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Ashley
Callaghan
Callaghan
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GROUPE 1.
Chaque personne à un niveau de détermination qui lui est propre. On peut alors classer la population en différentes catégories. Ashley fait partie de ces personnes qui, lorsqu’elles ont une idée en tête, feront tout ce qui est en leur pouvoir pour l’atteindre. Un peu têtue sur les bords, elle ne laisse personne se mettre entre elle et son but.
Petite, elle passait des heures à regarder son frère, le premier amour de sa vie, succomber aux charmes de l’art. C’est donc naturellement qu’elle s’est, elle aussi, dirigée vers ce domaine. Elle s’est alors dirigée vers la peinture, son refuge à elle. Lorsqu’elle se sent mal, elle peut passer des heures devant une toile, dans un parc, à reproduire ces choses magnifiques créées par la nature elle-même. On se pose parfois des questions sur le fait même d’exister, comment à partir de rien on en arrive à créer l’humain ? Comment un arbre, avec toutes ces nuances de couleurs, peut-il exister ? Ashley, admirant ces créations, passe son temps à essayer de peindre, le plus fidèlement possible cette chose magnifique qu’on appelle la vie.
Au fil des années elle en a donc fait une passion, un mode de vie. Lorsqu’elle est arrivée à l’université, son choix était fait. Elle allait rejoindre la confrérie des Lowell. C’est ce qui lui correspondait le mieux. Un lieu où personne n’oserait juger son obsession pour l’art. Un lieu où elle se sentirait comprise et pourquoi pas un jour, aimée ?
GROUPE 2.
Pourquoi choisir d’intégrer ces maisons qu’on appelle « confréries » ? Ashley ne voulait pas tisser de nouveaux liens avec les autres étudiants. Tout le monde parle de trouver une nouvelle famille dans ces confréries, mais une famille, on en possède qu’une. Pour Ashley, personne ne compte à part son frère. Après tout pourquoi aller s’accommoder de personnes qu’on ne côtoiera que durant nos études ? Tout le monde sait, qu’une fois diplômé, tout le monde disparait. On recroise peut-être ces personnes une fois dans nos vies, on leur fait un sourire timide et Pouf ! Peut-être à jamais
Chaque personne à un niveau de détermination qui lui est propre. On peut alors classer la population en différentes catégories. Ashley fait partie de ces personnes qui, lorsqu’elles ont une idée en tête, feront tout ce qui est en leur pouvoir pour l’atteindre. Un peu têtue sur les bords, elle ne laisse personne se mettre entre elle et son but.
Petite, elle passait des heures à regarder son frère, le premier amour de sa vie, succomber aux charmes de l’art. C’est donc naturellement qu’elle s’est, elle aussi, dirigée vers ce domaine. Elle s’est alors dirigée vers la peinture, son refuge à elle. Lorsqu’elle se sent mal, elle peut passer des heures devant une toile, dans un parc, à reproduire ces choses magnifiques créées par la nature elle-même. On se pose parfois des questions sur le fait même d’exister, comment à partir de rien on en arrive à créer l’humain ? Comment un arbre, avec toutes ces nuances de couleurs, peut-il exister ? Ashley, admirant ces créations, passe son temps à essayer de peindre, le plus fidèlement possible cette chose magnifique qu’on appelle la vie.
Au fil des années elle en a donc fait une passion, un mode de vie. Lorsqu’elle est arrivée à l’université, son choix était fait. Elle allait rejoindre la confrérie des Lowell. C’est ce qui lui correspondait le mieux. Un lieu où personne n’oserait juger son obsession pour l’art. Un lieu où elle se sentirait comprise et pourquoi pas un jour, aimée ?
GROUPE 2.
Pourquoi choisir d’intégrer ces maisons qu’on appelle « confréries » ? Ashley ne voulait pas tisser de nouveaux liens avec les autres étudiants. Tout le monde parle de trouver une nouvelle famille dans ces confréries, mais une famille, on en possède qu’une. Pour Ashley, personne ne compte à part son frère. Après tout pourquoi aller s’accommoder de personnes qu’on ne côtoiera que durant nos études ? Tout le monde sait, qu’une fois diplômé, tout le monde disparait. On recroise peut-être ces personnes une fois dans nos vies, on leur fait un sourire timide et Pouf ! Peut-être à jamais
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
La vie n’est pas un long fleuve tranquille, loin de là. On accumule les péripéties dans le film de nos vies. Harvard n’est pas en reste, tous les étudiants ont mal vécus l’année 2014. Le nombre d’agressions était impressionnant, si bien que Brady suivait Ashley comme son ombre. Un jour il a même empêché un viol. Elle n’avait alors rien dit quand son frère regardait chaque homme osant poser le regard sur elle d’un œil mauvais. Elle ne disait rien, mais elle non plus ne se sentait pas rassurée.
