapidement sommé de se taire ce qu’elle fit tout en tentant d’effleurer de ses fesses l’entrejambe de son homme qui remontait la fermeture à éclair dans son dos. Peu de temps après, le jeune homme lui avait passé quelque chose de froid autour du cou, un collier ? Un serpent ? Tout était possible pour elle, sans la vue, son imagination carburait à fond. « Ezio je vais te tuer » lui avait-elle envoyé en mordillant sa lèvre de désir. Après la robe et ce qu’elle imaginait être une parure, l’italien s’était vraisemblement posté devant elle, attrapant ses gambettes pour la chausser. « Okay, tu as des délires chelous Scorsese… je sais quoi t’acheter à ton anniversaire, une poupée japonaise là, tu pourras l’habiller et même te la taper » avait-elle confié en éclatant de rire. La situation devenait maintenant gênante, Louison ne savait plus où se mettre, c’était long, long et embarrassant. Tout à coup, alors que ses chevilles se contractaient pour supporter les talons qu’elle portait, ses mains furent capturées et guidées vers le torse nu de son homme. Elle le reconnaîtrait entre des millions à présent, la pulpe de ses doigts et même sa bouche avait imprimé les contours de son anatomie. Ezio n’était plus une énigme pour la blondinette. Avec ce contact si mystérieux, la française n’avait pas pu s’empêcher de gémir, il la rendait dingue et il devait en jubiler le vicieux. Comme il l’avait fait avec elle, il mit un terme à son numéro et lui proposa d’y aller. Avait-elle vraiment le choix maintenant ? « C'est ça, allons dans ton club échangiste ouais » lui répondit-elle en se laissant guider à l’extérieur de l’appartement. Il s’en était suivi un voyage en voiture où Louison n’avait pas pu apercevoir le paysage extérieur. Il ne pouvait pas l’emmener une fois de plus à l’aéroport, elle ne voyait pas pourquoi il l’aurait rhabillée pour prendre un avion. Non, il s’agissait d’autre chose mais rien ne lui venait clairement à l’esprit. Après ce qu’il lui avait paru durer une éternité, la voiture s’était enfin éteinte. Ils étaient à destination. Le coeur de Louison pulsait à fond. Les mains d’Ezio l’avait par la suite aidé à s’extraire du véhicule et un air frais s’était aussitôt faufilé sous sa robe. En tendant l’oreille, la demoiselle n’avait perçu aucun bruit de circulation, c’était le calme plat. « Ne jamais faire confiance à personne Louison, tu vas mourir ce soir » chuchota-t-elle avant que son psychopathe de brun se décide à lui rendre la vue. Elle n’en croyait pas ses yeux. D'ailleurs, ses yeux picotaient face à tant de lumières qui illuminaient la forteresse devant eux. La bouche largement ouverte, elle lança un regard émerveillé à Ezio qui s’était métamorphosé en réplique parfaite de prince charmant. « Je… j’ai pas de mots. T'es super beau déjà... » avait-elle murmuré en caressant la robe qui recouvrait son corps et qui ne lui appartenait pas. La blonde était bouche bée et en plein délire. Elle attrapa le bras de l’italien à ses côtés pour ne pas perdre l’équilibre avec les graviers sous ses échasses. Puis, il attira de nouveau son attention en lui déballant la suite de l’histoire. Ce putain de château leur appartenait ce soir ainsi que dix personnes ? Louison avait des étoiles pleins les yeux. Jamais on ne s'était pris la tête pour elle à ce point. Elle était amoureuse de lui, cette sensation ne la quittait plus. Et puis merde... Il venait encore de s’agenouiller devant elle. « Non, non pas ça, enfin si... continue, sois à moi... » s’était-elle dit intérieurement alors qu’il la demandait une nouvelle fois en fiançailles. Une telle obstination ne pouvait que la rassurer. Il n’avait pas oublié et cette fois-ci, il avait sorti le grand jeu. La française n’en avait pas attendu autant, elle n’avait jamais pu imaginer une seule fois que ce type de situation puisse lui tomber sur le coin de la gueule. Cependant, elle n’avait pas tout de suite répondu comme elle l'avait fait à Paris. Au contraire, elle l'avait laissé mariner dans son jus quelques secondes par pure vengeance. Ainsi, elle regarda d'abord au loin, vers le monument tout éclairé avant de reporter son attention