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ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly

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feat. CINDY KIMBERLY
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Asra Osborne
Nom tu t'es toujours contenté de ton matronyme aux origines australiennes, Osborne. Un simple mot composé de sept lettres qui représente cependant bien plus à tes yeux.Prénom ton blaze à toi c'est Asra, choisi avec soin par ta grand-mère de par sa signification arabe.Âge tu as passé le cap des 23 ans il y a pas plus de trois mois.Date de naissance 11 novembre 1993, exposée à la magie des crépuscules précoces. Une date française importante et célébrée de par son importance historique. Lieu de naissance dans un des nombreux arrondissements de la ville surnommée celle de l'amour et des lumières, Paris.Statut amoureux électron libre voguant dans les quartiers bostonnais, et ce depuis un bout de temps. Tu as toujours été réticente à t'engager, tu es pas non plus polyamoureuse mais tu as tout simplement peur d'aimer, peur de le dire. Puis Dieu sait à quel point une relation amoureuse complique toujours tout.Orientation sexuelle hétérosexuelle, tu n'as jamais été attiré par les courbes féminines. Les hommes, eux, tu sais les faire tomber dans tes filets et vice-versa.Classe sociale aisé, crédible quand ton nom est connu dans quasiment les trois quarts de l'Océanie et sûrement dans toute l'Europe de l'ouest.Études majeures informatique, sans aucune hésitation. Depuis toute jeune le virtuel ça a été l'échappatoire de tes problèmes quotidiens, pour ainsi devenir une hackeuse en herbe haute comme trois pommes.Études mineures sans avoir vraiment ton mot à dire sur ce choix, mathématiques appliquées. C'est un domaine dans lequel tu t'es toujours bien débrouillé et ta mère et son cher amant voulait que étudies aussi une science existante depuis la nuit des temps.Job employée au cinéma du Theater District de Boston, appréciant depuis toujours ce parfum sucré (ou salé, tu ne te permettrais pas de juger) du popcorn et appréciant d'autant plus les petits boulots qui paient bien.Choix de groupe #1 Eliot HouseChoix de groupe #2 Dunster House

 
ELIOT HOUSE
    Un véritable rêve qui n'a jamais pu être concrétisé. Inachevé. Lorsque la maladie rattrape notre vie, notre quotidien, notre famille, nos amis, nos ambitions et nos rêves. Que la mort nous guette, que notre vie ne tient simplement plus qu'à un fil. Que la simple et cruelle réalité nous ouvre les yeux, et que nous ne sommes plus. Un véritable rêve que ton tendre père n'aurait plus jamais la chance de se voir se concrétiser. Le rêve de porter fièrement la couleur bleue sur un veston, de se voir symbolisé par ce fanion. Ce rêve de faire partie des bleus. D'en être un, un véritable, un à part entière. Stupide maladie, qui nous laisse dans un sale état mais qui en revanche ne nous laisse pas le temps de dire au revoir à ceux que l'on aime tant. S'en aller, du jour au lendemain, laissant derrière nous une vie pleine de réussite et d'acquisitions qui n'attendait qu'à être vécut. Il suffit d'un détail pour changer la mise, la preuve. On l'aurait compris, ton tendre père, ce dernier défunt, avait autrefois entrepris ses études à Harvard, l'une des plus qualifiées. La plus qualifiée, en fait. Cela remonte à un moment, n'empêche que tu te souviens en revanche très bien des histoires dont il te faisait par dû à ses expériences là-bas. Épargnons les détails, mais il faut savoir que c'était un bizut des bleus. Un bizut qui fut simplement bizuté, un bizut qui ne s'est en revanche jamais vu être promu membre puisqu'il aurait quitté les Eliot trop tôt pour se vêtir d'une couleur plus fade, d'une couleur sans expression, d'une couleur qui montrait bien que c'était simplement un étudiant comme un autre, qui ne prenait pas part au système des maisons, qui avait arrêté de donner temps et énergie pour ses confrères. Cependant, il l'a toujours regretté, et ça tu le sais mieux que quiconque tant il te l'aura répété. Aujourd'hui, admise à Harvard, plus forte que jamais, tu aimerais rendre hommage à ton tendre père qui t'a tant aidé et accompagné durant toute ta vie, autant qu'il aura pu. Quoi de mieux que de commencer par représenter un membre de l'Eliot House ?

