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Ezio ne comprenait pas ce brutal changement de comportement. Il se doutait bien que les paroles insensé de la vieille folle y était pour beaucoup. Si cette médium de merde avait le malheur de gâcher le reste de son séjour à Paris, il irait direct la défoncer. Il était juste hors de question que son voyage ne soit bousillé par des prédictions fausses et injustifiées. Le Quincy regardait Louison en espérant avoir les réponses à ses questions. Elle semblait être impatiente, agacée et énervée, un beau mélange de tout ça. Finalement, la belle blonde prit la parole et l'assassina sur place, rejetant la faute sur lui alors qu'au final, il n'avait absolument rien fait. « Mon coeur est occupé par deux femmes minimum ... bah voyons ! » grogna-t-il, l'air dépité. Ezio ne pouvait pas toujours la rassurer, ce n'était pas possible. Il dépensait à chaque fois, énormément d'énergie là-dedans, il en avait marre. Il avait l'impression que Louison ne lui fera jamais confiance, quoi qu'il puisse faire. « Ah parce que t'es en train d'me dire que tu crois les paroles d'une vieille folle ? Ça fait plaisir Louison, vraiment ! Elle est belle la confiance ... A la moindre occasion tu t'en sers contre moi. » souffla-t-il, presque dans un soupire. La blondinette regardait la médium avec rage et détermination. Ezio inspira longuement avant de déglutir. Il était démuni face à son obstination, elle le voyait comme un connard, rien de plus. « Tu m'saoules Chamberlain ... Mais genre bien comme il faut. J'dois faire quoi pour que tu m'crois une bonne fois pour toute ? Hein ? J'étais un connard, une enflure, tout ce que tu veux mais j'ai changé. Tu m'as changé. » dit-il en espérant que ses mots l'apaise un minimum. « Tu crois vraiment que j'exposerais notre couple partout sur instagram si j'me tapais quelqu'un dans ton dos ? Putain en fait tu ne me fais absolument pas confiance ... Je t'aime et s'il y a un moyen pour que tu te rentres ça dans le crane, dis le moi ... C'est quoi ? Il faut que j'plie le genou pour t'le dire ? » Sans chercher à comprendre plus loin, il arqua un genou et leva la tête pour la regarder. « Louison Chamberlain, je t'aime, j'veux que tout le monde le sache, j'veux que tu comprennes qu'il n'y a que toi. J'suis prêt à n'importe quoi pour tes beaux yeux et ton caractère de merde ... J'veux être l'homme de ta vie, l'unique homme de ta vie .. Et s'il faut que j'te demande en fiançailles ou je ne sais quoi, aux pieds de la tour Eiffel, que tu portes mon nom et qu'on soit lié à tout jamais, alors j'suis prêt. » dit-il, les bras légèrement ouverts, plus sincère que jamais.
