(Flashback) Help me to get out, again ft Jedekia [hot]

01/08/2017

Help me to get out, again ...

Jedekia & Arizona

En plein Summer Camp, je me sens plus heureuse que jamais. Certains de mes amis sont aussi de la partie alors je ne peux que passer un bon moment. On ne fait pas partie des mêmes équipes mais on prend un grand plaisir à se confronter et à jouer les uns contre les autres. Eliot aussi était là, mais sa copine à eu un problème et pour lui apporter son soutient, il a décidé de rentrer avec elle. Je le comprend parfaitement.
Moi en tout cas je compte bien rester au Summer Camp et en profiter. Profiter pour m'amuser, repousser mes limites, boire et me faire plaisir, vraiment plaisir. Ce que je fais presque tous les soirs, Dans la chambre de Jedekia ou dans la mienne. Avec Jed on s'est rencontré il y'a plusieurs mois. On était à la même soirée étudiante, on a bu, beaucoup bu et on a finit par coucher ensemble. C'était tellement bon ! Je crois que dans mon top trois des meilleurs coups, il est en tête de liste pour le moment. Du coup j'y retourne très très souvent. Après tout, quand on trouve quelqu'un qui fait bien ces choses là, pourquoi ne pas y retourner ?!
Mais j'aime revoir aussi le jeune homme car dès le premier contact avec lui j'ai sentie quelque chose de tellement fort, tellement prenant. Une sorte de souffrance, un appel au secours enfouie sous une tonne de fierté, de désespoir et d'auto-destruction. Il me rappelait ma propre souffrance, ma propre existence. Chercher à noyer ses problèmes et son mal être dans l'alcool, le sexe et les anti-douleurs. Pour le sexe et l'alcool, autant que ce soit avec quelqu'un qui comprend et pas une folle qui pourrait le prendre pour un espèce de pervers.
En regagnant ma chambre pour me reposer, j’aperçois Jed au loin, qui entre lui aussi dans la sienne. J'hésite, attends quelques minutes avant de décider d'aller le voir, pour savoir comment se passe sa journée. Il n'y a aucune gêne entre lui et moi malgré nos activités nocturnes. Nous pouvons d'ailleurs très facilement coucher ensemble la nuit et passer la journée ensemble comme deux amis, même s'il y a forcément une complicité plus forte qu'avec n'importe qui.
Alors tout naturellement, je m'approche de sa chambre et toque à la porte.
« Jed, c'est Ari ! Je peux entrer ? »
Finalement je n'avais plus envie de me reposer. Il était déjà 20h alors la soirée ne faisait que commencer !

made by black arrow

@Jedekia Caldwell

(Jayne Atkinson)

i'm unstoppable. i'm a porsche with no brakes. i'm invincible. i win every single game. i'm so powerful i don't need batteries to play. i'm so confident. i'm unstoppable

Help me to get out,

again ...

Arizona & Jedekia

Tu n’arrêtes pas de penser à ça…A cette soirée où, une fois de plus, ta vie fut chamboulée. Tu avais trop bu, tu avais repris le volant de cette voiture de location et le drame arriva. Tu n’as absolument rien vu venir, trop occupé à tu ne sais plus trop quoi, déviant sur la chaussée. Un choc et tu as compris que tu venais de percuter quelque chose, ou plutôt quelqu’un. Tu as pris la fuite, appelant les secours d’une façon anonyme, sauf qu’il était trop tard. La fille, elle était morte sur le coup, succombant à ses blessures que tu lui avais causées. Alors oui, tu t’en veux, tu vis avec ça sur la conscience comme un poison qui, doucement, te bouffe les entrailles. Tu essayes d’oublier dans l’alcool, dans tes antidouleurs dont tu es devenu dépendant. Tu oublies également dans le sexe, couchant régulièrement avec Arizona, ayant également couché avec Lily lors de cette soirée bien trop alcoolisée. Tu essayes d’oublier, tu t’acharnes, mais tu n’y arrives pas. Comment le pourrais-tu ? C’est impossible. Poussant un soupire, tu fermes les yeux alors que l’ascenseur grimpe, te montant à chaque fois un peu plus haut. Tu as passé la journée avec ta cousine, Bambi et ça t’avait fait du bien. L’espace de quelques heures, tu t’étais senti normal. Malheureusement pour toi, toutes les bonnes choses ont une fin. Les portes métalliques s’ouvrent enfin, annonçant que tu étais arrivé à ton étage. Tu résides dans un hôtel quatre étoiles, chose pas du tout étonnante vu tes finances. Autant se faire plaisir jusqu’au bout. Te dirigeant vers ta porte, tu entres dans ta suite, ôtant directement tes vêtements, te promenant en boxer. Tu ne comptes plus aller nulle part, alors bon, autant te mettre à l’aise. Te servant un verre de whisky, tu te l’enfiles d’une traite avec deux médicaments, te servant déjà un autre que tu sirotes plus lentement. Alors que tu t’apprêtais à t’allumer une clope, quelqu’un toque à la porte et une voix familière résonne derrière. Arizona. Directement, un léger sourire s’empare de tes lèvres et tu te diriges vers l’entrée, ouvrant la porte sans même cacher dans semi nudité. Elle t’a déjà vu dans des états plus dénudé que ça. « Hey, viens, entres… » Te dégageant de l’entrée, tu la laisses passer la porte pour refermer celle-ci et la verrouillé au passage. Tu sais qu’une fois que la jolie brune est dans la suite, elle n’en sortira probablement pas avant demain. Observant l’heure, tu hausses un sourcil. Il est rare qu’elle vienne aussi tôt, quoi que, au final, vous êtes également de très bons amis donc bon, ça ne t’étonne pas finalement. « Je te sers quelque chose ? » Parce que oui, tu as toujours ton propre verre en main, donc bon, autant te la jouer poli.

