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All the memories I hold dear ☼ Benjona

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ALL THE MEMORIES I HOLD DEAR
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Cela faisait maintenant plusieurs jours que j’étais arrivé à Boston, étroitement surveillée par pas mal de monde, des personnes qui semblaient être de ma famille, des amis, un petit ami ? Non visiblement tout cette histoire me dépasse, je ne sais pas qui sont ces personnes, je ne me souviens pas d’elles. C’est finalement à une heure assez tardive que j’avais réussi à échapper à tout le petit monde. Je marchais dans les rues de ma ville, le vague à l’âme, pensive. Jean troué, t-shirt un peu rock, rien qui visiblement enchanté les personnes vivant à mes côtés, pourquoi ? Avais-je un style vestimentaire différent ? Un cuire noir et une cigarette à la bouche, une nouveauté aussi semblerais-t-il. Je tire sur le tube toxique, regarde les étoiles, puis avec une douceur mélancolique je laisse la fumée ressortir de ma bouche. Où est-ce que je vais ? Aucune idée, et pourtant le chemin que je prends me semble familier. Qui est Athénaëlle Wildingham ? Je me le demande encore. Étudiante à Harvard, pourtant je ne me familiarise pas avec cette université. Dans toute cette mélasse de pensées sombre, interrogative et mélodramatique, une idée me vient … Et si c’était une bénédiction, une chance de devenir une personne différente, une meilleure personne ou pire allez savoir comment je pouvais être avant. Depuis cette amnésie j’étais douce, calme, terminé les coups bas et le diable sous les airs d’ange, j’étais devenue un vrai petit ange. Alors que j’observe un peu les maisons, les immeubles, et toute autre bâtiments qui croise ma route, l’un d’eux me stop net. Je fronce les sourcils. Cette adresse, cet endroit, je le connais ! Mais d’où je le connais ? Qui habite ici ? Il est presque vingt heure, et je suis totalement perdue en fin de compte. Je soupire et je sors mon portable prêt à appeler quiconque pourrait venir me chercher, mais mon regard se pose une nouvelle fois sur l’entrée de cette habitation. Il était finalement hors de question que je laisse passé cette chance. Je range mon portable dans ma poche, et je fini ma cigarette que je jette assez loin derrière moi.

Après avoir pris une profonde inspiration je me pointe devant la porte et j’attends un peu, j’ai peur, je suis terrifié même à l’idée de trouver ici des personne qui ne m’aime pas, et bien pire, j’ai peur de les blesser, imaginons que ce soit des personne qui m’apprécie énormément, et que moi je sois incapable de me souvenir d’eux ? Je me mordille la lèvre inférieur, le stresse monte et pourtant je me lance, je toc trois coup à la porte, puis je recule d’un pas. Mais bon sang qu’est-ce qu’il me prend d’aller toquer à cette porte à une heure pareille ?! Les gens normaux dînent à une telle heure de la soirée. Une horloge dans le quartier sonne les huit coups de vingt heures, et moi je suis là derrière la porte, passant une main dans mes cheveux. Je suis nerveuse. Tout ce bouscule dans ma tête, j’imagine un tas de scénarios possible, et tous ne sont pas bon sauf dans le cas où je me souviendrais, mais soyons franc cinq seconde, si je suis incapable de me souvenir de ma famille, alors d’autre personnes, je voyais mal comment je pourrais d’un coup me dire : Mais oui c’est toi punaise comment tu vas, je suis tellement heureuse de me souvenir de toi ! Non un peu de lucidité, cela n’arriverais probablement pas. Mes yeux se posent sur la porte lorsque j’entends des bruits de pas qui approche. Je dégluti une dernière fois, me préparant psychologiquement au pire des scénario possible.

©️ LOYALS.