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Louison observait vaguement l’ombre de l’italien provoquée par le réverbère au dessus d’eux. Son coeur était comprimé dans sa cage thoracique menue. Elle l’avait choisi, lui et son passé. Elle le lui avait affirmé mais la réalité lui revenait souvent en pleine gueule. La blondinette mordillait sa lèvre, écoutant d’une oreille les justifications du Quincy. Il pouvait parler, elle trouvait cela tout de même dingue qu’une inconnue du bout du monde est décelé l’addiction d’Ezio pour les femmes. Son physique étant fort avantageux, la voyante avait pu suspecter que de nombreuses nanas lui couraient après… C'était logique. Tout tournait très vite dans la tête de la française. La seule ex du jeune homme dont elle avait entendu parlé venait souvent la hanter et il lui était d’ailleurs fréquent de cauchemarder à ce sujet. Alors que la jeune femme se montrait particulièrement résistante au charme fou de son homme, elle termina par céder lorsqu'il l’interpella en mentionnant son nom de famille. Louison en avait longtemps était fière mais aujourd’hui, il ne signifiait plus rien. Son patronyme était une honte. Putain, il était en train de craquer à son tour. La blonde le lorgnait du coin de l’oeil, l’entendant parfaitement s’exprimer sur son passé et sur elle. Sur l’effet qu’elle avait vraisemblablement eu sur lui. Lui, le grand et tout puissant Ezio Scorsese avait trouvé la paix avec sa petite personne exécrable. Elle n’en était toujours pas revenue. Plus l’italien se confiait à un rythme effréné et tendu, plus la Mather se dissolvait sur place. Elle restait toutefois stoïque mais s’enflammait en secret au fur et à mesure que son homme se révélait. Le véritable coup de massue fût son agenouillement. La blonde ne s’y attendait pas bien qu’il ait déjà opéré de cette manière pour ses beaux yeux. Intimidée, elle regarda à droite et à gauche avant de reporter son attention sur lui. Les mots qu’il lui adressait martelaient son palpitant. Parlait-il sur le coup de l’émotion ou était-il extrêmement sincère ? Louison était difficilement perturbée, mais lui, il avait le don de l’anéantir, aussi bien positivement que négativement. Une larme avait donc dévalé la joue rosie de la française, émue par son speech. La demoiselle avait aussitôt chassé cette dernière d’un revers de poignet, s’enfonçant dans l’enclos crée par le brun pour enlacer sa nuque et embrasser son crâne qui sentait divinement bon la vanille. Louison avait ensuite légèrement reculé pour retrouver les prunelles du Scorsese «  Je t’aime tellement… Officiellement, cela ne fait même pas un mois que l’on est ensemble mais je pourrais facilement faire une telle chose, je pourrais me marier à toi dans l’heure et devenir ta femme. Je ne me vois pas ailleurs ni avec quelqu’un d’autre… » lui délivra-t-elle en laissant couler chaudement des larmes de joie et de peur. Louison avait en effet terriblement peur de l’étendue de ses sentiments pour Ezio. Elle n’en connaissait pas leur limite, il n’y avait même pas de limite. La française n’avait pas pu résister longtemps à son petit ami et ses lèvres s’étaient rapidement écrasées contre les siennes à de maintes reprises « Louison Scorsese ça sonne bien non ? » articula-t-elle à l’italienne avant d’aider le bel âtre à se relever, nouant ses doigts aux siens pour remonter sa main à sa bouche pulpeuse et embrasser les phalanges de son Quincy. « Rentrons à l’hôtel, je veux faire l’amour à l’homme de ma vie. » avait-elle murmuré en se blottissant contre lui, capturant au passage son paquet avec une moue coquine.  
