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Take my hand through the night - Benjona

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BENJONA

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Sortant les contenants du resto du sac, je peux constater qu'ils n'ont finalement pas versé et que c'est encore potable même au niveau apparence. Jona me confirme rapidement que je n'ai pas à m'en faire niveau goût non plus. Son sens de l'étiquette a étrangement perdu le cap et ça m'en tire un léger rire. Depuis quand parle-t-il avec de la nourriture en bouche? Ça n'arrive jamais. Ou peut-être un commentaire sur un film avec du popcorn au caramel. Et tandis que je termine de nous installer, j'entends le sifflement annonciateur du début de la surprise que je lui réservais. Je n'ai pas payer pour que quelqu'un envoie ses feux, j'ai simplement coordonné la soirée avec ce que j'avais vu d'afficher sur le babillard public. Une annonce pour une compagnie qui inaugure et donc de ne pas s'inquiéter pour le bruit. J'ai ensuite vérifier si on le verrait de cet endroit. J'ai découvert en faisant de la randonnée une journée où Jona avait des activités avec son équipe et n'avait pas besoin de ma participation.

Résultat : les yeux de ma fouine s'illuminent autant que le ciel. Si c'est pas plus. Prenant ses aises, il s'installe entre mes jambes et je passe mes bras autour de sa taille pour lui tendre la bouteille de champagne, soulignant l'anniversaire de notre rencontre. J'ai appris avec le temps qu'il était attaché à ce genre de célébration. Et étrangement, moi qui n'ai jamais été porté sur ça, j'en viens à trouver ça normal de faire des efforts pour le souligner. En grande partie parce que ça semble le rendre particulièrement heureux à chaque fois aussi. Comme maintenant alors qu'il se retourne pour m'embrasser. J'en devine un "merci" et "je t'aime" imprononcés. Enfin, partiellement puisqu'il finit par le dire tout haut, ajoutant à ça un mince récapitulatif qui me fait sourire. Il a une facilité certaine à me donner des papillons dans le ventre. Alors quand il termine sa déclaration, je vais chercher ses lèvres à nouveau, même si ça fait déjà plusieurs baisers qu'on échange. Y'aura jamais de quota de toute façon. Imperceptiblement, je resserre ma prise, l'approche encore plus si possible et développe plus d'énergie d'envie dans ce baiser. Je ne suis pas aussi doué que lui pour les discours, mais je veux qu'il comprenne que même après un an, j'ai toujours envie de lui. J'ai toujours envie de sa présence, même plus qu'avant. Qu'il me fait redéfinir bien des aspects de ma vie et que c'est dans le bon sens. À bout de souffle, je le relâche ses lèvres sans pour autant changer la position de mes mains qui ont monté dans son dos sans que je n'en ai vraiment conscience. Posant mon contre le sien, je reprend mon souffle et un rythme cardiaque plus normal.

- Je t'aime aussi Jonathan Lynch, laissais-je entendre tout bas, mais aussi cérémonieusement que lui.

Doucement, plus tendrement cette fois, je vais marquer ses lips des miennes avant de continuer sur sa joue et dans son cou où je m'arrête, sans toutefois laisser une strie sur sa peau.Ne voulant pas m'éloigner, j'étire le bras et, à tâtons, essaie d'accrocher le sac que j'ai laissé sur le côté. Fouillant sans même regarder, je finis par en sortir un boîtier en cuir bleu à faux imprimé de je-sais-pas-quoi. Serpent probablement. Carré d'une dizaine de centimètres pour environ quatre d'épaisseur, ça ressemble vachement à une boîte à bijoux grand format. Ça en est une. En quelque sorte.

- Tiens, fis-je en la lui tendant, tandis que je me redresse finalement.

J'attends qu'il accepte de l'ouvrir pour voir le collier qui s'y trouve. Un collier de cuir noir à ornements dorés avec médaille assortie gravée de l'adresse de notre loft à Boston.

- C'est pour "Le Chien", expliquais-je avant qu'il ne se fasse des idées sur ma façon de voir notre couple. Je me suis renseigné : il n'a pas de propriétaire. L'ancien l'a laissé là quand il est déménagé. Si tu veux qu'on le ramène à la maison, on peut.

Y'a plusieurs formulaires à remplir, des examens à lui faire passé chez le véto, des frais à payer pour le transport, mais rien de vraiment hallucinant ou qui demande des délais astronomiques.

