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Milan here we come - Benjona

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► Milan here we come


What the F. Are we doing?


La réaction de mon homme ne manque pas de tomber.
Elle n'est pas surprenante. Non. Il est furieux, tellement furieux que Salcha se ratatine dans sa chaise, et que moi, j'essaie de bouger le moins possible.
Furieux oui... et ça, je l'avais prédis dés le début. Peut être même est ce pour ça, que j'ai inconsciemment omis de lui dire que l'enfant que j'ai  trouvé était dans un orphelinat?
Du pouce je caresse la peau qui s'offre à moi, en de vague cercles. Il lui faut encore quelques secondes pour sortir de son mutisme, et que ses muscles se remettent à bouger. Une prouesse, après qu'il ait passé tant de temps immobile.
Je reste toujours aussi silencieux, mes yeux se posent sur Salcha, que je rassure d’un sourire, le premier qui soit vrai, de notre petit déjeuner. Notre comportement semble l’étonner encore plus que les paroles de mon homme, habitué qu’elle était à un un Benji réfractaire à tous les types de contact humains.

Me relevant à sa suite, je salue la jeune femme encore attablé, et suit la tornade brune passant par la réception de l'hôtel, jusqu’aux escaliers.
D’accord, ça va être dure de garder la cadence. Après 1 étage, je choisis de continuer par ascenseur, arrivant à peine au moment ou la porte de notre chambre se referme. Suivant la trainé de vêtements qu’il laisse à son sillage, j’arrive à la porte de la salle de bain. Bien sure. L’eau.
La douche c’est le meilleur moyen pour le refroidir.
Avec des gestes calmes, l’un de nous doit l’être, j'enlève ce que j’ai sur le dos. Ne m’arrête que quand le son de son coup contre le mur me glace le sang, avant de reprendre tout aussi calmement. Je m’avance derrière lui… et … au diable les réactions de merde qu’il pourrait avoir… au diable la chaleur de l’eau … j’ai envie de l’enlacer, poser ma tête sur son dos, et de rester comme ça. Sans bouger.
Calme toi Babe.

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Un contact avec ma peau et je me raidis décollant mon front du carrelage, mais contrôlant assez ma réaction pour ne pas attaquer. Il n’y a que Jona qui viendrait me rejoindre ici, alors j'ai pas à me protéger. Y’a que lui pour confronter mes mauvaises humeurs et ignorer mes réactions de merde avec ce qui semble être naïveté et inconscience. Mais, il n’est ni naïf, ni inconscient. Au contraire, s’il le fait, c’est parce qu’il sait pleinement ce qui se passe. Il n’a jamais réagi comme les autres …et c’est peut-être pourquoi je ne réagis pas avec lui de la même façon que je l’ai presque toujours fait.

Me redressant légèrement, je passe un bras dans mon dos pour attraper le sien, tandis que mon autre main va rejoindre les contrôles de température pour faire diminuer un peu celle du jet d’eau. Insistant, je le tire Jona devant moi, passant mes lèvres sur sa tempe déjà trempée déjà légèrement rougie.

- Tu vas te brûler comme ça, laissais-je entendre, la voix enroué, rauque.

Embrasse-moi.

Une main à plat contre le mur, je passe l’autre autour du corps de mon boyfriend, glissant une mais au bas de son dos, près de sa hanche. Le gardant près de moi, je profite de cette proximité pour me calmer. Son odeur, sa peau... Ma bouche glisse le long de sa mâchoire puis sur son cou. Arrêtant mes embrassades, je pose mon front sur son épaule, laissant entendre un soupir. Pendant un moment, il n’y a plus que le bruit de la douche qui se fait entendre avant que je n’ouvre à nouveau la bouche.

- J’avais pas prévu qu’elle ne l’aie pas garder, soufflais-je. J’avais pas réalisé que ça pouvait être une fille, ajoutais-je. ...J’ai pas voulu croire que ça pouvait être vrai, avouais-je finalement.

