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Cola -> dans l'oeil du cyclone...

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On avait beau s'énerver, perdre notre sang froid, moi en imaginant qu'il y avait tellement plus qu'un baiser entre elle et mes cousins, elle en me voyant piquant sur le sujet Dimitri, elle finit par se radoucir un peu, amusée par le terme belle  cousine que j'avais employé pour évoquer mon plan d'origine. Plus d'actualité du tout, et miss Strauss affirmait à son tour que le seul Wild qu'elle voulait était sous ses yeux. Et si l'entendre pouvait faire du bien, m'apaiser un peu,  ça l'enlèvait rien aux faits, ce qui s'était passé, ce baiser entre eux. Ça n'effaçait donc pas mes craintes. Parce que pourquoi aurait elle fini pendue aux lèvres de mes cousins si elle me voulait tant que ça ? Je lui reprochais d'ailleurs l'exclusivité qu'elle avait réclamé,  le fait qu'elle nous avait entraîné dans cette spirale, parce que si on n'avait pas été ensemble, je n'aurais rien eu à dire quand à son petit jeu.  "C'était une erreur. On n'aurait jamais dû se mettre en couple. C'était plus simple avant. "  soupirai-je. Proposition vraie pour toutes mes anciennes relations. Officialiser était toujours l'erreur qui m'avait éloigné de toutes mes conquêtes. "Je peux pas te laisser avoir ce pouvoir sur moi Cléo. "  Je ne pouvais faire confiance à personne alors s'attacher à quelqu'un c'était aussi courir le risque que cette personne nous détruise, c'était d'ailleurs immanquablement ce qui se passait toujours. Or, on ne détruit pas Cole Smythe Wildingham, c'est lui qui vous détruit... pourtant toute envie de vengeance s'évaporait lorsqu'elle attrapa ma main. Comme électrisé par ce contact, je me sentais faiblir... Et c'était  trop tard, comme un aimant,  elle avait beau s'éloigner, je reduisais à néant la distance entre nous et mes lèvres finirent contre les siennes. Baiser qu'elle me rendit, plus fiévreux, plus langoureux, de quoi faire fondre un peu plus mes résistances. Quand ensuite nos bouches se séparaient, ce n'était plus un discours accusateur et revanchard que je tenais. Plus de Dimitri ou de Nicho en tête. Y'avait plus que Cléo et ses prunelles envoûtantes accrochées aux miennes. L'ouragan qui soufflait dehors me servit en fait, comme prétexte parfait pour profiter de ce moment avec elle. Que l'avenir nous reservait il ? Et si on mourrait cette nuit ? La réponse de la demoiselle était équivoque et ses lèvres contre ma peau, les baisers qu'elle y sema, ça ne fit qu'accentuer mon envie de fléchir, de le laisser aller, de perdre une bonne fois pour toute le contrôle. Ses lèvres finirent contre les miennes et le point de non retour était atteint. Je n'avais plus la force d'être désagréable ou sur la défensive. Moi aussi je la voulais elle ce soir, rien qu'à moi, une dernière fois. Je lui avouai d'ailleurs après notre baiser : "On veut la même chose Cléo ..." Elle se recula, commença à se déshabiller, puis se stoppa, semblant hésiter un instant. Moment d'hésitation coupé par une bourrasque sonore à l'extérieur qui la fit fondre dans mes bras.  "Hey tout va bien. Je suis là..."  lui Soufflai-je, mes bras l'entourant avec douceur... " Je suis sûr qu'on peut faire plus de bruit que cet ouragan..." Ajoutai-je, en référence à nos ebats sulfureux, et histoire de la détendre vis à vis de la météo catastrophe qui régnait là dehors. Doucement, mes doigts glissaient sur son chemisier pour le faire délicatement tomber au sol... C'est alors que je compris son hésitation, constatant les marques, les tuméfactions sur son corps... redoublant de douceur en laissant courir mes doigts contre sa peau en une lente caresse, je lui demandais  : "Si je te fais mal,  si ça va pas, tu me le dis..."

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Dans l'oeil du cyclone.
— with Cole.

Il n'y avait qu'à voir la façon dont on prenait à cœur les choses, pour se rendre compte à quel point ce qu'on avait vécu était sincère. Il n'y avait qu'à voir chacune de nos disputes pour se rendre compte à quel point on aimait se détester autant qu'on aimait se rapprocher. Parce que finalement, l'un n'allait pas s'en l'autre. Tous les éclats de voix qu'on avait pu avoir, avaient fini de la même façon, dans les bras l'un de l'autre. Alors oui, je savais qu'on avait atteint une limite, que j'avais réduit à néant la possibilité qu'un nous revoit le jour et c'était dur. Vraiment dur même, mais c'était ainsi, je ne pouvais m'en prendre qu'à moi-même. Puis ses mots retentissaient... Je baissais la tête et je soufflais un grand coup pour ne pas tout casser dans cette pièce, pour ne pas tout emporter avec moi. Il avait appuyé là ou ça faisait mal, il devait s'en douter.

