KIARA BROOKE STEVENS ► sophia bush

ID CARD

Nom : Stevens ◇ Prénom : Kiara, Brooke ◇ Âge : 25 ans ◇ Date et lieu de naissance : Née le 08 juillet 1992 à Sydney en Australie ◇ Nationalité : Américaine ◇ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle ◇ Statut amoureux : Célibataire ◇ Statut social : Riche ◇ Job étudiant : Bénévole dans un refuge pour animaux ◇ Études majeures : Médecine vétérinaire ◇ Études mineures : Théâtre.

Code:: Kiara Brooke Stevens - 25 ans - huitième année - étudiante en médecine vétérinaire et en théâtre - bénévole dans un refuge pour animaux.

Kiara Brooke Stevens
feat Sophia Bush

CABOT HOUSE

Pourquoi j’ai décidé d’intégrer cette maison ? Tout simplement parce que c’est celle qui me correspond le plus et qui correspond le plus à mes valeurs. Comme la plupart des filles qui peuplent cette sororité, je suis une jeune femme qui aime prendre soin de moi. Rare sont les fois où vous me verrez sortir de chez moi sans m’être apprêtée auparavant. Bon d’accord, j’avoue, ça m’arrive parfois mais comme je le disais ça reste très rare. A côté de ça, je suis aussi une jeune femme très fidèle, loyale et franche. Quand j’ai quelque chose à dire je le dis et je me contrefiche totalement de savoir si mes dires dérangent. Jamais je ne trahi mes amis ou ma famille et j’attends de ces mêmes personnes qu’elles ne me trahissent pas en retour. La plupart du temps quand on ne me connaît pas, on a tendance à dire que je suis une jeune femme superficielle, hors ce n’est pas du tout le cas. Je suis tout, sauf superficielle. Très investie dans tout ce que j’entreprends, jamais je ne baisse les bras quand les choses ne vont pas comme je le veux.

MATHER HOUSE

Je pourrai aussi avoir ma place à la Mather House vous savez. Qu’est-ce qui me fait dire ça ? Sans doute le fait que je suis une jeune femme qui sait ce qu’elle veut et qui n’aime pas qu’on lui dise quoi faire de sa vie. Les règles ? Très peu pour moi ! Comme vous le savez déjà, quand quelque chose ne me convient pas je ne me gêne pas pour le dire et ce même, si je sais qu’à cause de ce côté grande gueule, que j’assume totalement, je risque de m’attirer des ennuis que ce soit avec des personnes qui n’approuvent pas ma façon d’être ou avec la justice. En général, quand on veut m’imposer quelque chose et que je ne suis pas d’accord avec ça, je fais toujours le contraire de ce que l’on attend de moi et sans me préoccuper une seule seconde de ce que l’on pourrait dire de moi ensuite. A savoir que tous comme les Mathers je suis aussi une jeune femme qui adore faire la fête et même si j’ai cours ou examens le lendemain, je ne me priverai jamais d’une fête organisée par cette maison. En somme, je vis au jour le jour ! Ma devise : le passé est passé, le futur est inconnu, seul le présent nous appartient ! Je trouve cette devise parfaite !

