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Take my hand through the night - Benjona

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BENJONA

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Je suis un peu à l'avance. Mais ça tombe peut-être mieux ainsi en fait. Je crois que ça nous fera pas de mal cette soirée. Après notre "grosse" convo au bord de la piscine, y'a encore un truc qui cale, même si c'est moins présent que ce soir là. J'ai fini par me rendre compte que je suis un peu plus aux aguets, que je surveille un peu plus ce que je fais avec lui. Sans même réfléchir. C'est une crainte qui s'est installé. De le blesser à nouveau. Comme un imbécile.

Alors quand j'ai vu l'annonce pour ce soir, je me suis dit que ça serait une bonne occasion. Je suis passé, ce matin assez tôt, chercher une bécane tout terrain que j'ai loué. Une Jeep aurait été plus dans mes goûts, mais on ne se serait pas rendu assez loin avec. Du moins, on se serait pas rendu où je veux. Et mon but n'est pas de se claquer une rando en montagne, mais de relaxer avec mon boyfriend. Et qu'il sourit à nouveau.

Je me suis assuré qu'il n'avait rien de prévu avec son équipe et j'ai fais le tour des courses que devait. Aussi, il est un peu plus de 15h quand je rentre finalement, un sac à dos rempli dans une main. Retirant mes baskets pour les laisser dans l'entrée, je m'avance, laissant également le sac derrière.

- Baby? L'appelais-je.

Il a dit qu'il serait avec le chien qui traine toujours autour de cette maison, mais reste à savoir où il est au moment où on se parle.

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Je souris quand je reçoit son second SMS.
-Tu m'aime bien? hein que tu m’aime bien? Y a que moi pour te donner du homard à manger de toute façon.  
Dis je d'une voix débile, de celles qu'on adresse à tous ce qui est mignon. Chien, chat ou ... bébé.
Le sentiment bizarre qui se fraie un chemin dans mon coeur, se trouve vite mis de côté. Je ne veux pas y penser, et "Le chien" me donne un coup de langue assez mouillé pour que j'oublie. Ou que je fasse semblant d'oublier ce à quoi mon esprit voulait penser.

Cette méthode marche plutôt bien depuis quelques jours. J'ai tellement peur de ce que ça va engendrer en moi comme réactions, que j’ignore mon problème. Je fais comme si, à la soirée au bord de la piscine, je n’avais pas frôlé la crise de nerfs. Que je n’ai pas été aussi froid qu’un iceberg en réponse à une requête, somme toute, très logique.
Jamais personne ne pourrait vivre avec “une éventualité”. Je me mentais à moi même, quand j’ai cru qu’il n’aurait pas envie vérifier… Je me mens encore maintenant quand je me dis que ça ne me fait rien.
Le problème? Je me mens tellement bien, que je ne sais plus ce que je ressens réellement. Je sais seulement, qu'à chaque fois que je sens ces pensées remonter dans mon esprit, je les étouffe.
Le chien aboie, ramène mon attention sur lui.
-Aujourd’hui j’ai pas de homard mais je t’ai acheté des croquettes

Lui dis je. Rien qu’en le regardant je retrouve mon sourire.
Je me léve et me dirige vers la cuisine,  ou je trouves la gamelle, les jeux, l’os, les croquettes, et une multitude d’autres choses que je lui ai acheté. Le son de ses patounettes sur le marbre, m’affirme qu’il me suis. Et quelques minutes plus tard, il mange, moi le regardant, une bière décapsulé dans la main.
Aucune idée de ce qu'il me prépare. Benji, pas le chien. Mais ça me fait plaisir. Son message me fait plaisir… Normal, c’est encore le même Benji, il n’a pas changé. Ou peut être que oui, un peu plus attentionné peut être? ou ce n’est qu’un sentiment? Je dois avouer que c’est normal, vu que moi je me sens moins… Calin. Ce n’est pas que je l’ai prémédité. Je sens juste que … je sais pas.
Penses à autre chose Jona.
-Le chien… Tu veux regarder un film avec moi?


