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Alex & Cooper ► This City Never Sleep Tonight {+18}

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This City Never Sleep Tonight



ALEXIANNE && COOPER
C'était une belle journée de fin d'été. Il faisait soleil et ses cours finissaient tôt. Nous étions LE jour qu'elle avait tant attendu. Elle n'avait pas cours le lendemain. Elle avait sa soirée et sa nuit de libre, c'était parfait. Ce matin là, elle avait passé un moment fou à choisir ses vêtements, elle avait essayé des tas de parfum, avait fait soupirer énormément Constance, sa coloc, mais elle avait fini par jeter son dévolu sur un simple skinny mauve et un de ses t-shirt à manches long favori. Le tic tac de l'horloge avait même eu le don de l'énerver durant toute l'heure. Plus que 10 minutes... 5... 2... 1...

Ses pas pressées martelaient le sol à une vitesse fulgurante, elle courait presque évitant de peu les quelques autres étudiants qui sortaient de leurs cours. Elle envoya quelque salut aux gens qu'elle connaissait, mais elle n'avait pas le temps de s'attarder. Son coeur et son esprit était ailleurs. Dévalant à grandes enjambées les escaliers, elle poussa les grandes portes du bâtiment et fut aveuglé par le soleil brillant. Il fallait qu'elle se grouille, le bus en direction de Central Square allais bientôt passer, elle ne pouvait le manquer.

Un mois qu'elle n'avait pas pu le voir. Un mois sans lui. Elle avait peux être décidé de mettre une croix sur ses sentiments pour lui, mais son coeur cognait d'envie, peu importe le nombre de one night qu'elle avait eu, rien ne lui ferais oublier la sensation de ses lèvres contre les siennes, la texture usée de ses doigts de guitariste sur sa peau ou encore ses câlins. Elle sourit. Aucun mot, du moins en anglais, n'aurais exprimé tous les moments qu'ils avaient passés ensembles. Que ce soit de retour en Suède ou même ici en Amérique. Retirant son iphone de son sac, elle pianota un moment, lui envoyant un texto rapide;

Je serais à la maison dans 10 minutes. A. x

Elle sourit bêtement à la photo qui les représentaient, enlacer et leva les yeux, encore deux arrêts et elle serait devant chez lui. Encore deux arrêts et elle serait dans ses bras.

Sautillant et évitant de justesse de se faire écrabouillé par les portes de l'autobus, elle sortie et pris une longue bouffée d'air frais. Comme elle détestait l'odeur de sueur! Secouant la tête, elle se remercia d'avoir attaché ses cheveux un peu plus tôt, comme ça, elle pourrait aller plus vite et en un éclair, tel que prévu, elle était devant la porte de chez lui.

Nerveuse, elle était nerveuse. Mais ce n'est pas ce qui l'arrêta, elle toqua doucement et attendit patiemment, excité de le revoir.
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Alexianne & Cooper



Depuis quelques semaines beaucoup de choses se sont passées… Nouveau travail, nouvel appart'. Puis un jour, une lettre, une personne….un souvenir. Un seul être aurait pu provoquer cet état de stress, d’angoisse et réveiller cette passion. ELLE. Je pensais avoir réussi à l'oublier. Je pensais mon cœur guéri. Une demande, SA demande... Et mon cœur s'emballe. J’accepte sans trop me poser de questions. Trop vite peut être ? Mais les jours passes vite, très vite et je croyais surmonter cela avec facilité. Je tombe donc de haut le jour « J ». Je me lève un nœud à l’estomac, le remord me ronge, j’aurais dû refuser. Je secoue la tête pour me résonner alors que je me redresse sur mon lit et m’assois. J’enfile mes pantoufles qui trainent dessous le sommier et enfonce ma tête dans mes mains puis me frotte le dessus du crâne. Est-ce vraiment une erreur ? Je suis pourtant heureux de la revoir, d’enfin pouvoir la toucher, sourire en me perdant dans ses yeux. Mais j’angoisse.