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
En 2014/2015 je ne vivais pas encore aux États-Unis, j’étais étudiante dans une université en Australie et par conséquent je n’étais pas présente sur les lieux quand il y a eu toutes ces agressions et ces diverses prises d’otages. Comme tout le monde j’ai appris la nouvelle via les informations, mais aussi par l’intermédiaire de quelques-uns de mes proches qui habitaient à Boston. Parmi eux, il y avait Bianca, ma cousine âgée de vingt-sept ans. Heureusement pour elle, le jour où les prises d’otages ont eu lieu, elle était en retard à l’université et c’est alors qu’elle allait rentrer dans l’établissement que quelques-uns de ses amis l’ont stoppé net et lui ont annoncé la nouvelle. Le réseau téléphonique étant alors saturé il avait tout de même fallu qu’on attende quelques heures avant d’être enfin sûrs qu’il ne lui était rien arrivé. Ce que j’ai ressenti en apprenant ce qu’il s’était passé à Cambridge ? De la peur, de la tristesse, mais surtout de la colère. Pourquoi de la colère ? Tout simplement parce que la sécurité des étudiants, ce jour-là, n’avait pas été assurée comme elle aurait dû l’être et de ce fait, des personnes avaient pu rentrer armées dans l’université que ma cousine et ses amis fréquentaient.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Il faut savoir que j’ai débarqué à Cambridge il y a à peine deux mois. De ce fait, l’année dernière je ne faisais pas encore parti de l’université d’Harvard et donc tout naturellement je n’ai pas pu participer au Spring Break qui s’est déroulée durant les vacances d’été de 2016. Néanmoins je ne vis pas dans une grotte et une fois de plus c’est par les informations que j’ai pris connaissance de ce qu’il s’était passé. A croire que cette université était maudite… pour autant cela ne m’a pas poussée à abandonner l’idée qu’un jour moi aussi j’irai étudier dans cette université, tout comme mes parents l’avaient fait avant moi et tout comme ma cousine l’avait fait les années précédentes. Comment est-ce que j’aurai réagi si j’avais été sur les lieux lors de ce tremblement de terre ? Je ne sais pas du tout. Je pourrai très bien vous dire que j’aurai été pétrifiée sur place ou bien alors que je n’aurai pas attendu une seule seconde pour venir en aide à mes amis ou bien pour me sauver, seulement je ne peux pas affirmer cela puisque je ne me suis pas retrouvée dans cette situation. Et heureusement d’ailleurs… personne ne souhaite vivre de telles choses n’est-ce pas ?

TON ADMISSION À HARVARD
Depuis toute petite je rêvais un jour d’intégrer l’université d’Harvard. Puis il y a six ans, alors même que je m’apprêtais à intégrer cette université dont j’avais toujours entendu parler depuis ma plus tendre enfance grâce aux nombreux récits de mes parents et dans laquelle j’avais été acceptée sans problèmes grâce à mes bons résultats scolaires et des entretiens ainsi que des tests qui se sont bien passés, un drame a frappé ma famille et à cause de celui-ci j’avais dû, à contrecœur, refusé de me rendre à Harvard, ceci uniquement parce que je ne voulais pas me trouver loin de maman, après avoir appris qu’elle était atteinte d’une grave maladie. Toutefois impossible pour moi de laisser tomber mes études et c’est pourquoi j’avais intégré, à défaut, l’université de Sydney, jusqu’à cette année. Ce qu’il faut que vous sachiez c’est qu'en 2013, alors même que maman était sur son lit d’hôpital, je lui avais fait une promesse : celle de réaliser mes rêves et l’un d’eux étant d’intégrer Harvard, j’avais décidé de recontacter l’université d’Harvard l'année dernière, pour passer un nouvel entretien, ainsi que de nouveaux test et cet été, j'ai eu l'heureuse surprise de découvrir dans ma boite aux lettres une nouvelle lettre d’admission à Harvard. Autant vous dire que malgré le pincement au cœur que j’ai ressenti en lisant cette lettre et en pensant à ma maman, j’étais heureuse d’avoir été acceptée à nouveau et c’est sans me retourner, en compagnie de mon père, que j’ai quitté Sydney en juillet dernier, pour aller m’installer à Boston en sa compagnie.

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Pretty Girl et j'ai trente-trois ans et demi. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Bazzart. J'aime beaucoup ce nouveau design et ce nouveau modèle de présentation.
De plus, même si j'avais dit la dernière fois que c'était ma dernière tentative, ben le forum me manquait tellement que du coup j'ai craqué et j'ai décidé de me réinscrire. J'utilise Sophia Bush comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par treasure et cheerybdavis pour les gifs. Je fais environ 450 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲
 adhérer un flood d'intégration (?)
 je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar ▲

Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7719]►[/url] ► <span class="pris">SOPHIA BUSH</span> “ Kiara B. Stevens ”[/size]

(Invité)

