Cassian P. Staïola ► Luke Grimes

ID CARD

Nom : Staïola ◇ Prénom : Cassian, Cass pour les intimes ◇ Âge : 26 ans ◇ Date et lieu de naissance : Salerne. Italie ◇ Nationalité : Franco-italienne ◇ Orientation sexuelle : brunes, blondes et rousses. Je ne suis pas difficile tant qu'elles me résistent un soupçon. ◇ Statut amoureux : Fiancé ◇ Statut social : Moyennement pété de tunes ◇ Études majeures : Archéologie ◇ Études mineures : Histoire de l'art.

Code:: Cassian P. Staïola - 26 ans - Septième année - Sciences/Archéologie - documentaliste au Muséum

Cassian P. Staïola
feat Luke Grimes

Dunster

J'ai trouvé ici depuis un an un épanouissement dans les livres, artefacts et reliques d'autres mondes, d'autres temps, dépassé et bercé par des heures à en admirer la silencieuse beauté. Dunster, c'est sur cette confrérie que mon choix s'est naturellement porté, à l'instar de ma sœur Lorena, plus proche d'elle que je ne l'aurais espéré.

Student

J'ai ouï dire que les Winthrop ne sont plus ce qu'ils étaient, n'ai aucune affinité avec les autres confréries qui sauraient ravies de m’accueillir en leur sein alors inutile d'insister, je ne suis pas à vendre et préfère passer mon chemin.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
La soirée s'enfonçait dans la nuit. Je partageais un plaisir gustatif, croquant une fraise entre deux caresses lorsqu'une voix dans le hall de la Lowell House gémit, celle d'une métisse aux aboies prise contre un mur pour bien moins que çà. Juché sur le pas de la porte de l'étudiante qui souhaitait me voir me recoucher à ses cotés, je n'avais qu'une vision très vague de la situation mais son agresseur, lui, jouissant d'une vue panoramique sur son décolleté. Elle hoquetait des derniers frottements des doigts explorateurs, pénétrant sa chevelure, caressant ses longues boucles d'oreilles, de jolies perles suspendues.
Je ne suis pas un brave, ne recherche en aucun cas les remerciements et ne suis guidé que par mes propres idéaux. Ce ne sont pas mes mots qui l'ont sorti de son déplaisant tourment mais ma main apposée sur le système d'incendie dont les échos ont fait fuir l'étranger.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Alors que certains s'amusent et croient au bonheur partagé, j'ai passé cette période de l'année à creuser en compagnie d'un confrère de haute notoriété dans les collines du Népal. Là bas, à la recherche d'une relique oubliée, j'ai perdu de vue pour un temps mes responsabilités: mes sœurs parties en déplacement dans un autre pays étranger. Grand bien leur fasse de se retrouver pour une fois en réelle difficulté, mais je n'ai pas pour autant perdu contact avec elles durant leur séjour, aidé pas un Quincy qui n’éprouvait aucun scrupule à les espionner.

TON ADMISSION À HARVARD
Harvard me fut imposé en quelques sortes et mon admission un défi de plus à relever. Je n'ai pas eu particulièrement de mal à en forcer l'entrée, y ai trouvé même du plaisir, suffisamment machiavélique pour prendre les devants sur mes assaillants, ces foutus jurys qui ne sont charmés pas plus par l'excellence que par l'argent. J'ai de part mes origines la réputation d'être un foutu mec guindé qui honore ses paroles et promesses, payant toujours ses dettes. Les SATs, un résultat de 2356 me suffit pour passer à l'étape suivante, conscient que si mes sœurs y étaient parvenues, je ne pouvais que réussir à mon tour. L'essai porta que la dynastie Ming, un thème que j'affectionne tout particulièrement. A croire que les cultures et arts anciens sont ici un sujet tabou, je fus le seul de ma promotion à porter mon choix sur ce sujet, ce qui intéressa fortement ceux qui face à moi se dressaient. Mon coté renfermé et insolant les intrigua, autant que mes connaissances sur les cultures disparues et les ordres dont je ne me suis pourtant vanté d'être un descendant, celui des Templiers.