©LittleJuice

(Invité)

01/08/2017

Help me to get out, again ...

Jedekia & Arizona

Parfois quand je vois des couples dans la rue, main dans la main, souriant à s'en craquer le visage, s'embrassant tant leur amour est fort, j'ai une incontrôlable envie de vomir. Les sentiments me donnent envie de vomir. Comme ceux que je ressens pour Alan ou pour Danneel. Même pour Jedekia. Je sens au plus profond de mon être que ce n'est pas seulement de l'amitié, pur, tout ce qu'il y'a de plus simple. Et ça me fait mal, mal de voir que je n'ai pas retenue la leçon, mal de voir à quel point l'être humain ne retient rien de ses erreurs. La dernière fois que je suis tombée amoureuse d'un homme, il m'avait enlevé alors que je n'avais que sept ans. D'abord enfermée dans une petite pièce de quelques mètres carrés pour ensuite me faire monter dans son lit, me violer jusqu'à ce que je hurle de douleur à n'en plus finir. Il m'avait tout d'abord brisée pour ensuite me reconstruire à son image. Une femme froide, distante et aimante uniquement avec lui. A ma libération, quand les psychologues avaient parlés de syndrome de Stockholm j'avais pensé que c'était une malade sexuelle ou quelque chose comme le cancer. Je ne pensais pas que c'était dans ma tête. J'avais dû apprendre a vivre avec le fait que tout ce à quoi je croyais depuis que j'étais avec lui n'était que manipulation et conditionnement. A aucun moment il n'avait fait ça pour mon bien, pour me protéger. Il c'était servit de moi comme d'un vulgaire torchon et le FBI trouvait ça incroyable qu'il ne m'ai pas déjà tué. Ces mots raisonnaient encore en moi, me poussant à chaque fois à boire un peu plus pour les oublier, le temps d'un instant.
Lorsque j'avais trouvé Jed, je m'étais vu dans son regard. Perdu, mal heureux, brisé. J'aurais dû fuir, préférant me rapprocher de quelqu'un sain d'esprit et équilibré. Mais qui se ressemble s'assemble. Depuis j'avais du mal à le quitter. Je me sentais bizarrement protégée avec lui. Et j'avais tant envie de l'aider. Comme si lui faire remonter la pente m'accorderait la salvation et le pardon. Parce qu'à présent je me sentais souillée de corps et d'esprit. Comme si je n'étais qu'un tas de viande qui pouvait être baisé par n'importe qui, après tout, lui, ce porc qui m'avait utilisé était bien passé par la avant. Mon corps ne m'appartenait plus vraiment. Mais lorsque j'étais avec Jedekia, mon âme semblait un peu plus propre. Comme si mon besoin de le sauver me lavait de toute cette violence subit.
Pour l'heure j'étais fatiguée de repenser à tout ça. J'avais besoin d'éloigner ces pensées douloureuses et de me concentrer sur autre chose. C'est donc tout naturellement que j'allais toquer à la porte du beau brun alors que je l'avais vu entrer dans sa chambre quelques minutes auparavant. C'est seulement vêtu d'un boxer qu'il vint m'ouvrir la porte. La vue de son corps d'Apollon m'arracha un sourire. Tandis que j'entrais dans sa chambre, lui laissant le soin de fermer la porte derrière moi, je ne me retenais pas de le regarder de haut en bas, m'attardant sans gêne sur les zones les plus intéressantes de son anatomie, son visage y comprit.
« Comme toi, ce sera très bien ! » Premier verre qu'il me tend, je le boit cul sec. Il devait s'y attendre puisqu'il ne rangea pas la bouteille pour m'en servir expressément un deuxième. Je bois une gorgée, puis fait tournée le verre devant mes yeux. Je plante ensuite mon regarde dans celui de Jed. « Tu reçois souvent les gens dans cette tenue ou il n'y a que moi qui ai le droit à se traitement de faveur ? » Je repère du coin de l'oeil les anti douleurs sur la table. Ceux ci, c'est moi qui lui ai procuré. Je préfère le faire, comme ça je suis en mesure de contrôler les doses qu'il prend et ce qu'il prend. Mais je n'aime pas les voir, ça me rappelle que je ne l'aide pas autant que je le voudrait.