sur lui « Hmm… j’sais plus » commença-t-elle par verbaliser en calant sa mèche de cheveux derrière son oreille « Il faut que je me concerte avec moi même » continua-t-elle en lui tournant le dos brièvement avant de revenir face à lui tout en se penchant vers l’écrin qui contenait le monstre de diamant « Bien sûr que je le veux Ezio Scorsese, je veux devenir très prochainement ta femme et vivre à tes côtés jusqu’à la fin de mes jours » déclara-t-elle enfin en tendant sa main pour qu’il dépose officiellement son territoire sur elle. « Je t’aime Ezio, roule moi une méga pelle, dépêche ! » exigea-t-elle avant de contempler l’anneau autour de son annulaire. Il aurait très bien pu en acheter un dans un distributeur, elle lui aurait toujours dit oui. « Tu m’as mis dans un sale état tout à l’heure, ma petite culotte s’en souvient encore » avoua-t-elle en explosant de rire tout en baissant les yeux avant de retrouver timidement les prunelles de son Dieu grec « T’es capable de me porter jusqu’à l’intérieur ? C’est juste qu’avec ces talons et les cailloux… je risque de me faire une entorse, c’est pas très glamour je sais… Faut t’entraîner pour le jour-J de toute façon…»
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La petite mise en scène par Ezio n'était pas obligatoire mais cela l'avait fortement amusé. Il avait prit un malin plaisir à lui bander les yeux et à la rendre complètement folle. Il l'avait fait exprès pour voir sa réaction et franchement, il n'était pas déçu du résultat. Ce petit jeu avait réveillé le côté sauvage et l'appétit sexuel de Louison. En dépucelant cette fille, il avait fait d'elle une affamée de sexe, pour son plus grand bonheur. Quoiqu'il en soit, il avait plié le genou pour la troisième fois devant elle et l'avait demandé en fiançailles. La belle brune hésita quelques instants, elle ne semblait plus sure d'elle d'un coup. « Tu m'fais quoi là Chamberlain ? » grogna-t-il, pas content du tout qu'elle ose lui mettre un vent. Son coeur battait à une vitesse folle, il s'emballait presque face à l'attente insoutenable qu'elle lui faisait subir. C'était méchant de sa part. Il alla se relever mais par chance, Louison se retourna et vint accepter sa demande. Une vague de soulagement le submergea d'un coup. Ezio allait râler mais resta silencieux, encore un peu perturbé par son petit manège. Cette fille était folle. Elle regarda l'écrin et tendit sa main pour qu'il lui mette. Un large sourire orna les lèvres du bel italien, sous le charme de sa princesse. Il attrapa sa main et fit glisser l'anneau avant de se lever. Il rigola en entendant son commentaire. « J'ai bien vu ... Regarde ce que j'ai pris avec moi. » dit-il en laissant apparaître le bandeau noire de sa poche de pantalon. Amusé, il regarda rapidement sa main avant de déglutir. Putain, c'était officiel maintenant, il ne pouvait plus faire marche arrière. Louison lui demanda s'il ne pouvait pas la porter pour aller jusqu'à là-bas. Ezio se mit à rire légèrement avant de se pencher vers l'avant et de l'attraper par la taille pour la porter comme un sac à patate, sur l'une de ses épaules. Il commença à marcher vers le château et en route, il passa sa main sur sa cuisse qui était parfaitement à la bonne hauteur. « Ça c'est pour avoir hésité à dire oui Louison. » s'amusa-t-il à dire en passant sa main sous sa robe. Il enleva sa culotte qu'il fit glisser sur ses jambes pour ensuite la foutre dans sa poche. Il lui mit une claque sur les fesses, au dessus de sa robe pour qu'elle arrête de bouger. « Mais tu vas rester tranquille oui, on est presque arrivés. » Il marcha encore quelques mètres et monta les marches de château. Ezio posa sa fiancée sur le pas de la porte et rapidement un employé arriva vers eux. L'italien lui tendit l'écrin vide pour s'en débarrasser. « Monsieur et madame Scorsese, nous avons tout préparés pour votre arrivés. Nous sommes à votre disposition. » Ezio afficha un sourire satisfait sur ses lèvres. « On commencera par un massage, ensuite on profitera du spa, bain de boue ou autre, on a pas vraiment l'intention de dormir cette nuit. » En même temps il était déjà onze heures. Ses parents n'étaient vraiment pas restés longtemps. Tant mieux. « Bien Monsieur, veuillez me suivre. »