« La journée s’annonce…longue Tu ne peux plus reculer Coop’, assume. Après tout peut être te fais-tu des idées. On est amis…un café, oui c’est ça va boire un café et roule toi un joint »
Douche rapide pour un réveil musculaire dans les règles de l’art. Mes pensées sont focalisées sur Alex. Très vite un assemblage d’images m’envahissent, « douche » - « Alexianne » - « Moi »….alors je me file une baffe et fini de me rincer. J’enfile juste un boxer, j’ai chaud. Pourtant dehors la température est loin d’être estivale. Je sors un instant prendre l’air sur mon semblant de balcon de 6M2. J’observe de longues minutes les piétons en contre bas. Des cols blancs, des étudiants et c’est sur une harmonie presque parfaite que la journée prend son envol avec le réveil de la faune et la flore jouant pour le coup le rôle de métronome. Oui j’ai cette fâcheuse habitude de tout ramener à la musique. Pour moi la vie, le monde…nous les êtres humains sommes un immense groupe de musique dans lequel chacun à son rôle. Le jour où l’un de nous sera défaillant, la fin du monde sera proche. C’est comme cela que je vois l’évolution de notre planète, les Hommes sont en train de lâcher le groupe…poussant notre planète à sa perte. Certains me prendront pour un fou, quelqu’un de complètement décalé. Mais je l’assume et je ne changerai pas. C’est aussi en cela qu’ Alexianne est différente. Elle ne m’a jamais jugé. Je soupire et tire ma dernière latte avant de rentrer. Je constate l’étendue des dégâts de la soirée de la veille. Je grimace. Pourtant je dois me mettre au travail.

« Allez Coop’, au boulot si tu veux faire honneur à ton invitée »

Et c’est ainsi qu’une grande partie de la journée se déroula. Je passais de longues heures chiffon, balai et aspirateur en main. Vaisselle par ci, poussière par là et rangement des affaires. Cinq sacs poubelles trônent donc sur le balcon et je toussote. Je regarde l’heure. Je grince des dents.

« Merde…plus que deux heures !!! »

J’enfile un jean et un t-shirt puis enchaine les allers et retours entre mon 3è étage et le local à poubelle en bas de l’immeuble. Enfin je reviens et l’excitation me gagne un peu plus à l’idée de la revoir enfin. Derniers détails à régler, je lance le repas. Du moins son repas car le mien sera tout autre comme à chaque fois que je dîne avec quelqu’un. La fin d’après-midi est déjà là. Mon portable vibre dans ma poche. Un message, elle ne va pas tarder. Mon cœur ne fait qu’un tour et mes entrailles s’embrasent.

« Moi qui voulais répéter un peu c’est raté »

Je tente de me détendre alors je lance un CD de Joseph Arthur, piste 8 « I picture You in the sun ». Tout est en ordre, j'avale une mixture à base d'herbe puis file me brosser les dents et finir ma toilette. Je me change et troque mes vêtements actuels contre un pantalon en lin beige et une chemise du même tissu rose très pâle. Je me coiffe en ajoutant une pointe de gel car je n'aime pas ça puis la touche finale, je sors de l'armoire de la salle de bain mon parfum Rochas Man dont le parfum sucré siée parfaitement à ma peau. A peine ai-je le temps de retourner dans le salon que j'entends la porte vibrer légèrement sous les coups timides d'Alex. C'est bien elle, cette façon si spéciale de toquer à la porte. J'ai juste le temps d'aller en cuisine chercher deux verres et un vin rosé pétillant venant de France. Je dispose le tout sur la table basse. Légère appréhension, inconsciemment je repousse l'échéance. Quelle attitude adopter ? Puis je me résous à lui ouvrir. Je pose ma main sur la poignée, quelques centimètres nous séparent, je pourrais presque la sentir. La poignée se baisse et enclenche le mécanisme...le point de non retour est atteint. J'ouvre enfin et lui souris, presque timidement. Elle est comme je l'avais laissé. Je prends sur moi pour ne pas me laisser submerger et adopte une certaine retenue.

