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C'est le 12/11/1987 à Hässleholm en Suède, que les membres de la famille Bane m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Cooper). Je suis Célibataire quand j'en ai le temps et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Rien du tout Et je travaille en tant que Guitariste dans un groupe et je joue chaque soir dans un bar ou d'autres lieux festifs depuis 1 an. Et pour terminer, je voudrais intégrer les citizens ou les Mather. Cooper Bane | Questionnaire Plutôt... Plutôt fêtard ou pantouflard ? In Convivium véritas... Plutôt coquet(te) ou négligé(e) ? Plutôt coquet, j'aime prendre soins de moi Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Le dilettantisme est ma devise, carpe diem.. Plutôt romantique ou réaliste ? Réalisto-romantique. Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Plutôt sympa de prime abord Plutôt altruiste ou égoïste ? Altruiste mais peut être égoïste en certaine circonstance Plutôt optimiste ou pessimiste ? La vie est ce qu'elle est n'est ce pas? Plutôt extraverti ou introverti ? Ni l'un ni l'autre, je suis moi et si ça plait pas je vous emmerde Plutôt sucré ou salé ? Je suis végétalien, ça limite pas mal non ? Plutôt pacifiste ou j'te-défonce-la-gueule-connard ? Plutôt pacifiste, mais mes excès de fêtard m'entrainent parfois dans le "jte défonce la gueule" Plutôt Justin Bieber ou Rebecca Black ? Plutôt une jambe en mousse ou des dents en bois ? Physique... Style vestimentaire Classique/tendance Piercing non Tatouage Le visage de Toth sur le torse (à droite) Je crois... Aux fantômes ? non À l'apocalypse ? non Aux coups de foudre ? peut être un jour À l'amitié fille/garçon ? Oui Aux sexfriends ? Je suis en plein dedans À une religion ? Athée À la magie de Noël ? Bien sur Au destin ? Je l'ai tous les jours devant moi, j'attends un signe de lui Aux fins heureuses ? Et aux fins malheureuses ? Je/j'ai... Déjà fait un threesome Non Une voiture Non je suis contre la pollution, j'ai mon skate pour ça Bois de l'alcool Bien sûr Fume Oui, en soirée Prend de la drogue non Veux me marier Oula, vous parlez d'un projet...ça mérite réflexion Veux des enfants A voir.... Une maladie grave non Un lourd secret Oui Mens souvent Non Beaucoup d'expérience au lit je ne m'en plaints pas Beaucoup d'expérience en amour Euh.....j'aime ma mère, ça compte ? Eu beaucoup de déception en amour Non Eu beaucoup de déception en amitié Non De la facilité à me faire des amis Oui, la musique ça aide Des envies de meurtres Oui mon père, une fois Peur du noir Non Peur de la solitude oui/non De bonnes notes oui/non Ma maison... Ce qui ferait de moi un membre parfait de groupe1 Je ne fais plus d'études et vis en marge de la vie d'étudiants. J'en fréquente quelques uns mais sans plus, je ne me sens plus du tout concerné par un avenir fait de diplômes et de cours insupportables avec des professeurs à l'haleine souvent épouvante pour les élèves. ou de groupe2 Ancien Mather, pourquoi pas un retour, mais ce n'est pas d'actualité. J'ai quitté l'école, c'est pas pour en fréquenter les étudiants à longueur de temps et les entendre geindre sur leurs problèmes |
Pseudo/Prénom super-nacho Âge 29 Pays/Région France / Paca Où as-tu connu le forum ? C'est mon 1er DC Tes impressions J'aime beaucoup CréditsA voir avec Alexianne Avatar André Hamann Scénario ou PI ? Sénario de Aléxianne Facilité à s'intégrer ? 11/10 Mot de la fin Girls just wanna have fun |
Histoire
Le navire déroulait à la pointe d'Elseneur, avec quelques voiles blanches, véritables ailes de goéland, et dans la brume de l'est ondulaient les côtes à peine estompées de la Suède. Toue cette immensité tourbillonnait à mes regards. Néanmoins il fallut me lever, me tenir droit et continuer d’avancer, j’avais encore du chemin…je quittais mon pays natal. Le routier qui m’avait pris en auto-stop m’interpela alors d’une voix roque enrouée. C’est ainsi que s’achevait cette partie de ma vie. Je laissais derrière moi tant de souvenirs…et Alexianne. La reverrais-je un jour ? Une chose est sûr c’est le cœur lourd que je tournais le dos pour la première fois à ma patrie.