Je me rends compte que même si je suis venu jusqu’ici, que je voulais une réponse pour arrêter les doutes, je ne m’attendais à ce que cette réponse soit négative. Qu’elle aie rencontré un autre mec très peu de temps après s’être installé, ou même sur la route. Parce qu'en vrai, je sais pas quoi faire. Alors j'espérais qu'elle soit heureuse et que ça me regarde pas. Mais là… là, je sais plus. L'idée que la petite soit en adoption me fatigue. Mais je peux pas en vouloir à Salcha d'avoir fait ça alors que sa situation était bancale. C'est pas non plus comme si je pouvais lui dire "T'avais qu'à m'appeler!" puisqu'elle a probablement essayer - ou pas - et qu'elle a eu à dealer avec ma mère qui s'est permise de se mêler de vies qui ne la regardait pas. Pourquoi d’ailleurs? Parce qu’elle avait peur que je partes rejoindre Salcha? Elle a pas dit un mot quand j’ai parlé de m’installer avec Becca, c'est limite si elle m'a pas encouragé en fait. Alors c’est l’idée qu’il y aie un enfant dans le portrait qui ne lui convenait pas? C’est pourquoi elle est heureuse que je sois avec Jona? Parce que biologiquement parlant, ça risque pas d'arriver? … Rah!!

Je ferme les yeux un peu plus fort, resserre mon étreinte à ma fouine.

J’en viens à douter du moindre fondement des actions de ma mère. Comme si tout était calculé, prévu. Zéro sentiment, zéro vérité. Que des calculs froids et des mensonges stériles. Lisse et sans bavure. Mais c’est ce qu’elle m’a toujours appris à faire… Et que j’ai jamais appliqués à cent pour cent, préférant me taire que dire les histoires qu’elle nous inventait, préférant ne rien construire parce que ça ne serait que des châteaux de sable qui se perdrait dans la marée lorsqu’elle ferait une vague.

Pourtant, depuis un an, je suis arrivé à avoir quelque chose de solide. En partie parce qu’il m’a fait réaliser que je le pouvais.

Jona.

Relevant la tête, je vais à nouveau capter ses lèvres. Tendrement.

- Je t’aime, soufflais-je d'une voix plus clair en le regardant. Pas trop apeuré que ce soit vrai? le questionnais-je.

Si je ne sais pas ce que je vais faire de toutes ces informations, j'ai quand même besoin de savoir s'il ne préfèrerait pas fuir tout ça et faire comme si cette rencontre n'avait jamais eu lieu. Parce que les décisions que je prendrai influenceront aussi sa vie.

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What the F. Are we doing?


L'eau chaude mordille ma peau sans que j'esquisse un mouvement pour l'éviter, attendant sagement, que les muscles que je sens chez mon homme, se détendent un peu. J'attends qu'il se rende compte que c'est moi, et que je suis la s'il en a besoin.
Ca ne tarde pas. Bien vite, sa main passe sur mon dos, avant de me ramener devant lui, et de triturer les contrôles de l'eau, pour les remettre à une température moins infernale. S'il voulait que la chaleur le rende moins sensible à la situation actuelle, ou que cette douleur lui change les idées, il change vite d'avis quand je suis la avec lui.
"Je m'en fou" lui répondis je dés il s'enquit de mon bien être.
Il ne veut pas me faire mal, je ne veux pas qu'il taise ses émotions.
Alors je l'embrasse . Je le ramène à moi, mentalement, et physiquement. Je sais que ce qui vient de se passer n'est pas du tout facile, je sais qu'il a le coeur qui bat à la chamade, je sais qu'il a peur, et qu'il ne s'en rends même pas compte. Je sais que ce que j'appréhendais depuis deux mois est vrai.

Mais, étonnement, je suis calme.
Calme pour lui, et seulement pour lui.
Ses paroles se répercutent entre les murs de cette salle de bain. Faisant leurs chemin vers mon esprit, les analysant. Comprenant que lui aussi, ne voulait pas y croire, mais qu’au final, nous deux on y a tout le temps cru. Une de mes main passe de son dos à ses épaules, l’autres caresse sa hanche, tandis que je chercher ses lèvres et les hape à nouveau.

Calme quand nos lèvres se touchent.
Ma réponse tarde à venir. Je n’ai rien à dire, je ne vais pas lui dire que j’ai oublié de préciser pour l’orphelinat. Une information qui ne sert à rien, n’a pas lieu d’être avoué. Ma main sur mon épaule dérive vers sa nuque, et caresse la base de ses cheveux, tandis que mes yeux soutiennent les siens. La mains sur ses hanches se referme sur sa peau, et je ramène son corps encore plus contre le mien.