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Je t'aime aussi Jonathan Lynch
Cette fois, mon nom au complet est beau dans sa bouche.
Cette fois comparé à la dernière fois qu'il a prononcé mon nom, mon coeur fait un bond de bonheur dans ma cage thoracique Peut être un peu de peur aussi... C'est bizarre comme sentiment, mais d'une bonne bizarrerie, comme toute cette sortie. Surtout quand l'abstème  qu'il est, apporte une bouteille de champagne pour fêter le tout premier anniversaire de notre première rencontre. Petite pensé à toutes nos célébrations, et toutes ces bouteilles de champagnes que je ramène, dans lequel il trompe ses lèvres et que je finis par terminer en entier.
En résulte toujours un Jonathan bourré, complètement câlin, qui cherche le contacte d'un corp chaud et musclé.

Ce n'est pas tout me rendis-je compte. Quand son baiser se transforme en mouvement pour atteindre son sac, je me dégage, et lui laisse plus de liberté. Je n'enlève tout de même pas ma main de sa nuque, et regarde le paquet qu’il tire de son sac.
Mon homme est Mary Poppins en vrai.
“Qu’est ce que c’est?” Demandais je.
Ca ressemble à une boite de bijoutier, en plus grand. Mon coeur rate un battement. Serais ce… ?
Je prends la boite et la sous-pèse, essayant d’en découvrir le contenue sans l’ouvrir. Et si je me l’avoue à moi même, j’ai peur de ce que je vais y découvrir. Parce que la dernière fois que j’ai trouvé ce genre de boite dans le sac de Benji… elle contenait des …
Serait ce possible? Il m’a pourtant donné l’impression qu’il ne voulait pas remettre ça sur le tapis. Et ça m’allait bien… enfin ... je m’y suis adapté. Cette pensé me fait hésiter.
Allez je l’ouvre. Je me jette à l’eau! Vaut mieux savoir, que laisser des “si” planer. N’est ce pas? C'est bien Jonathan, tu deviens sarcastique même dans ta tête.

“Oh”
soufflais je, de peur de briser le silence de la nuit, avec une exclamation plus sonore. Tendant la main, je prends le cuir entre mes doigts, et relève le collier que j’y révèle. Repose le pendentif sur la paume de ma main, et lis ce qu’il y a d’écrit. Ses paroles accompagnent mes gestes, et se frayent un chemin dans mon esprit, alors même que je l’ai compris dés le début. Mais sa manière tellement mignonne, avec lequel il m’explique…
Je relève les yeux, et le regarde dans le bleu de ses pupilles, et comme souvent avec lui, le temps s’arrête. Tous stoppe. En suspension.
“Merci mon coeur”
murmure qui se répercute contre sa joue, quand je l'enlace, dépose un baiser sur sa joue, et que je continue à parler contre son oreille “C’est le meilleur cadeau que tu aurais pu me faire”
Parce que laisser le chien, et rentrer aurait demandé quelques semaines que je m’en remette.
Mine de rien je l’aime bien ce gus. Benji, pas le chien.

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Contre lui, alors qu'il est bien installé dans mes bras, je profite de chacun de ses baisers et de chacune de ses caresses. Depuis plusieurs jours, il n'était plus aussi câlin. Et c'est ma faute. Parce que j'ai ramené le sujet d'aller voir Salcha alors que je lui avais dit que c'était une avenue tout simplement impossible.

- Ouvre et tu sauras, lui fis-je remarquer avec un léger sourire moqueur alors qu'il me demande ce que contient l'écrin que je viens de lui tendre.

Je ne lui dirai pas directement. Ce n'est pas exactement un cadeau pour lui. M'enfin… ce qu'il y a dans la boîte n'est pas pour lui. C'est un collier pour le chien sans nom qui squatte la maison et que Jona s'amuse à nourrir au homard. Il lui a déjà acheté une montagne de jouets, même si le quadrupède préfère encore mâchouiller mes baskets. Il met un délai à l'ouvrir et à son hésitation, je me rappelle la dernière fois qu'il a vu un coffret à bijoux et que j'étais concerné. Du calme Jona, ce serait beaucoup plus petit comme paquet, si c'était des alliances encore une fois. Et tu devrais m'en parler pour que je retourne faire le tour des bijouteries pour en trouver.