DUNSTER HOUSE
    Ambitieuse ? Ô que tu l'es. Quoique tu es aussi souvent dans ton monde, assez tête en l'air. Tu t'es toujours efforcé d'avoir des objectifs à atteindre et dont tu as toujours eu l'intention d'atteindre. De toute façon, en respect envers ton père, si ce n'est pas l'Eliot House, rejoindre les jaunes serait sûrement le mieux que tu puisses faire. Tu ne comptes pas forcément de faire partie de l'élite de demain, mais au moins essayer d'y trouver ta place. Un bel avenir, comme on te l'a toujours dit, comme on te l'a éduqué, ne dépend que de soi-même et des choix que l'on entreprend pour y parvenir à le prendre en main. La diplomatie et la réussite sont les critères phares, avec beaucoup de motivation en plus. Puis, on n'est jamais mieux servi que par soi-même, n'est-ce pas ?
APRÈS LA BOMBE
    De ces temps-là, l'université d'Harvard ne faisait même pas parti de tes objectifs. Encore indécise, des propositions par milliers pour les milles et une idée de ce que tu voudrais foutre du restant de ta vie. Sûrement pas assez mûre, ton comportement de gamine et ta folie débordante, rien de tout ça t'aidait à trouver ta vocation. Tu préférais glandouiller toute la journée à ton appartement parisien, à stalker tes acteurs favoris sur les réseaux sociaux ou à mater une émission de télé-réalité à la con. Tu n'avais pas le temps pour les formalités post-bac. Tu appris donc la nouvelle par la presse et les médias, par les messages de soutien sur Facebook ou encore Instagram enfin bref, tu l'appris de la façon la plus banale possible au vingt-et-unième siècle. Ne te rendant pas vraiment compte de toutes les vies mises en danger par ce massacre aux intentions inhumaines, tu fis une croix aussi vite que tu l'as pu sur l'événement malgré que quelqu'un trouvait toujours le moyen de remettre le sujet sur le tapis.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
    Chronologiquement parlant, on se rapproche un peu plus de ton admission à la statufiée meilleure université du monde. Cette fois-ci, le sujet a été le centre des conversations de ton entourage — ou plutôt ta famille vu que tu n'avais plus contact avec la moitié de tes potes du lycée durant bien des mois, ces terribles événements s'étant déroulés quelques mois avant ton déménagement dans le Massachusetts puisque tu avais déjà entrepris des entretiens afin de montrer ton intérêt et ton dévouement pour Harvard. Ta famille s'attendait à une réponse positive, il était donc évident et logique qu'ils se mettent pour la plupart à flipper concernant ton avenir dans cette université néanmoins extrêmement prestigieuse. Ils croisaient les doigts pour ta sécurité là-bas autant que toi tu les croisais pour que la paix soit le maître-mot de ce monde, mais aussi en guise de soutien aux victimes, aux vies mises en danger et à Harvard. Le temps passait et il fallait à présent que tu passes à autre chose, que tu ailles de l'avant, advienne que pourra et n'importe à quel point il en sera compliqué.

