Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMes nuits sont plus belles que vos jours. (Abel)
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Mes nuits sont plus belles que vos jours. (Abel)

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J'essaye de profiter au maximum du Laos pour le peu de temps que je vais y être. Ma journée a été éreintante, visites, plage, spa. J'ai terminé ce soir par un massage pour compléter ma journée idéale. J'ai fini par sortir un peu, une soirée de danse jusqu'au bout de la nuit. Cocktails sans alcool oblige, j'apprends encore à apprécier les soirées sans boisson alcoolisée mais la danse m'a emmenée avec elle jusqu'au milieu de la nuit. J'ai fini par rentrer à l'hôtel. Je pousse la porte de ma chambre, laisse tomber mes escarpins au sol du bout des pieds dans le couloir qui mène au salon. Cette suite est assez grande, même si le dressing manque un peu de place pour les immenses valises que j'ai amenées avec moi. J'entends encore la musique siffler dans mes oreilles. J'étire mes pieds qui ont du supporter la courbure de mes chaussures toute la journée alors que je file prendre une douche rapidement. Les cheveux encore humides, je les attache en un chignon haut. J'enfile un shorty et une brassière assortie en dentelle blanche avant de plonger sous les draps. Le lit à baldaquin me donne cette impression d'être une princesse. Je regarde le plafond, puis le paysage par la fenêtre que j'ai laissé ouverte. Je ne peux m'empêcher de frotter mon ventre tendrement. Où est Gautier ? J'ai l'impression qu'il a disparu en un claquement de doigts, et malgré moi, il me manque un peu. Je m'endors sur cette idée, me rappelant de nos bons moments ensemble.

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• Lundi, je suis défoncé. Mardi, trop alcoolisé. Mercredi, encore en soirée. Jeudi, Bien trop éméché. Vendredi, complètement éclaté. Et le week end, c'est la descente aux enfers. Je bois, je fume, je profite de ce Summer Camp comme si c'était les dernières soirées de ma vie, comme si après tout ça je ne toucherais plus aucune goute d'alcool. Il faudrait peut-être que je songe à me calmer, à souffler, à prendre du temps pour moi et ne rien faire, je sais pas moi, mais juste me calmer. Ce soir, j'ai encore abusé, j'ai bu à n'en plus finir, fumer à m'en cramer la gorge et les neurones, mais maintenant, je dois rentrer dans ma chambre, je dois aller me coucher, souffler un peu, reprendre des forces, et être d'attaque demain pour motiver mon équipe à aller chercher la victoire. Déambulant dans les rues du Laos, je soupirais tout seul, une cigarette entre les lèvres à la recherche de mon chemin. C'était long putain, elle était ou ma chambre déjà ? Je galère, je galère à trouver, et si ça continue comme ça je vais finir par dormir dehors. C'est bon, ça commence à me casser les couilles de devoir chercher où est mon lit. Sauf que là, illumination, depuis quand je suis censé aller dormir dans mon lit ? C'est vrai ça, qui m'oblige à y aller ? Personne. Voyant cette fenêtre grande ouverte, j'avais enfin trouvé ou dormir, peu importe si il y avait quelqu'un ou non, j'étais bien trop défoncé pour réaliser la connerie que j'allais faire. Escaladant avec un peu de mal la fenêtre, manquant de me casser la gueule, je retira mes vêtements une fois dans la chambre, me retrouvant en boxer, pour ensuite aller m'allonger sous les draps, ne prêtant aucunement attention à la personne qui se trouvait déjà sur ce lit. Fermant les yeux, j'étais apaisé là, me laissant emporter par le sommeil. •