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Les bras délicatement ouverts, Ezio s'était livré comme jamais. Leur relation était très récentes mais tellement forte, jamais auparavant il n'avait ressentit une telle chose pour une fille. Les sentiments qu'ils ressentaient pour Louison étaient si intense qu'il n'hésita pas une seule seconde. Il ne prit pas le temps de réfléchir à ses mots, ils venaient presque tous seul. Elle était la bonne, la seule et unique à lui faire cet effet-là. Elle était chiante mais c'était sa chiante, alors il lui pardonnait. Ses yeux se noyaient dans le regard bleuté de sa belle, attendant un quelconque retour. Il était esclave de sa réaction à présent. Le Quincy la sentait perturbée, émotive mais ne décela pas la larme qui coula sur sa joue. Il faisait trop sombre pour qu'il puisse la voir, il fronça juste les sourcils en la voyant s'essuyer furtivement la joue du revers de sa main. Les premiers mots de Louison le firent sourire. « Alors soit mon emmerdeuse de femme... » répéta-t-il en rigolant faiblement, plus sur de lui que jamais. La blondinette se baissa pour venir dans ses bras, l'enlaçant aussi fort qu'elle le pouvait. Elle l'embrassa plusieurs fois, lui montrant à quel point elle était touchée par ses mots. Elle ne lui faisait plus la gueule, Ezio avait réussit à apaiser ses maux pour un court instant. Il n'était pas dupe, il savait que Louison pourrait revenir à la charge, à n'importe quel moment. Il suffisait simplement qu'ils croisent une jolie fille ou qu'elle pense à quelque chose dans sa tête. Le jeune homme marchait sur une corde sensible, à lui de tout mettre en oeuvre pour rassurer sa belle. Louison Scorsese. Un frisson lui parcouru le corps lorsqu'elle prit l'accent chantant du sud, de son sud. « C'est parfait. » répondit-il, presque dans un murmure. Ezio se releva et, bien évidemment, secoua son genou, il ne supportait pas être sale ou mal habillé. Louison prit sa main et vint embrasser ses doigts. Il la regarda bêtement, tout allait très vite dans sa tête, un tas d'images perverses lui traversèrent l'esprit. Et lorsqu'elle lui proposa de rentrer à l'hôtel pour qu'ils puissent s'unir, son sourire s'agrandissait à vue d'oeil. Il savait qu'il allait avoir à faire à une sauvage, une tigresse, une panthère. Il serra sa mâchoire mais ne répondit pas. Il se contenta de la prendre dans ses bras et de déglutir difficilement lorsqu'elle posa sa main sur son attirail. Sa main englobait son paquet avec une aisance déconcertante, cela avait suffit à l'enflammer. Louison lui avoua qu'elle lui appartenait, elle savait y faire avec lui. « Tu es à moi. » se contenta-t-il de dire en attrapant son cou de ses mains libres. Sans chercher à comprendre plus loin, il captura ses lèvres pour un baiser fiévreux, langoureux. La chaleur monta en lui, s'imprégnant de tout son être. Excité, Ezio devenait fou, elle le rendait complètement dingue. A bout de souffle, le baiser prit fin et Louison commença à partir, surement en direction de l'hôtel. Il lui attrapa la main rapidement, pour éviter qu'elle ne lui échappe. « Attends Louison ... » Au final, il n'avait pas eu de réponse concrète. Il avait du mal à cerner les femmes et même si la blondinette l'avait rassuré et assuré qu'elle n'était qu'à lui, il voulait un oui je le veux. Histoire d'être certain. Il la rapprocha de lui dans le plus grand des calmes, il restait imperturbable. « J'étais sérieux tu sais ... Je veux qu'on se fiance, je veux qu'on se mari par la suite, je veux faire ma vie avec toi. J'ai pas de bague pour officialiser tout ça, de retour à Boston, j'ferais les choses bien mais je veux que tu me répondes. Ce n'est pas des paroles en l'air. » L'italien savait ce que la notion de fiançailles pouvait bien signifier, il savait qu'une fois qu'elle aurait accepté, il avait un an pour la demander en mariage, il savait parfaitement dans quoi il s'embarquait. Ezio était très à cheval sur ses principes, il tenait ça de sa famille, de sa patrie. Il ne plaisantait jamais avec ses promesses, il n'avait qu'une seule parole. « Louison Chamberlain, veux-tu devenir ma fiancée ? » lui demanda-t-il dans un français presque impeccable, gardant toujours son petit accent italien. Il avait fait des proprets en français ... non en fait, il s'était juste renseigné avant de partir de Boston.