made by black arrow

@Jedekia Caldwell

(Jayne Atkinson)

i'm unstoppable. i'm a porsche with no brakes. i'm invincible. i win every single game. i'm so powerful i don't need batteries to play. i'm so confident. i'm unstoppable

Help me to get out,

again ...

Arizona & Jedekia

L’amour, c’est un sentiment violent, les sentiments, ce sont des choses qui ne se contrôlent pas et tu le sais parfaitement bien. Ça fait un peu plus de deux mois que tu t’es fait larguer par l’homme que tu aimais depuis dix mois. Son excuse ? Ta proximité avec Piper, cette relation fusionnelle que tu entretenais avec ta meilleure amie. Il est vrai qu’elle a une grande place dans ta vie depuis ton arrivée à Cambridge, malheureusement, cette place était bien trop exposée et beaucoup en souffraient. Tu t’étais attaché à elle, ayant toujours eu de légers sentiments à son égard, comme elle en avait pour toi. Mais cette amitié, elle est plus forte que vos sentiments, c’est comme ça et tu ne te voyais pas en couple avec Piper. En réalité, depuis ta rupture, tu ne te voyais plus en couple avec quiconque. Pour faire quoi ? Souffrir encore ? Avoir de nouveau le cœur brisé, l’âme en peine ? Tu refuses, tu es déjà assez mal comme ça. La preuve, tu bois, tu te drogues parce que oui, c’est clairement une drogue et tu es un camé des antidouleurs et puis, il y a les rapports charnels que tu accumules alors qu’au fond, ça ne te ressemble pas. Tu as toujours été le mec qui privilégiais les relations à longue durée, mais bon, après tout, pourquoi chercher à se poser alors que tu te sais nocif pour les autres ? Non, impossible. Entraîner quelqu’un dans ta chute, encore une autre personne, serait t’achever toi-même et tu n’es pas assez sadique pour ça. Alors oui, lorsque la voix de Arizona résonne derrière la porte, tu te sens en quelque sorte soulagé. Tu sais qu’avec elle, c’est spécial et que dans un sens, ta présence l’aide à aller mieux, ça te donne un peu d’importance.

Tu fais entrer la jeune femme alors que son regard s’attarder sur ton corps. Tu la laisse faire, ce n’est pas la première fois et, aussi puéril que cela puisse être, ça te rassure de te savoir désirable. Tu sais que tu as du charme, que tu as un corps attrayant, mais voir les autres le confirmer est encore mieux. Lorsqu’elle t’annonce qu’elle boira comme toi, tu lui sers donc un verre, lui offrant calmement. Sourire aux lèvres, tu ne ranges pas la bouteille, sachant parfaitement qu’elle va en vouloir un deuxième. Elle est un peu comme toi la jolie brune, elle noie ses propres démons dans l’ivresse et la luxure, pour ça, vous vous êtes bien trouvé. Une fois son deuxième verre servit, tu déposes la bouteille sur la table basse de la suite, allant te poser dans le canapé alors que tu souris d’un air charmeur face à ses mots. « Mh, généralement j’essaye au moins de mettre un pantalon, donc disons que tu es une privilégiée dans ce domaine. Mais si tu veux, je vais enfiler quelque chose, histoire de faire en sorte que ton regard reste rivé dans le mien et non pas plus bas… » Bien sûr que tu as remarqué son regard dévorant, d’ailleurs, ce regard, il te fait frissonner, il te donne des idées et tu ne comptes pas le cacher. Portant ton propre verre à tes lèvres, tu ne cesses pas de sourire pour autant, ne la quittant pas des yeux. Cette relation, tu l’aimes, tu l’apprécies, tu la penses simple alors qu’au fond, tu la sais compliqué. Il n’y a pas juste de l’amitié, sinon, tu ne coucherais pas avec elle aussi souvent. Combien de fois n’aviez-vous pas partagé le lit de l’autre durant l’été ? Les limites de l’amitié, aussi amélioré soit-elle, avait été dépassée depuis longtemps.