"Alex, enfin te voilà. Je suis vraiment ravi de te revoir. Tu m'a manqué ma belle, allez entre et file moi tes affaires"

Je l'enlace et l'embrasse sur chaque joue, de deux baisers appuyés. Presque naturellement je me laisse envahir par les effluves de son parfum. Je l'attrape par le bras et l'entraine dans le salon. Je pose ses affaire devant l'entrée dans un renfoncement.

"Assis toi, vas y fais comme chez toi. Alors comment se passe ton séjour ? Pas otrop dur pour t'acclimater ? Tu verras y'a un tas de choses à faire ici. Maintenant que tu es là on va en profiter pour sortir. Tu dois avoir pas mal de choses à me raconter."

Je ne la quitte pas des yeux si bien que j'en oublie la politesse et omet de lui offrir à boire.



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ALEXIANNE && COOPER
Le coeur battant la chamade, elle lui sourit, comme il était beau. Comme son parfum lui avait manquer. Elle n'avait envie que d'une seule chose, se blottir dans ses bras, mais elle devait freiner ses envies. Elle devait bien se comporté.

«Assis toi, vas y fais comme chez toi. Alors comment se passe ton séjour ? Pas otrop dur pour t'acclimater ? Tu verras y'a un tas de choses à faire ici. Maintenant que tu es là on va en profiter pour sortir. Tu dois avoir pas mal de choses à me raconter.»

Amusée, elle obéi, s'asseyant dans le sofa qui les avaient emmener à leurs première fois puis elle se mis à regarder tout autour d'elle, et sourit. Elle reconnaissait là son cher Cooper. Il devait avoir nettoyer toute la matinée, anticipant le moment où ils se rencontreraient. Se mordillant la lèvre, elle répondit;

« Mhh... En fait, j'ai une très belle vie à Harvard, les gens sont gentil... les cours sont cool... mais... Mais tu n'est pas la... »

Elle avait omis de parler de ses multiples fêtes, ses one night et même les fois où elle avait coucher avec des filles, tout ça, il ne devait pas le savoir. Ou elle n'avait juste pas envie de le lui dire. Il savait qu'elle était Libertine, mais quelques choses la poussait à ne rien dévoilé. Et puis c'était vrai... Elle s'ennuyait de lui. Elle toussota un peu, tentant d'éloigné sa gêne et lui sourit;

« Tu n'aurais pas un peu d'eau... J'ai... j'ai tellement couru pour venir ici que ça m'as donner soif »

Elle lui sourit, plongeant ses yeux dans les siens, comme elle voulait l'embrasser là tout de suite. Posant ses mains sur ses cuisses, elle se mordit l'intérieur de la lèvre, se maudissant d'avoir ces pensées. Il ne fallait pas.
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Alexianne & Cooper



Je me grattais la tempe sous sa remarque. Je ne m’étais pas encore assis, fort heureusement car visiblement j’avais visé à côté pour le rosé. Alors je m’exécutais puis retournais en cuisine pour prendre une bouteille d’eau qui trainait dans la porte du frigo. Je reviens vers elle, le cœur plus léger, le stress du début s’étant très vite estompé. Je lui servis son verre et le lui tendis.

« Tu sais les études et moi…enfin tu vois quoi. Je suis ne pas fait pour ce moule ci. J’aime ma liberté, je fais ce qui me plait. Certes je n’aurais pas vos diplômes mais j’ai ma liberté pour moi et ça ça n’a pas de prix. Mais si c’est un sous-entendu pour me dire que je te manque alors permets-moi de te dire que ce sentiment est partagé. »

Je savais Alex capable de tout pour s’amuser, moi aussi d’ailleurs. Pourtant un certain remord me rongeait un peu. Elle comptait beaucoup pour moi, plus que tout autre fille et pourtant pour l’oublier ou du moins oublier qu’elle n’était qu’une amie je m’étais envoyé en l’air dans chacune des pièces de cette foutu baraque. Pourquoi devrais-je d’ailleurs m’en justifier, je devrais en avoir bonne conscience, on n’est pas fait l’un pour l’autre, on le sait et les choses sont claires…..du moins je l’espère.