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Louison ne pouvait plus vivre sans lui. Il était son oxygène, son rayon de son soleil, sa plus grande fierté à ce jour. Elle n’avait cependant pas pris au sérieux la demande de son homme. Elle craignait un emballement, une simple exagération afin de lui prouver qu’il était amoureux d’elle. Bien évidemment, elle s’était plu à s’imaginer sienne, officiellement sienne. Elle n’avait jamais osé se projeter aussi loin, mais s’entendre devenir une Scorsese avait tout à coup crée de lourdes interrogations en elle. Le mariage ? Elle n’y avait jamais cru, encore moins au Dieu à qui il fallait promettre tout un tas de conneries. Son pire ennemi était l’Église et elle ne voyait pas comment elle pourrait un jour s’avancer vers un autel. Elle préféra alors fuir le sujet, s’adonnant à sa nouvelle passion, le sexe. Ezio avait réveillé ses instincts primaires en la touchant en plein coeur. Elle le désirait ardemment et elle ne s’était pas gênée pour caresser ses parties intimes en public. Avec l’obscurité et l’heure qu’il était, elle ne risquait pas de se prendre une prune pour exhibitionnisme sexuel.  En tout cas, elle avait pris volontiers le risque et elle était prête à ce qu’il la possède n’importe où dans les rues de Paris. L’italien avait répondu à son appel, elle le sentait se chauffer à son tour de par ses baisers fougueux. Bien que la température était particulièrement basse ce soir, la française était en ébullition. Elle tourna alors les talons, laissant Ezio la poursuivre s’il avait vraiment envie d’elle. Tout à coup, alors qu’elle n’avait même pas effectué une enjambée, le brun avait serré son poignet pour la rattraper et la retourner face à lui. Le Quincy n’en avait apparemment pas fini avec elle et son ton solennel lui avait tout à coup foutu une satanée pression. Louison l’avait dévisagé de ses yeux de biche et n’avait émis qu’un faible petit « Quoi ? » Lorsque le brun s’était ensuite approché d’elle avec un sérieux imperturbable malgré le sourire gêné de la blonde, cette dernière savait qu’il allait lui dire quelque chose d’important. Elle inspira alors profondément, s’attendant au pire. Elle survivait à présent en apnée face aux mots puissants de son amant. Il ne plaisantait pas toute à l’heure. Il voulait qu’elle lui appartienne définitivement. Il allait le lui demander encore, il fallait qu’elle réagisse et vite, qu’elle ne le laisse pas en plan comme une idiote. Son coeur s’excitait dans sa poitrine, son ventre était en feu et ses jambes sur le point de rompre. Un mois, un mois et si elle disait juste « oui je le veux », ils graviraient encore d’un étage vers l’union sacrée. La panique gagnait la Mather, elle le voulait, elle le voulait rien qu’à elle. Ce n’était pas à sens unique. Ils auraient tout le temps de voir les détails d’un tel engagement par la suite. Quand il prononça sa demande dans un français dès plus parfait, Louison avait éclaté en sanglot, secouant sa tête de haut en bas, n’arrivant pas à encore à formuler une réponse audible. La jeune femme s’était ensuite reculée, prenant un peu d’élan pour lui sauter dans les bras et l'embrasser à pleine bouche « Je le veux, je veux être ta fiancée, je veux être ta femme Ezio Scorsese, je t’aime plus que tout, je t’aime… » Louison avait vécu un putain d’ascenseur émotionnel en moins de cinq minutes, les larmes n’arrêtaient plus de sortir et elle s’en foutait royalement. Elle était heureuse, ce n’était que des larmes de joie qui jaillissaient encore et encore. Ce type de situation ne pouvait lui arriver qu’à elle, ce type de réaction impulsive également. En descendant de son petit ami, elle attrapa furtivement une de ses paluches recouvertes de chevalières et en déroba une pour