« Ta journée c’est bien passée ? Non parce que, il me semble que je ne t’ai pas vue ce matin, généralement je te croise mais là…pouf, disparue. » Tu souris avec amusement, penchant la tête sur le côté alors que tu l’observes, la dévore presque des yeux, laissant les médicaments et l’alcool agirent, donnant un mélange pas très subtil et innocent.

©LittleJuice

(Invité)

01/08/2017

Help me to get out, again ...

Jedekia & Arizona

Je me sentais en sécurité dans cette chambre avec lui. Même la porte verrouillée ne m'effrayait pas. Je savais que ce n'était pas pour m'enfermer comme j'avais pu l'être mais pour empêcher les autres de déranger un de nos moments intimes. J'aimais me dire qu'il préférait verrouiller cette porte pour que personne ne nous dérange que de rester disponible pour les autres. Je crois que j'aimais l'avoir parfois un peu pour moi et rien que pour moi. Je n'étais pas quelqu'un de possessif ou particulièrement jaloux. Mais parfois j'aimais être le centre de l'intérêt pour quelqu'un ne serait-ce que quelques heures. Et la façon que Jed avait de me regarder à cet instant me montrait avec intensité qu'il ne voyait que moi. Il me regardait comme s'il voyait à travers mes vêtements et je dois avouer que cette idée commençait à m'exciter. Certains soirs, j'aimais entrer dans sa chambre et lui sauter dessus immédiatement, sans passer par un jeu de séduction ou sans même lui adresser la parole tout de suite. Et d'autre fois j'adorais prendre mon temps, savourer son regard posé sur moi à la manière d'une caresse presque sensuelle. Notre relation dépassait largement le statut de plan cul régulier et ce depuis longtemps. Ce n'était pas de l'amitié non plus aussi proche soit-on. Enfin ce n'était plus que de l'amitié. On ne couche pas aussi souvent avec quelqu'un même s'il est très doué au lit. Cette relation simple en apparence était en fait un vrai casse tête. Je n'étais même pas en mesure de poser un nom sur ce que nous étions. Amis ? Non bien plus que ça. Une amitié amélioré ? Toujours pas, toujours plus. Amoureux ? Je ne sais pas, enfin est ce que je sais vraiment ce qu'est l'amour au final ?
Je n'étais pas quelqu'un de possessif ou de très jaloux, mais je dois bien avouer que parfois j'aimais savoir que Jed était à moi, le temps d'une journée ou d'une nuit. Ces derniers temps au Summer Camp nous avions passé plus de temps ensemble que loin l'un de l'autre. Mes nuits dans lui se comptait sur les doigts de la main.
Je le suivait des yeux tandis qu'il allait s'assoir sur son canapé. Un sourire amusé sur les lèvres, je portais mon verre à celle ci, buvant mon whisky doucement.
« Je suis flattée d'être privilégiée. Mais ça ne servirait à rien que tu mettes un pantalon maintenant alors que tu sais très bien que je ne vais pas tarder à te l'enlever. »
A ces mots, je m'approchais de lui et venait m'assoir sur le canapé à ses côtés. Mais pas à côté de lui, pas trop proche. Juste assez loin pour ce que soit lui qui s'approche de moi quand ce serait le moment venu. Je ne cachais pas le fait que j'aimais faire le premier pas avec Jed. Mais parfois, j'aimais que ce soit lui qui vienne chercher ce qu'il voulait. Et je voyais très précisément dans ces yeux que c'était le cas en ce moment même.
Je me calais contre l'accoudoir du canapé, faisant face au beau brun. Je souris à sa question. Une façon déguisée de me demander ce que je faisais ? Je bois une nouvelle fois une longue gorgée avant de sourire.
« Oui j'ai passé une excellente journée, j'en ai profiter pour lire un peu à la piscine et puis faire de nouvelles connaissances » Je souris, un grand sourire provocant. « De très intéressantes nouvelles connaissances .. Et toi ? » Oui je tentais ouvertement de le rendre un peu jaloux. Tout le monde sait que le sexe était toujours plus sauvage et agréable quand l'autre voulait marquer son territoire. Et puis si ça marchait, c'était toujours plus agréable de voir que Jed tenait à moins au point d'être un peu jaloux des autres.
J'étends mes jambes, les posant sur celle de Jedekia, mes pieds tout proche de son boxer. « Quelque chose de prévu ce soir ? » J'espérais bien que non parce que moi j'avais déjà des projets pour lui.