Calme quand nos peau se collent et que l’eau coule sur nos têtes.
Je l’embrasse à nouveau, une soiffe de ses lèvres, de lui même, de tout son être que nul ne saurais expliquer. Peut être, que j’ai juste envie qu’il oublie, tout, et qu’il me le fasse oublier aussi, qu’il n y ai plus que nous deux, avant qu’il y ait … une troisième. Avec tout ce que ça implique.

“Je t’aime aussi”

Mes doigts se perdent dans ses cheveux
“Je n’ai pas peur, puisque je t’ai toi”
Lui mentis je.
“... pas encore” Me décidais je d’ajouter, après avoir sondé son regard. Je n’aime pas lui mentir.
“Je suis la pour toi mon coeur” l’utilisation de ce mot l'énerve peut être, mais en ce moment c’est exactement ce qui le caractérise : un organe vitale sans lequel je ne pourrais pas vivre “et pour le moment je n’ai pas peur. Mais si ça arrive … je veux être capable de te le dire” Ma voix se casse à un moment, je ne sais pas pourquoi “Je ne veux pas avoir peur d’être honnête avec toi, même si ça peut paraître égoïste” si je pleure, l’eau de la douche va le couvrir n’est ce pas “ parce que je le suis un peu, j’ai toujours été enfant unique tu sais” essayais je d’expliquer avec un sourire légèrement vacillant.  Je me reprends vite “Eva hein? T’as une fille Babe.” Dis je d’une voix plus assuré, plus … enjoué.

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Je le regarde, quelque peu dubitatif, lorsqu'il me dit ne pas avoir peur, mais il précise ensuite "pas encore". Il ne s'en laisse pas le droit pour le moment. Puisqu'il veut être là pour moi. J'en retiens un soupir. Baby… t'as pas à te museler. Par habitude, je tique lorsqu'il m'appelle "mon coeur", mais n'en fais rien de plus. J'ai fini par comprendre que lorsqu'il m'appelle ainsi c'est qu'il est normalement au plus franc avec ses sentiments, alors j'attends. Et ça ne manque pas, puisqu'il se remet à parler. Sa voix qui casse m'alerte et je le serre un peu plus contre moi. Il a un sourire comme pour me rassurer ou se rassurer lui-même, mais celui-ci ne tient pas réellement.

- Jona, l'interpellais-je doucement lorsqu'il finit de parler.

Front contre front, je frotte mon nez contre le sien, pour tenter de le calmer un peu, que son sourire puisse tenir et que ses yeux brillent à nouveau. Et pas parce qu'ils sont mouillés. Il devra peut-être passer par là, mais… si je le garde contre moi, ça ira mieux, non?

- Baby, t'es le mec le plus généreux que je connaisse, lui fis-je remarquer, sincère. Tu prends soin de tout le monde, moi y compris, même si parfois t'essaies que ça paraisse pas. T'es toujours pleins de petites attentions pour rendre tes proches heureux. T'es pas égoïste. Et je le prendrai pas comme une preuve d'égoïsme si tu me dis que t'as peur de ce qui se passe ou pourrait se passer.

Doucement, ma main glisse sur sa joue et je décolle mon front pour capter ses lèvres, tendrement d'abord, puis manquant de contrôle, ça en devient un peu plus appuyé. J'ai envie de lui prouver que je serai là pour lui et qu'il a pas à avoir peur pour ça. Que malgré que j'aie une petite fille - oh god! - ça change rien à mon intérêt et mes sentiments pour lui.

- Soit honnête, même si j'aimerai pas la réponse, lui conseillais-je finalement en reprenant mon souffle. Je te l'ai dit Jona : ça m'empêchera pas de t'aimer. Et si je dois te le promettre jusque sur papier et devant témoins, je le ferai, lui assurais-je en le regardant dans les yeux. Avec toi, ça a toujours été différent et ça a toujours été "plus que bien", soulignais-je avec un sourire en coin, rappelant l'une de nos premières fois.

J'avais marmonné que si ce n'était que "bien" je devrais faire mieux la fois suivante. Je crois qu'on a réussi cette part du contrat. Mais je continue d'essayer de surpasser cette promesse.