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La nouvelle routine qui s'est installé dans notre nouvelle maison n'est jamais aussi ennuyese qu'on peut le croire.
Le fait d'être marié, ne dilue en rien l'amour que je porte a mon mari. Au contraire, ça ne fait que renforcer nos sentiments, et élargir mon sourire à chaque fois que mes yeux se posent sur la bague que j'ai à mon doigt.
Le fait d'avoir un enfant et un chien, c'est la chose qui crée le plus d'imprévue dans notre vie. Un bain qui devient une inondation... entrer dans une pièce et voir Eva entrain de parler avec le chien, comme s'ils étaient les meilleurs amis au monde... les trouver endormis ensemble dans le coussin du canin, ou même... les trouver entrain de regarder un disney en Italien, avec un Benji tout aussi concentré.
Des moments comme ça me rendent complètement gaga.

Les regardant depuis l'encadrement de la porte, j'ai un sourire devant le tableau qu'ils m'offrent sans s'en rendre compte. Ils croient certainement que je suis encore dans le bureau, entrain de terminer un papier à rendre. J'y avais passé toute l'après midi, laissant la porte ouverte pour écouter le bruit devenu rassurant de ma petite famille. Ils avaient joué, dansé, préparé le diner, et m'avaient même apporté ma part. Maintenant, il est presque temps pour que notre petit ange aille dormir... Mais elle a encore demandé à regarder le roi lion. Alors en bon papa poule, Benji a dit oui.

Le bruit de la sonnerie vient troubler la quiétude de notre soirée, et le coup d'oeil de mon mari vers la porte, est intercepté par mon regard tout aussi interrogateur. D'un geste, je lui demande de pas se lever, me dirigeant moi même vers la porte du studio que j'ouvre, pour révéler  ...
"Athé?" Demandais incrédule. C'était bien la jeune Eliot, petite amie de Amael, cousine de Cole, et blonde qui parle italien ... sauf que son allure ne semble pas celle de la jeune femme que j'avais dans mon souvenir. Je me sens quelque peu coupable, de ne pas avoir demandé de ses nouvelle plus tôt, après qu'Amaël m'ait informé de son accident. Alors j'essaie de me rattraper, faisant un pas vers elle, pour la prendre dans mes bras "Comment tu vas ?!"
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Ce film… Le Roi Lion... je vais finir par en connaître par coeur tous les dialogues et toutes les chansons. Pour le moment, c'est le film préféré d'Eva. Elle doit l'avoir vu 150 fois. Dont deux et demi aujourd'hui. Et demi, parce que pour le moment, elle s'endort tranquillement en bavant légèrement sur mon chandail. Mais si j'ai le malheur d'essayer de fermer la télé, elle se réveille et se redresse. Je sais, j'ai essayé y'a 5 minutes. Et elle commence à replonger seulement. J'attends qu'elle soit plus profondément endormie pour tenter le coup cette fois.

Faudra quand même que je finisse par aller la coucher dans son lit. Et que je ramasse le messup qui a été fait dans la salle de bain. Mademoiselle a voulu imiter les dauphins de l'aquarium qu'on a visiter y'a peu de temps. Disons que malgré toute sa bonne volonté et son entrain, c'était pas tout à fait ça. Résultat? Au moins 3 gallons d'eau sur le plancher. Même le chien a pas voulu passer près du bain cette fois! Et j'ai dû me changer aussi après son bain. Donc tandis qu'elle aborde son pyjama un morceau à effigie de pingouin - cadeau de Tata Carter à la sortie de l'aquarium justement - moi, j'ai troqué mon blue jeans pour un pantalon de sport en coton gris et une simple t-shirt noir.

Trois coups sur le battant de la porte d'entrée et je tourne la tête en cette direction, captant la silhouette de Jona au passage. Il accoté là depuis longtemps? Celui-ci me fait signe de ne pas me lever, qu'il s'en charge et je le vois remonter le couloir. M'étirant un peu pour voir de qui il s'agit et quand j'entends la protestation d'Eva à mon côté, je me traite d'imbécile. Un, parce que la configuration du couloir m'empêche de voir, mais me porte la voix de mon mari, m'informant qu'il s'agit de la blonde italienne qui s'occupe souvent de la puce. Deux, parce que la puce est réveillé maintenant et me regarde avec ses grands yeux bleus avant de réaliser que son autre papa est en train de parler à quelqu'un dans le portique.