made by black arrow

@Jedekia Caldwell

(Jayne Atkinson)

i'm unstoppable. i'm a porsche with no brakes. i'm invincible. i win every single game. i'm so powerful i don't need batteries to play. i'm so confident. i'm unstoppable

Help me to get out,

again ...

Arizona & Jedekia

Tu ne peux pas t’empêcher de sourire face à sa réplique. Il est vrai qu’enfiler un pantalon maintenant serait stupide, encore plus si elle comptait te l’enlever…Tu ne gardais jamais très longtemps tes vêtements avec Arizona, c’était physique et tu ne te posais pas plus de questions que ça. Le pourquoi du comment, tu ne veux pas y penser, ça te donnerait la migraine et tu refuses de chopper un mal de crâne maintenant. Tu préfères de loin essayer, oui essayer, de ne pas y penser…Parce qu’au final, l’air de rien, tu t’es déjà posé des questions. Lorsque tu te réveillais en pleine nuit, en sueur, les cauchemars envahissant ton esprit une fois de plus et que tu la retrouvais allongée à tes côtés. Combien de fois ne l’as-tu pas regardé dormir ? Trouvant un certain réconfort face à cette image. Tu n’étais pas seul. « Je sais, mais c’était juste pour le sport, après tout, je ne suis pas avantagé dans cette situation. Je n’ai plus qu’un bout de tissus et toi…tu es bien trop habillée. » Tu souris de nouveau en coin, prenant une petite moue boudeuse, celle qui te va si bien. Posé dans le canapé, tu laisses le whisky couler le long de ta gorge, t’offrant une douce brûlure enjôleuse alors qu’un frisson te parcoure de part et d’autre. Tu la laisse approcher, l’observant sans décrocher ton regard de son corps. Elle se mouve pour venir s’asseoir à tes côtés, pas assez proche, pas trop loin non plus. Une distance raisonnable, une distance qui t’offre le besoin de te rapprocher, autant que ta fierté te dit de ne pas le faire directement. Alors oui, tu restes planté là, tournant la tête vers elle, positionnant ton bras contre la tête du canapé, l’observant boire une gorgée de son whisky.

Elle te provoque, elle te cherche et ça, tu le sais parfaitement. Pourtant, malgré le fait que tu en sois conscient, une pointe de jalousie s’empare de toi et fait en sorte que tu te crispes. Tu détestes quand elle joue à ce petit jeu avec toi, elle te connait, elle sait que tu es d’un naturel jaloux et possessif. Arizona ne t’appartient pas, tu ne lui appartiens pas non plus, mais disons qu’une fois que vous êtes ensemble, tu préfères éviter d’entendre ce qu’elle fait avec son corps. Alors, tu préfères clairement jouer au même jeu qu’elle, voulant la piquer à vif autant qu’elle ne le fait avec toi. « J’ai passé la journée avec ma cousine, puis, j’ai fait de très bonnes connaissances aussi…deux charmantes demoiselles, une d’elle avec des jambes…pouf, j’en frissonne encore. » Toi, tu es plus cash, tu mets directement les pieds dans le plat. Sauf que voilà, tu bois le reste de ton verre d’une traite, la laissant allonger ses jambes sur tes cuisses. Ben mademoiselle prend ses aises…ça ne te dérange néanmoins pas, la preuve en est, instinctivement, ta main se pose sur son mollet. Si tu as quelque chose de prévu ce soir ? Tu fais mine de réfléchir, détournant légèrement les yeux, comme si tu consultais un agenda mental que tu n’as pas du tout. « Ce soir, j’avais prévu de m’apprêter pour sortir boire un verre, peut-être finir la soirée en charmante compagnie…Tu devrais peut-être voir si t’es « connaissances » veulent se joindre à nous…je suis sûr qu’ils apprécieraient le geste. » Bien sûr, tu la provoques tout en montrant ta saleté de jalousie, chose dont tu ne peux pas t’empêcher. Tournant les yeux vers elle, souriant mesquinement, tu pousses ses jambes pour te relever, allant te servir un autre verre.