- J'ai une fille, affirmais-je clairement pour la première fois. D'environ trois ans, ajoutais-je pour me convaincre. Que je vais rencontrer pour la première fois dans les jours à venir, dis-je finalement. Et j'aimerais que tu sois là, mais si tu veux pas, je ne forcerai pas.

Je respecterai. J'aimerais qu'il soit là, mais je ne lui en voudrai pas s'il me dit non. En grande partie parce que je n'ai aucune idée de comment je vais réagir. Alors s'il veut se protéger ou ne pas voir Salcha à nouveau, ça devrait aller, tant que je peux le voir en revenant à l'hôtel.

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What the F. Are we doing?


Il prononce mon nom.
Je le recueille entre ses lèvres, rive mes yeux dans les siens et retiens presque ma respiration, l'écoutant continuer.

Les mots qui suivent réchauffent mon corps , beaucoup plus que ce que l'eau faisait. Il enveloppe mon corps du sien, câlin.  Doucement, il chuchote toutes ces qualités qu'il voit en moi. Et si je ne m'étais pas remis à respirer, je crois que je me serait évanouis, vu l'intensité de son regard.
Je l'aime.
Plus que n'importe qui au monde... je n'arrives pas à y croire.
Quand il s'avance et que son front se colle sur le mien, ou quand il m'embrasse, qu'il n'arrive pas à se contenir, et que notre baiser s'approfondis, mon rythme cardiaque augmente. J'en ai des palpitations, la respiration qui s'accélère, et un gémissement qui m'échappe, dés qu'il se détache de moi, pour continuer.

Je lui aurais bien dis de se taire et de continuer à caresser mon corp. Mais on aura le temps ... plus tard. Paresseusement, mes yeux s'ouvrent pour le regarder, et la...
J'arrête.
Tout.
De penser, de respirer, de bouger.
Je deviens rigide entre ses bras, bloquant sur ses ... sa ... cette ... demande. Aurais je mal interprété? Serais je ... Je...
Il continue, parle de sa fille, ou de la rencontre, ou je ne sais quoi. Cependant, je ne l'écoutes déjà plus.
"Tu... "Je m'éclaircit la gorge  " est ce que tu..  " est ce que tu viens de me demander de t'épouser ? " je n'ai pas besoin de preuve mon coeur, je n'ai pas besoin de ... " t'épouser "... témoins pour qu'ils attestent de mon amour. J'en ai encore moins besoin, pour me rassurer que tu seras toujours la. " lui volant un baiser je lui souris en répondant à la question passé " et bien sure que je serais avec toi. " une hésitation saccade mes paroles, et avec un soupire, je reprends de l'assurance pour continuer "ne vais je pas être papa Jona... Ou seulement Jona..." cette simple éventualité me fait sourire "Bébé, je suis la, all the way ! si t'as une fille, elle sera la mienne aussi. Je ne veux pas que tu l'oublie."
Peut être aurais je du lui demander la permission?

Je l'embrasse, toute peur évanouie, et demande "Est ce que tu viens de me demander de t'épouser? "

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Pendant un instant, j'ai cru l'avoir perdu avec mes paroles, brisé à nouveau, mais malgré qu'il s'emmêle un peu en retrouvant sa voix, son léger baiser et son sourire qui retrouve le chemin de ses lèvres me rassurent. Contagieux, le coin de mes lèvres s'étirent quelques peu et je lui réponds appréciant sa présence autant que ses paroles. Je ne lui ai pas clairement demandé, mais il vient de poser une réponse à des interrogations qui me traversait la tête.

Il vient m'embrasser à nouveau et je ferme les yeux pour profiter de ce contact encore et encore, insistant un peu plus jusqu'à pouvoir le laisser pantelant s'il le faut. ...D'accord, on sort de la douche! Pour un endroit plus confortable. Genre le lit!

Me détournant légèrement de mon boyfriend, j'en glisse tout de même mes doigts jusqu'au sien, près à l'attirer hors de la pièce. Prenant le temps, je coupe l'eau, faisant, par le fait même, s'interrompre le bruit de cascade qu'elle provoquait, juste au moment où Jona parle à nouveau. Sa demande sonne clairement contre les murs, se répercutant sur la tuile, et je marque un temps d'arrêt en le regardant à nouveau.

- Pas à proprement parlé, finis-je par articuler, mais je pourrais mettre un genou en terre pour le faire si ça signifie qu'on traversa les années qui viennent ensemble.