« Comment se passent tes cours et ta colocation ?"


On continue de contourner le sujet nous ramenant au « NOUS », mais mes pensées elles m’ordonnent le contraire. Elle est tout simplement sublime et nul doute que bon nombre de mecs doivent essayer de lui mettre le grappin dessus. Sa peau si douce et sucrée, cette odeur comme si elle recouvrait tout le temps son corps de Monoï me faisaient fondre. Le pire dans tout ça ses yeux. Je savais pertinemment ce qui lui traversait l’esprit, je la connaissais et je détectais certains signes qui en disaient long. Alors je soutenais son regard, petit jeu auquel nous nous prêtons ensemble. On aime tout simplement jouer avec l’autre, mélange de jeu de séduction et de taquinerie. Mais le plus excitant dans tout ça c’est qu’en public lorsque l’envie nous en prend nous nous provoquons avec tout autant de facilité et d’amusement. Je me saisis de mon breuvage à base d’algue et en bois une gorgée et je me mets à rire doucement en la regardant et lui montrant mon verre.

« Pour ma part comme tu le vois rien n’a changé, je suis toujours le même. Au fait faut que tu viennes un de ces soir nous voir jouer, le bassiste devrait te plaire »

Pointe d’humour ou de sarcasme ? Etais-je sérieux ? Allez savoir, je n’avais pas la réponse. Je n’éprouvais pas de jalousie à l’idée qu’elle puisse fréquenter d’autres hommes mais des choses changeaient en moi depuis son retour. Je me répétais chaque jour que ce soir où nous avions couché ensemble n’était dû qu’à un débordement de plaisir du fait e notre longue séparation. Si nous avions du coucher ensemble pour autre chose que ça nous l’aurions surement déjà fait. Assis sur ma chaise en face d’elle….je trouve ça vraiment trop solennel et ça fait coincé. Alors je me lève et viens m’asseoir à ses côtés puis je soulève sous moi le coussin du fauteuil et en sort un string en soie violet.

« Tiens au fait, ça ne te rappelle rien ça ?

Lui dis-je en l’agitant devant son visage.

« Je ne suis pas fétichiste hein, loin de là, mais au moins j’avais toujours cette impression de t’avoir non loin de moi. On va essayer de pas laisser filer plusieurs semaines avant de se revoir qu’en dis-tu ? On pourra même un de ces quatre mélanger nos amis. Dans le lot de tes amies, je trouverais peut être mon bonheur et vice versa… »

Je lui dépose un baiser dans le creux de l’oreille. Joueur, comme je le fais avec elle en permanence.



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ALEXIANNE && COOPER
Il était trop près. Beaucoup trop près. Ce n'était plus qu'une question de minutes. Si elle ne savait pas pourquoi son rythme cardiaque avait autant augmenté, elle aurait bien cru à une crise cardiaque. Lorsqu'il embrassa le creux de son oreille, elle ressentis ces frissons familier quand elle était émoustillé. Fixant le string qu'il tenait dans ses mains, un flot d'image lui revint en mémoire, avalant une énième gorgée d'eau glacée, elle sourit.

« oh... elle était ici... la petite coquine, j'espère que personne d'autre ne l'as vue... »

Elle n'écouta pas ce qu'il disait, évitant les questions futiles qu'il posait, fixant son regard sur ce bout de tissus. Mais au diable ses convictions, son odeur lui avait tant manquer. Tout ce qu'elle souhaitait, là, maintenant, c'était de revivre ces émotions qu'elle avait ressentis quelques mois auparavant. Et puis, ce n'est pas un petit baiser qui allais les tuer. Elle fixait ses lèvres. Elle le connaissait, quand il était gêner, il parlait, il ne faisait que ça, parler. Retirant d'un coup de pied ses converses, elle porta ses genoux sous son menton et gamine, elle le fixa un moment, suivant des yeux la courbe carrée de sa mâchoire. Elle sourit.