la glisser autour de son annulaire « Bah ouais, je la prends en otage jusqu’à ce que j’en ai une vraie » le nargua-t-elle en essuyant son visage recouvert de flotte avec les manches de son sweat, enfin, du sweat d’Ezio. C’était le plus jour de sa vie, Louison avait été demandé en fiançailles dans l’endroit le plus romantique du monde, sur son sol. « Qu’est-ce qu’on fait… On est fous, vraiment… » chuchota-t-elle en regardant amoureusement le Scorsese. L’étudiante cherchait encore un aspect rationnel à cette histoire mais, il n’y en avait absolument pas. Tout lui échappait et elle devait s’y faire. « Allons prendre un bain au champagne, faut bien fêter ça » glissa-t-elle en explosant de rire, heurtant le torse du brun de plein fouet pour le serrer contre elle. Elle voulait aussi entendre son coeur, l'entendre battre aussi fort que le sien. Son oreille collée contre son pectoral gauche, la française percevait de rapides coups sourds et était enfin rassurée. Elle attrapa alors les fesses de son homme et les ramena vers l'avant pour sentir son entrejambe contre elle « Ezio... »  
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Voilà, c'était dit. Ezio n'avait plus qu'à attendre la réaction de sa belle blonde et là, clairement, il ne savait pas trop à quoi s'en tenir. Louison était une fille très difficile à cernée et avait parfois des réactions un peu spéciales. Il comprendrait qu'elle refuse et ne lui en tiendrait pas rigueur. Tu parles. Il n'avait absolument pas envie de se prendre un vent, sa fierté en prendrait un sacré coup. Alors il serra fortement sa mâchoire, en priant le bon Dieu pour qu'il agisse dans son sens. Lorsqu'il parla en français, lui demandant si elle acceptait de devenir sa fiancée, la blondinette fondit en sanglot, hochant la tête de haut en bas. Le visage du Quincy s'illumina en la voyant aussi heureuse, aussi comblée. Je le veux. Elle prononça ces mots pour lui, elle acceptait sa demande, elle était prête à sauter le cap. Elle lui sauta littéralement dans les bras pour l'enlacer de tout son être. « Moi aussi je t'aime Louison Chamberlain-Scorsese, putain ça claque j'me suis fiancé à la plus belle et la plus bizarre des filles qu'il m'ait été donné de rencontrer. » s'amusa-t-il à dire en l'embrassant à pleine bouche. Tout n'était que passion entre eux. Ils allaient trop vites, brûlaient les étapes mais qu'importe, ils étaient ensemble dans leur folie, c'est tout ce qu'il comptait. Finalement, Louison descendit de ses bras et attrapa une des chevalières du jeune homme pour la foutre à son doigt. En temps normal, il ne laissait personne y toucher, c'était son délire mais avec elle, tout était différent. « Ça marche, ça fait bizarre sur toi mais ça m'va. Je m'occupe de tout de retour à Boston. » répondit-il en regardant la fine main de sa dulcinée. Elle se colla à lui, cherchant le moindre contact. « On est complètement fou mais au moins, on est à deux et c'est tout ce qui compte pour moi ... » répondit-il dans un murmure. Et lorsque Louison lui proposa d'aller prendre un bain au champagne, il éclata de rire. « T'as vite prit l'habitude du luxe toi, je t'ai mal apprit ! » lança-t-il pour se moquer un peu d'elle. Un bain de champagne, ce n'était vraiment pas digne d'un Quincy ça, on était loin de l'écologie. Amusé par la folie de sa nouvelle fiancée, il la regarda avec un sourire attendrit sur le bord de ses lèvres. Louison s'approcha de lui et vint poser son oreille contre son torse. Il fronça les sourcils, ne comprenant pas trop ce qu'elle était en train de faire. « Tu fou quoi là ? » s'amusa-t-il à dire en rigolant. C'était bizarre, étrange, du Louison dans toute sa splendeur. « Viens, on bouge de là. » dit-il en attrapant sa main, l'embarquant vers l'hôtel.

[...]