 
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story of my life

Dripping like a saturated sunrise
SAN DIEGO - MAI 2007
✽✽✽

     Silence radio dans le véhicule dont les pneus usés frottent sur le vieux béton des rues californiennes, où toutes les maisons se ressemblent, où la lumière aveuglante d'un soleil d'humeur printanière se filtre dans le feuillage des immenses palmiers qui bornent les avenues. Un silence glacial, là, tandis que les personnes présentes semblent pourtant hurler de détresse, souhaitant s'échapper aussi loin que possible, pris dans un tourbillon d'émotions qui nuit au moral, à l'avenir, aux pensées. La pâle mine, d'immenses cernes, les joues creuses, il n'y a pas mieux pour décrire ton doux minois en cette ambiance morbide. Avachie sur la ceinture de sécurité, tu sembles pensive, perdue, triste, c'est un million de sentiments qui entrent en toi et qui te perdent, tandis que tu as simplement envie de te reposer. Histoire de quelques minutes, ou bien quelques heures, voire pour l'éternité. L'envie de clore tes paupières et de repenser aux doux moments qui berçaient tes journées, dans un passé proche qui te semble déjà si loin. À ton plus grand dépourvu, ton esprit semble faire une fixette sur les événements de la nuit passée. Le véhicule roule vite, pour finalement s'éloigner au plus vite de l'infrastructure que vous venez de quitter il y a seulement quelques minutes. Cette infrastructure, qui n'est qu'autre que les urgences locales. C'est à des heures passées que tout semble avoir commencé. Et pourtant, cela faisait bien un moment que les médecins étaient au courant de ce que ton tendre père couvait. Qu'importe à quoi notre vie ressemble, qu'importe notre bonheur, notre famille, notre boulot ou bien même notre classe sociale, la maladie nous guettera définitivement pour toujours qu'importe qui l'on est. Une phrase que l'on ne te contera pas qu'une fois. Ça avait commencé par de nombreuses douleurs à la colonne vertébrale, avant que l'on y détecte une tumeur au niveau de la moelle épinière. Bingo. Le voilà qui traînait un véritable cancer, qui fut un véritable calvaire. Un cas rare, qui n'était point le plus simple à diagnostiquer, mais cependant un calvaire bercé par l'espoir et le soutien de deux femmes en détresse. C'est arrivé très vite, trop vite. Trop vite pour que tu aies pu profiter de ton papa plus longtemps, toi, gamine âgée de onze ans, le visage innocent avec un secret lourd à garder. Un papa malade, une maman qui en deviendra malade, une famille qui semble perdre pied lentement. Aussi lentement que le temps a pu s'écouler. Les saisons et les mois étaient passés, et à présent, bien installée dans ton siège en cuir, tout est terminé. Pourtant t'as le souffle court, quelque chose semble t'échapper, quelque chose semble te manquer. Tout est terminé et pourtant, les teintes monotones de l'automne, le blanc immaculé de l'hiver et la floraison des premiers bourgeons du printemps ont emporté quelque chose qui semble te tenir à cœur, quelque chose qui, emportée, te forme cette boule dans le ventre, qui, emportée, pèse lourd sur tes frêles épaules. Ces saisons-là, elles ont signé la fin de leurs teintes uniques autant qu'elles ont emporté ton père. On l'aurait deviné — cette nuit-là, ton père est décédé. La simple pourtant cruelle réalité, qui semble nous anéantir plus que nous réjouir, celle qui blesse mais qui nous oblige à faire face au lendemain. Ta main dans la sienne, sa main dans la tienne, les larmes qui baignaient tes prunelles avant de s'écouler sur tes pommettes, tous ces instants ne semblaient plus quitter ton esprit. Les traits de son visage qui semblait lui-même vieux et abîmé, une mine qui démontrait mieux que jamais la fatigue que cet homme ressentait. Puis il a lâché prise, tout comme il a lâché ta main, au dernier instant. C'est à ce dernier contact, que, tout comme à cet instant, avachie sur ton hublot, tu fermais les paupières et t'abandonnais toujours un peu plus.