Le film doit s’être terminé depuis longtemps. L’écran de la TV est bloqué sur le générique de fin. Le chien respire contre mon visage, et à les yeux grands ouverts. Il regarde de l’autre côté du canapé et aboie.
-Baby.
Je dois m’être endormis, le chien accessoirement endormis sur moi, devant le film que j’ai mit .
-Oui Babe, je suis la.
Dis je en me relevant sur le canapé. Chose qui semble déranger Le chien. Il aboie encore, saut sur le sol et part... mordiller les chaussures de Benji certainement.

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Le son de sa voix se répercute depuis le salon, un peu plus faiblement qu'à l'habitude. Hum? Le chien aboie et je ne tarde pas à l'entendre se ramener. Rapidement, il me passe entre les chevilles pour retourner dans l'entrée. Ha, non, sérieusement, pas encore! Laissant entendre un soupire, je baisse la tête un instant en la secouant, avant de faire demi-tour et retourner d'où j'arrive. Allez savoir ce qu'il trouve à mes baskets, mais c'est son joujou préféré. Malgré tout ceux que Jona aura pu lui acheter. Outre ça, y'a bien qu'une balle pour équivaloir. Cependant, ce n'est pas mes chaussures qu'il vise cette fois. Ou a-t-il simplement été détourné dans son trajet. Ça n'en reste pas moins que son museau se fait aller, reniflant toute la toile du sac à dos que je trainais dans l'espoir de trouver une interstice où se faufiler.

- Merde!

Je jure et m'approche pour retirer rapidement tout ça de sa portée.

- C'est pas pour toi ce qui a là-dedans, fis-je en m'adressant à lui comme s'il allait comprendre tout ce que je lui dis.

Mais si c'est le cas, il semble opter pour une tentative de séduction avec ses grands yeux, faisant le beau, assis sur ses pattes arrières, celles de devant repliées sur son ventre.

- Essaie pas, ça marche pas, répondis-je en déposant le sac en hauteur, sur un meuble.

M'assurant qu'il ne tombera pas dès que j'aurais quitté la pièce, je retournes en direction du salon d'où mon boyfriend est sorti. Un peu ébouriffé.

- Salut ma fouine, soufflais-je, passant une main dans sa crinière avant de descendre sur sa joue, pis de lui voler un baiser sur ses lèvres. Comment tu vas? T'as l'air fatigué, constatais-je.

Il a les traits tirés, les mèches un peu folles... Quoi que pour les cheveux, le coupable est peut-être simplement le quadrupède qui aura eu un trop gros élan d'affection. Ça serait pas le premier, en fait, si on repense à celui de la voisine qui s'était invité dans notre appart. Où même les chiens chez ma mère.

- Je vais prendre une douche, je boucle ce dont on a besoin et on part, ça te convient? le questionnais-je. Enfiles des pantalons et un chandail confortable, lui recommendais-je encore.

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Je me relève sur le canapé, baillant, me familiarisant avec le décor qui m’entour. Un regarde vers  l’écran de la télévision encore allumé, avant de me décider à le fermer. Je suis encore à moitié éveillé, à moitié dans les vapes, l’esprit embrumé par le sommeil, la voix de mon homme qui parle au canin, se fraie un chemin jusqu'à mes oreilles. .
C’est drôle. Très drôle même. De tout ce qu’il y a dans la maison, ce que le chien aime par dessus tout, c’est les baskets de Benji .