«Alors mon gars, on décolle j’ai du boulot et pas que çaà faire. Nous allons reprendre la route du nord, passer sous les contrées septentrionales de l'Europe, la Russie,la Sibérie, que sais-je ! »
Sans dire un mot, je grimpais à nouveau dans la cabine du camion et c’est dans un silence profond que nous allions parcourir des centaines de kilomètres.
plusieurs reprises pour décharger sa marchandise. Ce fut pour moi le début de longs voyages. Et je profitais de ce moment de répit, avant d’entamer ma longue traversée en solitaire, pour ressasser mes souvenirs d’une vie passée. Beaucoup trouvaient leur point de convergence sur Alexianne. On ne se connaissait pas tant que ça, du moins pas depuis longtemps mais notre relation fut très vite fusionnelle, une amitié très forte. Je me rappelle avoir fait sa connaissance dans un café assez cosy non loin de Malmö. Elle y travaillait comme serveuse et je trouvais leur accoutrement fichtrement ridicule. Devant tant de moquerie et de cynisme de ma part difficile de ne pas attirer l’attention. Aussi je la soupçonne encore d’avoir volontairement renversé mon café frappé sur mon t-shirt. Mais je l’avais bien cherché. Je remercie encore son patron qui a assisté à la scène et l‘a obligé à me présenter ses excuses. Qui aurait pensé que ça découlerait sur une relation aussi forte. J’en souris tout seul alors que mes yeux furent attirés par un panneau publicitaire géant vantant les bienfaits d’une bière locale au nom seulement prononçable par les suédois.
Alexianne et moi passions de plus en plus de temps ensemble. Lui apprendre ma langue nous a encore plus rapprochés au point de ressentir une attirance certaine pendant les cours. Une tension régnait mais jamais ni l’un ni l’autre n’avait montré aucune faiblesse dans ce domaine. Nous étions voués à être amis, des amis chers. J’éprouvais et éprouve encore beaucoup d’amour pour elle, enfin un amour qui n’en est pas vraiment un. Un grand vide m’envahit alors et chaque kilomètre nous sépare davantage. Je dois tourner la page et passer à autre chose. Mais difficile quand on sait qu’elle me connait mieux que quiconque.
Quant à ma vie, elle pourrait se résumer ainsi. Des parents que je ne fréquente plus trop, un père qui m’a désavoué lorsque j’ai quitté l’école à 23 ans. Une honte pour lui, symbole de la réussite économique, de voir son enfant ne pas marcher sur ses traces. Oh, j’allais oublier, je suis fils unique. Moi j’aspire à autre chose et puis mon mode de vie…..lui aussi a fait couler beaucoup d’encre. J’ai tout de l’homme étrange vivant en dehors des règles sociétales. Guitariste dans un groupe rock et fan de Led Zepplin et Pink floyd. Je suis en plus un fervent défenseur de l’environnement et par conséquent je banni les véhicules à moteurs. Du moins j’utilise les transports en commun quand je n’ai pas d’autres choix. Le reste du temps je m’en remets à mon skate. J’en ai parcouru des kilomètres et pris des bonnes tôlées
inconscientes sur les routes. Le comble du comble doit être mon hygiène alimentaire. Je fais partie de l’infime pourcentage de la population à être végétalien. Autant vous dire qu’une sortie avec moi au restaurant est un véritable parcourt du combattant. Voilà qui est Cooper Bane, un marginal, un homme simple, vivant des besoins les plus basiques. Je n’aime pas le faste des soirées mondaines, ni être mis en avant. Je n’aime pas être au centre des intérêts. Je n’aspire qu’à voyager, jouer de la musique. Ces derniers moi j’ai eu la chance de visiter de nombreux pays. Grâce en partie à quelques menues économies mais surtout l’aide de mon père sous la pression de ma mère qui n’a de cesse de s’inquiéter pour moi. Alors à chaque check point, je leur écrits. Eux aussi me manquent malgré nos différends. Alexianne aussi, je n’ai eu de cesse de penser à elle, surtout pendant mes pauses-café en voyant les serveuses se démener pour servir les clients. J’en souriais à chaque fois, inlassablement.