« Donc tu regrettes... Ravie de le savoir. » Soufflai-je agacée. « J'ai aucun pouvoir sur toi, j'en ai jamais eu et j'en aurais jamais. Arrête de me sortir tes belles paroles, prétendant que tu ne pas laisser une telle chose arriver. T'es juste content d'être sortie de cette relation que vraisemblablement, tu regrettes. »

Sauf que moi je regrettais rien, qu'importe le mal que ça me faisait à l'heure actuelle, je ne regrettais vraiment rien. Finalement la seule chose qui me dérangeait, c'était l'image que je lui avais donné de moi en agissant sous l'impulsivité. Je m'approchais de lui, j'entrais en contact, laissant les mots et les actes parler d'eux même. Le vent dehors, les mots qu'ils avaient pu avoir, les erreurs que j'avais pu faire, la douche froide qu'il avait prise, tout ça, ça n'avait pas suffit à éteindre ce désir. Il savait que j'étais une bonne joueuse, une bonne adversaire, la preuve étant, j'étais dans sa suite, et qu'importe la distance que je pouvais prendre, il revenait continuellement vers moi. Ses lèvres contre les miennes, je m'empressais de rendre le baiser bien plus langoureux. Il me faisait remarquer, que ce soir, c'était juste lui et moi et qu'importe la haine qu'on pouvait éprouver l'un pour l'autre, notre vie ce soir était en jeu. Alors le souffle, le déluge, tout ça, ça nous rapprochait, ça nous laissait une chance de nous dire au revoir une bonne fois pour toute. Je parsemais son visage de délicats et tendres baisers tout en révélant mes plans pour cette nuit, chose qu'il approuvait bien vite. Un pas en arrière, quelques boutons détachés et voilà que je paniquais. Les bleus, les coupures, ils étaient toujours présent et j'avais honte. Honte qu'il voit à quel point cette situation avec lui, avec Cami, ça m'avait rendu mal, au point de me foutre en l'air en bagnole. J'avais risqué ma vie, celle de mon meilleur ami, tout ça parce que je cogitais de trop. Et le dieu du mauvais temps avait entendu mes doutes, c'était un bruit qui me permettait de faire machine arrière et de venir me réfugier dans ses bras. Son bras m'entourait avec douceur, le ton de sa voix était rassurant alors je me détendais. Je levais les yeux vers lui, puis je souriais à l'entente de sa remarque.

« Prouve-le-moi... » Chuchotais-je alors que ses mains se saisissaient du tissu de mon chemisier.

La soie glissait rapidement contre ma peau, laissant le froid de la pièce faire frissonner ma peau, à moins que ce soit lui, là tout près de moi. Le bout de ses doigts venait parcourir ma peau dans une tendre caresse. Mes yeux plongés dans les siens, j'avais peur que son envie change.

« Tu.. Même comme ça, tu veux encore de moi ? »

Non pas que j'allais m'en plaindre, mais quand même, on était loin du corps parfait qu'il avait eu l'habitude d'avoir dans son lit. Mes mains venaient se saisir de sa ceinture, attrapant la boucle, puis le cuir et je m’empressais de la détacher et la laisser glisser pour la laisser tomber sur le sol de la chambre. Mes doigts remontaient le long de mon dos pour venir se saisir de l'agrafe de mon soutien-gorge, pour venir détacher l'ensemble. Le retirant, poitrine l'air, mes mains glissant sous son haut, je l'attirais contre moi, puis je posais délicatement mes lèvres contre sa nuque, remontant délicatement jusqu'à son oreille, dans une ligne de petit baiser.

« Montres moi à quel point tu tenais à moi Cole... Montres moi à quel point tu me désires... Montres moi à quel point je vais te manquer. »

© LOYALS.
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L’art de retourner les fautes contre l’autre. La vérité : peut être qu’on était juste pas faits pour ensemble. Mais elle avait ce pouvoir, cette attraction sur moi, et j’y avais cru, j’y avais tellement cru que c’était elle la bonne, que j’étais complètement en colère. Contre elle, contre mes cousins, contre moi même, pour ce fichu texto, ou pour simplement être tombé dans ses filets, dans le piège d’y croire, de m’attacher, de tomber amoureux… Je ne lui dirais pas, à quoi bon lui dire que je l’avais aimée, à présent que le point de non retour était arrivé ? Bref, ambiance plus que tendue, pour ce début d’altercation entre nous. Et pourtant, elle se rapprocha, elle attrapa ma main, elle eut ses mots, et je ne sais pas si c’était la proximité, sa voix qui s’était calmée, ou les bourrasques dehors, le fait que nos vies étaient peut être en jeu, mais voilà je cédais, je perdais pied, je baissais les armes… Un baiser. Elle se recula, se déshabilla, hésita… Je pensais alors à l’ouragan et me fis plus doux, plus rassurant. C’était pas une tempête qui allait nous faire peur, la tempête, la vraie, c’était nous. Nous deux dans ce lit… Et mes mains firent glisser son chemisier, dévoilant alors sa peau meurtrie. Craignant de lui faire mal, je lui soufflais de me stopper si c’était le cas, et ce qui étonna la demoiselle, c’était le fait que ses tuméfactions ne m’arrêtaient pas. « J’ai toujours envie de toi Cléo. T’es superbe… » Et c’était bien la preuve que j’étais mordu, que ce n’était pas que du physique, que j’étais bien trop attaché à elle encore, puisque je la désirais elle, pour elle, et pas juste pour son corps parfait, les bleus n’éteignant pas mon désir. Et sa demande ensuite, accompagnée de baiser sur ma peau, j’allais me faire un plaisir d’y accéder. Ma bouche attrapa la sienne, avidement, mes mains saisirent doucement ses hanches la soulevant, venant l’allonger sur le lit, la débarrassant ensuite des autres vêtements qui la couvraient encore, de ceux qui me couvraient encore. Venant ensuite au dessus d’elle, reprendre de plus belle notre baiser, unissant alors nos deux corps pour une ultime nuit ensemble, une nuit de plaisir sans fin, collés l’un à l’autre, essoufflés, profitant de chaque instant comme si c’était les deniers…

HJ : ça te va si on finit comme ça ? Et comme ça, si tu veux je nous en ouvre un autre comme Cole veut parler à Cléo ? Cola -> dans l'oeil du cyclone... - Page 2 3850463188
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