Je me lève, m’étire, et sors du salon, pour trouver le brun à l’entré. Une bouffée de bonheur me gonfle le coeur, comme absolument à chaque fois que je le vois ! Je me rapproche de lui, et pose mes mains sur mon corps. Le tactile que je suis, cherche son contacte, à sentir sa chaleur sous mes doigts. Et quand il embrasse ma joue, puis effleure mon corps, je proteste légèrement, me met sur la pointe des pieds, et l’embrasse. Langoureusement. Comme je ne l’ai pas fait depuis des jours.
Je sens sa chaleur, et la mienne augmenter, tandis que mes mains bougent sur ses côtes et se faufilent dans les poches de son jean. Geste habituel, que j’utilise pour le rapprocher de moi, approfondissant mon baiser.
Et après plusieurs plusieurs minutes, je me détache de lui, redescend sur terre les yeux fermé, et un demi sourire sur les lèvres “Salut babe” mini soupire de bonheur “Je viens juste de me réveiller” Dis je, comme si ça expliquait tout.
Remontant mes yeux vers les siens, je souris encore en lui répondant “D’accord…”. Je ne me détache pas pour autant… Je me remet à nouveau sur la pointe des pieds et recapture ses lèvres. En mordillant l'inférieure, joueur. “... Je peux te dézipper ton pantalon?” Demandais je, effronté. Ajoutant le geste à la parole, je continue “Tu veux pas me dire ou on va” Simple constatation. J’aime quand il me fait des surprise, lui aussi . Et peut être qu’il le faut, avec ce qui se passe ces derniers temps.
Et puis surtout si ça ressemble a sa dernière surprise le surf, ça va me changer les paroles.

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Mon léger baiser n'était apparemment pas suffisant pour lui, puisqu'il s'élève sur ses pieds pour venir rejoindre mes lèvres à nouveau. C'est plus appuyé, plus présent. Plus habituel aussi. Ha men! Fermant les yeux pour mieux profiter, je glisse une main au creux de ses reins, l'autre, plus haute entre ses omoplates, tandis que les siennes s'invitent dans les poches arrières de mon jeans en me tirant frisson le long de l'échine. De plaisir. De bien-être. Peu à peu, mes muscles se détendent alors que je n'avais pas réellement conscience, une fois de plus, que j'étais aux aguets. Ça ne devrait pas quand on est que tous les deux.

Lorsqu'il se détache finalement, il me salue dans un léger soupir et j'en souris vaguement. Mes doigts glissant sous ses côtes pour lui laisser plus de liberté de mouvement, j'hoche doucement la tête quand il me dit qu'il vient de se réveiller. Je préfère savoir qu'il vient de faire une sieste plutôt que d'apprendre qu'il est malade. Et puis, il est en vacances, il peut bien dormir lorsqu'il veut.

Il acquiesce à mes recommendations, mais ne fait aucuns mouvements. Je n'ai pas envie d'en faire plus. Son sourire revient. Son regard se fait plus joueur alors qu'il vient me mordiller la lèvre comme il le fait souvent. En réponse automatique, un grondement m'échappe et j'hausse un sourcil à sa proposition. Proposition à laquelle il n'attend pas que je dise oui pour bouger. Joueur à mon tour, je contredis son observation.

- Là, de suite : à la douche. Tous les deux, précisais-je en crochetant la taille de son bas.

L'entraînant tranquillement jusqu'à la salle de bain, je lui laisse cependant le choix de se défiler s'il n'en a pas envie, le libérant, mais seulement une fois que j'ai mis un pied dans la pièce.

- Pour ce soir, non, je dis pas, confirmais-je avec un sourire en coin.

L'embrassant de manière un peu plus appuyé, le pouce sous son menton comme j'ai souvent fait, je finis tout de même par me détourner pour me préparer. Retirant mon t-shirt, je me débarrasse ensuite de mes bas avant de m'étirer pour lancer le jet d'eau en tournant les poignées de laiton, histoire que l'eau soit à bonne température.

***

Douché, séché et vêtu d'un jeans, d'un t-shirt noir et d'une veste, je termine d'attacher au haut du sac la couverture tissé que j'ai acheté cet aprem. Passant une bretelle, je tends la main à Jona et lorsqu'il l'a prend, l'approche jusqu'à moi pour joindre mes lèvres aux siennes encore une fois. L'entaînant à l'extérieur, je retiens un soupir contre mes chaussures, vaguement baveuses au niveau des chevilles. Sympa Le chien. Chien qui s'amuse à nous tourner autour joyeusement alors qu'on traverse l'entrée. Obligé de rompre le contact avec Jona, j'agrippe le guidon du tout terrain pour le faire rouler jusqu'à la route, tandis que je le laisse fermé la grille et s'assurer que le quadrupède reste bien sagement sur le terrain pendant qu'on s'absente. Pas envie qu'il se mette dans l'idée de se lancer à la poursuite de la bécane quand on partira.