Et le 17 janvier est arrivé. Ash et Brady étaient en plein repas de famille quand le téléphone d’Ashley a sonné. C’était Sarah, une danseuse qui faisait partie de certains de ses cours. Une prise d’otage avait eu lieu, des gens étaient blessés, d’autres pire encore… Ashley et son frère avait échappés au pire et c’est la seule chose qui l’aida à trouver le sommeil ce soir-là.
La vie n’est pas un long fleuve tranquille, loin de là. On accumule les péripéties dans le film de nos vies. Harvard n’est pas en reste, tous les étudiants ont mal vécus l’année 2014. Le nombre d’agressions était impressionnant, si bien que Brady suivait Ashley comme son ombre. Un jour il a même empêché un viol. Elle n’avait alors rien dit quand son frère regardait chaque homme osant poser le regard sur elle d’un œil mauvais. Elle ne disait rien, mais elle non plus ne se sentait pas rassurée.
Et le 17 janvier est arrivé. Ash et Brady étaient en plein repas de famille quand le téléphone d’Ashley a sonné. C’était Sarah, une danseuse qui faisait partie de certains de ses cours. Une prise d’otage avait eu lieu, des gens étaient blessés, d’autres pire encore… Ashley et son frère avait échappés au pire et c’est la seule chose qui l’aida à trouver le sommeil ce soir-là.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI.
« Je suis désolé Mademoiselle Callaghan, mais j’ai bien peur que le cancer ai repris le dessus ». A croire que leur famille était destinée à faire face à ce cauchemar. Ashley connaissait déjà les risques de rechutes, on l’avait assez prévenue sur ce sujet. Mais le savoir et le vivre son deux choses différentes. A cette période, elle souhaitait partir en vacances avec ses amis et son frère. Rejoindre tout le monde au Chili. Mais avec les chimiothérapies de prévues et les douleurs lancinantes, impossible pour elle de partir. Une longue discussion entre elle et Brady avait alors débuté. Il ne voulait pas partir sans elle, mais elle voulait qu’il profite. Elle aimait énormément son frère mais jamais elle ne pourrait supporter d’être devenue un boulet pour lui. Elle avait fini par céder, ils étaient restés sur place et avaient eu vent par la suite du tremblement de terre du Chili. A quoi bon le monde s’acharnait-t-il à leur sauver la vie ? Ashley ne comprenait pas. Toute chose a une cause. Le hasard n’existe pas. Pourquoi lui sauverait-on la vie pour l’accabler d’un cancer ?
« Je suis désolé Mademoiselle Callaghan, mais j’ai bien peur que le cancer ai repris le dessus ». A croire que leur famille était destinée à faire face à ce cauchemar. Ashley connaissait déjà les risques de rechutes, on l’avait assez prévenue sur ce sujet. Mais le savoir et le vivre son deux choses différentes. A cette période, elle souhaitait partir en vacances avec ses amis et son frère. Rejoindre tout le monde au Chili. Mais avec les chimiothérapies de prévues et les douleurs lancinantes, impossible pour elle de partir. Une longue discussion entre elle et Brady avait alors débuté. Il ne voulait pas partir sans elle, mais elle voulait qu’il profite. Elle aimait énormément son frère mais jamais elle ne pourrait supporter d’être devenue un boulet pour lui. Elle avait fini par céder, ils étaient restés sur place et avaient eu vent par la suite du tremblement de terre du Chili. A quoi bon le monde s’acharnait-t-il à leur sauver la vie ? Ashley ne comprenait pas. Toute chose a une cause. Le hasard n’existe pas. Pourquoi lui sauverait-on la vie pour l’accabler d’un cancer ?
TON ADMISSION A HARVARD
« Madame, Monsieur,
Mademoiselle Ashley Callaghan a effectuée dans mon entreprise un stage tout à fait satisfaisant.
Durant un an, chaque week-end, elle a fait preuve d’un réel professionnalisme et d’une rigueur à toute épreuve. Appréciée par l’ensemble de ses collègues, c’est avec regret que nous la voyons partir. Élément plus que compétent, l’entreprise qui aura la chance de l’avoir en son sein bénéficiera d’un atout majeur pour son développement.