« Sauf si tu avais d’autres plans plus…amusant, alors, je suis tout ouïe, sauf si ça ne m’implique pas dedans. » Tu lui tournes le dos, partagé entre l’agacement des images qui te montent à la tête et l’amusement de cette foutue provocation. Tu n’es pas farouche, loin de là et tu sais que si elle te provoque trop, tu risquerais bien de lui sauter dessus, de la marquer pour pouvoir avoir le loisir de te dire que, plus tard, les autres imagineront aisément que quelqu’un est passé par-là avant eux. C’est puéril, certes, mais tu fonctionnes comme ça.

©LittleJuice

(Invité)

01/08/2017

Help me to get out, again ...

Jedekia & Arizona

Assis tel le parrain d'un cartel de la drogue avec son verre de wisky je le regarde avec toujours plus d'envie. La petite moue boudeuse qu'il arbore en me glissant que je suis encore trop vêtu me procure un frisson qui me parcours de la tête aux pieds. J'aime savoir que je suis trop habillée à son goût. Pourtant vêtu que d'un short en jean, un t-shirt décolleté noir et d'une veste noir. Mais pour jouer le jeu, j'en profite pour poser mon verre sur la table basse et délicatement, presque sensuellement retirer ma veste noir en la balançant sur Jed.
« C'est mieux comme ça ? » Je lève un sourcil, comme si je pensais que la réponse serait oui.
Lorsque je tente de le rendre jaloux, je le vois de crisper sous les mots "nouvelles connaissances intéressantes" ce qui m'arrache un sourire. Nous ne sommes pas exclusif parce que nous ne sommes pas ensemble. Et je me doute qu'il voit d'autres personnes comme je le fait. Mais quand nous sommes ensemble j'aime penser que je suis là seule dans sa vie et que ces moment sont uniques, même si au fond ils le sont vraiment. Alors je dois avouer que moi aussi je suis assez jalouse quand il parle d'autres. Ce qu'il ne fait que pour se défendre, après mes attaques.
Mais il se venge et bien en plus. Parlant des belles jambes de sa nouvelles connaissances. J'essaie discrètement, tant bien que mal de me morde la lèvre, signe extérieur de ma jalousie. Je n'aime pas qu'il me parle des autres, de ses potentiels conquêtes. Encore plus quand elles ont une partie du corps qui réveille autant l'envie du jeune homme. Je ne me gêne d'ailleurs pas pour lui en faire part.
« Pff ce n'est qu'une paire de jambes. Je suis sûr que tu peux trouver mieux ! » A ces mots je tire un peu sur le bas de mon t-shirt, laissant apparaitre le haut de ma poitrine. Plus provocante que jamais, je laisse une goutte de whisky perler le long du verre et venir se poser droit sur la naissance de ma poitrine et disparaitre sous mon t-shirt. Oups.
Lorsque je viens poser mes jambes sur lui, sa main touche délicatement mon mollet, ce qui me procure un frisson. De toute façon à chaque fois que sa peau entre en contact avec la mienne pour la première fois, je frisonne. De plaisir, toujours. Je plante mon regarde dans le sien, amusé par sa proposition de nous retrouver avec nos rencontre de l'après midi. Il est jaloux, je le sens, je le sais et j'adore ça, tout comme lui sait que je le suis.
« Tu sais que t'es encore plus excitant quand tu es jaloux ? »
Je descend mon verre d'une traite et tandis qu'il s'est levé pour s'en resservir un, je lève le bras pour lui tendre mon verre. L'idée qu'il puisse préférer sortir avec ses filles qu'être avec moi me fait monter le rouges aux joues. Je serre mon verre un peu plus fort dans ma main imaginant toutes les punitions que je pourrais lui infligé pour me faire croire qu'il pourrait les rejoindre.
« Les plans à plusieurs c'est pas mon truc et tu le sais très bien. Alors c'est tes nouvelles amies ou moi ! » Je sais pertinemment que ce n'est pas un choix impossible que je lui demande, d'ailleurs il se pourrait qu'il n'ai jamais rencontré personne aujourd'hui, comme moi je n'avais en vérité rencontré personne non plus. J'avais seulement passer la journée à lire et bronzer un peu sachant qu'il ne serait pas libre aujourd'hui. Je tourne la tête dans sa direction, le trouvant de dos et ne me gênant pas pour mater allégrement ses fesses.