À l'aise, je l'enfourche d'ailleurs avant de faire démarrer le moteur et de le laisser chauffer un peu. Tournant la tête vers Jona, je lui tends le sac à dos.

- Y'a pas de dossier, donc tu dois malheureusement le porter et t'accrocher à moi, commentais-je avec un sourire en coin.

Bien campé sur mes pieds, je lui montre les appuies-pieds qu'il pourra utiliser et l'invite à s'installer derrière moi, lui tendant le bras.

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Une heure plus tôt, je me serais regardé de travers, si je m'étais vu ainsi accroché à sa nuque, entrain de l'embrasser comme... avant. Une heure plus tôt, je me serais peut être tenu plus droit contre lui. Une heure plus tôt, peut être que j'aurais voulu qu'il me dise ce qu'il me préparait, et que j'aurais protesté quand il m'aurait répondu par la négative. Mais ça, c'est une heure plus tôt.
Le Jonathan de ces derniers jour n'a pas eu beaucoup d'action avec son homme. Même s'il refusait de dormir loin de ses bras, ayant gardé les petites habitudes, les baiser dans la nuque le matin, et les petits contactes avec son petit ami. Sauf que Le Jonathan de maintenant... Il invitait ces contactes, quémandait d'approfondir le contacte de leurs lèvres, demandait plus, et appréciait tout particulièrement les réponses qu'il provoquait chez le brun.
Le Jonathan de maintenant, Moi, aime beaucoup ce qu'il sent sous le jean de son homme. Mon Homme.
-Oui chef.

Les muscles détendu, le corps rincé, mes cheveux légèrement humide, Je regarde le chien passer à coté de nous avec célérité, j'ai un sourire qui ne cesse de flotter sur mes lèvres. Celui la même qui réponds à Benji quand il me donne le sac.
"Malheureusement?" Je demande, étonné, prenant place avec un soupire de bonheur. "Tu ne vas toujours rien me dire n'est ce pas? "
Ne me dis rien, je m'en fou, je suis avec toi c'est ce qui compte.

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Un sourire étire le coin de mes lèvres alors qu'il répète le "malheureusement" sarcastique que j'ai laissé entendre.

- Sait-on jamais… fis-je en haussant les épaules, plus joueur que réellement sérieux.

S'il me dit que ça ne lui tente pas, je suis pas certain de le croire. Pas après l'avoir retrouvé comme avant lorsque je suis arrivé. Pas après nos baisers échangés et bien plus. À sa question, je réponds par la négative, en secouant la tête.

- T'inquiètes, tu devrais aimer, lui assurais-je.

La grille fermés, le chien sur le terrain, mon boyfriend installé derrière moi avec le sac à dos… je crois que c'est bon. Passant mes mains sur les siennes, je m'assure qu'il se tient bien et que ses mains soient un peu plus hautes que mes hanches. J'ai appris à m'habituer à son toucher dans cette région, mais c'est que lui. Et en atmosphère tranquille. Oui, bon, parfois c'est mouvementé, mais ça, c'est autre chose. Là, je préfère simplement pas prendre de chance. Surtout avec le guidon qui tourne rapidement. Le décor, il est beau quand on va pas le visiter de trop près si possible.

- Tapes légèrement si ça va pas, indiquais-je à Jona avant de tourner la poignée pour faire avancer la machine.