« Coop... des fois tu dois te détendre, si tu continue à autant dire de choses comme ça, tu va finir par ne plus rien avoir à dire ce soir et demain, tien laisse moi un peu te masser le dos, tu va te détendre »

Elle rigola, se glissant lentement derrière lui et lui caressant le dos plus qu'elle ne le massait. Un contact tactile, c'est ce qu'elle avait besoin. Collant son bassin contre le sien, elle l'enlaça. Elle s'en fichait d'être écraser derrière lui, elle était bien comme ça.

« tu m'as manquer Cooper... »

Fermant les yeux, elle se laissa doucement aller à sa respiration, lui présentant sa main. Le plus près de lui qu'elle sera et le mieux ce serais.
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Alexianne & Cooper



Je souris à sa remarque et pose son sous-vêtement sur la table, en le roulant légèrement en boule. Le souvenir de cette nuit remonta à la surface sous forme de flashs successifs. Des moments intenses et passionnés, d’ailleurs je ne me souviens pas qu’on ait fait quoi que ce soit avant…ou même après d’ailleurs. C’était un moment purement bestial et instinctif mais ô mon dieu que j’avais aimé ça. Tout simplement inoubliable. Comme quoi un simple string peut avoir des effets dévastateurs sur mon psychisme. Alex éluda avec habileté mes questions. D’une chose ou l’autre, soit je suis incapable de tenir une conversation intéressante ou bien elle n’a tout simplement pas envie de parler de choses aussi futiles.

Un massage ? Mon cœur connait un afflux sanguin soudain et je le sens qu’il m’alerte sur la situation à venir. Nouvelle montée d’excitation et aussi d’appréhension. Non on ne peut pas s’empêcher ni l’un ni l’autre d’avoir se rapprochement tactile. Etrange pour des amis. D’ailleurs notre « relation » en a surpris plus d’un et ne manquerait pas d’interpeller nos amis d’Amérique. Ca pourrait tout de même être amusant de jouer de cela pour les faire tourner en bourrique puis nous n’aurions pas besoin de forcer notre jeu d’acteurs. Je reste donc silencieux et la laisse se glisser derrière moi, les effluves de son parfum m’enivrent encore un peu plus.

« …Mais qui te dit que j’avais prévu qu’on parle ce soir….ou demain matin ? »

Je rigole avant de reprendre sur un ton plus posé.

« ….Ne t’en fais pas je plaisante, je compte bien profiter des prochaines heures pour qu’on rattrape le temps perdu »

Alors qu’elle est en position, intercalée entre moi et le sofa, je peux la sentir peu à peu se coller à moi. Je ferme les yeux sous ses caresses qui sont loin du massage proposé. Mais ça on le sait tous les deux. On n’a pas besoin de parler pour se comprendre. Ses mains chaudes et douces ont un effet apaisant aussi je me laisse aller à m’affaler tendrement contre elle et caler ma tête contre le creux de son épaule. Je laisse glisser l’une de mes mains vers son pied droit dont je me saisis avant de refermer mes doigts autour. Naturellement je desserre l’étreinte pour lui caresser du bout des doigts le dessus de son pied puis dessiner le contour de chacun de ses orteils avec une extrême douceur. Mon autre main vient s’entrelacer dans la main libre qu’elle venait de me présenter. J’avais presque oublié combien elle m’était indispensable, elle venait de me le rappeler à merveille.

« Toi tu ne m’as jamais quitté… »

Les yeux toujours fermés, ma bouche se tait et je laisser parler mes mains pour lui montrer ce qu’il y a de meilleur. Je pourrais le faire des heures durant. Pour partager toute notre tendresse, en plus du regard il y a les caresses sur son corps ardemment désiré. J’ai envie d’égarer mes mains sur son dos, sachant par avance que la douceur de sa peau les enivrera. Je me perds dans mes pensées, totalement absent, rêvant que mon doigt cherche son chemin de la base de son cou jusqu’au creux de ses reins.