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M'endormir en pensant à Gautier, est-ce une bonne idée ? Rapidement, je m'enfonce dans le sommeil, le rêve m'emportant dans ses bras malgré moi. Cela me permet de ne pas réfléchir pour une fois, de ne pas faire fonctionner mes neurones, ne pas me questionner sur son départ précipité. Parce que je ne sais pas si c'est de ma faute, si c'est à cause de ma décision de garder les jumeaux, si j'ai fait quelque chose de mal. Alors là, je profite de ses bras dans mon rêve, de ses lèvres qui se posent sur ma peau, de mes doigts qui plongent dans ses cheveux. Je me retourne dans le lit et inconsciemment, j'enroule mon bras contre le corps à côté de moi, et le serre un peu. J'ai terriblement chaud, mais il m'apaise rapidement. Je me rapproche un peu plus de lui, et colle mon nez contre son épaule. Je ne connais pas cette odeur masculine, mais je pense que mon rêve me joue des tours. J'embrasse cette épaule, enroule mes jambes contre les siennes, colle mon corps contre celui qui se trouve dans le lit. De nouvelles odeurs montent à mes narines, l'alcool, la fumée encrée dans l'haleine. Je me réveille doucement, sans pour autant bouger. Je chuchote, comme si j'avais peur de le faire disparaître par le son de ma voix. « Tu m'as terriblement manqué... » Je me rapproche un peu plus de lui et me blottis dans ses bras. Comment mon rêve à pu devenir réalité ? J'ouvre les yeux alors que l'un des jumeaux tape un peu plus fermement dans mon ventre. Les yeux écarquillés, je mets à peine une seconde à comprendre ce qu'il se passe. Des bras et des jambes, je le pousse du lit en vitesse. A genoux sur le matelas, je ne prends même pas le temps de me couvrir du drap et lui crie dessus. « Abel ! Qu'est ce que tu fais ici ! » Je le regarde au sol et finis par rire de la situation.

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• Beaucoup trop défoncé pour être conscient de ce que je fais à cent pour cent, je laisse mes envies me guider. Je ne suis plus maître de mon corps, mes jambes me guide sans vraiment savoir où elles se dirigent. J'aime cet état, l'inconscience, je n'ai plus peur de rien, tout est beaucoup plus simple, tout est beaucoup plus beau, plus drôle. Je pourrais m'accroupir face à une mouette, la regarder faire sa vie et marcher de travers, j'pourrais faire ça pendant des heures, j'en rigolerais à m'en décoller les cordes vocales, parceque défoncé, tout est beaucoup plus facile. Je peux être qui je veux, comme dans un rêve éveillé, je ne contrôle rien et j'aime ça, j'aime cette sensation de liberté. C'est la seule issue que j'ai trouvé à cette putain de vie, la seule méthode pour me libérer de mes démons, dans un état second, ils dorment, ils ne me hantent pas, non, ils n'ont plus le temps pour tout ça, je les maitrises, enfin, le mélange drogue et alcool les calmes. Étrange vie que je mène. Je m'étais retrouvé dans cette chambre, passant par la fenêtre sans vraiment savoir pourquoi, sans vraiment savoir où j'étais. Un lit, je ne fais même pas attention à la personne qui s'y trouve que je m'y installe, retirant mes vêtements pour me retrouver en boxer, je m'étais allongé comme si j'étais chez moi, et en une fraction de seconde je me suis endormi. Bien trop fatigué pour comprendre que ce lit n'était pas mien et qu'il y avait une jeune femme à mes côtés. C'est seulement quand je sens un corps se blottir contre le mien que je réagis, enfin, réagir c'est un bien grand mot, je me suis contenter d'un simple sourire, à moitié endormi, je ne réagis pas. Enfin, si, j'ai réagis au moment où je me suis fait éjecter du lit et que je me retrouve au sol, la gueule écraser sur le parquet chaud. J'ai du mal à comprendre, je me redresse restant quand même allongé sur le sol, et je penche la tête sur le côté lorsque je vois Pénélope. Hein ? Elle fait quoi ici, dans ma chambre, sur mon lit ? Je ne me souviens pas de ce passage de ma soirée. "Tu m'as niqué le dos putain limite y'a une flaque de sang par terre!" Restant quand même au sol, j'essaie de comprendre ce qu'il se passe, en abusant un peu, et ça même si je la vois rire, elle se fout de ma gueule en fait ? "Qu'est-ce que toi tu fais ici plutôt non ?" Je fais même pas attention au fait que je ne suis pas dans ma chambre, oubliant complètement d'être passé par sa fenêtre. •