Me tenant à disposition pour vous donner plus de renseignements, je vous prie de croire, Madame, Monsieur, en l’expression de mes sentiments les meilleurs.
Mr Honneycutt, directeur du musée d’art contemporain de Chicago. »
Cela faisait des heures qu’Ashley tenait cette lettre entre ses mains. Ca y est, on y était, plus que cette lettre à glisser au dossier d’inscription et les choses seraient lancées. Après un long soupire elle glissa la lettre dans l’enveloppe et la donna à Brady qui après un sourire réconfortant se chargea de les envoyer.
Et effectivement les choses se sont alors déroulées assez vite, elle fut conviée à un entretien ou le doyen la félicita pour son parcours scolaire exemplaire. Tout était trop parfait, si bien qu’elle pensait que son père ait put avoir un lien avec tout ça. Elle ne dit pourtant rien à Brady qui entretenait déjà assez d’animosité avec son père.
Quelques semaines interminables plus tard, ils recevaient tous deux un courrier. Ils étaient admis ! L’aventure ne faisait que commencer.
« Madame, Monsieur,
Mademoiselle Ashley Callaghan a effectuée dans mon entreprise un stage tout à fait satisfaisant.
Durant un an, chaque week-end, elle a fait preuve d’un réel professionnalisme et d’une rigueur à toute épreuve. Appréciée par l’ensemble de ses collègues, c’est avec regret que nous la voyons partir. Élément plus que compétent, l’entreprise qui aura la chance de l’avoir en son sein bénéficiera d’un atout majeur pour son développement.
Me tenant à disposition pour vous donner plus de renseignements, je vous prie de croire, Madame, Monsieur, en l’expression de mes sentiments les meilleurs.
Mr Honneycutt, directeur du musée d’art contemporain de Chicago. »
Cela faisait des heures qu’Ashley tenait cette lettre entre ses mains. Ca y est, on y était, plus que cette lettre à glisser au dossier d’inscription et les choses seraient lancées. Après un long soupire elle glissa la lettre dans l’enveloppe et la donna à Brady qui après un sourire réconfortant se chargea de les envoyer.
Et effectivement les choses se sont alors déroulées assez vite, elle fut conviée à un entretien ou le doyen la félicita pour son parcours scolaire exemplaire. Tout était trop parfait, si bien qu’elle pensait que son père ait put avoir un lien avec tout ça. Elle ne dit pourtant rien à Brady qui entretenait déjà assez d’animosité avec son père.
Quelques semaines interminables plus tard, ils recevaient tous deux un courrier. Ils étaient admis ! L’aventure ne faisait que commencer.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Papuche et j'ai 22 ans . Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à Top site . Vous avez l'air cool alors j'ai décidé de m'inscrire J'utilise Chloé Moretz comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits M. . Je fais mes posts en fonctons de la personne avec qui je rp et mon personnage est un personnage scénario crée par Brady C. Callaghan
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
si scénario:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7224]►[/url] [url=http://www.i-love-harvard.com/t73211-f-ma-petite-soeur-cherie]►[/url] <span class="pris">Chloé Moretz</span> ♦ “ Ashley Callaghan ”[/size]
This is your story
tell us everything
CHAPTER ONE
Cher Journal,
Il parait que je gère trop bien les choses. D'après mon frère, je devrais être effondrée.
On ma diagnostiqué un cancer en début de semaine. Tout à commencé avec de fortes douleurs au niveau du thorax. Je ne suis pas du genre à paniquer pour rien, alors vu que cette douleur était accompagnée d'une forte toux, je ne me suis pas inquiétée. J'ai donc laissé les choses traîner en me shootant aux anti-douleurs et au sirop pour la toux. Au bout de deux semaines, j'ai sentie un gout de cuivre jusqu'au fond de ma gorge. Quelque chose clochait, Brady me regardait du coin de l’œil, sentant bien que rien n'était normal. Je me suis alors rincée la bouche et c'est là que je l'ai vu, le sang. Mon sang. Je ne pouvais pas paniquer... Pas devant Bigby. J'ai donc prétexté devoir rejoindre une amie en ville et je suis partie chez le médecin.