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C'était officiel, ils étaient fiancés. Louison en portait la preuve tandis qu'Ezio lui, était toujours aussi libre de cet engagement intime. Mais, cela n'allait pas durer, la blondinette se rattraperait très prochainement, c'était certain. Debout et fébrile sur ses talons, la jeune femme avait proposé ou plutôt ordonné à son petit ami de la porter jusqu'à l'intérieur. Alors qu'elle s'attendait à ce qu'il la porte de manière gracieuse, le Quincy l'avait vulgairement soulevé pour la balancer sur son épaule. La française sentait un courant d'air sous ses fesses et frappait l'omoplate de son homme en gesticulant pour qu'il la redescende. Impossible. Elle devait offrir un sacré spectacle à tout le petit personnel qui les attendait devant le château. Ravissant. Râlant dans sa langue maternelle, le brun l'avait tout à coup stoppé lorsque sa main s'était faufilée entre ses cuisses pour retirer sa culotte " Non mais t'es malade, arrêêeêêttte, ils va voir mon minou le valet là-bas ! " gueula-t-elle alors qu'ils s'approchaient de l'entrée et que son homme lui indiquait de se taire. " Tu me le paieras " le menaça-t-elle avant de s'assagir, fatiguée de se débattre inutilement. Enfin relâchée par son... fiancé, elle sursauta lorsqu'un type, sorti de nulle part, les accosta" Wow, vous m'avez fait peur ! " cria-t-elle en portant une de ses mains sur son coeur qui battait à mille à l'heure. Puis, le type avait déballé un speech bien préparé qui avait fait doucement sourire la petite Louison. " Madame Scorsese, déjà... " chuchota-t-elle en baissant la tête tout en se dandinant sur place. La demoiselle qui n'était au courant de rien laissa son homme dicter ses volontés avant de le suivre, lui et son esclave. La Mather s'émerveillait devant les décors qui se succédaient, elle se croyait littéralement dans un des musées qu'elle avait pu visiter tout au long de sa jeunesse " Bébé, j'veux une maison comme ça plus tard, pour accueillir tout nos enfants " avoua-t-elle en pressant le pas pour attraper sa main et lui jeter un regard complice. Ezio voulait-il vraiment fonder une famille ? Il y avait tant de sujets qui n'avaient pas été exploré et pour cause, cela ne faisait qu'un mois qu'ils étaient réunis par l'amour. Les deux amoureux sautaient les étapes, les mélangeaient, leur relation était incompréhensible et incontrôlée. Enfin arrivés dans une salle spectaculaire, l'homme costumé se tourna vers eux " Madame, Monsieur, je vous laisse enfiler vos peignoirs, je ne serais pas loin. Dites moi lorsque vous êtes prêts, j'appellerais par la suite nos masseurs " leur avait-il indiqué en les saluant comme un asiatique avant de s'éclipser. Une fois seuls, Louison se retourna brusquement vers Ezio en le fusillant du regard. La française détestait que des mains inconnues parcourent son corps, c'était plus fort qu'elle. Se dirigeant vers le brun, elle profita de sa hauteur vertigineuse et glissa ses deux mains dans sa nuque pour le capturer et attraper par la suite ses lèvres avec fureur. L'embrassant avec une hargne particulière, les doigts de la Mather étaient descendus sur le col du brun pour défaire les nombreux boutons de sa chemise qui emprisonnait son corps d'Apollon. Une fois le Quincy libéré et son torse à découvert, la blondinette s'était légèrement écartée pour retirer sa veste et cette fichue chemise. Arf...Elle ne se ferait définitivement jamais à tant de perfection. Mordant dans sa lèvre, elle se rapprocha de lui et fit courir ses doigts sur son torse diablement musclé, " Bébé j'ai envie de toi, très fort... Mais... ce n'est pas raisonnable... Pas déjà " sussurra-t-elle à son oreille avant de défaire sa ceinture contre lui tout en déboutonnant habilement son pantalon. " Tes sbires doivent nous attendre n'est-ce pas... ? " lui avait-elle finalement demandé en emportant une des mains de son homme sous sa robe, contre son entre jambe totalement nue et excitée.  
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