***

Un peu moins d'une demi-heure sur une route plutôt plane suivant le cours de la rivière. Je ne l'ai quitté que pour engager la bécane sur un chemin de terre grimpant dans la montagne. Le soleil commence à tomber et sur l'eau, même si ça cause énormément de reflet qui sont pas terrible pour la conduite, ça reste très beau. Malheureusement, ça veut aussi dire que la fraîcheur de la nuit commence à se faire sentir. Et j'espère que ça ne dérange pas trop Jona. Lorsqu'on sera arrivé, je pourrai le réchauffer, mais là, suivant le tracé entre les arbres, je peux pas trop. Débouchant finalement sur une clairière, je ralenti avant d'arrêter complètement l'engin et de couper le moteur.

- Tu dois débarquer avant moi, ma fouine, fis-je en m'assurant d'être stable, une fois de plus.

L'aidant au besoin, j'attends de voir sa réaction lorsqu'il réalisera la vue. La clairière est un espace naturel, une terrasse de verdure dans la montagne qui permet de s'installer facile et de profiter de la vue de la rivière en contre-bas. Posant la motocross sur son appui, je passe un bras sur les épaules de Jona puis l'attirer à moi.

- Picnic, indiquais-je. C'est ce que j'avais prévu. Pas super original, puisque tu nous en a fait à quelques reprises, mais j'espère que ça te fait quand même envie, ajoutais-je doucement avant de l'embrasser. Viens que je nous installe, dis-je en passant les doigts sous la bretelle du sac.

Bon d'accord, y'a pas que le picnic, mais chaque chose en son temps.

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Je souris . Un sourire qui persiste sur mes lèvres tandis que mon homme nous guide jusqu’à une bécane tout terrain, qu’il me demande de chevaucher . Il précise que je serais derrière lui, et devrait me tenir à ses cotes,  le temps qu’on arrive …. Eh bien. Il ne me manque plus qu’une veste en cuir et je serais dans un des fantasme que j’entretiens depuis ma jeunesse.
Dans ma jeunesse j’aurais été celui qui conduit, et celui (ou celle) qui m’enlace serait resté flou. Cependant, la réalité est largement plus intéressante : Il est la, c’est son odeur que je sens. C’est son corps que je connais plus que je mien, qui est prisonnier de mes jambes. Pour une fois que c’est moi qui suis à son dos, ça me fait franchement rire. Son vite emporté par le vent qui vrille à mes oreilles et soulève des mèches de mes cheveux.
Ce que j’aime ces moment la! Quand rien d’autre ne compte à part nous deux. Qu’il me fait découvrir de nouvelles expériences, le surf sur les vagues de la Jamaïque, la beauté de Key west à Miami, manger du homard ou du poisson au petit déjeuner, ou encore simplement avoir des bains de minuit seuls, dormir dans se bras. Ces pensées entretiennent le sourire sur mes lèvres, pendant tout notre escapade et jusqu’au moment ou je sens notre vitesse diminuer. D'après mon interprétation des choses, on arrive à destination… J’ouvre alors mes yeux. Quand est ce que je les ai fermé? un peu aprés notre départ, en posant ma tête sur son dos, pour profiter du parcour en écoutant son coeur. J’ai bien entendu ouvert les deux mains en criant, un moment, quand notre vitesse a atteint les 100Km/h, et que j’ai sentit l’excitation à son paroxysme, mais j’ai vite repris ma position initiale pour ne pas faire peur à mon homme.
La, tandis que le ciel commence légèrement à s’obscurcir, je n’attends que le moment ou on va arriver. Quelques minutes après que cette pensé aie parcouru mon esprit, et comme s’il en avait eu vent, il s’arrête, et me demande de descendre “Hum… je commençais à beaucoup apprécier cette position Babe” me plaignais je avec un clin d’oeil, m'exécutant pourtant, manquant trébucher sur ce qui semble être un bout de coprolithe... Ah les joies de la nature.  
Mon regard passe sur tout ce qui nous entoure, une expression ravie sur le visage, m’extasiant de la vue, et attendant qu’il me rejoigne, et m’attire à lui, pour que je lui rende son baiser, et enlace ses épaules “Tout avec toi à un goût d’originalité. Et puis on a déjà eu un lever de soleil en Jamaïque, il nous fallait un coucher de soleil au Laos.” Je l’embrasse encore. Plus profondément cette fois, j’allais peut être même rater la vue, mais je m’en foutait un peu.
Ca fait des jours que je ne me suis pas senti aussi heureux. J’en profite autant que de ses lèvres, avant de me tourner vers le spectacle de rouge et d’or qui s’offre à mes yeux, m’adosse contre son torse, profitant de la soudaine légèreté que je ressent quand il enlève le sac de sur mes épaules
“Je t’aime Babe”