Rapide coup d'oeil à l'horloge en or massif du hall d'entrée du Ritz, Ezio fut étonné qu'il soit aussi tard. Il devait être sur les coups des quatre heures du matin. Evidemment, ils avaient traînés sur la route. Louison était grimpée sur son dos, ils faisaient un maximum de bruit en essayant d'être discrets. Pourtant ils n'étaient pas saoul. Une fois devant la porte, le bel italien galéra à sortir la clé de sa poche et, par je ne sais quel miracle, parvint à l'ouvrir. Il entra à l'intérieur en essayant de ne pas cogner les pieds de la blondinette contre l'encadrement de la porte. Il fit claquer la porte et la lâcha. « Allez va t'changer Chamberlain, va enfiler une belle tenue, fais moi rêver ! »
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Louison n'en croyait pas ses oreilles. Ezio l'aimait, il la trouvait belle et ... bizarre. Elle préférait oublier cette dernière remarque et ne garder que le début. Chaque jour lui réservait des surprises mais à ce rythme là, en resteraient-il assez pour les mois qui arrivaient, pour toute une vie ? Tout allait très vite entre eux, ce qui ne déplaisait pas non plus à la française. Louison était terriblement amoureuse de lui au point de développer des sentiments négatifs tels que la jalousie et la possessivité qu'elle se devait de camoufler. Ezio n'apprécierait sûrement pas d'avoir une petite amie aussi étouffante et tyrannique, le juste milieu était difficile à atteindre. La Chamberlain était tiraillée et noyée sous les émotions. Elle venait de se fiancer à lui, de lui dérober une de ses précieuses chevalières. L'italien lui avait fait tourner la tête en moins d'un mois et elle était facilement entrée dans son petit monde huppé. Elle avait dorénavant des délires de riche, ce qui avait fait réagir le brun " Raaah t'es pas drôle, on a qu'une vie, tu pourras même pas tout dépenser avant de crever j'suis sûre ! " s'exclama-t-elle avant de revenir brutalement vers lui, obnubilée par son être. La jeune femme avait tenu à écouter son coeur, ce qu'elle faisait de temps en temps après avoir fait l'amour avec lui, lorsqu'il lui en offrait l'opportunité. Son coeur était aussi le sien. Elle l'occupait. Ezio ne comprenait toujours pas pourquoi elle nichait sa tête contre lui et cela lui faisait toujours sourire. Quel menteur ! Il savait très bien qu'elle était sensible et qu'elle s'accrochait à de gros clichés romantiques. Après s'être imprégnée de lui, le Quincy et la Mather avaient repris le chemin de l'hôtel, main dans la main et fraîchement fiancés.

[...]

Louison était à présent enfermée avec l'homme de sa vie, dans un des plus beaux palaces du monde. Elle n'avait même pas eu le temps de se servir un verre que l'italien lui avait demandé de faire le show. Un show sexy... La blondinette s'était alors retournée vers lui en le fusillant du regard " J'y vais de ce pas Scorsese, prépare toi à bander " l'avait-elle prévenu en attrapant son sac tout en se dirigeant vers la salle de bain. Une fois à l'intérieur, elle ouvrit grand son sac et chercha rapidement ce qui allait exciter son étalon. Après s'être sauvagement débarrassée des couches de vêtements qu'elle avait sur son dos, elle avait enfilé un body en dentelle qui laissait transparaître tous les détails de son anatomie avec finesse. Chaussant ensuite la paire de talons coincée au fond de ses bagages, elle fit un tour devant la glace, recouvrant ses lèvres d'un rouge carmin. Enfin prête, elle sortit recouverte d'un kimono en satin, s'approchant du brun en basculant avec exagération son bassin de droite à gauche. La route était pourtant droite, Louison s'amusait juste de la situation. Elle dénoua ensuite son chignon, laissant ses longs cheveux blonds s'échouer dans son dos. Elle s'était ensuite approchée à quatre pattes de son homme allongé sur le lit, le chevauchant sans hésitation et effleurant ses lèvres sans lui procurer de véritable baiser. " Vous m'aidez à enlever ceci ? " lui demanda-t-elle en tirant sur la ceinture de son léger peignoir. Louison était aussi chaude que la braise. " Par contre... Je ne suis pas sûre que je vous autoriserais à consommer tout ceci monsieur, pas avant le mariage... Vous êtes d'accord ? " demanda-t-elle en mordillant sa lèvre inférieure tout en jaugeant les mimiques de son homme. Lui devenir abstinent ? Jamais. Et elle ? Encore moins, surtout avec une bête pareille entre les jambes.

