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ALL THE MEMORIES I HOLD DEAR
— with BENJONA
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Cela faisait maintenant plusieurs jours que j’étais arrivé à Boston, étroitement surveillée par pas mal de monde, des personnes qui semblaient être de ma famille, des amis, un petit ami ? Non visiblement tout cette histoire me dépasse, je ne sais pas qui sont ces personnes, je ne me souviens pas d’elles. C’est finalement à une heure assez tardive que j’avais réussi à échapper à tout le petit monde. Je marchais dans les rues de ma ville, le vague à l’âme, pensive. Jean troué, t-shirt un peu rock, rien qui visiblement enchanté les personnes vivant à mes côtés, pourquoi ? Avais-je un style vestimentaire différent ? Un cuire noir et une cigarette à la bouche, une nouveauté aussi semblerais-t-il. Je tire sur le tube toxique, regarde les étoiles, puis avec une douceur mélancolique je laisse la fumée ressortir de ma bouche. Où est-ce que je vais ? Aucune idée, et pourtant le chemin que je prends me semble familier. Qui est Athénaëlle Wildingham ? Je me le demande encore. Étudiante à Harvard, pourtant je ne me familiarise pas avec cette université. Dans toute cette mélasse de pensées sombre, interrogative et mélodramatique, une idée me vient … Et si c’était une bénédiction, une chance de devenir une personne différente, une meilleure personne ou pire allez savoir comment je pouvais être avant. Depuis cette amnésie j’étais douce, calme, terminé les coups bas et le diable sous les airs d’ange, j’étais devenue un vrai petit ange. Alors que j’observe un peu les maisons, les immeubles, et toute autre bâtiments qui croise ma route, l’un d’eux me stop net. Je fronce les sourcils. Cette adresse, cet endroit, je le connais ! Mais d’où je le connais ? Qui habite ici ? Il est presque vingt heure, et je suis totalement perdue en fin de compte. Je soupire et je sors mon portable prêt à appeler quiconque pourrait venir me chercher, mais mon regard se pose une nouvelle fois sur l’entrée de cette habitation. Il était finalement hors de question que je laisse passé cette chance. Je range mon portable dans ma poche, et je fini ma cigarette que je jette assez loin derrière moi.
Après avoir pris une profonde inspiration je me pointe devant la porte et j’attends un peu, j’ai peur, je suis terrifié même à l’idée de trouver ici des personne qui ne m’aime pas, et bien pire, j’ai peur de les blesser, imaginons que ce soit des personne qui m’apprécie énormément, et que moi je sois incapable de me souvenir d’eux ? Je me mordille la lèvre inférieur, le stresse monte et pourtant je me lance, je toc trois coup à la porte, puis je recule d’un pas. Mais bon sang qu’est-ce qu’il me prend d’aller toquer à cette porte à une heure pareille ?! Les gens normaux dînent à une telle heure de la soirée. Une horloge dans le quartier sonne les huit coups de vingt heures, et moi je suis là derrière la porte, passant une main dans mes cheveux. Je suis nerveuse. Tout ce bouscule dans ma tête, j’imagine un tas de scénarios possible, et tous ne sont pas bon sauf dans le cas où je me souviendrais, mais soyons franc cinq seconde, si je suis incapable de me souvenir de ma famille, alors d’autre personnes, je voyais mal comment je pourrais d’un coup me dire : Mais oui c’est toi punaise comment tu vas, je suis tellement heureuse de me souvenir de toi ! Non un peu de lucidité, cela n’arriverais probablement pas. Mes yeux se posent sur la porte lorsque j’entends des bruits de pas qui approche. Je dégluti une dernière fois, me préparant psychologiquement au pire des scénario possible.
Après avoir pris une profonde inspiration je me pointe devant la porte et j’attends un peu, j’ai peur, je suis terrifié même à l’idée de trouver ici des personne qui ne m’aime pas, et bien pire, j’ai peur de les blesser, imaginons que ce soit des personne qui m’apprécie énormément, et que moi je sois incapable de me souvenir d’eux ? Je me mordille la lèvre inférieur, le stresse monte et pourtant je me lance, je toc trois coup à la porte, puis je recule d’un pas. Mais bon sang qu’est-ce qu’il me prend d’aller toquer à cette porte à une heure pareille ?! Les gens normaux dînent à une telle heure de la soirée. Une horloge dans le quartier sonne les huit coups de vingt heures, et moi je suis là derrière la porte, passant une main dans mes cheveux. Je suis nerveuse. Tout ce bouscule dans ma tête, j’imagine un tas de scénarios possible, et tous ne sont pas bon sauf dans le cas où je me souviendrais, mais soyons franc cinq seconde, si je suis incapable de me souvenir de ma famille, alors d’autre personnes, je voyais mal comment je pourrais d’un coup me dire : Mais oui c’est toi punaise comment tu vas, je suis tellement heureuse de me souvenir de toi ! Non un peu de lucidité, cela n’arriverais probablement pas. Mes yeux se posent sur la porte lorsque j’entends des bruits de pas qui approche. Je dégluti une dernière fois, me préparant psychologiquement au pire des scénario possible.
©️ LOYALS.
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