J'hausse les épaules, essayant d'avoir détaché. Sauf que je dois pas faire très crédible. Passant une main à ma nuque, je détourne la tête. Comment je dis ça?

- Tu sais que j'ai une appréhension pour tout ça, mais… Mon regard se porte à nouveau sur lui, son visage et ses grands yeux curieux, aussi je continue : ...pas avec toi. Pas maintenant. Pas depuis quelques semaines, en fait, avouais-je finalement.

Après ma discussion avec Sloan et la tournée des boutiques avec Carter, j'ai beaucoup réfléchi à ce qu'il représentait, ce que ça signifiait d'être en couple avec lui. Après ce qu'on a passé, ce qui se passe encore, en comparaison à ce que j'ai déjà vécu… Je n'étais pas malheureux avant. Mais je n'étais pas réellement heureux non plus. Mais à passer mes jours et mes nuits avec lui, si. J'ai quitté l'Alaska pour en apprendre sur mon père et la famille qu'il représentait. Au final, je crois qu'on en a construit une à nous deux.

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What the F. Are we doing?


Sa demande se répercute encore entre les murs de la salle de bain, ou peut être entre les parois de mon crane. Il a beau avoir prononcé les mots, plusieurs minutes plus tôt, je l'entends encore, tout aussi clairement qu'au début. Et ça me fait sourire.
Naivement.  
Lui demandant si j'avais bien compris, ou si je faisait des idées sur "le contrat sur papier, et les témoins" il me sors un "Pas vraiment" qui fait vaciller tout mon être.
Pourquoi?!
Moi qui n'ai rien demandé. Je n'ai pas demandé à ce qu'on officialise. Je n'avais rien demandé non plus, quand j'ai découvert les bagues, dans son sac. Je n'ai jamais pensé au "mariage".
Alors pourquoi est ce qu'a chaque fois, autant la dernière fois quand il m'a demandé de ne jamais en reparler, qu'aujourd'hui... Pourquoi est ce que ça me tord le coeur, quand il réponds par la négative?
Pendant quelques micro seconde...
Avant qu'il continue.
Et que mon coeur se remet à battre, à la chamade.  

Je le suis vers la chambre. Le silence de fait. Soudain. Précédant le bruit assourdissant de l'eau, ricochant sur le carrelage.  Je prends au passage une serviette, dans laquelle je m'emmitoufle. et tends une mains pour prendre la sienne, le stopper, qu'il arrête et me regarde. Je veux avoir toute son attention, quand je vais dire ce qui suit "Babe. Je t'aime. Je n'ai besoin de rien, pour que tu sache que je suis à toi. Rien de plus ce que tu mes dis. Rien d'autre que d'avoir une chambre d'hotel ou un loft Skelton-Lynch " Sur la pointe des pieds, nos lèvres se joignent, furtivement "Même si l'idée, que je sois à toi... devant des témoins ... sur des papiers ne me dérangerait absolument. Je n'en ai pas besoin. Surtout quand je sais l'aversion que tu porte a cette institution qu'est le mariage "
Croisant les bras derrière sa tête, je le rapproche à moi " Toutefois, tu restes mon homme. Ca fait quelques mois que je l'ai décrété. " continuais je, comme une fatalité.
Tu es à moi, et je suis à toi.

DEV NERD GIRL

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Voulant quitter la salle de bain, Jona me retient toutefois dans la pièce, d'une main, alors que l'attirait vers la chambre. Mes yeux se pose sur lui alors qu'il prend la parole et un vague sourire étire le coin de mes lèvres. Il n'aime pas me pousser, même s'il le fait quand on n'a pas vraiment le choix. Mais cette fois, il n'a pas compris que ce n'est pas le cas. Il ne me torderait pas le bras s'il me disait qu'il veut officialiser le tout. J'aimerais juste que ça reste sans grand éclat ou trop d'extravagance. Tranquille. Un peu comme notre couple.

Une pression derrière ma nuque et j'approche mon visage du sien, mes mains à ses côtes. Ses dernières paroles m'amusent, même si je ne les mets pas en doute.

- Si tu l'as décrété… commençais-je.