MORE OF YOUR OWN STORY

C’est à Sydney, il y a vingt-cinq ans de cela, que j’ai vu le jour, venant ainsi consolider l’union de mes parents. Ceux-ci s’étaient unis pour le meilleur et pour le pire, sept mois auparavant, dans une petite chapelle à Las Vegas. Super romantique n’est-ce pas ? Je vous arrête de suite ! Leur mariage n’a pas été célébré sur un coup de tête. C’était mûrement réfléchi et s’ils se sont mariés là-bas, uniquement en présence de leurs meilleurs amis respectifs c’était tout simplement parce qu’ils n’avaient trouvé que ce moyen-là pour s’unir définitivement l’un à l’autre, sans prendre le risque que quelqu’un ne vienne gâcher la cérémonie. Venant tous deux de bonnes familles, on aurait pu penser que leur mariage ce serait fait en grande pompe et que leurs parents respectifs se seraient jetés dans les bras de l’un de l’autre lors du vin d’honneur, pourtant ce ne fut pas le cas, au grand désespoir de maman, qui aurait aimé avoir ses parents auprès d’elle ce jour-là. « Hors de question ! Moi vivant, tu n’épouseras pas ce garçon jeune fille ! » ces mots… maman ne les a jamais oubliés. Ils raisonnaient en elle, à chaque fois qu’elle repensait à ses parents. C'est sans doute pour cette raison qu'elle a définitivement coupé les ponts avec ses parents du jour au lendemain et qu'elle n'a pas hésité une seule seconde à suivre son mari en Australie, après que ce dernier ait obtenu une place d'avocat dans un grand cabinet à Sydney, ville natale de sa grand-mère maternelle.

« Maman, raconte-moi l’histoire de ta rencontre avec papa s’il te plaît. » couchée dans mon lit, j’avais une fois de plus demandé à maman de me raconter comment elle avait connu papa et ce même si je connaissais cette histoire par cœur. Cette histoire, je l’adorais. Je la trouvais même mieux que toutes les histoires que maman me lisait chaque soir avant de m’endormir. Harvard. C’est là-bas que mes parents ont fait connaissance et sont tombés amoureux l’un de l’autre et c’est là-bas que j’irai étudier quand je serai en âge d’entrer à l’université moi aussi. Pourquoi, alors que je vivais en Australie avec mes parents et que j'avais tout pour être heureuse dans ce pays, je tenais tant à aller étudier dans l'université où mes parents avaient été ? Tout simplement parce que j'avais entendu tellement de choses bien concernant cette grande université que je rêvais d'y faire mon entrée un jour et de vivre de belles choses, comme mes parents en avait vécu lorsqu'ils étaient étudiants à Harvard. Je suis sûre que si mes parents souriaient quand je leur disais cela, c'était uniquement parce qu'ils pensaient que cette envie que j'avais d'aller étudier à Harvard un jour n'était qu'un rêve ou qu'une passade. Pourquoi j'en suis autant persuadée ? Tout simplement parce que je me souviens de leur réaction quand je leur ai annoncé il y a plusieurs années de cela, que j'avais envoyé mon dossier de candidatures à Cambridge et que j'attendais une réponse de leur part.

Ce jour-là, quand ils ont réalisé que j’avais réellement l’intention de postuler pour entrer dans l’université qu’ils avaient fréquenté en étant plus jeunes, on peut dire qu’ils ont eu l’air très surpris. Cependant, ils ne se sont pas du tout opposés à ma décision. Bien au contraire même, on peut dire qu’ils m’ont énormément soutenus tous les deux et même si Harvard était à des milliers de kilomètres de là où nous vivions actuellement, ils étaient prêts à tout abandonner ici pour retourner vivre dans cette ville où ils avaient par le passé vécu les meilleures années de leur vie, ceci, même si mes grands-parents maternels vivaient encore à Boston. Après tout, mis à part le travail, plus rien ne les retenait ici si je partais vivre en Amérique pour y poursuivre mes études. Leur travail ? Oh ne vous inquiétez pas pour ça ! Mon père connaissait encore plein de monde à Boston et puis il est certain que son frère l’accueillerait à bras ouvert dans son cabinet d’avocats. Quant à maman, elle était certaine d’avoir une place à l’hôpital de Boston, sans avoir à trop batailler. Toutefois avant de tout quitter, fallait-il encore que j’obtienne une réponse positive de l’université. L’entretien du Doyen que j’avais eu il y a quelques semaines, après un court séjour passé chez ma cousine, c’était plutôt pas mal passé, alors pourquoi est-ce que ma candidature serait refusée ? Toujours est-il que même si mes parents tentaient de me rassurer, je ne pouvais pas m'empêcher de penser que je ne serai peut-être pas acceptée à Harvard. Ce n'est que lorsque j'avais reçu la lettre d'admission à Harvard, que j'avais cessé de stresser et que toutes ces doutes s'étaient envolés.