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Être déçue ou décevoir une personne sont deux choses très différentes, et pourtant c’était là tout l’enjeu de cette tentative pour me souvenir de quoi que ce soit. Alors que j’allais faire demi-tour, certainement par gros manque de courage, la porte s’ouvre et la lumière éclaire mon visage tiraillé par le stress et la fatigue. Le jeune homme qui m’ouvre la porte, je ne le reconnais pas, mais visiblement lui me connais, et suffisamment pour me prendre dans ses bras. Rien n’y fait, je ne me souviens pas. Mais je ne voulais pas être blessante envers le jeune homme, alors je ne le repousse pas. Je me contente de fermer les yeux un bref instant. Puis lorsque l’étreinte se termine, j’ouvre rapidement les yeux, plongeant mon regard dans celui Jonathan. « A vrais dire, je ne sais pas comment je vais. » C’était une réponse qui pouvais laisser perplexe, et je ne me sentais pas d’expliquer l’ensemble des choses qui m’avait été dite. Mais je ne voulais pas non plus m’imposais chez ce jeune homme. Je soupire, mon regard azure toujours plonger dans celui du jeune homme, je lui devais des explications, je ne pouvais pas juste faire demi-tour et partir sans un mot, hors de question, je devais lui expliquer la raison de ma présence ici. Cela allait être long, mais j’allais résumer le plus possible bien entendue. « Je suis terriblement désolée de vous déranger. En réalité j’ai eu un accident, et ceux qui semble être mes proche dise que j’ai un souci de mémoire. Sauf qu’en passant ici et devant cette porte, c’était comme une évidence, je connais cette adresse, et je pensais me souvenir, mais en réalité il n’en est rien. Je ne voulais pas vous déranger, je suis terriblement désolée. » Je baisse légèrement la tête.

Je venais de tomber de haut, les lieux était donc la seule chose qui m’était familière, en ce qui concerne le jeune homme rien pas une bride de souvenir. Je soupire et tente de regarder mon portable qui visiblement c’est éteint après un nombre incalculable d’appel manqués. Tant pis j’allais rentrée à pieds. Et puis zut au culot comme au culot ! « Enfaite j’aurais un service à vous demander. Visiblement on se connaît, alors si vous pouviez juste prévenir mes proches que je suis ici, ils doivent me chercher partout, j’ai plus vraiment le droit de sortir à cause de … enfin je veux dire depuis que je ne me souviens plus de rien celons eux. » Oui je suis dans le déni, je n’avais pas envie de croire que j’étais amnésique, et certainement que je ne m’y ferais jamais, et puis après tout qui arrive à se faire à une tel chose ? Etre perdue entre l’identité que les autre nous donne et c’elle que l’on doit ce forgé c’est très difficile. Je détache mon regard de celui du jeune homme une nouvelle fois, laissant mes yeux fixer un peu le sol, je suis confuse de lui demander ça alors que je ne me souvient même pas de qui il est vis-à-vis de moi.

©️ LOYALS.
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Je n'ai pas demandé à Amaël comment elle allait.
J'avais entendu dire que son bateau avait disparu, puis ensuite quand elle a été retrouvé, j'ai pas du tout suivi l'affaire... Et je me sens vraiment con de ne pas l'avoir fait. Comment est ce que j'ai pu oublier de prendre de ses nouvelles, et des nouvelle de mon ami ? Je ne peux pas prétendre que d'avoir un enfant, préparer un mariage, gérer la Eliot et suivre mes cours me laisse beaucoup de temps. Et le peu de temps que ça me laisse, je préfère de loin le passer avec mon mari. Mais un SMS ... ça ne m'aurait pris que quelques minutes...
Piètre ami que je fais.
Ressentant le poids de la culpabilité, je m'approche de la jeune femme devant ma porte, et la prends dans mes bras. Au moins, elle semble ne rien avoir de mal, et elle vient même nous rendre visite. Peut être qu'elle ne m'en veut pas trop après tout? J'allais lui demander si Amaël était derrière elle, et je l'aurais fait, si elle ne m'avait pas devancé en répondant à ma question... d'une façon tellement déroutante.
La relâchant, je la regarde intrigué par ses paroles, et l'expression perdue que je lis sur son visage. D'accord, je commence à m'inquiéter. Chose qui s'avère être normale, dés qu'elle termine son explication.
Oh.
...
J'aurais vraiment du perdre ces quelques minutes de mon temps pour demander de ses nouvelles. Tout ce qu'elle me raconte, fait remonter en moi un vague sentiment désagréable, qui picote le bas de ma nuque. Je sens mes muscles se figer, un gout amère passe au fond de ma gorge et mon coeur accélérer, jusqu'a entendre son battement contre mes oreilles.
Combien de temps suis je resté ainsi, sans rien dire, l'expression figé à mi chemin entre un sourire et un rictus maladif? Je ne recommence à bouger que quand elle arrête de parler et me demande d'entrer pour appeler ses connaissances.