made by black arrow

@Jedekia Caldwell

(Jayne Atkinson)

i'm unstoppable. i'm a porsche with no brakes. i'm invincible. i win every single game. i'm so powerful i don't need batteries to play. i'm so confident. i'm unstoppable

Help me to get out,

again ...

Arizona & Jedekia

Tu observes Arizona ôter sa veste d’une façon provocante et sensuelle, n’en perdant pas une miette. Directement, ta main libre se lève pour arrêter le vêtement, le laissant tomber à tes côtés alors que tu ne quittes pas ce petit sourire charmeur. « Légèrement mieux. » Ta tête se penche doucement sur le côté, l’observant de haut en bas. Sa peau n’est pas totalement couverte, pour ton plus grand plaisir. Il faut dire que cette jeune femme est plus que séduisante. De longues jambes, une fine silhouette, des courbes bien placées. Oui, elle n’a absolument rien à envier à d’autres filles, que du contraire. Elle a ce petit air torturé qui ne la quitte jamais, faisant pétiller son regard de cette flamme dévastatrice que tu aimes tant. Tu la regarde sans détourner les yeux, du moins, jusqu’à ce qu’elle te rende jaloux, te provocant ouvertement en mettant l’histoire de ses rencontres sur le tapis. Directement, tes muscles se crispent et tes traits se figent, pourtant, tu tentes de ne pas trop le montrer, répliquant ouvertement à sa petite provocation. Certes, tu avais rencontré deux filles, mais elles ne t’avaient pas plus intéressé que ça. La preuve, tu étais ici et non pas avec elles. Puis, les jambes d’Arizona sont bien plus belles que celles d’une inconnue. Trouver mieux ? Tu allais répondre lorsqu’elle tire sur son haut, dévoilant la naissance de sa poitrine. Tu restes un homme et, bien sûr, ton regard descend d’un étage. La goutte, tu la suis sans retenue, tu as pratiquement envie de lui sauter dessus, stoppant sa course…sauf que tu te retiens, disant la voix légèrement plus rogue. « Je vois ça… » Oh oui tu vois, tu vois même fort bien de quoi elle parle, connaissant par cœur ce que cache ses vêtements encore présents.

La jalousie, elle la remarque et ne peux s’empêcher de te dire que tu es davantage excitant en étant jaloux. Haussant un sourcil tu souris en coin, secouant doucement la tête. « Mh, et encore, je pourrais l’être davantage. » Repoussant ses jambes, tu la vois tendre son bras, réclamant un autre verre. Tu prends celui-ci, frôlant ses doigts avec les tiens alors que tu te sers un verre, faisant de même, continuant ton petit jeu. « Dilemme, dilemme que voilà… toi ou des inconnues… » Tu reviens avec les deux verres, sauf que cette fois-ci, tu souris d’un air provocateur, charmeur, prédateur. Tu t’arrêtes juste devant elle, déposant les verres sur la table basse. Doucement, tu prends ses jambes et tu les allonges sur le canapé, l’obligeant à être ainsi allongée. Une fois fait, tu viens te mettre juste au-dessus d’elle, bloquant ses jambes entre les tiennes alors que tes mains se posent de part et d’autre de son visage, paume contre le canapé. Tu la surplombe, plongeant ton regard dans le sien. « Je pense que mon choix est vite fait…sauf si tu préfères rejoindre tes nouveaux amis… » A ces mots, tu approches ton visage du sien, frôlant ses lèvres avec les tiennes. Tu fais en sorte de ne faire que les frôler, déviant calmement vers son cou. Arrivé sur sa peau, tu y dépose un baiser, puis un deuxième, laissant ta langue glisser sur celle-ci, retrouvant ce gout que tu as fini par également apprendre par cœur. Approchant de son oreille, tu mordilles le lobe de son oreille avant de murmurer. « Mais je doute qu’ils puissent te faire frissonner aussi bien que moi… » Tu te vantes un peu, certes, mais tu sais que c’est vrai et que, de toute façon, elle n’allait aller nulle part.