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ALEXIANNE && COOPER
Cette chaleur. Comme elle lui avait manquer. Celle qui émoustillais son bas ventre, qui lui faisais perdre la tête. Ses caresses allaient la rendre folle, quoi qu'elle commençait déjà à perdre la tête. Totalement.

Elle glissa sa main libre sous son t-shirt et traça du bout des doigts ses muscles. À partir de ce moment exact, plus rien au monde ne comptais. Il n'y avait que lui et elle. Comme à toute les fois où ils s'adonnaient à ce petit jeu en publique. Une vilaine habitude qu'ils avaient prit. Qui lui avait valu quelques regard de braise de la part de certaines filles de son entourage ou de regard d'envie face à l'homme qui était l'autre moitié de son coeur. Nichant son nez dans son cou, elle ferma lentement les yeux. Comme elle était bien. Elle n'échangerait ça pour rien au monde. Puis elle laissa aller ses lèvres contre son cou, préférant laisser parlé son corps. Mais son esprit lui, roulait à 100 à l'heure.

C'est dans des moments comme ceux là qu'on se rend compte à quel point quelqu'un nous est indispensable, qu'indirectement, elle forme l'autre partie de soi. C'est là qu'on réalise que la présence de l'autre deviens littéralement comme une drogue. Même si lorsqu'elle l'avait rencontré, la première fois, elle était mineure, elle savait déjà dès lors qu'il était son âme soeur. Elle maudissait à présent tout ce qui met entrave à leurs relation, ses convictions, ses rêves... Puis ces nombreuses fois où elle l'as imaginer dans les bras d'une autre fille, il finissait par l'oublier, par trouver une jolie demoiselle de son âge qui pouvais voyager, une fille qui accepterait de tout lâcher en échange de son amour. D'une voix chancelante, ressemblant plus à un murmure qu'à une parole franche, elle répondit;

« Je ne comptais pas parler non plus... J'adore nos silence... »

De toute façon, il était assez séduisant pour ça. Et il était musicien, ça ne cours pas le coin des rues, les femmes adorent les musiciens... leurs doigts usé à cause des cordes, leurs belle bouilles. Elle était la chanceuse qui laissais filé sa chance, mais tant de choses les empêchaient d'être ensembles. Mais après tout, c'est eux qui jouaient constamment avec le feu. Ils étaient leurs propre pyromanes.

Oh, elle aurait pu décider de tout arrêter, de l'oublier et de vivre mieux. Mais la jeune fille était masochiste. Et puis elle ne pourrait jamais vraiment réellement l'oublier. Ont n'oublie jamais son premier amour de toute façon.
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Par le voile de sa caresse, mon corps se dévoile. En son regard mille étoiles se posent avec tendresse. Puis de ses mains qui m’effleurent s’ouvre en moi le désir au rythme de mes soupirs. A tes lèvres, des baisers sur ma peau viennent se poser. Alors mon corps tout entier ne cesse de frissonner. Je laisse aller le plaisir, qui à son tour chasse mes soupirs. Je peux sentir son cœur battre ainsi que la chaleur de sa peau. Le désir se fait plus fort et intense, mon instinct bestial prend peu à peu le dessus. Mais non, je ne dois pas. Je me mords le coin de la lèvre si fort que j’ai l’impression de m’entailler la chaire. Ses doigts sur ma peau. Ma main en la sienne resserre un peu plus l’étreinte et je lui offre davantage mon cou. Mon autre main, remonte sur ses mollets pour la griffer délicatement du bout des ongles.