Merde... Bouge Jona!
Faisant un pas de côté, je m'oblige à reléguer dans un coin de ma tête, le problème que j'ai oublié assez longtemps pour ne plus y penser. Mes années de coma. Mes années effacé de ma mémoire. L'ancien moi, que je ne suis plus, et que je ne connais pas ... Inconsciemment, je me mets à gratter mon avant bras, celui avec les tatouages.

Où est ce que je vais déjà ? Ah oui, le salon la ou est mon téléphone. Je lui demande de me suivre, et entre dans la pièce, là où j'annonce platement la venue de la blonde "Benji, Athé est la, je vais appeler Amaël pour qu'il vienne la chercher" Me tournant vers elle je demande "A moins que tu veuille que j'appelle cole?". Ma voix n'est pas aussi enjoué que d'habitude. Cependant j'essaie de laisser un timbre assez chaleureux, de l'hôte parfait que je dois être.
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Après une discussion donc je ne comprends finalement que les intonations quand Jona ne se lance pas dans des exclamations. Une discussion s'installe et finalement, leur bruit de pas retentissent dans le couloir menant à l'air ouverte. Mon regard accroche l'expression de Jona et j'hausse un sourcil lorsqu'il parle. Pas tout à fait la même intonation que d'habitude, même si c'est léger. Le questionnant du regard, je fais cependant avec l'explication qu'il me donne, même si c'est pas particulièrement satisfaisant. Il me décrit des faits que je peux observer, non pas la cause de la scène présente. Et j'ai bien l'impression qu'il s'est passé quelque chose.

- Je peux la conduire aussi, proposais-je.

Le camion, enfin réparé, dort sagement dans l'entrée, je peux bien m'en servir. Et si c'est une question de sécurité, c'est pas vraiment un problème. Je peux l'accompagner jusqu'à m'assurer qu'elle aie regagner l'intérieur de la Eliot ou tout autre endroit qu'il faudra. J'endure pas qu'on lève la main sur une femme ou sur un enfant, alors si c'est le cas, y'a personne qui pourra la toucher. Après tout, elle est venue plus d'une fois garder Eva. Étudiant la silhouette de la blonde, je suis étonnée de voir son nouveau look. Si c'est un nouveau style qu'elle se donne d'accord, mais pour l'instant, ça me semble plutôt lié à ce que mon mari ne me dit pas.

Le nouveau look semble d'ailleurs aussi étonné Eva qui met un temps à reconnaître celle qui fait baby-sitter. Une fois reconnue cependant, elle ne se gêne pas pour glisser hors de mes bras et descendre du canapé pour aller faire un calin à sa jambe pour ensuite en réquisitionner un vrai, tendant les bras vers la blonde, énonçant son surnom.