Laissant ma phrase en suspens, je glisse mes mains à ses hanches et pousse plus loin pour atteindre ses fesses dont j'apprécie le galbe une fois de plus. Y'a pas à dire, cette partie de lui me rends dingue. Que ce soit la vue, le toucher ou plus encore. Passant mes doigts sous leur rondeur, je le soulève juste assez longtemps pour faire les trois pas qui nous séparent du lit, l'embrassant avec avidité dès que je le dépose. Le surplombant, un genou entre ses jambes sur le matelas, je m'attarde sur sa gorge, mais oblique rapidement sur son cou en direction de son oreille.

- ...laisses-moi te prouver que le décret est en fonction. Mon homme.

Ces mots soufflés, mes dents se referme doucement sur son lobe avant de redescendre jusqu'à son épaule. J'ai bien l'intention de lui montrer que je suis son homme et qu'il est le mien. Et ce même, et surtout, si on doit tester l'insonorisation de cette suite.

***

Couché au milieu des draps défaits, je resserre le bras que j'ai passé à sa taille pour profiter de cette étreinte. Collés, rien que tous les deux. Les yeux encore fermés, j'appuie ma tête contre la sienne. C'était peut-être pas la manière la plus romantique de lui prouver que je l'aime, mais… j'imagine que ça a quand même fonctionné. Du moins, assez pour l'entendre murmurer un "Ben…" alors qu'il n'a plus assez de voix pour la seconde syllabe. C'est normalement une bonne indication.

L'embrassant à nouveau, doucement cette fois, je démêle nos jambes et me redresse avant de sortir du lit. Me penchant et d'un simple lancé, je récupère mon jeans et mon boxer qui ont depuis un moment fait un large cercle d'eau sur le tapis qui borde le lit, de même que la serviette qu'il avait pris pour les envoyer sur le carrelage de la salle de bain. Récupérant un nouveau pantalon dans mon sac, je l'enfile tandis que je profite de la vue qu'il m'offre : son corps halé et tatoué se détachant des draps blancs, sa crinière ébourrifé… Et après, on s'étonne que je sois aussi porté sur la luxure quand il s'agit de Jona!

Le sourire au coin des lèvres et une idée derrière la tête, je m'approche à nouveau du bord du lit en lui faisant signe de s'approcher. J'attends qu'il soit assis, encore à moitié couvert des draps, avant de me pencher. Mon regard semble être captivé par l'un des bracelets de billes de bois que j'essaie de retirer de mon poignet droit, mais c'est bien à Jona que mes paroles sont destinées. Jamais à personne d'autres.

- Tu n'as pas compris ce que je voulais dire tantôt, ma fouine, expliquais-je finissant par ouvrir l'attache du bracelet.

Relevant la tête, je croise ses pupilles noisettes et je m'étire pour l'embrasser doucement. L'occupant par ses lèvres, je passe le bracelet que je viens de retirer à son poignet à lui.

- En attendant que je trouve une bague, expliquais-je, un genou au sol. Si tu veux bien me faire l'honneur d'accepter de m'épouser. Avec toi, y'a plus de réticences, Baby, précisais-je.

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Une grimace modifie mes traits, quand je le sens bouger. Sa chaleur s'éloigner. Je murmure sans le vouloir son nom, en vague protestation. Trop vanné pour dire quoi que ce soit de plus, alors que dans ma tête je lui demande de revenir.
Sa voix, attire mon attention, alors que le mini "ménage" qu'il fait dans la pièce me permet de regagner assez de force, pour répondre à sa demande de m'approcher.
Mollement, je tente de me remettre debout, assez pour lui faire face, voir la lueur de ses yeux, et essayer de comprendre ses paroles sans m'occuper de mes muscles, complètement détendus... useless.  Heureux d'avoir assez de force pour lui sourire.

...d'accepter de m'épouser...
Hein?
D'accord je ne dors plus. De quoi?
Rembobines, cerveau!
Si tu veux bien me faire l'honneur d'accepter de m'épouser. Avec toi, y'a plus de réticences, Baby
Je sens la mains de Benji sur la mienne, entrain de m'enfiler un de ses bracelets que je l'ai vu retirer ...
En attendant que je trouve une bague
...tandis que mes yeux ne quittent pas les siens, et que mon rythme cardiaque essaie de battre un nouveau records de la journée...  
...
C'est à toi de répondre Jona.
" ... "
Le silence de la pièce est assourdissant.
Qu'est ce que tu vas répondre?
Je sais pas
Qu'est ce que tu veux répondre?
Je sais pas.... "oui"?  Il ne m'a pas posé de question à laquelle je dois répondre non?
" ... " Me penchant vers lui, je l'embrasse longuement. "Je t'aime bébé, et oui... je veux t'épouser. Rien ne me ferais plus plaisir " Rien, du tout. A part peut être qu'il revienne dans le lit.