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Je commence déjà à le retrouver. Depuis tantôt lorsque je suis rentré à la maison qu'on loue. Mettant pied à terre après qu'on se soit arrêté, il plaisante, affirmant que cette position commençait à lui plaire. Détournant la tête, je m'occupe de positionner la motocross sur ses béquilles comme si ça me demandait toute ma concentration. Son clin d'oeil m'a bien fait comprendre qu'il plaisantait mais… Je suis désolé Babe, j'ai beau m'être amélioré au niveau du toucher, je crois pas que se passerait bien ainsi. Même pour dormir. Un seul mouvement de ta part et j'aurais peur que mon cerveau débloque et que je te blesse. Je sais déjà que je serais incapable de discerner rapidement que c'est toi et non pas un mauvais souvenir. Où du moins ça me prendrais du temps. Un temps précieux pendant lequel mon corps agirait en état de protection sans que je ne prenne 100% conscience de mes mouvements et que je pourrais t'envoyer visiter les urgences. J'ai pas besoin de te dire que j'ai pas envie que ça se produise.

Secouant légèrement la tête, je décide de chasser tout ça au fond de ma tête. On est censé passé une bonne soirée, alors chut. Une fois la bécane stabilisée, j'en descends m'approchant de lui, je passe un bras à ses épaules pour l'attirer et profiter encore un peu de ses lèvres, dévoilant - en partie - le plan de la soirée. Un sourire étire mes lèvres à ses paroles, il exagère, mais mon idée semble acceptée. Et je suis heureux qu'il parle du lever de soleil en Jamaïque. Ça veut dire qu'il a apprécié, même s'il était très tôt. J'ai aimé lui faire goûter une partie de mon monde. Ce soir, c'est légèrement différent. Disant que je vais nous installer, je passe mes doigts sous les bretelles du sac à dos qu'il délaisse sans problèmes, venant s'appuyer à moi dès qu'il en est débarrassé. Mon bras passe à sa taille et je pose mon menton sur sa tête comme je le fais souvent. Le regard perdu sur la vue, je reste ainsi sans bouger un moment. Ses mots que j'apprécie, même s'il n'a pas besoin de les prononcer pour que j'y crois. Doucement, je sors de mon immobilité pour l'embrasser sur la tempe, resserrant ma prise pour une caresse en une pression.

- Je t'aime aussi ma fouine, soufflais-je.

Délicatement, je le relâche pour finalement nous installer. La couverture d'abord au sol, je le regarde, l'invitant d'un signe de tête à s'asseoir. Je sors les quelques plats qui ont tenu le coup apparemment sans trop partir en vrac malgré la balade. Bonus, ils sont encore assez chaud. Ben ceux qui le doivent. J'ai essayé de profiter de la culture, mais on s'en éloigne quand même un peu. Au final, y'a quatre plats qu'on pourra se partager. Rien de difficile à manger parce qu'il n'aime pas. Et pour une fois, aucun plat à base de poissons ou fruits de mers.

Un sifflement aigu se fait entendre au loin, de l'autre côté de la rivière avant que le ciel ne soit illuminé d'une centaine de fragments coloré. Le feu d'artifice commence. On est juste en temps. Le sourire aux lèvres, je guette ses réactions du coin de l'oeil. Sortant finalement la bouteille du boitier anti-choc, j'espère qu'elle a tenu le coup. L'examinant, j'en déduis que oui. Ça c'est pour lui et il le saura rapidement. Je n'avais encore jamais acheter de champagne, mais il le fait toujours lorsqu'on a quelque chose à célébrer. J'ai pas voulu faire différent. J'en fais sauter le bouchon pour réaliser que je n'ai pas penser aux verres. Sympa. Bon bah à la bouteille alors. Ça sera pas la première fois. Mettant le sac de côté, je m'installe finalement près de lui, lui tendant le champagne.