 
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Ezio n'avait pas de temps à perdre. Elle l'avait chauffé aux pieds de la tour Eiffel, elle devait assumer maintenant. Louison avait réveillé ses pulsions les plus primaires. Il lui ordonna d'aller se changer et de lui faire un show privé pour son seul plaisir. Il s'était mis à nu pour elle, en lui dévoilant tant de sentiments d'un coup, c'était maintenant à son tour d'en faire autant. Le beau brun voulait qu'elle se mette à nue mais au sens figuré. Il la voulait à poil et chaude comme la braise. « Grouilles-toi, j'bande déjà. » dit-il en rigolant face au regard foudroyant qu'elle lui lança. Le Quincy la regarda partir dans la salle de bain avec son sac de voyage. Là-dedans, elle devrait trouver de quoi l'exciter un peu, c'était évident. Sans attendre une seconde de plus, il allait s'allonger sur le lit, prêt pour le spectacle. Il n'eut pas à attendre bien longtemps puisque Louison fit son apparition, plus appétissante que jamais. Elle avait un peignoir de satin, des hauts talons et un putain de rouge à lèvres. Inconsciemment, Ezio entrouvrit la bouche et cligna bêtement des yeux avant d'afficher un large sourire sur ses lèvres. Elle était tellement aguicheuse, tellement sexy. Il n'était pas au bout de ses peines. Il grogna lorsqu'il la vit ôter son chignon d'une matière provocante. Le sexe avec des sentiments n'était comparable en rien avec tout ce qu'il avait pu faire dans le passé. L'envie qu'il éprouvait pour elle n'avait absolument aucune limite. Elle grimpa sur le lit et sur lui, à quatre pattes, elle lui donnait la fièvre sans même le toucher, c'était quand même miraculeux. Instinctivement, il posa ses mains sur ses cuisses et se mordit la lèvre inférieure pour ne pas lui sauter dessus. Elle le provoqua toujours un peu plus. « Nan mais t'es pas au courant ? On est déjà mariés, depuis une semaine. » râla-t-il. Sans chercher à comprendre plus loin, il attrapa la ceinture de son peignoir et vint lui enlever. Il ne savait pas comment ça marchait ce truc mais c'était de trop. Il balança le truc en satin par terre et découvrit un sublime body. « Pourquoi t'as mis ça ? C'est super galère à enlever. » dit-il en rigolant. Ezio ou l'art de tout gâcher. En voyant qu'il venait de tout foutre en l'air, il se redressa et la fit basculer sur le côté. Ne pouvant plus attendre plus longtemps, il vint la dévorer de bisous dans son cou, n'hésitant pas à descendre sur sa poitrine. Le bel italien s'enflammait tout seul. Il ôta son propre t-shirt qu'il laissa tombé plus loin. Il la regarda quelques secondes sous lui, à sa merci. « J'fais comment moi maintenant pour m'occuper de toi ? Enlèves moi ou j'te l'arrache ! » dit-il en levant les yeux au ciel. L'idée de lui arracher son truc n'était pas pour lui déplaire, bien au contraire.