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Après ce qui s'était passé avec Rebecca et Troy, j'aurais jamais cru que je penserais à nouveau à me marier. Après coup, c'est peut-être aussi bien que ça se soit passé ainsi, même si ça a été difficile à avaler pendant des mois. Ça m'a peut-être fait réaliser les vraies motivations et les vrais sentiments que ça prenait pour appuyer un genou au sol et demander à celui qu'on aime de passer le pas pour se promettre de faire encore un long bout de chemin ensemble. Y'a une part de ma cervelle qui me dit que ça fait qu'un an, mais y'a rien de pareil avec lui et c'est toujours dans le positif. Alors, je suis pas anxieux pour la suite. Ça changera pas. Enfin… si ça changera. Quelques trucs. Autant que ça a changé depuis qu'on s'est rencontré. Mais rien de mauvais à l'horizon. Où on passera au travers de toute façon.

Lui demander de m'épouser, étrangement, ça m'a pas rendu nerveux. J'étais même beaucoup plus serein que ce qui était envisageable vu la situation. Mais qu'il ne bouge plus, me fixe et ne prononce pas un mot, ça, ça fait monter d'un cran mon niveau de stress. Dis quelque chose, Baby. ...et si possible pas non. Brisant son immobilité inhabituel, il ne parle pas, mais je le prends tout de même pour un "oui" lorsqu'il m'embrasse, longuement et avec un faible regain d'énergie. Ses mots parviennent ensuite à mes oreilles lorsque nos lèvres se séparent et j'en souris avant de remonter sur le lit, le faisant à nouveau basculer sur le dos pour l'embrasser encore une fois. Bien plus tendrement que tantôt.

***

J'ouvre les yeux, pour me rendre compte que la journée a passée alors qu'on s'est finalement endormi, l'un contre l'autre. ...Après s'être fait une promesse d'engagement. Je ne l'avais pas vraiment prévu, mais ça m'a paru naturel de le faire. Et je regrette en rien.

Réalisant la raison de mon réveil, je me lève et m'extirpe du lit à nouveau pour attraper mon cellulaire qui vibre sur la commode où je l'ai abandonné en filant sous la douche. Appel manqué. Un numéro que je ne connais pas, mais qui est géolocaliser à Milan. Normalement, ça devrait être Salcha. Jetant un coup d'oeil à Jona, je lui souris doucement avant d'appuyer sur la touche de rappel. D'abord légèrement incertaine, la voix de la rouquine me parvient à l'autre bout du fil et ce n'est qu'après l'avoir saluer à mon tour qu'elle reprend contenance.

- Tu ne bosses pas pour une fois, pourquoi t'as pas répondu? demande-t-elle à moitié comme un reproche, à moitié par curiosité.
- Je dormais.
- À 16h!?

Je sais, c'est pas dans mes habitudes.

- Décallage horaire, dis-je en haussant les épaules.

J'ai pas besoin d'expliquer que j'ai fait du sport de chambre et que j'ai fait vivre toute la palette d'émotions à Jona avec les révélations et demandes d'aujourd'hui.

- Tu as pris rendez-vous?
- Oui, demain en après-midi. Je serai à votre hôtel à 14h.
- On peut s'y rendre si tu préfères.
- Non, ce sera plus simple comme ça.
- Très bien.

Elle semble hésiter un instant, puis finit par se raviser.

- Bonne soirée et à demain Benji.
- À toi aussi Salcha.

L'écouteur me rends encore un instant les bruits de son environnement avant que la ligne ne coupe. Revenant vers le lit, je dépose l'appareil sur la table de chevet avant de m'asseoir près de Jona, passant une main dans sa crinière qui est tout sauf en ordre.

- Salcha sera en bas à 14h, demain, lui appris-je. Ce soir, qu'est-ce qu'on fait? On mange ici où on célèbre au resto? proposais-je.

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FICHE BY LAVENDER J. TREVENA



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