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J'aurais du continuer de dormir, continuer de rêver de Gautier et de ses bras. Je voulais ne pas me réveiller maintenant que je l'avais retrouvé. Comment ai-je pu croire que Abel puisse être Gautier ? Ce dernier me tuerait s'il savait que je me suis collée à un autre en pensant que c'était lui. Je regarde Abel en contre bas, sur le sol de ma chambre d'hôtel. Il s'est rapidement réveillé, et vraiment, le voir à mes pieds comme ça me fait rire. C'est obligatoire. Voire cet air encore endormi sur son visage, décontenancé par ce qu'il vient de se passer. Abel ne peut pas s'empêcher d'en ajouter une couche, d'exagérer ses paroles par rapport à la situation. « J'ai eu peur ! J'me réveille et je vois ta tête toute proche de mon visage... ça a de quoi faire flipper non ?! » Il a l'air complètement défoncé, rempli d'alcool, et en plus, il se permet de me demander ce que moi je fais là... « C'est une blague Abel j'espère ?! Regarde autour de toi un peu et ose me dire que tu reconnais ta chambre ! » Il est incroyable. Mon rire a disparu après m'être un peu moquée de lui. J'ai envie de lui balancer toutes mes affaires dans la figure pour qu'il comprenne qu'il est dans ma chambre d'hôtel. D'ailleurs, il n'aurait sûrement pas les moyens de se payer une telle chambre, mais je ne vais pas jouer la méchante en lui disant. Je vais même être particulièrement gentille ce soir, peut-être juste parce que j'ai rapidement l'intention de me recoucher seule dans mon lit. « Écoute, si t'es paumé, j'te prête le canapé... T'es à quel hôtel normalement ?» Je pose un pied à côté de lui et finis par me lever sans me soucier de ma tenue. Je marche vers la salle de bain et reviens dans la chambre attenante pour lui lancer une brosse à dent. « Je t'autorise à rester là à une seule condition... brosse toi les dents parce que là, ce n'est franchement pas possible de supporter ton haleine ! Tu me donnes la nausée... » Et ce n'est pas ma condition qui me donne ces hauts le cœur. Je monte de nouveau sur le lit et étire mon corps pour attraper mon portable. Rien, comme d'habitude. Je le repose sur la table de nuit et m'assois sur le bord du lit, jambes croisées, et l'observe. "T'es vraiment pas croyable toi hein..."

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• Alors là, j'ai vraiment rien compris. Encore bien trop alcoolisé pour réagir à la seconde prêt, j'ai l'impression que le monde est au ralentit et que tout ça n'est qu'une mauvaise blague ou un mauvais rêve. On peu pas dormir tranquille ? Faut vraiment que je me fasse éjecter de mon propre lit à coup de pied palmé tout droit sortie du future ? Putain. Allongé sur le sol, je ne prends même pas le temps de me redresser, je laisse mon corps inerte, complètement mort contre le parquet froid, et je lève juste mon visage. Elle me cherche, Pénélope, elle me fait savoir qu'elle a eu peur, mais peur de quoi ? A croire que voir ma gueule c'est un cauchemars. Bon, si j'ai la bouche grande ouverte et un œil qui se met à vibrer en solitaire, là ouais je comprends, mais je ne pense pas que ça soit le cas. "Mais j'comprends même pas ce que t'es en train de me dire là..." J'pensais pouvoir retourner me coucher, et lui demander de pas faire de bruit demain quand elle partirait, sauf qu'elle commence à me gueuler dessus que c'est sa chambre. "Pourquoi tu..." Je m'apprêtais à lui demander pourquoi elle racontait de la merde à me faire passer pour le mec qui était rentré chez elle sans y avoir été invité, et en regardant un peu partout, j'me réalisa qu'elle avait pas vraiment tort. "Oh merde." Que je lâche, me redressant légèrement. Comment j'ai fait pour atterrir ici ? Pourquoi chez Pénélope ? Pourquoi dans son lit ? Oh là, je ne comprends pas, mais c'est vachement étrange. Il va falloir que je me casse d'ici en fait, fait chier, j'étais bien. Sauf que non, je reporte mon attention sur la jeune femme, remarquant que maintenant son ventre qui avait légèrement gonflé, mes yeux ils ont fait un sursaut en arrière en plus quand j'ai vu ça, l'écoutant me parler de brosse à dent d’hôtel et j'sais pas quoi. J'me frotte le visage, attrapant la brosse à dent qu'elle était partie me chercher, me relevant avec un peu de mal. "Et pour moi c'était pas possible de supporter ton ventre de baleine contre moi dans la nuit, pour ça que j'suis tombé par terre !" Déformation de la vérité juste pour la piquer, même avec son ventre, elle restait belle et attirante. Who, c'est l'alcool qui parle là, calme toi Abel. Mais j'obéis. Je finis par me retrouver dans la salle de bain, face à un miroir ou je me rendis compte que j'étais dans un putain de mauvais état, et je me brosse les dents pour faire plaisir à madame, j'ai failli même m'endormir sur la brosse à dent. Après plusieurs minutes je finis par retourner dans la chambre, continuant de trainer des pieds, et je viens m’asseoir sur le lit à côté de la jeune femme. "J'm'excuse pour le dérangement, si on pouvait éviter d'en faire tout un pataquès...." Ouais, donc si maintenant elle pouvait me dire dors avec moi plutôt que d'aller dormir comme un mal propre sur le canapé, ça m'arrangerait. •

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