- Joyeux anniversaire, fis-je en souriant. Ça fait un an qu'on se connait, précisais-je. Enfin presque.

Dans quelques jours. Mais je voulais profiter du feux d'artifices.

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La chaleur de son corp m’entoure, me couvre, et m'enivre de pur bonheur. Je sens les muscles de ses bras se détendre, me lâcher et s’occuper à préparer notre picnic, pendant que je m’habitue à tant de beauté de ce qui nous entoure.
Son romantisme me surprendra toujours.Si je n’ai jamais été un mec sentimentale ou poétique … je ne suis cependant avec Benji, j’aime lui prouver que je l’aime. Les petits gestes qui montrent que je le connais, et que je sais ce qu’il aime. Les moments qu’on partage et qui font battre mon coeur…
Bon ben, je crois finalement que je suis romantique… Mais j’aime pas les fleures.
Voilà c’est ça.
De la tête il m'invite pour que je le rejoigne sur le drap qu’il a étendus sous nous. Elle fait remonter au fond de mon esprit une vague réminiscence de … Miami… La nuit à la belle étoile, sur le plateau de son camion. Cette nuit la, ou fatigué que j’étais en cette période, je ne me suis même pas rendu compte que j’avais dormis sur son bras. L'empêchant de bouger pendant toute la soirée.
Je m’assoie à ses côté, suivant ses gestes qui me révélent la suite du picnic : des mets chaud ou froid que je ne reconnais pas a première vue, dont je pique quelques bout. “ché délichieu” … Un peu de retenue Jonathan, ne parle pas la bouche pleine. Que dirait ta mère si elle te voyait ainsi?
Que je suis en couple avec un mec, pour commencer. Elle peut feindre de s’évanouir aussi, ça lui évitera de dire quoi que ce soit…
Cependant, ce n’est pas le moment de penser à mère, ni au fait que je devrais bientôt aller la voir, et la confrontrer sur ce qui arrive dans ma vie. Ce n’est pas non plus le moment de penser à ce qui arrive dans ma vie. Parce que quelque part, quelque chose arrive.
Un son aiguë qui attire brusquement mon regard, et me fait tourner la tête vers l’origine.
Oh!
Alors … c’est ça ma surprise. Mieux que des fleures ou du chocolat, mon homme, lui, il sait ce qui risque de me faire sourire, et me tenir en haleine.
Mes yeux ne quittent pas le ciel sur lequel se dessine une myriade d'étincelles. Ces étincelles qui font pétiller mes pupilles … et qui ne sont pas les seuls à l’origine de cette excitation qui s’y dessine. Je suis certe épris par le spectacle, mais je bouge. Assez pour me trouver entre les bras, et les jambes du brun. Le sentir m’entourer de sa présence, tandis que les battements de mon coeur augmentent comme si j’étais un gamin le soir de noel.
Est ce que je peux l’aimer encore plus ?
Chaque jour.

Il chuchotte à mon oreille un joyeux anniversaire, et je devine d’aprés le ton de sa voix qu’il sourit. Pas autant que moi quand je me retourne pour lui faire face, oubliant le feu d’artifice, préférant en voir le reflet sur le bleu de ses yeux. Je l’embrasse.

Quelques secondes magiques, silencieuses, paisible, suivent la derniére explosion
“Je t’aime” répétais je “Ca fait un an que je t’ai pris pour le valet de l’hotel, un an que tu supporte mes excentricités, un an que je te connais, et que je t’ai vu pour la première fois … je n’arrive même pas à y croire. J’ai le sentiment que c’est plus, et moins en même temps” Je l’embrasse “Je t’aime Benji Skelton”

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