An irrecoverable condition for fantasy
PARIS - SEPTEMBRE 2009
✽✽✽

     À travers la baie vitrée, t'aperçois des arbres dont le feuillage semble virer au doré voire à l'orange, synonyme d'un automne prochain, mais t'aperçois aussi dans les avenues des passants, qui tirent pas mal la tronche à la vue de ce temps pourri qui fait que ce dimanche allait l'être d'autant plus. Venant juste de te réveiller, tu plaques les mèches brunes traînant sur ton minois derrière tes oreilles avant de venir t'affaler sur le divan qui prend la moitié de l'espace de votre salon, histoire de t'y poser. Quelques instants plus tard, sur le comptoir, ta tendre mère — avant de s'éloigner vers les portemanteaux de l'entrée — pose quelques pâtisseries qu'elle a toujours eu l'habitude d'aller acheter de bon matin, à la boulangerie près d'un marché connu de l'arrondissement. Des pâtisseries qui éveillent tous tes sens les plus gourmands, dans tous les sens du terme, tandis que d'une flemme atroce tu te lèves du divan avec difficulté pour aller choper derrière toi un croissant avec discrétion. Tu t'affales une nouvelle fois sur le divan, histoire de le déguster dans la plus agréable des positions et attires ta propre attention vers l'émission que diffuse le téléviseur face à toi, tandis que tu sembles entendre les larges talons des escarpins que ta mère a l'habitude de porter taper contre le parquet de la cuisine. « Asra, on est rentrés ! », s'écrie ta mère à travers le penthouse. Il y a pas plus explicite pour alléger tes doutes. « On » ? Ouais, ta mère est pas seule. Toi, ça t'étonne pas, tu restes neutre à regarder la télévision. Parce que tu le connais bien, ce nouveau « on ». Au début outrant, assez brusque et déstabilisant, puis tu t'y es adapté. Un « on » qui te suit partout depuis un an et un mois pile, date à laquelle ta mère a décidé d'en épouser un autre. Un autre, un nouveau, une version deux point zéro, un mieux, un vivant. Un autre homme, en pleine santé. Difficile à l'accepter et difficile de s'y faire à l'idée, d'avoir un nouveau papa, un second, un avec qui ta tendre mère, veuve, a décidé de s'unir. S'unir pour la deuxième fois, s'unir pour connaître une seconde fois le véritable amour, pour reconstruire sa vie une deuxième fois, avec un autre homme, pour être plus heureuse. Ils se fréquentaient depuis une bonne dizaine de mois avant que ta mère ait eu à t'annoncer que ce on prendrait une place très importante dans ta vie, depuis qu'ils s'étaient donc unis par les liens du mariage. On peut pas avoir idée des efforts personnels que t'as dû faire pour l'accepter, ce « on », ce nouveau « on », qui symbolise le nouvel amour de la femme t'ayant mis au monde avec un nouvel individu, auparavant inconnu au bataillon. Pourtant, cette femme qui t'a mis au monde, elle semble à présent plus heureuse, elle semble plus vivante et plus enthousiaste, elle semble aimer de nouveau. Et pour toi, c'est le plus important. Alors après avoir refusé de faire une place pour ce nouveau « on » durant si longtemps, aujourd'hui t'y portes un regard plus doux et soutient cette nouvelle famille qui est en train de se construire, par des liens plus forts que l'amitié mais par ceux du sang, tu le soutiens, ce « on » qui est la raison principale du sourire rayonnant que ta mère exprime encore aujourd'hui. Tu l'acceptes, lui. Lui, il est extrêmement gentil, bel homme, adroit, tout ce dont ta mère a besoin. Mais ce qui est glacial, terrifiant, c'est de parfois plonger ton regard dans le sien et d'y voir ton père défunt. L'original, celui qui a été là durant les dix premières années de ta vie, qui t'a éduqué et promulgué les valeurs que représente la famille. Et c'est ces valeurs-là qui te poussent à accepter ce nouveau « on ». Car c'est ce que ton véritable père aurait souhaité que tu fasses, pour le meilleur comme pour le pire. « Prend pas ton petit-déjeuner dans le divan, je te l'ai déjà dit. Après on y retrouve toujours pleins de miettes et c'est galère à nettoyer ! », s'exclame ta mère à ton égard. Ta véritable mère. La vraie, ta mamounette chérie, celle qui est parfois la pire, parfois la meilleure. Même si là elle prend un air désagréable, ayant l'impression de te répéter ce sermon tous les matins, tu as plutôt envie de sourire devant ce regard si familier. Il est si pétillant, si vivant. Tu l'aimes. Puis, histoire de l'énerver un peu plus, tu restes dans le divan à déguster ton délicieux croissant encore tout chaud. Parce que non seulement tu adores quand ta mère prend cet air désolant, mais surtout parce que t'as la flemme de bouger de ce divan si confortable.
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ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2727399354 ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2727399354 ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2727399354
quelle bombe ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 4205929361

(re)bienvenue parmi nous Esther ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2511619667
dépêche toi de finir cette fiche qu'on aille foutre le bordel ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 3997999705
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Baby ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2109348208 ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2109348208
Contente de voir enfin Asra parmi nous Richard

Rebienvenue chez toi, et amuse toi bien avec la belle ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2511619667 ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 3850463188
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@Anja Eldjarn @Noora Mohn mes babes ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 3619069448 ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2511619667
merci à vous deux les gurlsss, j'arrive très vite c'est promis histoire qu'on aille foutre le bordel dans le massachusetts ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 550846730 ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 152426858
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Re Bienvenue parmi nous ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 1365124802
Good luck pour ta fiche and have fun :omnomo:
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La femme de mes rêves Vic REBIENVENUE ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2109348208
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Rebienvenuuuuuuue avec cette bombe ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 3850463188 ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 1881567943 :heaart:
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Je sors le plus beau pour toi BAAAAE ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 152426858 ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2511619667
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@C. Nevada Eova-Tessier @Bambi C. Corleonesi merci à vous deux ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2511619667 :raaah:
@Ezio Scorsese c'est trop pour moi ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2157042859 ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 550846730 BAEEEEE ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 2511619667 le plus beau, c'est le cas de le dire ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 166564858 ASRA OSBORNE ► Cindy Kimberly 152426858
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