Il finit par soulever le couvercle et laisse filtrer une exclamation. Avant qu'une idée étrange puisse s'infiltrer sur un quelconque jeu entre nous, je spécifie. Il pourra ramener la boule de poils à Boston s'il le souhaite, puisque celui-ci n'a officiellement aucun propriétaire et que l'agence qui nous loue la maison n'y voit aucun inconvénient. Un sourire éclaire encore son visage et j'ai le droit à quelques petits baisers. Ma main au bas de son dos bouge en une vague caresse et je prends la parole à mon tour.

- Tu aurais eu de la difficulté à t'en séparer, lui fis-je remarquer.

Il aurait eu le coeur gros et aurait probablement été mélancolique pour plusieurs jours. Peut-être des semaines puisqu'on aura passé deux mois ici au final. J'ai songé lui proposer de s'acheter un chien une fois de retour à Boston, mais je me suis dit que ça n'aurait probablement été qu'un effet bandaid. Alors j'ai vérifier ce que ça prenait pour garder celui-là. Finalement, c'est pas si difficile.

- Il te fait sourire et te rends heureux, précisais-je encore. Même quand moi j'y arrive moins. Comme ses derniers jours...

Doucement, je passe mes bras à sa taille, sans toutefois serrer. Je ne veux simplement pas qu'il se détache. Je veux qu'il m'écoute.

- Jona, la vie autour, elle peut changer : ça m'empêchera pas de t'aimer, lui assurais-je en le regardant dans les yeux. Que j'aie une coloc avec qui c'est pas la joie entre vous ou que ta demi-soeur squatte notre appartement, que j'aie des réflexes dangereux que tu m'apprends à contrôler ou une boite d'alliances que j'avais planqué dans un coin de mon passé, qu'il y aie des rumeurs infondées sur ton compte ou une vidéo de ton ancien toi, que j'aie un garage ou un enfant… énumérais-je pêle-mêle. Tu reste ma fouine entêtée et pleine de vie, mon incube sexy dans ses pantalons de cuir, expliquais-je avec un sourire en coin, appuyant mon front contre le sien. Mon boyfriend, soufflais-je finalement contre ses lèvres. Ça, ça changera pas, lui assurais-je avant de l'embrasser doucement. Et je suis désolé de t'avoir blessé. Probablement à plusieurs reprises depuis qu'on se connaît. Mais j'ai pas de mots pour te faire comprendre que, quand t'es là, ça vaut énormément pour moi.

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Je fixe ses yeux, et ne m'éloigne pas de lui, penchant légèrement la tête quand il m'embrasse, pour lui rendre son baiser encore plus tendrement.
Je ne brise aucunement le silence qui nous entoure, je laisse la douceur de la température nous envelopper et la nuit nous couvrir. Nous séparer du reste du monde. Nous laisser seul à deux, seulement éclairé par la lune, dont les rayons commencent à se refléter sur la peau de Benji.
A croire qu'il s'est passé plusieurs heures entre le moment ou nous nous sommes installé pour suivre un spectacle de la nature, suivi d'un spectacle de feu d'artifice, suivi d'un feu d'artifice dans mon coeur...
Je deviens niais..
Je peux pas m'en empêcher, après tout ce qu'il vient de dire, et tout ce qu'il vient de faire.
D'habitude ce n'est pas lui qui a les mots. Il a les gestes. Les câlins, alors qu'il ne les aimait pas,
la permission de l'approcher, la permission de le toucher, d'être avec lui et de vivre avec lui.
Je le comprends toujours, même avec le peu de mots qu'il utilise.
Mais la... Il parle.
Et ce qu'il dit me touche encore plus que le cadeau qu'il m'a fait.

Je laisse cependant passer quelques minutes de silence, à entendre l'écho de ses paroles dans ma tête,
et les réponses qui se forment dans mon cerveau. Un brouhaha... j'ai tellement envie de le rassurer,
de le remercier, de répondre à chacune de ses interventions. De lui dire que je l'aime, encore et encore.
Mais le babillage ne sert a rien dans ce cas. Ce serait une profanation de notre cocon intime.
Je prépare donc mes phrases, avant de les prononcer. Encore quelques minutes à regarder ses yeux. Pas besoin de lumière pour les voir, elles sont gravé dans ma mémoire.
-Tu ne m'as pas blessé. Tu ne m'as jamais blessé, même si tu n'arrives pas encore à le croire. Je suis l'être le plus maladroit que je connaisse, et tu as toujours été la pour me rattraper. Les autres personnes, on s'en fou... ta coloc, ma soeur, mes parents ou les tiens, les blonds, les roux, James ... Ils ne pourront jamais nous séparer. Quant aux objects, des alliances, une vidéo ou un garage, c'est des choses qui n'ont aucune importance. Ce qui compte c'est toi, qui regarde mes pantalon en cuir en te mordillant la lévre, tes yeux qui passent sur mon corp sous la douche, et tes mains qui m'accueillent la nuit. C'est ta presence et ton calme, même quand tu me trouve au salon entrain de me regarder avec un autre homme. Toi qui m'assure que tout va bien, alors même que je sens mon coeur se serrer, mon hyperactivité se reveiller. Tu es mon cactus... à l'exterieur piquant, et à l'interieur tout doux "