Il n’y a qu’elle qui puisse provoquer ça en moi. Uniquement elle qui sache faire battre mon cœur ainsi et me faire oublier tout le reste. En ces instants nous oubliions complètement que le « Nous » n’existait pas réellement. Ces moment éphémères étaient notre monde à nous et rien ni personne ne pourrait venir le détruire. A moins que la menace ne vienne de nous. Mais peut importe, on profite, on vit avec passion notre relation très ambigüe. Un brin taquin, je lui répondis en la pinçant gentiment à la jambe…

« Dis tout de suite, que converser avec moi est insurmontable aussi…non mais.. »

Puis de reprendre…

« Et puis, tu crois quoi, je ne suis pas un homme facile… »

Je finis par me retourner pour me saisir de son visage avec mes deux mains puis je l’embrassais du bout des lèvres, effleurant sa bouche d’un léger contact alors que mes doigts partaient à la découverte de sa nuque. J’attends de vois si elle ose venir me trouver...mes mains n'attendent qu’elle pour la déshabiller et pour la caresser encore.

« Ose venir me trouver Alex...mon coeur n'attend que toi. Tu le verras te dire au travers de mes yeux combien tu m'as et combien j'ai souhaité qu'enfin tu sois à nouveau ici. »

Je venais par la suite lui déposer des baisers dans le cou tout en dénudant son épaule droite pour y planter doucement mes dents avant de remonter vers le lobe de son oreille. Je finis par me redresser tout sourire. La soirée ne faisait que commencer, les derniers rayons de soleils traversaient ma fenêtre pour nous gratifier de jeux de lumières contre le mur du salon.

« Nous allons passer à table, je ne sais pas toi mais moi j’ai une petite faim. Ensuite je t’emmène au « Black Lion », un irish Pub, je joue ce soir. Comme ça nous pourrons discuter et se raconter ce qu’on a à se raconter, qu’en dis-tu ? »

Le lui lance un clin d’œil, le regard interrogateur, attendant de savoir de quoi serait fait le reste de la soirée. Si l’envie de sortir n’était pas présente chez elle, je pourrais très bien me faire remplacer, pour une fois…






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Un simple effleurement des lèvres. Ce qu'elle avait attendue depuis qu'elle avait mis les pieds ici. Une explosion de papillon dans son ventre. Elle avait peine à y croire. Elle s'accrocha à lui comme une enfant qui viendrais de retrouver ses parents après une journée sans leurs présence, elle ne voulait absolument pas que cette étreinte se termine. Elle voulait que ça dure une éternité. Puis il décida de s'éloigné, mais juste assez pour que la proximité ne soit brisée. Elle couina. Elle tentait tant bien que mal de se tenir docile. Ce baiser n'avait que mis le feu au poudres. Bientôt, ce serait l'explosion.

« Converser avec toi, c'est magique, mais sentir tes lèvres contre les miennes, c'est mieux. »

Elle posa de nouveau ses lèvres contre les siennes, dans un doux baiser chaste avant de répondre à son deuxième raisonnement;

« Oh mais je n'attend que ça Coop. Depuis des années. »

Elle ferma les yeux lorsqu'il lui mordit l'épaule puis embrassa son point sensible à nouveau. Elle se mordit la lèvre lorsqu'il se releva, elle ouvrit les yeux, le dardant. Il n'allait certainement pas s'en tirer aussi facilement. Elle se releva aussi, avançant, n'écoutant absolument pas ce qu'il disait, n'en comprenant que des bribes, «faim» «Black Lion» et «Irish» jusqu'à ce qu'il lui lance l'un de ses fameux clin d'oeil. Sans plus attendre, elle s'avança juste assez pour se dressé sur la pointe des pieds et lui rendre ce baiser qu'il lui avait fait.

Ont dit que le désir rend fou. Peux être qu'Alexianne devenait folle alors. Folle d'amour. Glissant ses bras autour de son cou, elle forçat le passage entre ses lèvres, tout ce qu'elle souhaitait, là, maintenant, c'était de tomber dans ses bras, de le toucher, de lui montré à quel point il lui avait manquer. Se reculant à contre coeur, elle ne lâcha pas son regard pour autant.