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Je suis le jeune homme dans le salon. Et je me retrouve rapidement dans le salon, où vois un autre homme, je soupire, j’aborde une moue totalement désolée, je n’arrive pas, je ne comprends pas pourquoi je ne me souviens de rien, pas même des deux charmant jeunes hommes qui vivent dans cette maison dont je me suis souvenue de l’adresse. « Bonsoir. » dis-je calmement envers Benji. Non visiblement je suis perdue. Lorsque Jonathan me propose d’appeler Amaël pour qu’il vienne me chercher ou Cole si je préfère, je fais un geste de négation avec les mains. « Ho eu non, c’est gentil, mais je veux juste qu’ils sachent que je ne vais bien, pas qu’il vienne me chercher. Et, je préfère qu’on prévienne Cléolya. Je n’ai pas confiance avec les autres. » Voilà ça s’est dit, non je ne fais confiance à plus personne sauf Cléolya qui est d’une douceur à toute épreuve avec moi malgré mes saute d’humeur et mes fugues de plus en plus récurrente. Pourtant quand on sait que Amaël est mon petit ami, sa parait étrange que je n’ai plus confiance en lui, mais en réalité, pendant mon hospitalisation à Porto Rico, Noah et Amaël c’était livrais une guerre de coq juste sous mon nez. Dimitri et Cole étaient d’une froideur l’un envers l’autre, et la seule qui avait réussi à m’écouter était Cléolya, donc j’avais une confiance renaissante envers elle. Je souris timidement aux deux jeunes hommes.

« Non ne vous embêtez pas pour moi. » répondais-je poliment à la proposition de Benji. Alors que je ne me sentais pas du tout à ma place je voyais une petite demoiselle venir vers moi et s’agrippais à ma jambe après un petit moment à m’observais depuis les bras de son père. Je me sens bête, mais je craque, et je la prends immédiatement dans mes bras dès qu’elle tend les bras vers moi. « Hey coucou demoiselle, tu es magnifique. » Je plonge mon regard dans le sien et sans même réfléchir, je lui parle sur un ton très doux et affectueux « Eva, non sei stanca ? » Eva, tu n’es pas fatiguée ? Venais-je de lui demander en italien, naturellement comme si c’était une évidence pour moi. Alors que la demoiselle pose sa tête sur mon épaule pour continuer le câlin qu’elle voulait, je posais mon regard sur Jonathan, puis sur Benji. J’avais un air ébahie et une moue surprise sur mon visage. Je ne comprends toujours pas comment c’est possible mais le doux visage de cette enfant, je connais, enfin je veux dire, je la reconnais et sa malgré que ma mémoire me fasse défaut. Je regard l’heure rapidement sur ma montre, et je propose timidement. « Vous … Vous voulez que je la couche ? » Après tout je ne voulais pas parler de mes soucis de santé récent devant une enfant. Les enfants peuvent rapidement être affectés par les problèmes des adultes, alors pour moi il était hors de question d’étaler mes problèmes devant ce petit ange. J’attends tout de même l’autorisation de son père pour la coucher, je ne voulais pas être trop inquisitrice dans leur vie alors que je débarque comme sa sans rien dire au beau milieu de la soirée.

©️ LOYALS.
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Mes épaules sont tendues, et tout mon corps est braqué, comme si je m'attendais à être attaqué, alors même que la seule attaque que je peux craindre c'est Brabraccio qui viens renifler ma cheville. Ce que je crains, ou plutôt ce que mon esprit ressasse, c'est ma peur enfouie de ne pas me connaitre. Cette peur qu'Athénael vient de me rappeler, sans même le savoir.
Pendant des mois, tout ce que j'ai fait, c'est me créer une nouvelle vie. Essayer d'oublier ce que mon cerveau refuse de se rappeler, et devenir une nouvelle personne, que celle dont quelques personnes m'ont parlé.
Seul Sloan fait partie des découvertes que j'ai accueillit à bras ouvert. Et que le Jona du présent et le Jona du passé apprécient.