Après tout un tas d'examens pénibles, j'ai finit par en parler à Bigby et à mon père. Il m'ont accompagnés pour connaître le verdict. Je crois que le plus difficile n'a pas été qu'on m'annonce un cancer des poumons. Le plus difficile a été quand j'ai vu la réaction de Brady. Il me voyait déjà partie, déjà morte, comme maman... J'ai essayé d'être la plus rassurante possible, de le réconforter, de lui faire comprendre que je me battrai contre cette saloperie ! Mais ce regard... Je ne l'oublierai jamais. On est rentrés, le trajet était glacial, personne n'oser briser ce silence de peur, je pense, que tout ça ne devienne réel. Mon père est parti, sans rien dire. Il a toujours fuit les problèmes depuis la mort de Maman alors ça ne m'a pas étonné. Brady lui à voulu oublier tout ça avec une bonne bière, de la glace et un film d'horreur. La routine des mauvais jours.
CHAPTER TWO
-Bigby ! Magnes-toi un peu faut vraiment que j'aille à la douche !
Ashley courait depuis vingt minutes dans la maison familiale à la recherche de toutes ses affaires. Quelle idée d'organiser une soirée la veille de leur départ pour Harvard. "Un verre" avait-elle dit en espérant convaincre Brady que c'était une mauvaise idée. Au final, Ashley s'était prise au jeu et se retrouvait avec une gueule de bois légendaire. Un café à la main, essayant de débroussailler ses cheveux du bout des doigts elle cherchait après ses papiers pour Harvard. La maison était dans un état pitoyable, joli petit cadeau pour leur père en guise de "bon vent". Lorsqu'elle vit sortir Brady de la salle de bain, elle ne put s'empêcher de sourire.
- Tu sais que papa vas te tuer en te voyant habillé comme ça ? Ha ! Et vu que tu es prêt ça te dérangerais de ranger un peu, je voudrais pas qu'on s'engueule avec papa avant de partir.
N'attendant même pas sa réponse elle se précipita dans la salle de bain. La douche lui fit un bien fou. Elle enfila une chemise type bucheron, un jean légèrement troué et son collier fétiche, le collier de sa mère. Après avoir séchée ses cheveux et s’être maquillée elle sortie de la salle de bain, ou elle trouva son frère en pleine dispute avec leur père. Pour changer. Elle essaya de tempérer les choses et poussa son frère vers la sortie. Elle glissa un baiser sur la joue de son père avant de partir pour l'université.
CHAPTER THREE
La peinture est une manière de mettre son âme sur toile. En arrivant à Harvard, Ashley avait découvert de nombreuses manières pour elle de développer ses compétences en art. Etudier une toile revient à percer les sentiments de l'artiste. Ashley cherchait à percer l’âme de John Singer Sargent dans sa toile "Œillet, lis, rose" pour son dossier d’études. Une toile magnifique, et comme son nom l'indique, très fleurit et colorée. Après avoir longuement observé la toile, elle posa ses cours et sorti son carnet à croquis. Elle y dessina un bouquet de fleur, un bouquet qu'elle aimerait qu'on lui offre. Jamais personne ne lui avait offert des fleurs. Tout le monde autour d’elle avait un jour connu l’amour, même si parfois ça finissait mal, mais pas elle. Brady avait vécu une idylle parfaite avec Lynah, celle qu’elle considérait comme une grande sœur. Jamais Lynah ne l’avait jugé pour quoi que ce soit. Elles étaient très proches et quand l’accident a eu lieu, Ashley était effondrée. Son frère était dans le coma et Lynah était morte. Quand les pompiers ont appelés pour signaler l’accident, la vie d’Ashley s’était déroulée comme au ralenti. Les heures d’attentes interminables aux urgences, l’annonce de la mort de Lynah, les jours entiers à pleurer sur le lit de son frère à prier pour qu’il se réveille. L’épreuve la plus difficile qu’elle ai jamais supportée. A son réveil, il a fallu le soutenir, l’inciter à vivre à nouveau, l’aider à sortir la tête de l’eau. Il avait perdu l’amour de sa vie, celle qui comptait plus que tout à son cœur. Mais Ashley, après toutes ces années, avait bon espoir pour son frère, il allait mieux, il finirait par être heureux et elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour l’y aider.
Souvent, Ashley pensait être trop étrange ou exigeante pour attirer les hommes, pour un jour connaître un amour aussi fort. Jamais elle n'avait connu l'amour, mis à part l'amour fraternel. C'était donc pour elle un concept qui ne lui était pas familier. Elle aimerait, un jour, connaître une personne qui pourrait lui faire ressentir ça. Elle voudrait savoir ce que ça fait de compter réellement pour quelqu'un d'autre que pour son frère. Peut-être qu’un jour, elle finira par rencontrer un homme pour qui elle pourrait tout quitter. Peut-être, qui sait ?
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