©LittleJuice

(Invité)

01/08/2017

Help me to get out, again ...

Jedekia & Arizona

C'est avec un certain plaisir que je le sens me manger des yeux. Si je m'écoutais, je lui sauterai dessus immédiatement. Lui arrachant le seul vêtement qu'il lui reste et ondulant contre lui comme si ça m'était vital. Mais je ne devais pas, je ne pouvais pas. Cette fois je voulais le faire craquer, je voulais que ce soit lui qui n'en puisse plus au point de me sauter dessus. Il me voulait ? Qu'il vienne me chercher. Je m'offrirai à lui avec autant de plaisir qu'avant, même plus encore. Plus on se voyait plus je sentais ce quelque chose d'indescriptible naitre en moi, pour lui. Ce quelque chose qui me rendait jalouse de me dire qu'il posait ses mains sur le corps d'une autre femme que moi, ce quelque chose qui me poussait malgré ma fierté à toquer à sa porte, ce quelque chose qui me donnait envie d'être avec lui, encore et encore et pas seulement pour le sexe. Juste sa présence, son regarde posé sur moi, l'intonation de sa voix qui peut être parfois si rassurante, son corps à mes côtés lorsque je me réveille la nuit, transpirante, effrayée de me réveiller encore une fois dans l'antre de mon ravisseur. Sa présence me permet très souvent de prendre le dessus sur mes peurs, de me sortir la tête de l'eau. C'est mon anti douleur à moi. Mais jamais je ne pourrais lui avouer tout ça. J'espère qu'il le comprend à mon comportement, les mots aussi profonds, aussi sincères me sont difficiles.
Lorsque ses yeux se porte sur mon corps, se frayant un chemin sous les vêtements, me scrutant, me dévorant, je sens un frisson passer dans ma nuque. Je ne désire qu'une seule chose : qu'il pose ses mains sur moi, encore et encore.
« Tu pourrais l'être encore plus ? J'attends que ça ! »
Quand ses doigts frôlent les miens, je réprime une sorte de gémissement. Je ferme les yeux et souffle discrètement. Mon coeur rate un battement. La tension sexuelle qu'il y'a entre nous est palpable. Tellement palpable que je dois contrôler ma respiration.
Sa voix me sort de ma transe. Je le regarde revenir vers moi, poser les verres sur la table basse. Je n'ai même pas le temps de me demander pourquoi il ne me rend pas mon verre qu'il attrape mes jambes et me force à m'allonger. Ses jambes viennent entourer immédiatement les miennes, son corps me surplombe et je peux admirer avec plaisir ses muscles saillant. Le choix est vite fait pour moi aussi. Il est tellement près de moi que je n'ai plus qu'à chuchoter, ce que je fais.
« Tu sais très bien que c'est toi que je choisis, comme toujours. »
Quand son visage approche du mien, je ferme immédiatement les yeux. Je sens ses lèvres frôler les miennes et je frissonne encore, à la limite du tremblement. Si j'avais été debout mes jambes auraient fléchit. C'était là l'effet qu'il me faisait en permanence. Ses lèvres viennent se poser sur mon cou. Un baiser puis deux. Je sens sa langue remonter jusqu'à mon oreille. Les yeux toujours fermés je pose mes mains d'abord sur ses épaules, puis une agrippe sa nuque et l'autre se pose sur son torse. Mon coeur battait tellement fort que je sentait le rythme tambourinant contre mes tempes. J'avais chaud, tellement chaud.
« Ferme là et embrasse moi ! »
J'ouvre les yeux et souffle fort. Je plante mon regard dans ses yeux. Faire l'amour doucement ? Ca nous arrivait de temps en temps mais la plupart du temps c'était bestiale, sauvage. Je voulais qu'il me fasse mal et qu'il panse mes blessures en même temps. Je voulais qu'il laisse une trace, une marque parce qu'il faisait pleinement partie de moi comme moi de lui.

made by black arrow

@Jedekia Caldwell

(Jayne Atkinson)

i'm unstoppable. i'm a porsche with no brakes. i'm invincible. i win every single game. i'm so powerful i don't need batteries to play. i'm so confident. i'm unstoppable

(Invité)

(Contenu sponsorisé)