Ma proposition à notre invité, d'appeler Cole ou Amaël, est décliné par la blonde, qui me demande d'appeler Cleolya.
Bien. Avec ma nouvelle position de VP, je connais les noms et les numéros de tous les membres de notre confrérie... Il me suffit de passer très vite par mon bureau, avant de revenir vers le salon, pour trouver Eva dans les bras d'Athé, comme si rien n'avait jamais changé... Elle l'appelle même Eva...
Mon regard passe sur le visage de mon homme, qui ne sait pas encore pourquoi je suis tellement agité, et vaguement sur les nerfs, puis reviens sur mon téléphone, sur lequel je compose un SMS a Cléolya et Amaël, en répondant à la place de Benji "Oui il est temps qu'elle aille dormir" Répondis je, d'une voix pas encore tout à fait à l'aise et jovial. Mes yeux repassent à mon homme, et je lui demande silencieusement de me laisser faire. Que je lui expliquerais tout, dès que la jeune femme passera par le couloir, vers la chambre de notre fille, avec Brabraccio sur les talons.

Je m'approche de Benji "Elle est amnésique" chuchotais je de but en blanc, sans préambules " Elle ne sait même pas qui je suis, et elle est venu sonner à notre porte parce qu'elle s'est rappelé l'adresse" Reprenant ma respiration, mon cerveau se met à analyser la situation, avec la musique du roi lion italien en background "Je crois qu'elle ne se rappelle qu'Eva" continuais je en regardant derrière Benji, vers la porte de la chambre "Et elle ne présente aucun problème à la petite, même si je suis rassuré de savoir que Brabra est avec elles", une partie de moi n'apprécie pas que notre fille soit seule avec une Athéna Amnésique. "Il faut qu'elle reste avec Eva" mais l'autre partie sait que quand un souvenir refait surface, il faut suivre le fil.
Les yeux dans le vague, je continue à fixer la porte de la chambre d'Eva.
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Elle refuse d'appeler que ce soit l'un ou l'autre des hommes que Jona propose d'appeler, citant une fille à la place. Sa best ou de sa famille, j'en sais rien. Et j'aurais arrêté de me poser des questions là si ça n'avait pas été de sa dernière phrase. "Je n'ai pas confiance avec les autres." Qu'est-ce qui s'est passé? Mes yeux passent de Jona à Athénaëlle, mais c'est le mouvement d'Eva pour aller rejoindre sa baby-sitter qui prend finalement le dessus. Dans son pyjama pingouin, elle se dandine pour aller réquisitionner un calin de la blonde qui ne le lui refuse pas. Je tique cependant en voyant son air ébahi, comme si c'était nouveau que la puce soit aussi porté à démontrer de l'affection. Non, ça a juste pris un temps d'adaptation après qu'elle soit là. ...et de comprendre que "brabracio", c'est pas le nom qu'elle donne au chien, qu'elle veut plutôt dire "abbraccio" et que c'est parce qu'elle réclame des câlins. Mais une fois ça passé, elle a pris des habitudes à la Jona. De ce que Salcha m'a dit, elle n'était pas si affectueuse avant. Peut-être parce qu'à l'orphelinat, ce n'était pas vraiment l'ambiance pour ça. Et Salcha n'a jamais réellement voulu s'attacher. Donc est-ce que c'est parce qu'ici, elle se sent chez elle et aimé? J'ose croire que oui. Ça me rassure aussi sur l'idée de ne pas l'avoir laissé en adoption si c'est le cas.

Jona revient de son espace bureau, téléphone en main, envoyant des messages. Je n'ai pas pas le temps d'ouvrir la bouche qu'il répond d'ailleurs à celle-ci. Réponse que j'approuve par un hochement de tête. J'attends qu'Athénaëlle quitte la pièce avec la puce, avant de me tourner vers Jona, le fixant. Maintenant, j'aimerais savoir Baby. Il s'approche, murmure et à la première phrase, je comprends son malaise. Du moins, je sais en partie pourquoi il est aussi agité. Ça lui sonne des cloches ce qui arrive. Et, ça fait un moment qu'il n'avait pas amener ce sujet sur le tapis. Du moins à ma connaissance.

Passant mes mains, sur ses avant-bras comme il me le fait souvent, je l'approche encore un peu et essaie de le calmer.

- Hey, hey, relaxes ma fouine, fis-je doucement. Elle est pas dangereuse, lui fis-je remarquer. Je vais aller voir, déclarais-je en me redressant.