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La blonde n'avait plus qu'une idée en tête, se faire violemment son homme qui venait de lui demander sa main. Ils n'étaient pas encore mariés et avaient de toute façon consommé plus d'une fois, celle-ci n'allait pas les damner davantage. À califourchon sur son brun, la jeune femme se laissait déballer comme un fichu cadeau. Quand il avait enfin retiré son kimono satiné pour l'envoyer au bas du lit, sa réaction fit exploser de rire la française. Oui, elle n'avait pas choisi le dessous le plus simple à retirer. Pour elle, plus il mettrait de temps à la foutre à poil, plus son désir ne cesserait de croître. " On va trouver une solution chéri, tu vas voir " lui chuchota-t-elle alors qu'elle était à présent emprisonnée sous son corps, sous ses baisers humides et d'une chaleur terrible. Ezio s'enflammait au dessus d'elle, bazardant son tee shirt qui lui offrait une vue imprenable sur ses abdominaux en acier. Louison qui sentait son amant s'impatienter avait tout à coup jeté ses jambes hors du lit, s'approchant d'un bureau doré où elle y trouva dans un pot, une paire de ciseaux comme elle n'en avait jamais vu auparavant. Cela ressemblait fortement à des ciseaux de haute couture ou un truc du genre. Revenant sur ses pas, elle actionna à plusieurs reprises l'instrument en remuant malicieusement ses sourcils. Grimpant ensuite sur le lit où était resté l'italien, elle lui tendit l'objet " Découpe ce machin, déchire-le, fous moi à poil, je veux sentir ces lames qui effleurent ma peau, fais moi frissonner bébé ! " énonça-t-elle avec une voix perverse à souhait, " Quand tu auras réussi à me sortir de ce truc, je veux sentir ta langue sur chaque parcelle de mon putain de corps t'as compris ? " avait-elle fini par revendiquer en tentant de contrôler un fou rire qui grandissait en elle. La blonde s'était ensuite rapprochée de lui, portant les ciseaux tenus dans les mains de son homme entre ses seins " T'attends quoi, évitons juste l'hôpital, sois précis Ezio Scorsese. "  
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Agacé, excédé. Ezio regardait le body de sa belle en soupirant. Quelle idée stupide d'avoir mis ça. Plus il la voyait dedans et plus il s'exaspérait tout seul. Sur ce coup-là, Louison n'avait pas été très maline. Ou peut-être que si justement. Peut-être voulait-elle jauger la patience du Quincy à travers cette épreuve ? Lui qui se voulait toujours imperturbable, là il semblait perdre patience à vue d'oeil. La frustration l'avait toujours rendu irritable et parfois même agressif dans ses mots. Il voulait qu'elle enlève ce body, le plus rapidement possible. Et alors qu'elle vint lui affirmer qu'ils allaient trouver une solution, la belle blonde s'échappa de son emprise, le laissant tout seul comme un con. Putain, Ezio détestait quand elle faisait ça. Il se laissa tomber sur le lit en grognant de toute ses forces dans le coussin. Il finit quand même par se redresser et la mater déambuler dans toute la chambre, le corps emprisonné dans ce body sexy blanc. « Dépêche ! » marmonna-t-il entre ses dents. Il n'en pouvait plus, il avait trop envie d'elle, l'attente était insoutenable. Finalement, Louison revint vers lui avec une paire de ciseaux dans les mains. Amusé, il afficha un large sourire en la regardant revenir vers lui. Il prit les ciseaux entre ses mains et la regarda, toujours aussi perplexe. Il afficha un large sourire en l'entendant parler. Elle savait comment y faire la petite. « Non mais t'as cru que j'faisais du découpage en cours ou quoi ? » râla-t-il avant de balancer les ciseaux à l'autre bout de la chambre. « J'vais te l'enlever ton putain de body, tu vas voir. » Ezio se rapprocha d'elle et posa ses mains sur le bord haut de son body. Il agrippa le dessus et d'un geste franc et brutal, le déchira en deux. Excité par son propre instinct primaire, il la fit basculer sur le dos et embrassa sauvagement son ventre maintenant dévoilé. Il n'allait plus la laisser lui échapper. Le bel italien arracha le reste de son body pour la déshabiller totalement. « Voilà il m'fera plus chier celui-là. » dit-il les sourcils froncés avant de rigoler légèrement. Le beau brun avait juste massacré le body de Louison et il en était presque fier.
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