«Mangeons... Mais pour le reste, je ne suis pas sur de mes actes... Et je pense que j'ai un meilleur programme que d'aller te voir jouer même si j'adore ta façon de caresser les cordes de ta guitare... J'ai d'autres plan pour tes doigts »

Puis elle enlaça les doigts de sa main gauche, baisant chacun d'eux à tour de rôle avant de se diriger vers la table à manger et de s'y asseoir. Elle savait aussi se faire désirer et elle voulait qu'il soit le premier à sauté le pas de la tentation.
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Aujourd'hui, j’aimerais pouvoir lui dire pourquoi je l'aime. Je t'aime, car j'adore quand elle sourit Je l'adore, car vraiment quand je la vois sourire cela m'épanouit. J'adore regarder ses yeux quand ils pétillent parce qu'après, mes yeux à moi scintillent à leur tour. Son charme innocent m'ensorcelle. Elle est plus merveilleuse qu'une photo, elle est drôle et son sens de l'humour m'impressionne et me surprend. Surtout quand on délire ensemble, mon dieu comment on déconne ! Elle est pour moi une perle rare douce et sucrée comme le nectar. Et là, elle m’embrasse et ses lèvres jettent sur moi un immense sort Sweet and low. Je la regarde la main posé sur son visage.

« Hum…j’adore tes lèvres »

Je souris à la façon qu’elle eut de me dire qu’elle appréciait discuter avec moi avant de rebondir avec habileté sur mes lèvres. Bref c’est sympa de parler avec moi mais pas trop longtemps rn quelque sorte. C’est cette spontanéité qui me plaisait aussi chez elle. Elle était elle et elle emmerdait les autres et ceux qui avaient à redire. Et c’est tant mieux. Je compris par la suite que la soirée ne se déroulerait pas en dehors des limites de l’appartement. Toute tentative de ma part pour me tenir à distance échouait l’une après l’autre. Et quand Alex en décidait autrement et bien on n’avait plus qu’une chose à faire. Se plier à sa volonté. Pour ma part j’aimais la façon qu’elle avait de me faire comprendre ses envies. Un regard, un geste et nous étions sur la même longueur d’onde Je crois même qu’au final j’espérais qu’on ne sorte pas Pourtant je savais d’un autre côté qu’on se ferait encore un peu plus de mal. Qu’importe, j’aurais tout le reste de la journée de demain et les jours suivants pour ruminer mes remords. Je n’aurais plus qu’à recommencer à enfouir les sentiments naissant en moi. Le baiser qu’elle me rendit était tout simplement « waouu », je la tins par les hanches, assez fermement pour qu’elle sente la pression de mes mains sur elle mais aussi qu’elle comprenne ce qu’elle avait à comprendre.

« Tu sais toi aussi tu m’as manqué… »

Je savais que ce baiser allait au-delà de l’envie, mais qu’elle avait cherché à me dire que notre séparation avait été pesante pour elle. Des fourmillements, partant de mon cœur pour se propager dans mon dos et mon ventre. Un autre programme ? Pour devrais-je stresser. Alex a ce pouvoir sur moi de me chambouler là où pour toutes les autres filles ce n’était que de la routine. Mais elle n’est pas les autres, elle est bien plus. Je ne relevais passa dernière phrase. Je compris que la suite du jeu venait de commencer et ce serait à celui qui craquerait le premier. Alors qu’elle se dirigea vers la table, je la laissais s’éloigner de quelques pas avant de la surprendre par derrière et de l’empoigner par les hanches pour la plaquer contre le mur et l’embrasser langoureusement. Chacune de mes mains se saisirent des siennes pour s’y entrelacer. Puis je me décollais d’elle, nos lèvres s’effleurant à peine, mon regard envieux plongé dans le sien.

« Ton absence a été pour moi une véritable épreuve….sauras tu résister à celle que je vais te faire endurer ce soir Alex ? »

Acte 2 du jeu….je pose ma main sur son menton et lui dépose un simple baiser avant de retourner dans la cuisine sans lui jeter un regard. Le plat était presque prêt, l’entrée l’était déjà et pour le dessert……je crois que l’on sait déjà de quoi il sera fait pour peu qu’on y arrive.


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