Aujourd’hui me voici en Amérique. J’ai dû interrompre mon périple histoire de gagner de l’argent pour ainsi poursuivre. Je ne veux surtout pas dépendre de mes parents. Non mon orgueil me l’interdit. Alors j’habite maintenant dans un petit coin bien sympa prêt de l’université de Harvard. Ce haut lieu des études vomis tout ce qu’elle peut d’intellos, de filles et fils à papa, et d’ados boutonneux geek à souhait. Bref, je n’ai aucun regret, je n’avais pas ma place dans ce milieu. Aussi pour subvenir à mes besoins j’ai commencé comme serveur dans un bar Irlandais. Mon anglais m’a beaucoup aidé à cette époque pour m’insérer, mon bagou aussi. Mais tout ça ne dura qu’un temps. J’étai également à la recherche d’un groupe. Et c’est dans ce même bar, que 1 mois seulement après mon arrivée que je tombais nez à nez sur une annonce. Je tenais ma chance avec une gratte acheté d’occasion sur un marché aux puces…15$. C’est donc sans réelle conviction que je m’y rendis et donnais tout ce que je pouvais. Signe du destin ? Peut-être. Non, la chance. Le groupe, « the American flyers » devaient se produire le soir même. J’étais leur seule alternative. L’essai fut au final concluant lors du show avec une véritable guitare. Je me sentis comme libéré d’un lourd fardeau, heureux. C’est ainsi que les semaines passaient et nous jouions tous les soirs dans des lieux tous aussi loufoques les uns que les autres. Mon plus gros trip ? Un concert privé pour les taulards de la prison du comté. J’en aurais presque fait dans mon froc sur les détenus n’étaient pas tous attachés aux barreaux de leurs chaises métalliques. Mais quel pied bon sang !!! Bien viens ce soir. Celui qui changea tout. Une lettre pour tout faire basculer, quelques mots pour faire changer toute une vie….des lignes pour renverser mon cœur. Alors que je commençais à l’oublier, tout du moins à penser à elle avec nostalgie et non plus avec manque et addiction elle avait pris contact. Elle allait débarquer aux States. Comment m’avait-elle trouvé ? Nos derniers échanges de courriers dataient de plusieurs mois déjà. Nos retrouvailles prirent un tournant pour le moins troublantes. Nous étions certes heureux de nous retrouver, moi le premier. Après m’avoir demandé de l’héberger quelques temps, oui je l’admets accepter fut peut être une erreur pour la suite, c’est là que tout a dérapé. Le soir même nous laissions s’exprimer nos corps dans une passion sauvage et parfois brutale. Comme si inconsciemment nous en voulions à l’autre d’être partis comme ça. Les soirs et les semaines suivantes ne furent pas tellement différentes. Alexianne est venue ici poursuivre ses études…à Harvard. Moi de mon côté je suis égal à moi-même. Les jours passent et je tente de lutter, de garder mes distances avec elle, nous ne sommes pas fait pour être ensemble, pas comme ça. Pourtant mes sentiments semblent changer mais je dresse mes derniers remparts pour continuer de
siège….mais qu’adviendra t-il de moi quandje serai à bout de force ?
(Invité)