L'embrassant sur le front pour tenter de le calmer un peu, je passe aussi mes doigts à sa nuque avant de me diriger vers la chambre d'Eva. J'entends d'ailleurs sa voix qui s'élève en une discussion. Elle semble vouloir raconter ses aventures à la blonde où un truc du genre. Je n'en saisi les mots que lorsque j'atteins le cadrage de la porte, m'appuyant à celui pour regarder la scène qui s'offre à moi.

- Tu sais qu'elle ne s'endormira pas tant que tu ne lui liras pas un conte? Questionnais-je Blondinette.

Je sais qu'elle le fait souvent. Eva adore les histoires avant d'aller dormir. On a d'ailleurs un recueil de contes en italien spécialement pour quand elles passent une soirée ensemble.

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Je souris timidement à Jonathan et Benji, et en effet Jonathan fait la remarque qu’il est temps que la petite demoiselle aille ce coucher. Je peux donc me dirigé dans sa chambre avec elle. Je m’avance dans le couloir, et je sens comme une connexion avec la petite puce, je lui fais un clin d’œil et lui demande de me montrer le chemin de sa chambre, elle me montre du doigt une porte et je nous y conduis, la petite Eva était toujours dans mes bras. Je me sens suivis, et machinalement je lance un regard pour voir qui est derrière moi, ne voyant que le chien qui nous suit. Je souris, j’adore les animaux, ce sont des êtres fantastique. Je dépose la petite fille sur son lit et entame une discussion avec elle en italien, comme si naturellement cette langue m’était familière. Nous rions d’un rire innocent, et puis je la borde, elle doit avoir sommeil la petite puce. Alors que je l’observe avec beaucoup de compassion et que son visage me dit quelque chose, que je me souviens d’elle sans savoir pourquoi, ni comment je la connais, je commence à me poser beaucoup de questions. Benji fini par arrivé dans la chambre et m’adresse la parole. Je lui souris. Lire un compte ? Je me lève du lit sur lequel je m’étais assise sur le bord, puis j’observe les livres présents dans la chambre. Je ne sais pas vraiment le quel choisir. Je me tourne vers Benji, et lui demande timidement en rougissant. « Quel est son livre préféré ? » Je ne me souviens pas spécialement de tout non plus, et je ne voulais pas décevoir cette petite fille si adorable. Je suis le genre de personne qui n’aime pas décevoir, enfin je crois. En réalité je ne sais plus réellement qui je suis, on m’a donné mon identité, mais suis-je toujours la même ? Depuis que je me suis réveillé de mon coma mon caractère est celui que je me suis forgé, comme si je ne pouvais plus être la vrais Athénaëlle Ambre Wildingham, mais que je devais jouer un rôle dans une pièce de théâtre.

Je me demande si cette fille que je suis n’est pas une honte pour les membres de sa ‘famille’ et ses amis. Je n’ai plus envie de répondre à mes sms depuis mon réveille, et je ne réponds à aucuns appel. Je ne veux pas jouer la comédie, alors parfois je me demande si tout simplement changer de numéro, et partir vivre la vie qui m’inspire ne serais pas l’idéal pour moi ? Je veux dire, je ne sais même pas pourquoi je suis à Harvard, ni même pourquoi je suis dans une villa de luxe le week-end, et encore moins pourquoi je suis à la Eliot House ? Qui suis-je ou du moins la bonne question est plutôt qui étais-je ? Je lance un regard à Benji, je me noie dans son regard comme pour essayer de trouver des réponses. Je n’allais pas avoir une discours tout de suite sur le sujet avec lui, pas devant la petite Eva, je ne voulais pas faire peur à cette enfant avec mes problèmes. Les enfants son hyper sensible, et sont particulièrement atteint par les états d’âme des adultes, alors non pas devant elle, pas de discours et de questionnement devant Eva. Ma lèvre inférieure se met à trembloter comme si j’allais pleurer, mais au lieu de cela, je me pince la lèvre pour éviter ce comportement dans cette chambre.
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