Une fois mon bac en poche, mes parents et moi nous nous apprêtions à quitter Sydney pour aller vivre à Boston tous les trois, quand nous avons appris que maman, qui n’allait pas très bien depuis quelques temps, était atteinte d’un cancer rare de la gorge. C’est pourquoi, au grand dam de mes parents, j’avais pris la décision de renoncer à Harvard et d’intégrer l’Université de Sydney, dans l’unique but de continuer mes études, tout en restant auprès de ma maman. Bien entendu, elle aurait pu se faire soigner à l’hôpital de Boston, mais le voyage étant plutôt long et maman bien fatigué à cause de la maladie et de son traitement, nous avions préféré remettre à plus tard notre départ pour Boston. Neuf mois après l’annonce de cette mauvaise nouvelle, les médecins nous ont annoncé que maman était en rémission et pour nous trois un futur se dessinait à nouveau. Oh après avoir appris cette nouvelle nous aurions pu quitter Sydney pour Boston, mais les médecins tenaient à ce que maman continue d’être suivie dans le même hôpital et quant à moi j’entrais en deuxième année d’université et ayant renoncé à Harvard, je ne pouvais pas me permettre de tout abandonner à ce moment-là. Neuf mois durant, nous avions recommencé à vivre comme nous le faisions avant d’apprendre lors d’un rendez-vous de routine que maman était cette fois atteinte d’un cancer des poumons. Ce satané cancer s’était généralisé et voilà comment sept mois plus tard, en août 2013, maman nous a quitté papa et moi.

C’était il y a quatre ans et pourtant aujourd’hui encore j’ai l’impression que tout ça s’est arrivé hier, tellement elle me manque. Après son décès, papa et moi on a eu beaucoup de mal à remonter la pente. Ayant promis à maman de tout faire pour réaliser mes rêves, je m’étais plongée à fond dans mes études. Je ne sortais plus de chez moi, je passais mon temps le nez dans les bouquins, les écouteurs sur mes oreilles pour ne pas entendre papa qui pleurait dans sa chambre ou qui s’énervait sur tout et rien à la fois, en bas dans le salon. Les garçons ? Les sorties entre copines ? La mode ? Tout cela ça ne m’intéressait pas à cette époque-là. La seule chose qui m’intéressait c’était d’avoir de bonnes notes et d’obtenir mon diplôme en médecine vétérinaire, afin de pouvoir enfin exercer ce métier que je voulais faire depuis tant d’années. Puis il y a quelques mois, alors même que papa était au travail, enfin je le croyais tout du moins, l’une de mes amies m’a téléphonée pour me dire que mon père se trouvait en ce moment même au commissariat, car il se trouvait en état d’ébriété sur la voie publique. Cette fois s’en était trop ! Je ne pouvais plus jouer à la mère de famille avec mon père. C’était à lui de s’occuper de moi, pas l’inverse. C’est pourquoi, après l’avoir récupéré, nous avions eu une vive discussion, lors de laquelle je lui avais dit que s’il continuait comme cela il finirait par me perdre définitivement. Avais-je créé un déclic chez lui ? Toujours est-il que le lendemain matin, papa avait nettoyé la maison de fond en comble et il m’avait fait part de ses projets à venir, notamment en ce qui concernait son travail. Voyant les efforts que papa avait fourni pour s’en sortir, j’avais pris la décision de postuler à nouveau pour entrer à Harvard, ceci dans l’unique but de réaliser enfin ce rêve que nous avions tous les trois, mes parents et moi. Puis il y a deux mois, quand j’ai reçu la lettre d’admission de cette université que je rêvais tant d’intégrer, mon père et moi nous n’avons pas hésité une seule seconde à quitter Sydney pour venir nous installer à Boston, sans pour autant oublier d’emmener l’urne de maman avec nous bien évidemment…

Aujourd’hui, ça fait deux mois que j’ai posé mes valises à Boston, en compagnie de mon père. Côté cœur, je suis toujours célibataire et franchement trouver le grand amour ce n’est pas du tout dans mes priorités. Non, mes priorités se sont m’amuser, obtenir mon diplôme et surtout réussir dans ma vie professionnelle plus tard, pour que maman, de là où elle se trouve, soit fière de moi. Sinon, en ce qui concerne les études, je viens tout juste de faire mon entrée dans la prestigieuse université d’Harvard, en huitième année de médecine vétérinaire. Ah et j’ai fait une petite folie cette année, je me suis aussi inscrite en théâtre. Pourquoi ? Parce que j’aime bien jouer à être quelqu’un d’autre des fois et ce, depuis que je suis toute petite.

(Invité)