Je me tait, je n'ai pas parlé de l'enfant. Je n'ai pas encore evoqué ce sujet. Soupirant, je me reléve pour lui faire face. Posant mes mains sur son torse, afin que le contacte ne sois jamais rompu.
J'en fait glisser une prés de son coeur, et sens ses battements sous ma paume
"-Et au le sujet de notre dernière discorde. C'est ... ma faute"
Je fuis un moment son regard, avant de revenir vers lui
"-Je n'aurais jamais du être aussi, cassant, ni aussi distant. J'ai seulement eu peur, de ce qui pouvait se passer, si ça s'avère vrai. J'ai eu peur que tu me quitte, parce que je ne serais pas arrivé à gérer. J'ai eu peur que ton nouveau monde se trouves trop remplit pour moi. Que je ne sois pas assez bien. Et ces peurs, je ne pouvait pas les partager avec toi, j'avais encore plus peur de te les dire "
Fixant ses prunelles j'ajoute
"-Bref je ... je t'ai fait te sentir mal... et ça je n'aurais jamais du, pas quand tu en as le plus besoin"
Je me penche vers lui "Je t'aime, encore une fois je te le dis. Et je ne veux pas te quitter, ni maintenant ni jamais"
Ce ne sont que de mots, n'est ce pas? je devrais le savoir pourtant...
Alors pourquoi et ce que j'y crois, comme je n'ai jamais cru à rien auparavant?

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Défilant les mots, je lui explique que même si notre vie prends de nouveaux virages ses derniers temps - ou depuis le début - ca n'empêche pas que plus je le découvre, plus je développe de sentiments pour lui. Il est important. Et il est très bien comme il est avec ses qualités et ses défauts, ses petites attentions et ses manies.

Après un temps ou le silence plane, sans être inconfortable, il m'adresse ses paroles à son tour. Mon sourire qui se voulait rassurant se transforme, un peu plus moqueur sans être méchant, lorsqu'il mentionne être l'être le plus maladroit qu'il connaisse. Je ne m'interromps pas, mais à dire vrai, même si je secoue la tête parfois lorsqu'il échappe un truc ou se cogne le genoux sur un meuble, c'est un trait auquel je me suis habitué chez lui. Ça fait parti de lui. C'est un détail qui me tire quand même certains sourires.

Il énumère ses moments entre nous… j'ai pas toujours conscience de me mordiller la lèvre, mais je reconnais franchement que je laisse souvent mon regard glisser sur lui. Qu'il soit habillé ou non. Il m'attire. Quand je dis que c'est un incube, c'est pas totalement faux. Je suis accroché depuis que j'ai goûté au fait qu'il soit aussi réactif. Si, au départ, je trouvais qu'il parlait beaucoup, aujourd'hui, j'aurais de la difficulté à me passer de ses soupirs, de ses paroles aussi. Quelques fois trop nombreuses quand il est stressé.

Il m'avoue finalement que la raison pour laquelle il était plus distant ses derniers jours, c'est qu'il avait peur. Ce n'est pas que je l'ai blessé comme je le crois, c'est qu'il a paniqué, comme Sloan m'a expliqué. Il finit son discours et j'appuie mon front contre le sien, resserrant un peu plus mes bras à sa taille.

- Ca ressemble à des voeux de mariages, ce que tu viens de dire, remarquais-je, légèrement amusé.

Pour le pire et pour le meilleur, maintenant et pour toujours. C'est bien ça, non?

- On a, tous les deux, eu peur de perdre l'autre Baby, avouais-je finalement. Et te mets pas la pression pour cette histoire. T'as pas mal réagi. On s'est juste pas compris tout de suite. Mais là, ça va, soufflais-je finalement, reculant mon visage pour sonder son regard noisette, passant une main dans ses cheveux.

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