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle March Hare et j'ai perdu le fil des années. Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à je ne sais plus. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits d' un mec imbuvable . J'utilise Luke Grimes comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 300-750 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite ▲
 adhérer un flood d'intégration (?)
 je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:

Code:: [size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7688]►[/url] ► <span class="pris">Luke Grimes</span> ♦ “ Cassian P. Staïola ”[/size]

(Invité)

MORE OF YOUR OWN STORY

Je n’ai pas toujours été un enfant de cœur, mais qu’à cela ne tienne, de mon nom et de mes gênes j’ai hérité les traits pragmatiques d’un meneur. Milan est à mes origines ce que le pape est au Vatican, ma terre, mon pardon, mon exil, mon sacrement. Les entités supérieures ? Bien sûr que j’y crois et du paradis à l’enfer, il n’y a qu’un pas, une fatalité qui ne me sera dévoilée que le jour de mon trépas. Dans la famille, nous sommes de père en fils les fidèles d’un ordre souverain, à l’apogée de cette nouvelle ère, de ce temps qui est à présent mien. Nous ne sommes pas bien friqués, mais à Cambridge cela fait des années que nous nous sommes implantés, reclus, parias et étrangers, tous regroupés en petite communauté. En 2016, le padre a commandité mon exil des terres saintes dans l’espoir de toucher du doigt un rêve, dans le but de redorer le leitmotiv de nos anciens. Oh chants des anges de Vérone, douce folie qu’il a su écouter, je me vois aujourd’hui votre feudataire insoupçonné. Plus que dans toute famille, nous sommes attachés à nos propres racines et chacun d’entre nous est sous la vigilance d’un parent respecté. Nos pairs nous surveillent, nous, enfants de cette ère nouvelle. C’est ainsi que l’an dernier, sur mes sœurs cadettes j’appris une triste vérité. Laxistes, elles avaient abandonné leurs idéaux, dévié de leur but, choisissant une vie de débauchée, de jeux, de fêtes, loin de ce qu’elles s’étaient juré d’atteindre. Ainsi celèrent-elles temporairement ma destinée. Si je suis inscrit à cette université depuis plus d’un an, ce n’est pas seulement dans le but de terminer mes études ni par amusement. Pour le moment, tout ce qui m’est inculqué ici, je le sais déjà. J’ai sur ces étudiants américains un temps d’avance. La vengeance guide mes pas, le parjure conduit mes sens, je suis le fauve enragé que l’on libère dans la plèvre déchaînée qui ne demande qu’à être purifiée.

Nous les transalpins, on nous dépeint comme romantiques, séducteurs, complaisants, querelleurs à nos heures perdues mais surtout très bons amants. Vos idées bien arrêtées sont pourtant belles et bien justifiées mais qu’en est-il réellement de ma personnalité ? Je suis, pour celui qui n’y est préparé, le calculateur mal intentionné, un Scarface immodéré, Harvey Dent le beau parleur défiguré par cette merde de société. Et comme Corneille ou bien Racine, je pourrais vous murmurer quantité de poèmes ou sonnets qui me fascinent. Danse avec moi Cambridge, danse ce soir et laisse-moi te bercer de faux semblants… Demain est un autre jour, celui de mon avènement.
Je foule les pavés de cette ville, songeur et hâtif de pouvoir repartir dans mon pays natif. Mais il me faut avant toute chose m’assurer que Venicia et Lorena se soient un peu plus calmées. Pour l’heure, je suis malgré moi leur captif et c’est un titre, ou plutôt des chaines dont je me serais bien passé. Pour mieux les encadrer, je vis avec elles dans un appartement que nous sommes quatre à louer. Une autre étudiante néanmoins beaucoup plus posée qui nous accompagne mais qui me rejette sans arrêt. Madre Mia, Claudia, une bombe sensuelle aux origines portoricaines que je ne cesse chaque soir de dévorer. Les femmes sont pour moi des divinités qu’il est bon de brider : parfois leurs envies les font succomber à de bien tristes déloyautés, perdant ainsi de leur valeur et de leur beauté. Cela me fait rire. Tous les jours j’entends, moi le fouine-merde, des ouï-dires, des ragots, des boniments. Elles n’ont pas conscience que certains les écoutent sournoisement, et se laissent divaguer à des dégradantes confidences sans me prêter attention, peut-être parce que je ne suis pas le plus intriguant des étudiants. Pourtant je suis bel et bien un homme à femmes, volage et ce même si par-delà les Alpes, une compagne portant mon alliance m’attend à la demeure familiale. J’aime, adule, profite mais ne m’engage avec aucune d’entre elles. D’une part parce que je me suis engagé auprès du cœur d’une belle italienne enflammée, d’autre part parce que je ne suis qu’un éternel coureur désintéressé. Et quand bien même je cède à mes sentiments les moins loyaux et fait défaut à mes vœux, je fais alors pénitence auprès de Dieu.